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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Pour Jeannesson, ce n'est pas vraiment une retraite puisqu'il se réoriente vers le cyclo-cross paraît-il. Je reste encore surpris de la retraite de Talansky, c'est vraiment "anticipé" dans son cas…
  2. J'en ai déjà parlé je crois : j'ai voulu tester avec la pointe d'un couteau la robustesse des flancs d'un pneu Conti 4 Seasons monté et gonflé. Je t'assure qu'il ne m'a pas fallu appuyer fort avec le couteau pour le percer ! Je précise à toutes fins utiles que de toutes façons je voulais remplacer ce pneu. 🆒 À vue d'œil, les flancs de ce pneu sont (étaient?) faits de fils tressés, formant un ensemble peu dense et donc fragile. J'avais d'ailleurs vu parfois des fils se défaire spontanément, ça ne me rassurait pas. Mais peut-être ont-ils changé la conception de ces flancs depuis deux ans…
  3. La dernière fois que j'ai eu un problème semblable, mon pneu, un Continental GP 4 Seasons, avait «mordu» un gros caillou qui lui avait déchiré le flanc sur une longueur similaire. Les (certes rares) problèmes que j'ai connus avec les pneus Continental (GP4000 puis GP 4 Seasons) se produisaient presque tous sur les flancs, en fait. Il y a quelques temps ça m'a fait «switcher» pour des Schwalbe Durano plus, aux flancs plus épais, et plus de problèmes à ce niveau. Mais ils adhèrent moins bien à nos routes belges si souvent humides, donc je n'en suis pas forcément sorti gagnant.
  4. Dernière sortie de l'année hier. 7261 km au total sur mon compteur. L'objectif de cette année (7000 km) est donc largement accompli, et je rempile l'année prochaine pour le même kilométrage. Ça sera certainement plus dur à tenir, vu mon nouvel emploi du temps vraiment pas favorable, mais ça me servira de motivation !
  5. Trois heures de vélo aujourd'hui dans la Hesbaye brabançonne, du côté de Perwez et Hoegaarden (oui, comme la bière). Pour ne pas changer, temps bien cafardeux qui plombe le moral : gris, froid (6° C), très venteux. Et quelques périodes de crachins pour ne rien arranger. Au passage, j'ai ajouté une nouvelle côte «Cotacol» à mon palmarès, le Kauterhof, à la sortie ouest de Hoegaarden : 1,2 km à 4,4 %, ça n'a l'air de rien, mais quand c'est sur une route pavée, large comme un boulevard et avec le vent pleine face, c'est une autre musique! 📢 C'était ma dernière sortie de l'année : le compteur indique 7261 km au total pour «l'exercice» 2017. Bientôt je mets les voiles, direction Grenoble, pour passer la fin de l'année en famille… et sans vélo.
  6. Un rayon de soleil ? Où ça ? Il a dû se perdre aux Pays-Bas, parce qu'ici en Brabant belge on n'a rien vu ! 🙁 Donc, lors de ma sortie d'aujourd'hui, comme pour les jours et les semaines précédentes, que des nuages, du froid et du vent. Par contre il faisait presque sec, juste un crachin de temps en temps pour entretenir la saleté des routes…
  7. Même tactique. Encore faut-il qu'il y ait cette bande blanche et un espace exploitable derrière elle. Sur certaines routes, l'ensemble est tellement étroit que lorsqu'il n'y a pas de trafic c'est un exercice intéressant que de rouler dessus : ça t'entraîne à rouler droit, si tu n'y arrives pas, tu te retrouves dans le décor, c'est motivant ! 😃 Quand il n'y a pas de marquage du tout, particulièrement sur route étroite, on a le choix entre deux tactiques : soit on serre à droite un maximum et la bagnole derrière vous double — mais en vous frôlant dangereusement parfois — soit on roule sur la moitié droite de la chaussée comme le code nous l'autorise, mais alors les bagnoles derrière ne peuvent pas nous dépasser… ce qui énerve les conducteurs, contribue à notre image d'emm..deurs et peut même dans certains cas pathologiques les conduire à « faire un carton ». Pas de solution miracle donc, s'adapter aux circonstances autant que possible… quitte à carrément s'arrêter un moment pour laisser passer le trafic derrière nous. Le « feeling » est important.
  8. Si le type de pédale VTT te convient, tu peux toujours en utiliser sur ton vélo de route. Avantages : là aussi, chaussage des deux côtés, facilités pour la marche et cale qui dure ad vitam aeternam (enfin presque). Inconvénient : surface d'appui moindre. Pour ma part, c'est Time VTT sur mon vélo de route depuis des lustres.
  9. Justement, lisse ou pas, je ne vois pas un pneu tenir mieux qu'un autre sur du véritable verglas. Ou alors on verrait des gens faire du vélo à pneus ordinaires (non cloutés) sur les patinoires… Là où je veux bien croire que le dessin des pneus fasse une différence, c'est sur chaussée humide, et c'est autre chose.
  10. Ton expérience me surprend. Sur du verglas, l'adhérence est nulle par définition, ou suffisamment proche de zéro pour ne pas faire de différence entre les pneus… sauf s'ils sont cloutés !
  11. Un rétro de ce genre-là, ça te ferait fuir ? http://www.triclair.com/actus/retroviseur-miroir-velo.jpg
  12. Plusieurs ici pensent que ça ne vaut pas la peine de faire du vélo si c'est pour rouler avec la peur au ventre. D'accord avec ce point de vue si la peur vous dévore au point de tuer tout plaisir, mais moi je trouve qu'une légère dose de peur, pour ainsi dire, est saine pour notre pratique. Parce qu'elle augmente la vigilance. À en croire bien des témoignages, les accidents les plus graves surviennent souvent alors qu'on s'imaginait parfaitement en sécurité… Je sais bien, et je suis bien placé pour le savoir, que même en étant vigilant on peut toujours avoir un accident. Mais je pense aussi que rechercher la tranquillité d'esprit absolue sur le vélo n'est pas souhaitable. Il y a toujours un risque et c'est bien mieux d'en être conscient en permanence, je trouve. Ça n'engage que moi.
  13. Pas d'accord, malheureusement. Je me suis fait plusieurs frayeurs par temps de pluie, notamment sur des peintures de chaussée (passages piétons, bandes cyclables…) avec les Schwalbe Durano Plus que j'utilise actuellement, par rapport aux Continental GP 4 Seasons avec lesquels je roulais avant, dans les mêmes conditions. Les Schwalbe sont plus résistants à la crevaison, surtout sur les flancs, mais en contrepartie ils sont notablement moins adhérents. Tout se paye…
  14. Et encore, cette bruine serait un moindre mal si elle n'entrainait pas la formation de ces tapis de boue sablonneuse sur nos routes, boue qui s'incruste dans nos transmissions et les use à grande vitesse. Et pas seulement en bordure de champ et de terres agricoles mais aussi en pleine ville, en bordure des chantiers, des jardins et autres espaces verts. Bref, quasiment partout. Une plaie ! Quand je nettoie la chaîne après chaque sortie, c'est ahurissant la quantité de sable qui en sort. À vous décourager d'entretenir votre transmission, si c'est pour l'entendre grincer à nouveau dès les premières centaines de mètres de la sortie suivante.
  15. C'était ma seule possibilité de sortie jusqu'à lundi prochain. Ça motive…
  16. 53 km de sortie aujourd'hui, aller-retour Bruxelles-Louvain, sous un crachin persistant et donc, corollaire obligatoire dans la région en cette saison, des routes tapissées de boue sablonneuse plus ou moins dense… Je redécouvre donc la joie d'entendre couiner en permanence ma transmission, gorgée de sable après même pas un kilomètre de sortie, et le bonheur du grand nettoyage obligatoire au retour. Tof! (cool!) comme disent les Flamands. Du positif quand même : bonnes sensations, peu de vent, température relativement douce (8°) pour la saison.
  17. Même type de temps à Bruxelles, mais avec du crachin en plus… 😕
  18. Ça me fait penser à Stig Broeckx, accidenté en mai 2016 lors du Baloise Belgium Tour, tombé dans le coma suite à de très graves blessures à tête, à qui le corps médical prédisait au mieux une vie de légume complet, et qui depuis sa sortie spontanée du coma à la grande surprise de tout le monde en décembre 2016 , progresse régulièrement. Son père parle carrément de miracle. http://www.sport.be/fr/cyclisme/article.html?Article_ID=821239 http://sporza.be/cm/sporza/wielrennen/1.3116067 Le texte de l'article est en français, la vidéo (le deuxième lien) est par contre en néerlandais. Mais il faut la voir. C'est impressionnant de voir cet ancien athlète de haut niveau rendu dans cet état… Mais il faut savoir qu'il est reparti de rien, absolument de rien. Depuis sa sortie du coma il doit tout réapprendre. Quand on sait cela, on est scotché de voir où il en est arrivé quand même. Et ce contre tous les pronostics. Chapeau.
  19. Vous ne savez vraiment pas entrer dans la psychologie d'un mec à juste titre arrogant et même méprisant ! Sans doute parce que ce genre de type est tout simplement répugnant. Le mépris, ça ne se pardonne pas. https://www.humanite.fr/node/131094
  20. Ça ne m'étonne pas du tout, forcément. 🆒 J'imagine que tu étais proche de ton maximum de puissance dans cette côte courte, ce qui justifie pleinement cette cadence élevée. Mais la différence de temps devait quand même être minime, je me trompe ? Il ne faut quand même pas s'attendre à des progrès énormes en adoptant ces cadences élevées quand on roule à puissance élevée, même si ces cadences sont plus rationnelles. L'essentiel de la perf est due au «moteur», à la «cylindrée» du cycliste, et sa vitesse de déplacement ne variera qu'assez peu suivant le développement utilisé (sauf choix de braquet vraiment aberrant, genre braquet pour l'Alpe d'Huez utilisé dans la Bastille…). Qu'Armstrong ait vendu sa cadence élevée comme la clé de ses progrès foudroyants, c'était une belle entourloupe. La différence se fait surtout au niveau musculaire, je pense : économie des muscles, meilleure récupération. Bref, c'est un gain essentiellement sur le long terme. On ne va pas plus vite ou guère plus, mais on va plus haut, plus loin et en souffrant moins.
  21. Très classique comme mésaventure sur des cadres et fourches en métal… Comme pour la tige de selle soudée au cadre par la rouille. Toujours enduire l'expandeur et la tige de selle de dégrippant ou de graisse avant de les mettre en place, et renouveler l'opération régulièrement, au minimum tous les ans.
  22. Si Armstrong a tout «faussé» alors à mon tout petit niveau je peux dire que je l'ai précédé chronologiquement. 😃 Ça fait longtemps que j'ai réfléchi à la bonne cadence à adopter en côte, et ça m'a amené, avant qu'Armstrong «perce», à adopter des cadences supérieures à 80 tours/minutes en montagne. À l'époque, on me regardait bizarrement, et même maintenant ça en étonne certains. Ça ne m'a pas fait avancer particulièrement plus vite, mais ça m'a porté beaucoup plus haut et plus loin dans mes sorties en montagne. Vu mon niveau plus que modeste, ça m'a conduit à adopter par ailleurs de tous petits braquets. Malheureusement moins accessibles aujourd'hui vu la raréfaction du triple, mais c'est un autre débat. Le fait qu'on adopte des cadences bien moins élevées en côte d'habitude, est d'abord dû à celà, le manque de braquets adaptés à son niveau, et ensuite à la répugnance qu'éprouvent encore beaucoup de monde à tout simplement changer de vitesse. Combien de cyclistes ai-je croisé qui changeaient le moins possible de vitesse tout simplement parce qu'ils n'aimaient pas ça (voire ne savaient pas le faire !!!), et pas seulement des cyclistes occasionnels… En quoi est-ce logique, cette formule "52 + vitesse" ? Ce que j'ai pu constater pour ma part, et lire par ailleurs, c'est que la cadence est bien mieux à relier à la puissance fournie, les Watts, qu'avec la vitesse. Pas avec la pente. Suivant la pente, on peut être à fond à 10 km/h dans un col aussi bien qu'à 40 km/h sur du plat. Et les cadences employées devrait être semblable : pour les muscles et le système cardio-vasculaire, «l'agression» est très semblable dans ces deux cas. Alors en quoi une cadence de 62 dans un cas serait plus adaptée et 92 dans une autre ?? Si la cadence en côte est nettement inférieure à celle utilisée sur le plat, c'est que les braquets ou l'usage qu'on en fait sont à revoir.
  23. 😃 <Ricanements en stoemelinks> 😛
  24. Après trois semaines sans vélo par les fautes combinées d'un boulot de dingue et d'un temps de m…, reprise en douceur aujourd'hui avec 35 km quasiment tout plats dans le nord-est de Bruxelles, le long de la Woluwelaan (avenue de la Woluwe), jusqu'au hameau du Verbrande Brug, dans la commune flamande de Grimbergen. Beau temps pour une fois, sec et froid (5°). Malgré le vent sensible et les routes et pistes cyclables gadouilleuses, qu'est-ce que ça m'a fait du bien de pouvoir enfin me dégourdir les jambes ! 😄
  25. Vandenhaute est certainement un requin lui aussi, mais Armstrong n'est pas le genre de type qui se laisse instrumentaliser sans savoir de quoi il retourne…
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