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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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Permettez-moi de nuancer un peu. D'accord pour le freinage qui doit de toutes façons être progressif sous la pluie. Mais avec les freins à patins, particulièrement en longue descente, dans ces conditions climatiques j'ai eu suffisamment souvent un freinage, comment dire… un peu trop «progressif» par rapport à l'obstacle… voire qui ne fonctionnait pas du tout. Alors un système qui ne présenterait jamais ce défaut, c'est-à-dire des freins qui freinent quelle que soit la quantité de pluie qui tombe, je suis en mesure d'apprécier. Vous me direz qu'il faut anticiper, et freiner régulièrement par à-coup pour maintenir la jante raisonnablement sèche, mais l'être infaillible n'existe pas, et il peut m'arriver comme à tout le monde d'oublier de le faire… ou, plus sournoisement, de le faire mais pas assez fréquemment. Notamment sous l'effet de la fatigue. La conséquence à court terme de cette tactique, de toutes façons, c'est l'usure accélérée des patins, et à long terme celle de la jante. Rien à faire, semble-t-il: sous la pluie les disques me paraissent l'emporter sur les patins. Et même par K.O. 😛 Maintenant, à chacun de voir selon sa pratique si ça justifie un investissement dans ce système !
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À propos, je ne sais pas si quelqu'un l'a déjà mentionné, mais un avantage des freins à disques, c'est qu'ils n'usent pas la jante. C'est un argument qui me parle actuellement, puisque je vais faire changer les jantes (bien creusées) d'une de mes paires de roues pour cette raison. Et c'est probablement moins onéreux de changer de disque de freinage que de changer de jantes. Quelqu'un peut-il confirmer?
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MARMOTTE DES ALPES
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Kévin DEMEESTER dans Les évènements route
Tant mieux, mais il n'y a pas que le problème de voir dans ces tunnels, il y a aussi celui d'être vu, de face et surtout de dos. Je serai peut-être trop prudent mais tant pis, ça vaudra mieux que le contraire. De toutes façons, si je me décidais pour un trip façon «BRA à l'ancienne», je n'aurais pas le choix puisque je partirais de nuit. -
MARMOTTE DES ALPES
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Kévin DEMEESTER dans Les évènements route
Si tout va bien question planning, je vérifierai ça en août prochain. 🆒 Mais je prendrai l'éclairage de toutes façons, au cas où ! -
MARMOTTE DES ALPES
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Kévin DEMEESTER dans Les évènements route
Il y a peut-être aussi moyen de se ravitailler au Galibier (versant sud, à côté du tunnel, de mémoire il y a un café ou un restaurant) et presque certainement au Lautaret. J'ai aussi le projet de faire le parcours de la Marmotte, mais pour moi ce serait la première quinzaine d'août. Ou alors ce sera un BRA à l'ancienne : je ne ferais pas l'Alpe d'Huez dans ce cas, mais je partirais de chez mes parents dans la banlieue de Grenoble, ce qui me ferait un beau périple de presque 300 km… Départ à 4 h du matin au plus tard dans ce cas ! Détail non anodin : même si vous ne comptez pas rouler de nuit, prévoyez un éclairage fiable ! Dans la descente de la Croix-de-Fer (à moins de passer par le col du Mollard) et surtout celle du Lautaret, ce n'est vraiment pas du luxe. -
Tour des Flandres challenge
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Patrick GOUSSAULT dans Les évènements route
Tu oublies le Muur qui est revenu au programme de la course pro l'année dernière et qui est peut-être sur le parcours médian des cyclotouristes cette année (à vérifier). Ne me dis pas que tu restes sur le grand plateau là aussi ? 😲 Ce qui est amusant c'est que là où tu passes généralement avec le 39, moi c'est avec le 26, et là où tu mets le 53, moi c'est le 38. Sauf dans le Vieux Kwaremont, moi c'est le 26/26, 26/30 dans la première partie, puis je passe (sans problème) sur le plateau médian de 38 sur la partie intermédiaire et selon la forme j'y reste ou je repasse sur le 26 en partie finale. Bref, ne jamais dire que tel ou tel braquet est suffisant sans savoir quel est le niveau de force du cycliste à qui on s'adresse. La force, c'est largement inné. S'agissant de moi, n'avoir qu'un 39 à l'avant aurait été le meilleur moyen de me dégoûter à vie des Ardennes flamandes. Sans parler de la montagne. 😬 -
Tour des Flandres challenge
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Patrick GOUSSAULT dans Les évènements route
Pour toi oui, ça passe, pour moi vraiment pas sûr, et si oui je serais bon à ramasser à la cuillère au sommet. Pour donner une idée de ma «force»: bien plus jeune et avec un bien meilleur niveau, j'ai grimpé la Bastille de Grenoble avec 30/26 (34/29 grosso modo) et j'ai mis deux fois pied à terre. D'autre part, je ne suis pas convaincu du tout qu'il faille mettre plus gros que d'habitude sur les secteurs pavés, en pente ou non, quand je vois les cadences des pros dans les secteurs pavés actuellement. Et puis, doubler sur mon tout petit braquet des cyclistes en travers dans le Paterberg et le Koppenberg, et d'autres devenus des piétons poussant leurs vélos, ça fait partie de mes petits plaisirs cyclistes. 🆒 -
Tour des Flandres challenge
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Patrick GOUSSAULT dans Les évènements route
Ça varie tellement selon les niveaux (et les habitudes…) qu'il est difficile de conseiller quoi que ce soit. La prudence conseille de se munir des braquets les plus petits que permette ton groupe, quitte à changer de cassette et de plateaux. C'est qu'il y a de sacrés raidards, et le fait que certains soient pavés ne fait qu'accentuer la sensation de pente. Pour ma part, je suis un habitué des braquets de type VTT, et mon braquet minimal sur mon vélo de route est 26/34. Je n'ai jamais fait le Tour des Flandres cyclo (trop de monde à mon goût sur ces petites routes) mais je connais fort bien l'endroit et je fais bien usage de ce 26/34 dans le Paterberg, le Koppenberg et le mur de Grammont, qui fera peut-être aussi partie de ton parcours. Avec un 34/28, moi je ferais marche arrière dans le Koppenberg… 😃 -
Je vais reconduire mon kilométrage minimal de 7000 km, sans trop d'illusions sur les possibilités de le tenir, mais ce sera un bon aiguillon. Comme épreuves, pas d'objectif fixe cet année, juste sortir la bécane autant que possible. Je déciderai au jour le jour de participer à telle ou telle épreuve, selon mes disponibilités… Si je retourne dans les Alpes cet été, probablement en août, j'aimerais enchaîner à mon rythme Croix-de-Fer et Galibier en une journée, et l'Alpe d'Huez s'il me reste des forces, soit l'équivalent d'une Marmotte. Première sortie de l'année le dimanche qui vient, normalement !
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Que faire contre des chiens agressifs ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean marc FOURNIER dans Discussions Route
S'agissant des chiens, pour ma part, je n'ai jamais été vraiment attaqué à vélo. S'il y en a un qui m'aboie dessus, j'évite le contact visuel et je passe au plus large possible. Mais contre un patou qui me barrerait le chemin, je ferais surement comme raconté : demi-tour en douceur. Et si je me faisais vraiment attaquer, je ferais comme Jacques Louis. -
Que faire contre des chiens agressifs ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean marc FOURNIER dans Discussions Route
Qu'est-ce-que tu veux que j'aille foutre en Belgique? Sait-on jamais, tu iras un jour t'y promener, voire plus. Grenoblois d'origine, je n'aurais jamais imaginé que je me fixerai dans ce pays un jour, et pourtant. Je n'étais justement pas au courant de cette interdiction des bombes lacrymo pendant les premiers mois suivant mon arrivée en Belgique. Quand la plupart des gens à l'endroit où tu t'es fixé parlent la même langue que soi, on a tendance à oublier qu'il s'agit quand même d'un autre pays et donc avec des règles et lois parfois très différentes… et j'avais pris l'habitude depuis des années d'avoir une bombe lacrymogène dans le sac à dos que je trimballais partout avec moi, que ce soit en France ou en Belgique. Résultat je me suis fait interpeller lors d'un contrôle de bagages à la gare du Midi de Bruxelles. Ça a provoqué l'arrivée en secours d'un autre flic accompagné d'un chien policier… Interrogatoire, sermon en bonne et due forme et finalement ils m'ont permis de repartir, ayant vu qu'en tant que Français j'étais de bonne foi puisqu'effectivement ces engins sont en vente libre dans l'Hexagone. Bombe lacrymo confisqué, of course, jamais revue. Ta suggestion de bombe lacrymo/taser ne risque donc pas d'être retenue par les Belges et résidents en Belgique du forum… assez nombreux, du reste. 😛 -
Il y a une dizaine d'années, je faisais du vélo avec un ami sur l'avenue de Tervuren, une longue route mi-urbaine mi-forestière à 2*2 voies entre Bruxelles et Tervuren. J'étais moi sur le trottoir/piste cyclable qui bordait l'avenue. Ce trottoir/piste était fait de dalles dont beaucoup étaient disjointes. L'ami, dissuadé par l'état de la «piste», s'était mis sur la route, à l'asphalte impeccable. Des policiers passant par là en voiture ont stoppé mon ami pour l'enguirlander (sans contredanse heureusement) et le forcer à emprunter la piste. Ils n'en avaient visiblement rien à battre du fait que la route était en bien meilleur état que la piste. Pour info, toute cette portion de l'avenue de Tervuren est en train d'être refaite à neuf, route comme piste. D'après les premières portions rénovées, elle va être (enfin) nickel.
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D'expérience, la différence de turbulences, elle, n'est pas négligeable, entre un camion qui nous dépasse de près et un autre qui nous croise de près. Justement en raison de ces vitesses relatives, j'imagine.
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et toi qui roule à sa rencontre sur la voie de gauche, donc il va passer tout près de toi, bien plus près que si tu étais à droite Je ne vois pas pourquoi. Je pense que l'aspect psychologique joue une rôle non négligeable dans cette appréhension. Comment ça ? Si toi tu es à vélo, que tu es à droite de la voie de droite, et que le camion venant d'en face est sur la voie de gauche (par rapport à toi!), tu es bien plus loin de lui que si tu roulais sur une piste cyclable à gauche de la chaussée.
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Aussi les déplacements d'air. Imagine un camion venant rapidement en face de toi, et toi qui roule à sa rencontre sur la voie de gauche, donc il va passer tout près de toi, bien plus près que si tu étais à droite. Les turbulences sont donc fortement augmentées. Je me suis fait une grosse frayeur sur la nationale entre Wavre et Perwez un jour, sur la piste cyclable bi-directionnelle de cette route, à gauche dans ce sens. J'ai cru que j'allais être éjecté de mon vélo par le passage d'un gros camion à pleine vitesse. Depuis j'évite cette route comme la peste, dans ce sens…
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Ou roulez vous principalement?type de parcours?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques LACROIX dans Discussions Route
En temps normal, la région autour de Bruxelles : forcément la ville elle-même puisque j'y habite, et autour le Brabant flamand et le Brabant wallon, avec parfois quelques pointes en Hainaut nord-oriental. Je me concocte des parcours généralement très bosselés, mais les bosses, même nombreuses, sont juste des collines ne dépassant que très rarement les 100 m de dénivellation. De temps en temps je prends la voiture avec le vélo dans le coffre et je m'en vais faire des excursions dans le Tournaisis et les Ardennes flamandes (même type de relief que le Brabant, en un peu plus prononcé), et ausssi les vraies Ardennes, bien plus vallonnées. En vacances de printemps et d'été je me débrouille pour rentrer une semaine ou deux au bercail familial, la région de Grenoble et ses montagnes. -
S'il y a le panneau rond et bleu habituel placé du côté gauche de la route, face visible par ceux qui roulent côté droit, alors oui, c'est obligatoire comme toutes les autres pistes cyclables. Autrement, non. Il y en a quelques-unes à Bruxelles et en Brabant, de ces pistes à gauche… Entre Uccle et Waterloo sur la N5, par exemple, ou sur la N243 entre Wavre et Thorembais-Saint-Trond (Perwez). Une autre raison pour éviter ces pistes cyclables "à contresens", c'est les déplacements d'air créés par les véhicules qui arrivent en face de nous à haute vitesse et qui passent donc juste à côté de nous. Particulièrement les poids lourds. Ces turbulences sont bien plus gênantes que si ces mêmes véhicules roulaient dans le même sens que nous.
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Amen.
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Si la plupart des sous-vêtements cyclistes prévus pour les saisons moins chaudes sont sombres en effet, ceux que j'ai vus pour l'été sont tous blancs ou clairs. De même que, souvent, les intérieurs de maillots cyclistes. Donc à moins de ne pas utiliser les journaux l'été — et Dieu sait qu'il y en a qui s'en servent dans les descentes de cols ! — c'est un problème. Parce que le journal, mine de rien, ça bave quand même, ce n'est pas respirant du tout et en plus on ne se sent pas forcément transpirer tout de suite. À propos, tous ceux que j'ai vu utiliser le journal, comme moi au début, ne prenaient pas une feuille mais plusieurs, voire carrément le journal entier. J'imagine qu'une seule feuille ne leur suffisait pas, comme pour moi. Mais je suis frileux, je dois dire. Quand à revenir avec c'est le principe : pas besoin de trouver une poubelle sur la route, ni de remettre un bout de papier baveux dans sa poche (ou pire de le jeter sur le bas-côté si on est un gros porc). C'est donc réutilisable à volonté, avec protection bien conçue, windstopper, respirante, près du corps (ça taille vraiment «petit») et avec les bandes réfléchissantes qui sont un gros plus pour la sécurité. Et c'est ridiculement peu encombrant. À chacun de voir si ça justifie un investissement. Moi j'ai investi, en tout cas, et je ne le regrette pas !
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J'ai pris le parti de pérenniser le bon vieux concept du journal protecteur (pour le torse s'entend, pas pour les pieds), avec cette micro-veste. https://www.competitivecyclist.com/assos-sv.emergencyvest Certes bien plus chère qu'un journal mais encore moins encombrante, plus efficace (un journal ça n'est pas vraiment respirant…), réutilisable à volonté et surtout avec des bandes réfléchissantes. Et pas d'encre pour risquer de baver sur les vêtements.
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J'ai de tout petits braquets comme indiqué dans le message juste au dessus, mais j'ai aussi le 48/11 sur mon triple. Ce n'est certes pas indispensable (contrairement aux petits braquets), mais comme Thierry et Michel, j'apprécie de l'avoir au-dessus de 50 km/h, donc dans les descentes, pour pouvoir continuer à pédaler avec une certaine résistance et donc éviter que les muscles se refroidissent. Et tu sens la différence quand au pied d'une descente, même peu longue, tu dois immédiatement réattaquer une montée sèche ! 😬
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En effet, il y en a dont la philosophie est d'adapter le braquet au cycliste, et non l'inverse. Parfois, selon le cycliste, ça implique d'oser sortir des sentiers battus… et de passer outre certains sourires. 😉 Et si on a prévu trop petit, hé bien ce n'est pas grave : on n'a qu'à descendre un ou plusieurs pignons, et une fois rentré on change ses braquets. Par contre, ceux qui ont prévu trop gros, hé bien il n'ont plus qu'à zigzaguer ou descendre de bécane… 😃 Pour ma part, 48-38-26 à l'avant, 11-34 à l'arrière. J'ai définitivement choisi d'adapter mes développements à mes (faibles) capacités cardio-vasculaires et ma (haute) vélocité.
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Les pistes cyclables sont vraiment utiles dès que le trafic est dense. En ville par exemple, ou le long de routes à fort trafic. Encore faut-il qu'elles soient bien conçues. En Belgique, ce sont souvent des trottoirs ou des parties de trottoirs reconvertis en pistes cyclables par un simple coup de peinture, ou des parties de bandes de circulations prises sur la chaussée, sans aucun autre aménagement. Évidemment alors c'est bancal et mal fichu, voire dangereux. La piste cyclable idéale est selon moi séparée de la chaussée, tout en restant incluse dans le trafic : par exemple, le long d'une grande route, elle est séparée de celle-ci par une haie basse (vu en Flandre) ou un petit muret qui bloque les gravillons projetés par les bagnoles. Les voies cyclables complètement indépendantes du trafic, comme les voies vertes en France, le RAVeL en Wallonie et les autoroutes cyclistes en Flandre, sont très agréables (si on fait abstraction des rollers et promeneurs avec chiens tenus en laisse… ou pas…) mais elles ont un effet pervers : celui de nous exclure de la circulation et de faire croire aux automobilistes que la place des cyclistes est seulement sur ces voies-là, et non plus sur les routes normales. Donc nous sommes de plus en plus vus comme des intrus dans le trafic, alors que nous devons absolument parvenir à nous faire considérer comme une composante ordinaire de celui-ci.
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« Le 58, y a rien à voir »… ben si, au moins le Morvan. J'y suis passé un jour en vitesse et j'aimerais y retourner pour visiter plus en détail. 🆒
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Jens Wallays, celui qui arrête, est le frère de Jelle Wallays, ancien vainqueur de Paris-Tours et d'À travers les Flandres, qui lui continue sa carrière.