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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Sais pas trop comment prendre cette remarque qui paraît bien méprisante à première vue… 😕 mais bon je commence à avoir l'habitude d'être charrié voire dénigré pour mes petits braquets ici. Et puis au moins en n'étant jamais véloce vous ne saurez jamais ce que vous perdez. 😛
  2. Sa cadence est forcément très basse dans la Redoute, mais il avance sacrément bien quand même, plus vite que moi et avec un style en danseuse qui m'a rappelé Cadel Evans dans le Zoncolan 😉
  3. Objectif fixé en début d'année, dépasser les 7000 km, atteint : mon compteur affiche 7047 km après la sortie du jour ! 😄 Peut-être que je pourrai approcher les 8000 km d'ici 2018, mais ça m'étonnerait : la faute à un emploi du temps franchement défavorable à la pratique du vélo pendant la période de l'heure d'hiver. Va probablement me falloir investir dans un éclairage très performant pour pouvoir rouler de nuit dans de bonnes conditions de sécurité.
  4. 93 km aujourd'hui en Ardenne liégeoise en compagnie de Jérémie Laplac et Michel Dury, alias le «Schtroumpf» dont j'ai pu faire enfin la connaissance. 😉 Sortie relativement courte, mais assez intense en raison du froid, d'un vent bien gênant (surtout pour moi l'allergique à Éole📢) et des obstacles pas piqués des vers pour certains : Chambralles et la Redoute notamment, mais aussi la côte de Chession, la longue et belle côte de la Vecquée, les côtes du Maquisard versant sud-est, de Hornay et des Forges versant "terrain de golf". Douleur au genou gauche (au-dessus de la rotule) gênante pour la première partie de la sortie, qui s'est calmée ensuite. Ce n'est pas la première fois que cette douleur me tracasse cette année : elle se signalait régulièrement en début et milieu de saison pour disparaître ces derniers mois. Peut-être à lier au retour du froid et, mine de rien, au vent : bizarrement, elle apparaît d'autant plus facilement que je dois pédaler par vent contraire. Elle est beaucoup moins sensible en côte (voire y disparaît carrément) que sur le plat.
  5. 🆒Grimper à Chamrousse te fera déjà faire dans les 1300 m de dénivellation ! S'il fait trop froid pour aller là-haut, le plus classique est de faire le balcon de Belledonne (route D280). En entier à partir d'Uriage et jusqu'à Allevard, ça doit faire dans les 2000 m de dénivellation… mais tu n'es pas obligé d'aller au bout, et tu peux prendre quelques chemins de traverse au passage, vers Revel, Corps-d'Uriage, Venon…
  6. Cette formule n'est même pas un maximum absolu, après bien des tâtonnements à partir d'elle je suis posé plus haut d'un demi-centimètre. Parfois plus. Parce que j'ai remarqué que ça dépend aussi énormément d'une chose qu'on oublie généralement de prendre en compte : la souplesse de la selle. Et j'ai horreur des selles trop rigides.
  7. Je viens de jeter un œil à ce tracé : a priori il n'est pas entièrement praticable en vélo de route, il vient du sud-ouest alors que la seule route goudronnée menant au Pico Veleta vient de Grenade et de la station de ski de Pradollano, donc du nord-ouest. J'imagine qu'il s'agit de pistes en grande partie donc. Mais à VTT, cyclo-cross (ou peut-être gravel ?), ça devrait être quelque chose à faire ! J'étais monté en famille et en voiture au Pico Veleta en 1992 (ça ne me rajeunit pas) à partir de Grenade. La route était en parfait état jusqu'au sommet, à l'époque. Dommage qu'apparemment ce ne soit plus le cas à partir de Pradollano. De là la circulation serait effectivement réglementée et la route actuellement en mauvais état.
  8. La plus haute route goudronnée des Alpes, sans doute. Mais celle d'Europe est la route du Pico Veleta dans la Sierra Nevada, qui s'arrête à 3367 m. https://fr.wikipedia.org/wiki/Veleta Je ne sais pas si on peut partir du niveau de la mer pour arriver là-haut en montant sans interruption. Le départ traditionnel est à Grenade à 700 m d'altitude environ.
  9. C'est apparemment une île fort montagneuse, à en juger par cette compétition même. Une eau courante issue des montagnes a de bonnes chances d'être saine.
  10. L'année prochaine s'annonce bien plus compliquée que celle-ci question emploi du temps, donc je me garde de me fixer des objectifs absolus. Je verrai le moment venu… Si au mois d'août je suis comme d'habitude en vacances dans ma région d'origine, les Alpes, alors j'aimerais bien faire l'équivalent d'une Marmotte traditionnelle : en partant de Bourg-d'Oisans, grimper la Croix-de-Fer puis le Galibier et s'il me reste suffisamment de force, finir par l'Alpe-d'Huez. Mais je serais déjà content de moi si je devais me contenter des deux premières ascensions, soit l'équivalent d'un «Marmotton».
  11. J'adore calculer les développements. Exemple pratique : quel pignon devrait installer un cyclo équipé d'un pédalier 50-34 et dont la PMA vaut les 60% de celle d'un pro si ce dernier doit mettre 36x28 pour gravir l'Angliru ? 44 !!! Tu disais qu'on pousse trop gros ? Ceci dit, les équipementiers ne nous aident pas beaucoup. Rem : avec son plateau de 26, Franck pourra se contenter de 34 à l'arrière. Je l'ai déjà, ce 34 ! 🆒 Certains pros mettent carrément 34/32 pour grimper l'Angliru ou le Zoncolan: par exemple Contador, et même Chris Horner en 2013 dans l'Angliru, lui qui pourtant était tout sauf un «moulin». Je pense donc qu'il me faudrait plus petit que mon 26/34 habituel pour être «optimal» dans un de ces deux monstres. Un 24 dents à l'avant pour commencer (la denture minimale que mon triple plateau peut accepter). Et peut-être un 36 dents à l'arrière. Avant de me lancer dans l'un de ces deux monstres, j'irais certainement tester le braquet en grimpant la côte de Chalais, près de Grenoble, au moins deux fois de suite. Cette côte présente 6,7 km à presque 11% de moyenne, dont 4 km consécutifs à plus de 12 %, et un long, long passage autour de 18 %. Je l'ai déjà grimpée sur mon habituel 26/34, mais pas plusieurs fois d'affilée, ce qui serait une bonne simulation de la montée de l'Angliru ou du Zoncolan, bien plus longues. https://www.cols-cyclisme.com/chartreuse/france/col-de-chalais-depuis-voreppe-c502.htm
  12. Changer sa façon de pédaler ne porte pas ses fruits du jour au lendemain. L'habitude est une seconde nature, donc si on a passé des dizaines d'années à forcer dans les côtes, ne plus y forcer sera forcément moins rentable au début, et même encore plus tard. D'autant que l'aspect technique n'est pas à négliger non plus : quand on veut gagner en vélocité il faut apprendre à mieux coordonner son pédalage, et ça non plus ne vient pas tout seul. C'est seulement après avoir persévéré, je dirais pendant au moins une saison, qu'on verra si être plus véloce est bénéfique… ou pas. Reste à savoir si on a la patience d'essayer sur une aussi longue période, mais ça c'est à chacun d'y répondre pour soi-même.
  13. C'est un sujet plus difficile qu'il en a l'air : gagner en vélocité ne doit pas être un but en soi, à mon avis. Il faut que ça représente un avantage pour le cycliste concerné. Mais le seul moyen de savoir si gagner en vélocité est un avantage, alors qu'on n'a jamais travaillé la vélocité, c'est de s'y mettre… et de faire le bilan après au moins une saison de travail ! Parce que gagner en vélocité ne vient généralement pas tout seul. Pour ma part je pense que le meilleur moyen de progresser est simplement de se contraindre, lors de nombreuses sorties/séances, à ne jamais forcer. Toujours pédaler «dans du beurre», sans sentir de résistance exagérée de la pédale et ce quelle que soit l'intensité de l'effort. Ce n'est pas si évident que ça, parce qu'il ne faut pas non plus pédaler dans le vide, ce qui est l'excès inverse. Il y a donc un compromis à trouver. Ça implique évidemment de mettre des braquets plus petits qu'avant, pour ne plus avoir à forcer dans les côtes où l'on devait forcer avant… Au début, pédaler de cette façon peut entraîner seulement une hausse modérée de la cadence de pédalage globale, et puis petit à petit, avec le gain en coordination, cette cadence devrait augmenter jusqu'à atteindre son niveau optimal… qui est propre à chaque individu. Et, ça va de soi, il faut s'équiper d'un compteur de cadence pour mesurer ses progrès !
  14. Une chose à faire impérativement avant d'essayer d'être plus véloce en côte : réduire ses braquets… sinon ce n'est même pas la peine d'essayer !
  15. ?
  16. Peut-être font-ils passer le parcours par le tunnel du Galibier ? 😃
  17. Il faudrait voir ce que ta chaussure de VTT a de particulier qui fait que tu n'as pas de douleur, et essayer de retrouver cette particularité dans des chaussures de route ensuite. Je suis d'accord avec Olivier, tu devrais monter les mêmes pédales que celles de ton VTT sur ton vélo route et utiliser ces chaussures low-cost en attendant de trouver une réponse à ton problème. Et tant que tu ne trouves pas, ce ne sera pas la mort que de garder ces pédales et chaussures VTT sur ton vélo de route… pour ma part c'est ce que je fais depuis des années !
  18. D'autant que je pense que l'âge de la victime décédée doit être pris en compte par la justice. Le décédé avait 67 ans. Sa vie était faite en grande partie. Ça n'aurait pas été la même chose pour un enfant. J'ai la nausée…
  19. Peut-être les anciens modèles mais le dos des vestes Bonka actuelles est malheureusement entièrement noir. 🙁 Par contre, elles une marque réfléchissante assez important au niveau de la poche centrale arrière, ce qui compense un peu. Un peu seulement. Les vestes Tiburu actuelles n'ont que l'avant qui soit coloré, leur dos sont toujours entièrement noirs, à part un bien trop mince liséré réfléchissant sur le bas de la veste. En fait Assos n'est pas trop concerné par la sécurité actuellement. Au contraire, avec leurs modèles de vestes «Profblack», qui prennent le pas sur tous les autres modèles de la gamme, ils font sciemment campagne sur le thème Riding under the radar, passer inaperçu !!! https://www.assos.com/en/projects/3963/profblack-collection En termes de visibilité, on ne peut pas faire pire comme concept. Ce qui signifie d'ailleurs que je n'achèterai plus aucune veste chez eux tant qu'ils maintiendront cette tendance. Et ça risque d'être pour longtemps.
  20. J'ai fait encore mieux dans le genre : un jour, en regonflant le pneu j'ai mal placé ma pompe sur la valve et j'ai réussi à tordre l'obus. Je ne pouvais donc plus visser correctement la petite molette de la tête de valve ---> chambre à air fichue. Heureusement que j'en ai toujours deux dans ma sacoche. J'ai une boîte à rustines aussi normalement, mais comme j'ai deux mains droites (je suis gaucher…) je prie pour n'avoir jamais à réparer ainsi une crevaison en cours de route. Je préfère cent fois faire ça au calme chez moi. Heureusement je n'ai jamais crevé plus de deux fois au cours d'une sortie.
  21. Je «plussoie», sauf qu'il me semble que le feu clignotant n'est pas légal, en tout cas en France, donc méfiance en cas de contrôle.
  22. Je vois qu'on est d'accord pour l'essentiel. J'aime bien la sobriété aussi et le noir est également une couleur que j'apprécie. Mais qui a l'énorme inconvénient d'être la couleur la moins visible dès qu'il fait sombre. En fait j'aurais été d'accord avec tout ce que tu as dit s'il n'y avait eu ce passage : Je rêve d'une tenue noire avec un fin liseré jaune ou orange discret et tout en finesse Ce qui est justement la tenue idéale pour ne pas être remarqué par les conducteurs automobiles. Qui plus est, le genre de tenue à la mode actuellement, donc facilement accessible pour une tenue qui fait rêver ! Donc : oui à la sobriété, mais pas au détriment de la visibilité.
  23. M****, ça le reprend !
  24. Un exemple de maillot cycliste que je possède, que je trouve sobre et élégant, cher mais que j'ai eu à prix réduit, et qui me va impeccablement… mais que je regrette presque d'avoir acheté en raison de son manque de visibilité : l'Assos Campionissimo. http://bit.ly/2x6n4Cu Son problème est que l'avant est entièrement noir à part une manche, une seule, qui est rouge. Aux intersections j'ai remarqué que certains conducteurs venant en face ou de côté ne me remarquaient pas… ça a fini par me faire peur. Heureusement, le plus important, l'arrière du maillot est blanc en grande partie, et a un logo et un liséré réfléchissant… mais quand même trop discrets à mon goût. Bref, si c'était à refaire, j'achèterais autre chose. En attendant je ne l'utilise qu'en été et par temps clair. Complété d'un gilet léger, voyant et réfléchissant, quand je pars de bon matin ou que je rentre tard.
  25. Il est Belge et roule en club belge. 🆒
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