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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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Que faire contre des chiens agressifs ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean marc FOURNIER dans Discussions Route
Qu'est-ce-que tu veux que j'aille foutre en Belgique? Sait-on jamais, tu iras un jour t'y promener, voire plus. Grenoblois d'origine, je n'aurais jamais imaginé que je me fixerai dans ce pays un jour, et pourtant. Je n'étais justement pas au courant de cette interdiction des bombes lacrymo pendant les premiers mois suivant mon arrivée en Belgique. Quand la plupart des gens à l'endroit où tu t'es fixé parlent la même langue que soi, on a tendance à oublier qu'il s'agit quand même d'un autre pays et donc avec des règles et lois parfois très différentes… et j'avais pris l'habitude depuis des années d'avoir une bombe lacrymogène dans le sac à dos que je trimballais partout avec moi, que ce soit en France ou en Belgique. Résultat je me suis fait interpeller lors d'un contrôle de bagages à la gare du Midi de Bruxelles. Ça a provoqué l'arrivée en secours d'un autre flic accompagné d'un chien policier… Interrogatoire, sermon en bonne et due forme et finalement ils m'ont permis de repartir, ayant vu qu'en tant que Français j'étais de bonne foi puisqu'effectivement ces engins sont en vente libre dans l'Hexagone. Bombe lacrymo confisqué, of course, jamais revue. Ta suggestion de bombe lacrymo/taser ne risque donc pas d'être retenue par les Belges et résidents en Belgique du forum… assez nombreux, du reste. 😛 -
Il y a une dizaine d'années, je faisais du vélo avec un ami sur l'avenue de Tervuren, une longue route mi-urbaine mi-forestière à 2*2 voies entre Bruxelles et Tervuren. J'étais moi sur le trottoir/piste cyclable qui bordait l'avenue. Ce trottoir/piste était fait de dalles dont beaucoup étaient disjointes. L'ami, dissuadé par l'état de la «piste», s'était mis sur la route, à l'asphalte impeccable. Des policiers passant par là en voiture ont stoppé mon ami pour l'enguirlander (sans contredanse heureusement) et le forcer à emprunter la piste. Ils n'en avaient visiblement rien à battre du fait que la route était en bien meilleur état que la piste. Pour info, toute cette portion de l'avenue de Tervuren est en train d'être refaite à neuf, route comme piste. D'après les premières portions rénovées, elle va être (enfin) nickel.
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D'expérience, la différence de turbulences, elle, n'est pas négligeable, entre un camion qui nous dépasse de près et un autre qui nous croise de près. Justement en raison de ces vitesses relatives, j'imagine.
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et toi qui roule à sa rencontre sur la voie de gauche, donc il va passer tout près de toi, bien plus près que si tu étais à droite Je ne vois pas pourquoi. Je pense que l'aspect psychologique joue une rôle non négligeable dans cette appréhension. Comment ça ? Si toi tu es à vélo, que tu es à droite de la voie de droite, et que le camion venant d'en face est sur la voie de gauche (par rapport à toi!), tu es bien plus loin de lui que si tu roulais sur une piste cyclable à gauche de la chaussée.
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Aussi les déplacements d'air. Imagine un camion venant rapidement en face de toi, et toi qui roule à sa rencontre sur la voie de gauche, donc il va passer tout près de toi, bien plus près que si tu étais à droite. Les turbulences sont donc fortement augmentées. Je me suis fait une grosse frayeur sur la nationale entre Wavre et Perwez un jour, sur la piste cyclable bi-directionnelle de cette route, à gauche dans ce sens. J'ai cru que j'allais être éjecté de mon vélo par le passage d'un gros camion à pleine vitesse. Depuis j'évite cette route comme la peste, dans ce sens…
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Ou roulez vous principalement?type de parcours?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques LACROIX dans Discussions Route
En temps normal, la région autour de Bruxelles : forcément la ville elle-même puisque j'y habite, et autour le Brabant flamand et le Brabant wallon, avec parfois quelques pointes en Hainaut nord-oriental. Je me concocte des parcours généralement très bosselés, mais les bosses, même nombreuses, sont juste des collines ne dépassant que très rarement les 100 m de dénivellation. De temps en temps je prends la voiture avec le vélo dans le coffre et je m'en vais faire des excursions dans le Tournaisis et les Ardennes flamandes (même type de relief que le Brabant, en un peu plus prononcé), et ausssi les vraies Ardennes, bien plus vallonnées. En vacances de printemps et d'été je me débrouille pour rentrer une semaine ou deux au bercail familial, la région de Grenoble et ses montagnes. -
S'il y a le panneau rond et bleu habituel placé du côté gauche de la route, face visible par ceux qui roulent côté droit, alors oui, c'est obligatoire comme toutes les autres pistes cyclables. Autrement, non. Il y en a quelques-unes à Bruxelles et en Brabant, de ces pistes à gauche… Entre Uccle et Waterloo sur la N5, par exemple, ou sur la N243 entre Wavre et Thorembais-Saint-Trond (Perwez). Une autre raison pour éviter ces pistes cyclables "à contresens", c'est les déplacements d'air créés par les véhicules qui arrivent en face de nous à haute vitesse et qui passent donc juste à côté de nous. Particulièrement les poids lourds. Ces turbulences sont bien plus gênantes que si ces mêmes véhicules roulaient dans le même sens que nous.
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Amen.
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Si la plupart des sous-vêtements cyclistes prévus pour les saisons moins chaudes sont sombres en effet, ceux que j'ai vus pour l'été sont tous blancs ou clairs. De même que, souvent, les intérieurs de maillots cyclistes. Donc à moins de ne pas utiliser les journaux l'été — et Dieu sait qu'il y en a qui s'en servent dans les descentes de cols ! — c'est un problème. Parce que le journal, mine de rien, ça bave quand même, ce n'est pas respirant du tout et en plus on ne se sent pas forcément transpirer tout de suite. À propos, tous ceux que j'ai vu utiliser le journal, comme moi au début, ne prenaient pas une feuille mais plusieurs, voire carrément le journal entier. J'imagine qu'une seule feuille ne leur suffisait pas, comme pour moi. Mais je suis frileux, je dois dire. Quand à revenir avec c'est le principe : pas besoin de trouver une poubelle sur la route, ni de remettre un bout de papier baveux dans sa poche (ou pire de le jeter sur le bas-côté si on est un gros porc). C'est donc réutilisable à volonté, avec protection bien conçue, windstopper, respirante, près du corps (ça taille vraiment «petit») et avec les bandes réfléchissantes qui sont un gros plus pour la sécurité. Et c'est ridiculement peu encombrant. À chacun de voir si ça justifie un investissement. Moi j'ai investi, en tout cas, et je ne le regrette pas !
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J'ai pris le parti de pérenniser le bon vieux concept du journal protecteur (pour le torse s'entend, pas pour les pieds), avec cette micro-veste. https://www.competitivecyclist.com/assos-sv.emergencyvest Certes bien plus chère qu'un journal mais encore moins encombrante, plus efficace (un journal ça n'est pas vraiment respirant…), réutilisable à volonté et surtout avec des bandes réfléchissantes. Et pas d'encre pour risquer de baver sur les vêtements.
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J'ai de tout petits braquets comme indiqué dans le message juste au dessus, mais j'ai aussi le 48/11 sur mon triple. Ce n'est certes pas indispensable (contrairement aux petits braquets), mais comme Thierry et Michel, j'apprécie de l'avoir au-dessus de 50 km/h, donc dans les descentes, pour pouvoir continuer à pédaler avec une certaine résistance et donc éviter que les muscles se refroidissent. Et tu sens la différence quand au pied d'une descente, même peu longue, tu dois immédiatement réattaquer une montée sèche ! 😬
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En effet, il y en a dont la philosophie est d'adapter le braquet au cycliste, et non l'inverse. Parfois, selon le cycliste, ça implique d'oser sortir des sentiers battus… et de passer outre certains sourires. 😉 Et si on a prévu trop petit, hé bien ce n'est pas grave : on n'a qu'à descendre un ou plusieurs pignons, et une fois rentré on change ses braquets. Par contre, ceux qui ont prévu trop gros, hé bien il n'ont plus qu'à zigzaguer ou descendre de bécane… 😃 Pour ma part, 48-38-26 à l'avant, 11-34 à l'arrière. J'ai définitivement choisi d'adapter mes développements à mes (faibles) capacités cardio-vasculaires et ma (haute) vélocité.
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Les pistes cyclables sont vraiment utiles dès que le trafic est dense. En ville par exemple, ou le long de routes à fort trafic. Encore faut-il qu'elles soient bien conçues. En Belgique, ce sont souvent des trottoirs ou des parties de trottoirs reconvertis en pistes cyclables par un simple coup de peinture, ou des parties de bandes de circulations prises sur la chaussée, sans aucun autre aménagement. Évidemment alors c'est bancal et mal fichu, voire dangereux. La piste cyclable idéale est selon moi séparée de la chaussée, tout en restant incluse dans le trafic : par exemple, le long d'une grande route, elle est séparée de celle-ci par une haie basse (vu en Flandre) ou un petit muret qui bloque les gravillons projetés par les bagnoles. Les voies cyclables complètement indépendantes du trafic, comme les voies vertes en France, le RAVeL en Wallonie et les autoroutes cyclistes en Flandre, sont très agréables (si on fait abstraction des rollers et promeneurs avec chiens tenus en laisse… ou pas…) mais elles ont un effet pervers : celui de nous exclure de la circulation et de faire croire aux automobilistes que la place des cyclistes est seulement sur ces voies-là, et non plus sur les routes normales. Donc nous sommes de plus en plus vus comme des intrus dans le trafic, alors que nous devons absolument parvenir à nous faire considérer comme une composante ordinaire de celui-ci.
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« Le 58, y a rien à voir »… ben si, au moins le Morvan. J'y suis passé un jour en vitesse et j'aimerais y retourner pour visiter plus en détail. 🆒
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Jens Wallays, celui qui arrête, est le frère de Jelle Wallays, ancien vainqueur de Paris-Tours et d'À travers les Flandres, qui lui continue sa carrière.
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Pour Jeannesson, ce n'est pas vraiment une retraite puisqu'il se réoriente vers le cyclo-cross paraît-il. Je reste encore surpris de la retraite de Talansky, c'est vraiment "anticipé" dans son cas…
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Quel temps chez vous ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans L'entrainement et la santé
J'en ai déjà parlé je crois : j'ai voulu tester avec la pointe d'un couteau la robustesse des flancs d'un pneu Conti 4 Seasons monté et gonflé. Je t'assure qu'il ne m'a pas fallu appuyer fort avec le couteau pour le percer ! Je précise à toutes fins utiles que de toutes façons je voulais remplacer ce pneu. 🆒 À vue d'œil, les flancs de ce pneu sont (étaient?) faits de fils tressés, formant un ensemble peu dense et donc fragile. J'avais d'ailleurs vu parfois des fils se défaire spontanément, ça ne me rassurait pas. Mais peut-être ont-ils changé la conception de ces flancs depuis deux ans… -
Quel temps chez vous ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans L'entrainement et la santé
La dernière fois que j'ai eu un problème semblable, mon pneu, un Continental GP 4 Seasons, avait «mordu» un gros caillou qui lui avait déchiré le flanc sur une longueur similaire. Les (certes rares) problèmes que j'ai connus avec les pneus Continental (GP4000 puis GP 4 Seasons) se produisaient presque tous sur les flancs, en fait. Il y a quelques temps ça m'a fait «switcher» pour des Schwalbe Durano plus, aux flancs plus épais, et plus de problèmes à ce niveau. Mais ils adhèrent moins bien à nos routes belges si souvent humides, donc je n'en suis pas forcément sorti gagnant. -
Dernière sortie de l'année hier. 7261 km au total sur mon compteur. L'objectif de cette année (7000 km) est donc largement accompli, et je rempile l'année prochaine pour le même kilométrage. Ça sera certainement plus dur à tenir, vu mon nouvel emploi du temps vraiment pas favorable, mais ça me servira de motivation !
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Trois heures de vélo aujourd'hui dans la Hesbaye brabançonne, du côté de Perwez et Hoegaarden (oui, comme la bière). Pour ne pas changer, temps bien cafardeux qui plombe le moral : gris, froid (6° C), très venteux. Et quelques périodes de crachins pour ne rien arranger. Au passage, j'ai ajouté une nouvelle côte «Cotacol» à mon palmarès, le Kauterhof, à la sortie ouest de Hoegaarden : 1,2 km à 4,4 %, ça n'a l'air de rien, mais quand c'est sur une route pavée, large comme un boulevard et avec le vent pleine face, c'est une autre musique! 📢 C'était ma dernière sortie de l'année : le compteur indique 7261 km au total pour «l'exercice» 2017. Bientôt je mets les voiles, direction Grenoble, pour passer la fin de l'année en famille… et sans vélo.
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Quel temps chez vous ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans L'entrainement et la santé
Un rayon de soleil ? Où ça ? Il a dû se perdre aux Pays-Bas, parce qu'ici en Brabant belge on n'a rien vu ! 🙁 Donc, lors de ma sortie d'aujourd'hui, comme pour les jours et les semaines précédentes, que des nuages, du froid et du vent. Par contre il faisait presque sec, juste un crachin de temps en temps pour entretenir la saleté des routes… -
"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Même tactique. Encore faut-il qu'il y ait cette bande blanche et un espace exploitable derrière elle. Sur certaines routes, l'ensemble est tellement étroit que lorsqu'il n'y a pas de trafic c'est un exercice intéressant que de rouler dessus : ça t'entraîne à rouler droit, si tu n'y arrives pas, tu te retrouves dans le décor, c'est motivant ! 😃 Quand il n'y a pas de marquage du tout, particulièrement sur route étroite, on a le choix entre deux tactiques : soit on serre à droite un maximum et la bagnole derrière vous double — mais en vous frôlant dangereusement parfois — soit on roule sur la moitié droite de la chaussée comme le code nous l'autorise, mais alors les bagnoles derrière ne peuvent pas nous dépasser… ce qui énerve les conducteurs, contribue à notre image d'emm..deurs et peut même dans certains cas pathologiques les conduire à « faire un carton ». Pas de solution miracle donc, s'adapter aux circonstances autant que possible… quitte à carrément s'arrêter un moment pour laisser passer le trafic derrière nous. Le « feeling » est important. -
Si le type de pédale VTT te convient, tu peux toujours en utiliser sur ton vélo de route. Avantages : là aussi, chaussage des deux côtés, facilités pour la marche et cale qui dure ad vitam aeternam (enfin presque). Inconvénient : surface d'appui moindre. Pour ma part, c'est Time VTT sur mon vélo de route depuis des lustres.
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Justement, lisse ou pas, je ne vois pas un pneu tenir mieux qu'un autre sur du véritable verglas. Ou alors on verrait des gens faire du vélo à pneus ordinaires (non cloutés) sur les patinoires… Là où je veux bien croire que le dessin des pneus fasse une différence, c'est sur chaussée humide, et c'est autre chose.
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Ton expérience me surprend. Sur du verglas, l'adhérence est nulle par définition, ou suffisamment proche de zéro pour ne pas faire de différence entre les pneus… sauf s'ils sont cloutés !