Franck PASTOR

Pour nos contradicteurs, «combatif» et «victorieux», c'est lié, point final, on ne le leur enlèvera pas de la tête. Pas la peine de continuer ce dialogue de sourds, on a des spécialistes de ce type de dialogue face à nous. 😉

Non… Trop de cinoche.

Félicitations ! J'ai le BRA à mon palmarès aussi, mais dans l'autre sens. D'ailleurs je n'ai jamais grimpé le Galibier versant nord… 😳 Je compte bien combler cette lacune, impardonnable pour un Grenoblois de naissance, d'ici quelques semaines. 214 km c'est déjà une sacrée distance, mais je trouve quand même dommage qu'on fasse partir maintenant le BRA de Vizille. Dans le temps, on partait de Grenoble même et on y revenait, ça faisait 250 km au minimum !

Magnifique en effet, la vallée de l'Aisne. Cette partie de l'Ardenne (zone Houffalize - La Roche - Érezée) est ma préférée en tant que cycliste. Seul point noir, mais c'est pas nouveau, l'état global des routes. C'est encore plus manifeste qu'ailleurs parce qu'on peut facilement comparer avec celles du Grand-Duché voisin… C'était la première fois que je grimpais la côte de Roche-à-Frêne en dehors de la Vélomédiane. Tant qu'à l'avoir pour moi tout seul, j'aurais préféré un peu mieux en profiter… Fichue caillasse !!!📢 14,5 km/h de moyenne ! 😲 En cours de Vélomédiane, c'est déjà toute une histoire pour moi de voir le compteur dépasser les 10 km/h dans cette côte !

Le Schtroumpf est en bleu, comme il se doit ! 🆒

Ce n'est peut-être pas la peine de répéter toujours la même chanson, je crois qu'on a compris… 🙄

C'est possible pour les Impact, je ne les ai jamais eues sous les yeux. Je suis bien certain par contre que les Équipe Pro n'avaient pas de réglage de ce genre, ni les pédales VTT actuelles.

Si on veut continuer le concours de «moi j'ai la plus belle» : jamais eu à changer les roulements de mes Time non plus. Les Time Équipe Pro, je les ai utilisées pendant 12 ans sans jamais avoir à les entretenir, je n'avais même pas à les nettoyer. Ces pédales étaient une merveille, je ne suis pas sûr que Time ait fait mieux depuis dans sa gamme route. Vous n'êtes pas obligés de me croire, mais que Time soit une marque française, je m'en fiche royalement. J'ai toujours été un mauvais patriote. D'ailleurs j'ai quitté le pays ! 🆒

La liberté latérale, c'est que le pied, une fois la cale enclenchée, peut se déplacer latéralement de droite à gauche sur la pédale. Ce n'est pas un flottement (ça ne glisse pas comme sur du savon, il faut forcer pas mal), et ce n'est pas réglable : c'est une caractéristique de la pédale et de la cale associée. Cette liberté est en général de 5 mm au total (2,5 mm vers la droite comme vers la gauche, par rapport au centre de la pédale). C'était le cas sur mes anciennes Time Equipe Pro route comme c'est le cas sur mes Time Atac Carbon VTT actuelles. En général le pied prend tout seul sa position latérale optimale au cours du pédalage. Dans mon cas, mon pied droit se retrouve toujours, après quelques minutes, plus vers l'extérieur que le pied gauche. Pour les Time Impact, je ne sais pas. J'ai lu que les Time Xpresso avaient deux types de cale, l'un avec liberté angulaire et latérale, l'autre sans aucune des deux.

OK pour le déchaussage vers l'intérieur alors. Pour le porte-à-faux, je ne comprends toujours pas. Il y a peut-être malentendu. Avec la liberté latérale façon Time, ce n'est pas la cale (on ne touche pas à sa position sous la semelle) mais toute la chaussure qui se décale vers l'extérieur ou l'intérieur de la pédale. L'appui s'effectue donc sur la même zone plantaire.

Je n'ai jamais utilisé de Speedplay. Quand j'utilisais des pédales de type route c'était des Time Equipe Pro, dont la bioposition était encore inférieure aux pédales actuelles soit dit en passant (8,5 mm). Depuis 2009 je n'utilise que des pédales avec cale noyée dans la semelle donc permettant la marche (j'habite en pleine ville). J'ai donc peu de chances de profiter un jour du concept des Speedplay route, avec mécanisme de fixation inclus dans une cale volumineuse très peu pratique pour marcher. C'est donc par la bande que j'ai appris qu'il était impossible de déchausser vers l'intérieur avec des Speedplay, et tu es le premier qui m'affirme que c'est possible. Sinon, j'aurais peut-être été tenté par le concept Speedplay (avant de passer aux pédales permettant la marche). En 2005 il semble bien que le déchaussage vers l'intérieur était impossible, mais peut-être que ça a évolué depuis. http://bit.ly/2unn4iE Ton histoire de porte-à-faux m'intrigue. La différence de porte-à-faux est elle conséquente entre une augmentation de Q-factor et un pied qui se déplace latéralement vers l'extérieur sur la pédale ? Vis-à-vis de la fixation de la pédale, c'est le même déplacement…

Pour la double face, c'est le cas des pédales Time VTT, c'est ce que j'utilise, comme je l'ai dit. Dans les pédales route, les seules pédales à double face que je connaisse, ce sont les Speedplay. Qui souffrent d'un défaut qui est pour moi rédhibitoire : on ne peut pas déchausser en pivotant le talon vers l'intérieur. Quand la pédale est en haut du cycle de pédalage, il m'est carrément impossible de déchausser en pivotant le talon vers l'extérieur (problème de hanche, à mon avis) et donc j'ai besoin de pédales qui me permettent de déchausser aussi vers l'intérieur. Dans ta liste, tu pourrais inclure la liberté latérale, ce que propose Time et pas d'autres pédales à ma connaissance. Ce qui compense en partie l'absence de réglage du Q-factor, et qui, comme je l'ai dit plus haut, me permet d'adapter mon pédalage à mes problèmes de hanche. (Il me semble par ailleurs que les pédales route Xpresso ont un réglage de Q-factor, en plus de la liberté latérale. À confirmer.) D'autre part, pour les modèles VTT, intervertir les cales permet à la liberté angulaire de passer de 13° à 17°, un début de modulabilité. Quant à la hauteur à l'axe et la surface d'appui, les Time route ne semblent déjà pas mal… https://www.time-sport.com/tme_fr_fr/technologies_pedales

Décidément tu as du mal à me lire. Encore une fois : qu'il gagne ou non, ce n'est pas à ça qu'on mesure la combativité d'un coureur. Il paraît que De Gendt a totalisé plus de 1000 km d'échappée, ce serait un record. http://sport.francetvinfo.fr/tour-de-france/tour-de-france-2017-a-leur-maniere-ils-ont-marque-le-tour-402357 Quant au nombre d'attaques, je n'ai jamais vu Barguil attaquer dans les étapes de plat. De Gendt attaquait aussi bien sur les étapes de plat qu'en montagne, sans même parler des étapes dites de «transition».

Vox populi, vox dei: pour moi aussi c'est De Gendt le plus combatif. Barguil a gagné des étapes et le maillot à pois, et alors ? Depuis quand la notion de combativité devrait-elle tenir compte des résultats ? Si c'était le cas, quasiment tous les prix de la combativité de chaque étape devraient être redistribués. Il n'y en a pas beaucoup eu de vainqueurs d'étape, à avoir eu aussi ce prix-là. Point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. Maxime connue, à méditer.

Avec une tige de selle graduée c'est possible… si on a de bons yeux ! 😃 Soit dit en passant, Vincent Blondeau recommande l'inverse (baisser la selle quand on passe à des manivelles plus courtes, et la monter dans le cas contraire). https://www.artisansducycle.fr/ipb/topic/2042-hauteur-de-selle-après-changement-manivelles/ Il s'en était expliqué sur ce forum il y a longtemps (discussion effacée car trop ancienne). Si j'ai bonne mémoire, pour lui c'est la position haute du pied lors du pédalage qui doit être déterminante pour la hauteur de selle, et non sa position basse. Pour ma part, quand j'ai changé de longueur de manivelles il y a déjà un bail (de 170 mm à 175 mm), ma hauteur de selle était restée la même…

3 h de sortie en Ardenne cet après-midi, dans la vallée de l'Aisne, au nord de la province (belge) du Luxembourg. Temps franchement froid pour la saison (16° maxi !), nuageux mais sec, avec un vent assez fort. Sortie raccourcie de moitié suite à un appel téléphonique sur mon portable: il y avait un problème de paperasse qu'il fallait régler d'urgence à Bruxelles avant 19 h ce soir. Ça m'a fait terminer la sortie à 17 h alors que j'aurais bien voulu continuer jusqu'à 20 h… 😠 Enfin bon, j'ai pu grimper quelques belles côtes, même si pas autant que je l'aurais voulu : le col du Rideux par trois de ses versants (nord, sud et nord-est), la montée en cul-de-sac de Fanzel vers Mormont, et la côte de Roche-à-Frêne. Cette ascension-là aura été épique : la deuxième moitié de l'ascension, après le village de Roche-à-Frêne, n'était qu'un vaste champ de caillasse. Il paraît qu'ils sont en train de refaire complètement cette portion de route. Mais je l'aurais appris seulement après coup, car il n'y avait aucun panneau qui mentionnait les travaux au pied. Qui c'était le pigeon ? 📢 Résultat, comme je suis têtu, j'ai voulu continuer jusqu'au sommet, en espérant que ce passage en travaux soit court (il continuait en fait au-delà du sommet…) et j'y suis parvenu, mais avec au passage une chute sur le côté (gauche, heureusement), la roue arrière s'étant dérobée sur la caillasse. Pas de mal, juste de quoi pousser quelques jurons bien sentis ! Je suis redescendu non pas par l'itinéraire normal, lui aussi en travaux, mais par la côte des Deux-Rys… tellement dégradée que le bitume avait carrément disparu par endroits. C'était vraiment pas mon jour… 😢

Si par «normal», tu sous-entends «acceptable», on ne risque pas d'être d'accord. La c****ie, c'est courant mais ça n'est pas acceptable, point. L'incident dont tu parles doit être celui du Gavia dans le Giro d'Italia 1960, je n'ai pas connaissance d'une histoire semblable dans le Mur de Sormano.

Pas mal de problèmes aux genoux par le passé, mais c'était dû au vélo pour ma part. Prudence donc, il y a toujours moyen de se faire mal aux articulations si on exagère sa pratique, avec n'importe quel type de pédales. J'y ajoute des séquelle d'accidents à la hanche et au cou dûs à ma pratique passée du judo. Actuellement j'utilise aussi des pédales VTT, mais moi ce sont des Time, le modèle Atac Carbon. http://bit.ly/2tRdeSJ Comme pour tous les modèles VTT, la cale et les chaussures permettent de marcher facilement et de ne pas risquer de se casser la figure au moindre pas sur le plancher des vaches. Et comme je dois poser le pied à terre assez souvent (j'habite en pleine ville), et pas forcément sur du billard (routes souvent en piteux état), c'est pour moi un gros avantage. Ce qui me fait choisir les Time, c'est qu'en plus de la liberté angulaire (conséquente) on dispose d'une liberté latérale, c'est-à-dire qu'on peut aussi déplacer latéralement le pied de droite à gauche, sans avoir à modifier son orientation. Mon médecin sportif m'a dit un jour que cette liberté latérale avait évité bien des problèmes à ma hanche fragilisée, alors j'y tiens !

C'est un modèle ancien que je ne retrouve pas dans le catalogue actuel. Mais il est très proche de celui-là, qui a le même prix: http://bit.ly/2vMDWwZ Elle se range bien dans la poche centrale, mais comme pour la Sturmprinz il ne faut pas espérer y mettre autre chose !

C'est plutôt l'inverse pour moi. Quand je reviens dans mes montagnes ma fréquence de pédalage, déjà haute par rapport à la moyenne, augmente encore progressivement au fur et à mesure des sorties. Je me dis que je retrouve mon «coup de pédale» spécifique à la montagne. Ceci dit, même en vacances je ne fais jamais du vélo tous les jours.

Ah tiens, je n'étais donc pas le seul à l'avoir remarqué ! 🆒 Effectivement c'était très mauvais signe. Vivement que son Tour se termine, il a urgemment besoin de repos.

En l'occurence, ce serait passer du 36/28 au 34/32 comme braquet minimal, puisqu'il se refusait à utiliser le 32 dents de sa cassette.

C'est une peur infondée, si tu veux aller vite et si ta condition le permet, tu iras vite, peu importe le braquet, du moins au début. Parce que la différence est là : avoir un braquet plus adapté te permettra d'aller plus loin. Si tu te retrouves à ralentir la cadence avec un braquet plus petit, dis-toi simplement que si tu avais prévu plus gros, tu serais soit allé à la même vitesse mais en fatiguant plus tes jambes, soit allé en effet plus vite… au début, en finissant par exploser plus loin.

33 ou 34 km/h de moyenne, mais peut-être pas sur de longues distances. Il est symptomatique que ses baisses de régime soient apparues dans la dernière ascension à chaque fois. On ne maintient pas la même puissance sur une sortie avec une seule longue ascension que sur une autre avec plusieurs. Peut-être qu'un changement dans les méthodes d'entraînement aiderait, mais d'une part on a chacun nos limites imposées par notre capital génétique (même avec le meilleur entraînement du monde, très peu de cyclistes arriveront au niveau d'un Jean Guy 😉), et d'autre part, si on doit composer avec ses limites actuelles, le mieux est de grimper avec le moins de souffrances possibles. Et si le prix à payer est de diminuer sa vitesse, alors autant diminuer son braquet si on ne veut pas exploser ses jambes à terme.

Très bien, mais ce serait encore mieux, pour moi et bien d'autres, si on pouvait disposer de ce dérailleur combiné avec un triple plateau, en standard, sans bricoler. Des braquets comme mon 26/34, voir plus petit encore, seraient alors facilement disponibles pour bien plus de gens. Et bien des gens seraient intéressés, bien plus qu'on l'imagine. L'expérience de Thibaud est parlante. D'autre part, si on se satisfait d'un braquet minimal égal à 1 comme le 34/34, avec un triple on peut avoir un 24/24, 26/26 ou 28/28, donc des cassettes bien mieux étagées. Et dans les deux cas, on n'aurait pas besoin de sacrifier les grands développements, ni d'avoir à gérer ces écarts énormes entre les dentures des plateaux des compacts actuels. Quand je pense qu'on en est à monter des aberrations comme des doubles 52-34, voire 52-33…