Franck PASTOR

J'ai moi aussi une carrure de fil de fer et j'ai pourtant un cintre de 42 cm (axe-axe)… largeur préconisée par une étude sur-mesure (Gir's). Une autre étude, Bio Racer, m'avait auparavant préconisé un cintre de 44, que j'utilisais déjà à cette époque. J'ai en fait utilisé les deux largeurs à tour de rôle, chacune pendant plusieurs années. D'abord le 42, puis le 44, et enfin retour définitif au 42 qui me correspond finalement mieux. J'ai brièvement roulé sur du 40, que j'ai trouvé fortement inconfortable. Comme quoi ce n'est pas qu'une question de largeur d'épaules… Ceci dit j'imagine que si j'étais coureur, j'apprécierais le meilleur aérodynamisme d'un cintre plus étroit ainsi que le fait qu'il permette de se faufiler plus facilement entre deux coureurs.

Pas besoin de me le dire. En attendant, avec nos triples on profite toujours de braquets mieux adaptés à nos pratiques particulières. 🆒 Au juste, je me permets de te rappeler (un peu par provoc) que toutes les solutions mono-plateau ne sont pas à jeter à la poubelle. Je pense à celle-ci tout particulièrement : 😛 http://road.cc/content/news/125792-just-shand-stoater-rohloff

Si c'était un truc publicitaire, tu verras peut-être ta tronche diffusée au niveau national ! Tu risques de regretter d'avoir fait ça gratos. 😃

La voix de la sagesse finira par se faire entendre. 🆒

Les Continental Grand Prix 4 Seasons, je les ai longtemps utilisés, en section 25 mm. Ce sont de très bons pneus, avec une très bonne robustesse et une excellente résistance à la crevaison, sauf sur les flancs comme déjà précisé plus haut. Si on roule sur des routes en vraiment mauvais état, comme souvent dans mon cas, c'est un problème. Ce qui m'a fait passer depuis deux ans aux Schwalbe Durano plus, qui ont eux des flancs vraiment robustes. L'inconvénient est qu'ils adhèrent nettement moins bien. À utiliser avec prudence par temps humide et sur routes glissantes. Si tu roules sur des routes pas forcément en bon état, mais relativement «lisses», les Conti sont donc quand même un très bon choix. Je ne connais pas les Michelin Power Endurance.

Tu n'es pas obligé de «mouliner» avec ces cassettes. Tu peux aussi décider de garder la même fréquence de pédalage (sauf si elle est franchement trop basse, comme 40-50 tours/minutes !!), mais alors en forçant moins et donc en économisant un peu plus ton appareil cardio-vasculaire.

Comme je me demandais après coup si cette reine des prés pouvait être considérée comme un produit dopant, comme tant d'autres médicaments courants, j'ai fait une petite recherche sur le web. Pas trouvé de réponse précise, sauf qu'elle est considérée comme dopante au-delà d'une certaine dose pour les… chevaux ! http://www.fleurdekachou.com/index.php/articles-infos/lutte-anti-dopage-contexte-et-place-de-la-phytotherapie Elle contient de l'acide acétylsalicylique, substance antidouleur autorisée et contenue aussi dans l'aspirine, mais la consommation de cette dernière serait interdite par l'UCI car contrairement à la reine des prés elle fluidifie le sang. Ce qui est dangereux en cas de saignements, et ce qui permettrait de masquer un dopage à l'EPO. Donc la reine des prés serait une aspirine «naturelle» en quelque sorte, avec certains de ses avantages (antidouleur) mais sans certains de ses inconvénients. Tous ces renseignements venant seulement du web, restent à confirmer in real life par des personnes autorisées !

Je ne pense pas que ce soit ici un débat «philosophique». Les questions liées au VAE (quel type d'assistance, comment la régler, comment l'utiliser, où placer l'assistance, où placer la batterie, etc.) sont très spécifiques et donc, à mon avis, méritent une rubrique à part. Ce qui peut engendrer un débat «philosophique» (et passionnant!), c'est si faire du VAE peut être considérer comme faire vraiment du vélo… 😇

Je ne sais pas si c'est grâce à elle, mais j'ai bien dormi en tout cas ! Même plus mal aux jambes ce matin. Mais ça, je m'attends à le voir ressurgir demain, c'est toujours deux jours après l'effort que les courbatures se font le plus ressentir. Pour ceux qui se demandent ce qu'est cette «reine des prés» que m'a fait découvrir Jérémie hier, voici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Filipendula_ulmaria

On ne peut pas créer un forum dédié à ces machins ? J'approuve à fond, j'ai déjà lancé la proposition il y a quelques mois. Pourquoi pas en effet une rubrique « VAE » ?

C'est possible, le col du Télégraphe est un endroit très dégagé et si ma mémoire est bonne (j'y suis passé il y a deux semaines) on y trouve un bon nombre de places de parking, mais comme l'endroit est parallèlement très fréquenté, peut-être n'y aura-t-il plus assez de places disponibles à votre arrivée. Je suggèrerais plutôt de se garer à Saint-Michel-de-Maurienne, ce qui permettra d'avoir aussi le col du Télégraphe à votre palmarès. Ou sinon, à Valloire même.

Sortie de 157 km selon compteur en Ardenne liégeoise aujourd'hui, guidé de magistrale façon par Jérémie Laplac, régional de l'étape qui, bien plus fort que moi, a néanmoins passé la journée à suivre mon rythme. 8 h 8 min de vélo (10 h de sortie au total, on a fait plusieurs pauses dont une longue pour le casse-croûte), soit une moyenne de 19,4 km/h qui ne risque pas d'affoler les foules… mais, pour ma défense, avec 3100 m de dénivellation positive selon le GPS de Jérémie. Liste forcément incomplète des côtes franchies, certaines gratinées : Chambralles, Niaster, Chession, Rosier sud (versant La Gleize), Thier de Coo, Thier de la Principauté alias côte de Ligneuville, Amermont, Rosier est (versant Moulin de Ruy), Maquisard sud-est, l'incontournable Redoute et Hornay (Sprimont) pour finir. J'ai bien mal aux jambes ce soir, mais tout bien considéré mes sensations étaient bonnes, ainsi que mon rythme dans les côtes (pour moi s'entend). Je pense être physiquement prêt pour la Vélomédiane de samedi prochain ! 😄

En ce qui concerne Indurain, du temps où il courait, on disait de lui qu'il parlait français tout à fait convenablement en privé. Le fait qu'il s'y refusait en public relevait probablement de la peur de se "planter" devant tout le monde ou de mal refléter sa pensée. Déjà que le bonhomme était taiseux en espagnol…

30 km à peine ce soir, mais en plein Bruxelles. J'ai eu la lubie de passer faire quelques raidards du côté de Forest (Beukenberg, rue du Mystère notamment), soit toute la partie sud de l'agglomération à traverser. J'ai pris une bonne petite drache au début de la sortie, ce qui m'a fait rouler très, très prudemment, surtout dans les inévitables sections pavées (y en a toujours quelque part, à l'intersection de deux rues, à l'entrée d'un quartier, etc.). C'est que pavé humide = savonnette.

Actuellement la répartition du choix entre le néerlandais et l'anglais, sur l'ensemble de la Wallonie, serait de 50-50. D'après une étude récente que je cite de mémoire, plus de 80 % des élèves du Brabant Wallon choisiraient le néerlandais en première langue «étrangère». Ce pourcentage serait d'environ 60 % dans la province de Namur et d'un peu plus de 50 % dans le Hainaut. Mais dans les provinces du Luxembourg et de Liège, ce pourcentage tomberait à moins de 20 %, ce qui fait chuter drastiquement la moyenne régionale.

Les Flamands mettent généralement un point d'honneur à prononcer les noms d'origine étrangère comme le ferait un locuteur autochtone, autant que possible. Dans le cas de de Broglie, je suppose que comme en Francophonie, il n'y a que les scientifiques à être initiés à sa prononciation correcte ! 😃

Ajoute à cela que le français est obligatoirement la première langue «étrangère» enseignée en Flandre, tandis que le néerlandais ne l'est pas en Wallonie : on a libre choix entre anglais et néerlandais. (À Bruxelles, officiellement bilingue, c'est autre chose : néerlandais obligatoire dans les écoles francophones et vice versa.) Résultat : l'anglais est bien mieux maîtrisé en Flandre qu'en Wallonie ! 😃

Je n'ai guère eu besoin non plus de ma veste de pluie ces dernières semaines, mais comme je suis en vacances c'est bien plus facile de programmer sa sortie selon les caprices de la météo. Parfois il suffit de la décaler de quelques heures, plus fréquemment d'un jour. Quand je reprendrai le boulot par contre, ce sera comme d'habitude : maximum deux sorties par semaine, programmées à tel jour fixe et à telle fixe, et pas d'autres choix possibles. Donc s'il pleut le jour J à l'heure H, hé bien je sortirai prendre la flotte… avec ma veste de pluie. Je ne suis pas Belge de souche moi ! 😉

Dylan Teuns d'un côté, Edward Theuns de l'autre qui a remporté une étape sur le Binckbank Tour… Les quiproquos vont fleurir ! 😃

Si tu rentres à Bruxelles ce samedi 13, tu n'auras pas le "loisir" de te taper le col de Marcieu depuis la Buissière et par La Flachère, plutôt salop sur 3 kms après La Flachère (virage à gauche en sortant du village, route de Sainte-Marie-du-Mont) et très casse-patte après l'embranchement de Sainte-Marie où tu files tout droit ... Ah ben voilà une autre de mes lacunes impardonnables : je n'ai jamais grimpé le col de Marcieu en partant de la Buissière. Et pourtant, avec ces pourcentages, c'est sûr que ça me conviendrait ! Voilà un bon objectif pour l'été prochain, merci pour cette piqûre de rappel !

Quatre heures de sortie en guise de reprise de contact avec les routes brabançonnes. Et aussi avec la caractéristique du climat local qui me convient le moins : un vent omniprésent. 🙁 À part ça, température agréable et temps nuageux mais sec. Au programme de la sortie, mes côtes habituelles de l'est et du sud-est de Bruxelles, avec comme fleuron le Smeysberg. Juste avant l'escalade dudit Smeysberg, je tombe sur le parcours d'une course "Elite + 23", dont le parcours est exactement l'inverse du mien à cet endroit : eux descendent le talus (bande de feignasses ! 😃) tandis que moi je veux le grimper. Le signaleur posté au pied de la côte m'avertit que les coureurs sont sur le point de passer, mais me permet d'y aller quand même à condition de me ranger sur le côté dès le passage de la voiture ouvreuse. Et ça ne manque pas, celle-ci passe alors que je me trouve en plein milieu de la pente. Le haut-parleur de la bagnole diffuse la chanson «Désenchantée» de Mylène Farmer : très flamand comme ambiance ! 😇 Je me range comme promis sur le trottoir, mais comme il n'y a aucun spectateur à cet endroit je poursuis l'escalade là-dessus tandis que les coureurs dévalent la route à toute vitesse. Il doivent largement dépasser le 80 km/h à cet endroit ! Plus loin, peu après le sommet d'une autre bosse (Holstheide) je me retrouve à nouveau à contresens de la course. Cette fois-ci je n'ai pas à me ranger puisque je suis sur une piste cyclable. Les baffles de la voiture ouvreuse diffusent celle fois-ci «Alexandrie» de Claude François. Y a pas à dire, une ambiance de flahute, ça n'est franchement pas dépaysant ! 😃 Vers la fin de la sortie, petite chute sans gravité : après un bref arrêt-réglage de dérailleur sur un trottoir, en remontant sur mon vélo tout en descendant du trottoir je me fais surprendre comme un idiot par la profondeur du caniveau entre ce trottoir et la route : roue avant coincée, et boum! chute sur le côté gauche. Je m'en sors avec des éraflures sur le coude, et un guidon tordu vite remis d'aplomb. Encore deux côtes et puis retour chez moi. La reprise de contact avec la Belgique n'aura pas été monotone ! 🆒

Je trouve aussi dommage que la course ne passe pas par le Grand-Duché. D'autant qu'à Houffalize, on en est vraiment à deux pas. Tu connais la raison de cette lacune ?

BinckBank Tour est le nouveau nom de l'Eneco Tour. Pour mémoire, Eneco est un fournisseur d'énergie néerlandais. C'était le principal sponsor de la course avant de se retirer cette année et de laisser la place à BinckBank. Que le principal sponsor d'une course lui donne son nom ne me choque pas tant que ça. Au moins les choses sont claires, on sait qui est derrière la course.

J'ai vu l'étape en différé. Surpris de voir des «Flandriens» patentés, comme Sagan et Stuyven, se comporter aussi bien en Ardenne. Sagan devrait peut-être se laisser tenter par Liège-Bastogne-Liège une de ces prochaines années.

Situation que je vis à chaque sortie ou presque quand je roule dans Bruxelles même, où les rails de tram à même la chaussée pullulent. Pour l'instant, jamais de chute. De fait, je fais attention de croiser les rails de tram à angle aussi droit que possible. Quitte à lever la roue avant pour la placer dans un bon angle tout en lui faisant sauter le rail.