-
Compteur de contenus
16 051 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
83
Type de contenu
Forums
Galeries photos
Calendrier
Articles
Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
-
Vacances Mai/Août 2019
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Romain VIX dans L'entrainement et la santé
Hélas, tu peux rayer le col du Coq de cette liste : sur ce versant la route est fermée depuis l'année dernière, pour une durée indéterminée, suite à un éboulement de grande ampleur. 😢 Saint-Laurent-du-Pont, tu l'atteins en effet en descendant de Saint-Pierre. Dans le temps, on pouvait obliquer à gauche un peu avant d'arriver à Saint-Laurent-du-Pont et grimper au col de la Charmette, mais la route (magnifique) est fermée à toute circulation un peu plus haut, amende salée à la clef. Mais de Saint-Laurent-du-Pont tu peux toujours aller au col de la Placette (montée très facile sur ce versant), ou au col des Mille Martyrs, bien plus long. Pas très loin, après les Echelles, direction Chambéry il y a le col de Coux, puis le col des Egaux pour repasser en Chartreuse. -
Vent debout et autres caprices d'Eole
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Michel DURY dans Discussions Route
Quand on sort seul, prendre le vent dans le pif au début c'est la base surtout en hiver; Certes, mais la base n'est pas toujours applicable, du moins si je souhaite éviter un stress pire encore : comme j'habite à l'est de Bruxelles et que les vents dominants sont de secteur ouest, prendre le vent dans le pif au début de ma sortie m'obligerait en général à me taper le centre-ville. 😃 Je plains aussi ceux qui habitent en bord de mer, si le vent vient du large ! 😕 -
Aujourd'hui, nombre indéterminé de kilomètres (oublié de réinitialiser mon compteur), mais ça devait être de l'ordre de la quarantaine, dans l'est de Bruxelles. Peu de sensations. Pour le seul créneau horaire qui m'était possible cette semaine, il fallait que ce soit pendant le retour du mauvais temps. Donc, ciel très sombre et plusieurs crachins, température en baisse sensible par rapport à l'invraisemblable temps printanier de ces dernières semaine. Retour vers la normale, donc ! Dernière sortie avant un bon bout de temps : dans deux jours, je pars en vacances pour faire du ski (alpin) en famille, et je n'emmène pas le vélo. Même si en Grenoblois digne de ce nom je me débrouille bien en ski, je ne suis pas trop fan de ce sport en fait. Mais ma fille si, donc… 🆒
-
Vent debout et autres caprices d'Eole
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Michel DURY dans Discussions Route
Petite nuance : nous voyons la route s'élever devant nous alors que le vent est invisible, ça joue psychologiquement. C'est justement cette nuance qui, à mon sens, fait que j'ai beaucoup plus de mal avec le vent qu'avec la pente, qu'on peut prévoir et évaluer bien plus facilement et correctement. «Le vent est un méchant», titre d'un bouquin de Cesbron, que je n'ai pas lu, mais ce titre résume assez bien ma pensée. J'ai passé les 28 premières années de ma vie dans une vallée encadrée par trois massifs montagneux qui l'abritent des vents dominants. C'est dire qu'Eole n'a jamais été qu'une préoccupation très secondaire pour moi en tant que cycliste pendant toute cette période où je me suis initié au vélo au long cours… Mais depuis que je vis en Belgique, ça a changé, bien sûr. Malgré toutes les astuces dont parle Michel, et que je connais moi-même pour la plupart, le vent reste essentiellement imprévisible et donc un obstacle bien moins facilement gérable que la pente. Les prévisions météo, les éoliennes, les grues de chantier, les oiseaux, tout ça ne sont que des éléments généraux qui ne peuvent rendre compte précisément d'un phénomène météorologique éminemment capricieux. Quand on le prend en pleine tronche de façon bien sensible et régulière, passe encore, c'est chiant mais tu t'adaptes en conséquence et assez facilement, comme pour une pente qui augmente : tu baisses le braquet, tu t'aplatis sur le guidon, prends ton mal en patience, et tu t'en sors comme cela. Mais ce sournois souffle parfois de façon parfaitement insensible et c'est là que tu ne comprends pas pourquoi tu roules 5 km/h moins vite que d'habitude, et alors tu te mets à gamberger. Et il peut varier d'intensité d'une minute à l'autre, voire d'une seconde à l'autre, souffle souvent en rafales sans prévenir, change parfois de direction au cours de la sortie, veut te projeter au milieu de la route quand tu passes devant un espace vide entre deux haies ou deux rangées de maison qui t'abritaient… C'est un vicieux, je vous dis. Et donc moi je m'en protège… en l'évitant le plus possible : en roulant au maximum dans les creux de vallées. Même si celles-ci sont peu profondes comme au milieu des monts du Brabant, c'est déjà un abri assez conséquent. Et quand je dois l'affronter, hé bien je fais le gros dos, littéralement : mains en bas du guidon, à mon rythme (et pas à celui du copain de sortie s'il est bien plus puissant que moi au point de me faire mal même dans sa roue) et braquet diminué. Et j'attends que ça passe… -
Ta bonté te perdra un jour, Michel ! Pour mes déplacements utilitaires à Grenoble j'avais un panier comme ça, en plus gros encore, il doit prendre la poussière dans la cave de mes parents actuellement… Et quand je partais randonner dans les montagnes alentours, le guidon de mon vélo était serti d'une volumineuse sacoche, de marque Klickfix, très proche en concept et volume de celle pointé par le lien ci-dessous… J'ai même fait le BRA avec, Galibier + Mollard + Croix-de-fer. https://www.lecyclo.com/velo/transport/sacoche/guidon/sacoche-de-guidon-etanche-klickfix-ultima.html Avec une méga-sacoche de ce genre, j'avais de quoi stocker tout ce que je voulais pour mes longs périples montagnards. Le jour du BRA, j'avais même mis un pneu de rechange dedans, échaudé que j'étais par un pneu explosé lors des semaines précédentes… souvenirs souvenirs de l'époque où j'étais jeune, beau et fort, encore moins soucieux que maintenant du poids superflu que je pouvais trimbaler sur mon vélo ! 🆒
-
Sortie de 67 km à travers les bosses brabançonnes, par le temps ensoleillé assez bizarre qu'il fait actuellement. Temps qui pose un problème pratique d'ailleurs : on part le matin à 5° et on revient quelques heures plus tard à 20°, avec les poches du maillot aux coutures prêtes à craquer, à cause des jambières, coupe-vent, bonnet, gants longs et surchaussures qu'on a dû enlever en cours de route !
-
Je précise : le hameau dit «Trieu» serait celui formé par les deux ou trois maisons-fermes situées tout juste au pied de la côte, soit une toute petite partie de Russeignies, en dehors du centre du village de Russeignies même. De fait, toute la côte de Trieu est effectivement wallonne, seul le sommet se situe en Flandre. Michel Wuyts et José De Cauwer, les commentateurs flamands de la VRT, parlent d'ailleurs plus volontiers de «côte de Trieu» que du «Knokteberg» lorsqu'ils évoquent cette côte, j'ai remarqué. S'il y a un versant flamand à cette côte, on peut en fait dire que c'est le Vieux (ou le Nouveau) Kwaremont… dont le sommet est situé à un jet de pierre de celui de la côte de Trieu. On peut joindre ce sommet à celui du mont de l'Enclus en suivant une piste en terre en bon état appelée Vierschaar, qui longe la ligne de crête, ce que j'ai fait une ou deux fois avec mon vélo de route. C'est dire si elle est praticable. Du moins par temps sec ! Quant à l'ascension du mont de l'Enclus, il y en a plusieurs, partant d'Amougies, Orroir ou Ruien, et de fait elles sont toutes plus longues que la côte de Trieu… mais seulement si on les prolonge jusqu'au véritable sommet du mont de l'Enclus (Kluisberg), à 140 m environ d'altitude. Celui-ci est situé nettement plus haut que le sommet où passent les coureurs, et n'est accessible que par une route très étroite, en boucle à sens unique, appelée Torendreef côté flamand et « Enclus du Haut» côté wallon. Route bien trop étroite pour un peloton. Quant à l'enchaînement Kaperij-D'Hoppe dont tu parles, si j'ai bonne mémoire la version cyclo du Grand Prix E3 l'emprunte, mais dans l'autre sens, après avoir gravi la côte du bois de la Houppe versant Flobecq. Un endroit qui a un air très ardennais, je trouve, je peux comprendre qu'il te plaise! 😉 Evoquer tout cela donne fortement envie à l'ancien Tournaisien que je suis de retourner dans le coin… peut-être lors du prochain Grand Prix E3 cyclo, d'ailleurs !
-
Oups, erreur de destination, je voulais répondre à Eric.
-
Parmi les côtes : Le Bourliquet, La côte des Trieux (Knochteberg), Vieux Kwaremont, Paterberg, Koppenberg, Mur de Grammont, Bosberg, bois de St Marcoult. Plus d'autres non-repertoriées; pas mal de vent au retour. 190 km si tôt dans la saison et sur un terrain pareil ! Ça laisse rêveur. Petit pinaillage : c'est la côte de Trieu, in 't Vlaams Knokteberg. 😉 Une de mes côtes favorites de la région. Trieu serait le nom du tout petit hameau au pied de la côte. Je ne sais pas d'où vient le nom flamand. C'est de quel côté, le bois de Saint-Marcoult ? C'est la seule côte que je ne connais pas dans la liste.
-
Mardi, sortie très courte (15 km) en soirée, «à la lanterne», dans les environs immédiats de mon quartier de Bruxelles. Juste pour me détendre après une période de boulot très, très pénible… Aujourd'hui, sortie plus conséquente (30 km), en cours d'après-midi, que j'ai généralement libre le jeudi. Balade du côté de Zaventem et de son aéroport. Toujours ce temps étonnament printanier ! Vivement dimanche, ma prochaine occasion de sortie.
-
Bien sûr, je suis d'accord : si on roule en club, on cherche à suivre les copains, et donc forcément on va en ch..., surtout au début. Et à la longue, ça fait progresser. Pour certains, comme toi et bien d'autres ici, c'est l'essence même de leur pratique. Mais rien n'oblige à rouler en club, rien n'oblige en fait à se comparer aux autres, et en fait rien n'oblige à en baver. Même en montée. C'est ce que je tiens à signaler ici, et à rappeler aussi souvent que nécessaire : la souffrance à vélo n'a rien d'une fatalité, même en montagne, même dans un mur, et ce grâce à des braquets adaptés, hélas rarement installés par défaut. Il y en a ici, peut-être plus que tu le penses, qui ne tiennent pas à souffrir (et en tout cas pas sur commande), qui ne cherchent même pas forcément à progresser; ils cherchent juste à se faire plaisir, sans aucun souci de comparaison avec autrui, sans pression d'aucune sorte. C'est souvent mon cas, tu l'as très bien compris. Mais c'est pour cela que je me hérisse dès qu'on sous-entend qu'il faut en baver un minimum, en particulier pour grimper, et je tiens à rappeler que c'est faux. Le vélo ne devrait être difficile que si on le souhaite. Quand on roule dans un club sportif comme le tien, on doit s'attendre à en baver, puisqu'il faudra suivre un rythme qui n'est pas forcément le sien. Pourquoi pas, si on savait à quoi s'attendre dès le début. Mais qu'on ne vienne plus dire que c'est une obligation incontournable, surtout pour ceux qui n'ont aucune contrainte "sociale" de ce genre.
-
Je préfère monter à 70 tours minutes à 12 kms/h que de passer deux fois plus de temps dans la pente à 110 tours minutes. Si c'est à moi que tu faisais référence, tu m'as mal lu. J'ai bien écrit que je tourne à 60-70 tours/minutes quand je grimpe à un rythme ultra-cool, et jusqu'à 110 tours/minutes quand je grimpe à fond la caisse. Et surtout pas le contraire ! Idéalement, plus l'effort est intense, plus la cadence est élevée. C'est une constatation que j'ai souvent faite, et je l'ai vue confirmée par plusieurs livres/études sur le sujet. Mais au final, les sensations décident, et c'est en effet très personnel.
-
Choix gants courts vélo route
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Philippe JULIEN dans Le matos
Ça c'est bon pour un Franc-Comtois, pas pour un type normal ! 😃 -
C'est pourtant ainsi : la dépense d'énergie colossale dont tu parles n'est plus grand'chose si on la divise en tout petits morceaux, aussi petits que ton développement minimal en fait… et alors tu passe l'ensemble les doigts dans le nez. Quitte à y mettre plus de temps. C'est du même ordre d'idée que ce que Descartes préconisait, pour résoudre un problème : de le diviser en parties aussi petites que nécessaire pour les résoudre. Et ça, ce n'est pas évident : la tendance instinctive de l'homo cyclistus face à la pente est de se rebeller et de vouloir la passer le plus vite possible. Plus vite que le copain, en tout cas. Te connaissant, tu es plutôt dans ce genre-là, d'ailleurs. 😉 Mais si tu acceptes mentalement de prendre ton temps, de devenir mentalement piéton en fait, et donc mettre un braquet aussi petit que nécessaire, alors que ce soit pour grimper la Redoute ou la Bastille de Grenoble, grimper l'un ou l'autre ne te paraîtra pas plus difficile que de le faire à pied. Et tu iras pourtant plus vite qu'à pied, contrairement à ce qu'on entend souvent dire : un piéton, dans ce genre de pentes, il va à 2 ou 3 km/h, toi environ deux fois plus vite… surtout si le piéton pousse son vélo, en plus ! 😃 Éventuellement, tu auras un problème technique, du genre éviter de cabrer ta roue avant si le pourcentage dépasse 30 % :-) Mais rien d'autre. Tu n'as qu'à essayer. Prends un VTT à genre 24/36 comme braquet minimal, et va grimper le Smeysberg avec ce braquet, par exemple. Sans tricher, hein : n'essaie pas de battre ton record d'ascension ni d'aller plus vite que le cycliste d'à côté, mais juste de passer l'obstacle à ton aise. L'indice c'est que tu ne dois pas plus souffler que si tu roulais sur le plat. Et tu verras. Je parle en connaissance de cause, puisque moi j'ai vu. 🆒 Avec mon 24/34, je grimpe ce talus, qui présente un bon 15 % sur ses 300 m les plus pentus (avec une pointe à 18%), autour de 6 km/h, en tournant les jambes confortablement, à 60-70 tours/minutes. Et je suis certain de pouvoir durer une bonne heure à ce rythme sans me fatiguer plus que sur le plat, si c'était nécessaire, parce que je ne suis pas plus essouflé que si je grimpais un de mes cols alpins favoris. Evidemment, il faut accepter mentalement de grimper à 6 km/h… et c'est là que le bât blesse pour beaucoup. Ils ont, du moins au début, l'impression de « ne pas avancer », de « faire du surplace ». Mais ce n'est qu'une impression, et il faut être capable de la prendre pour ce qu'elle est : une illusion. Si j'ai envie d'y aller à fond, alors j'essaie de ne pas descendre en dessous de 10 km/h dans ce Smeysberg, et quand je suis en forme j'y arrive. Mais alors je tourne les jambes bien plus vite, à 90-100 tours/minutes, et sur un braquet moins petit, 24/26 ou 24/30. Et j'arrive au sommet bien éprouvé. Mais c'est parce que je l'ai bien voulu. Ce n'est pas la pente qui en a décidé, mais moi-même.
-
parce qu'en 9 vitesses et 30 x 25 c'est largement suffisant si t'as quelques milliers de bornes, avec le dénivelé qui va bien... Hé non, 30/25 n'est pas suffisant pour tout le monde, et certainement pas pour moi, même avec l'entrainement kivabien. Par ailleurs, tout le monde n'a pas le temps de faire ces milliers de bornes, et ce n'est pas une raison pour se priver de montagne si on a envie d'en faire. La parade est alors de grimper plus lentement… avec des braquets aussi petits que nécessaire. Quand j'étais grenoblois, je grimpais des cols de plus de 1000 m de dénivellation avec 0 km d'entraînement dans les jambes. Le pris à payer était de grimper avec deux à quatre dents de plus à l'arrière que d'habitude, mais j'avais la marge qu'il fallait. Si je m'étais contenté des braquets du commerce, évidemment cela n'aurait pas été possible. Les vrais braquets qui vont bien sont ceux qui vous font grimper sans plus vous fatiguer que sur le plat.
-
… avec un bon vent de sud ouest qui réchauffe l'atmosphère. 😲😲😲 Donc ce vent-là te réchauffe, toi. Et t'es pas le seul, je viens encore d'en croiser dans la rue en T-shirt, à Bruxelles… Mais alors pourquoi à moi ce même vent me fait l'effet inverse ??? Et que j'ai un pull-over sur une chemise et la grosse veste par-dessus tout ça ? Des fois je me dis que je vis au milieu d'extra-terrestres dont on trouve les racines de la population au fin fond du Groenland. Ou alors en fait, c'est moi l'extra-terrestre. 🤐
-
Ce n'est pas qu'une affaire de poids quand il s'agit de savoir avec quel développement on se sent à l'aise ;-) La preuve, je pèse 64 kg pour 178 cm et j'ai un 24/34 à l'arrière… en triple bien sûr. La contrainte avec ce 34 dents à l'arrière (dans mon cas une cassette 10 pignons 11-34 venue du VTT), c'est qu'il faut presque impérativement monter un dérailleur arrière de type VTT également, question de capacité. Les dérailleurs arrière VTT Shimano prévus pour 9 pignons, genre Alivio, Deore ou Deore XT (mon choix actuel) feront l'affaire pour Philippe, et ils conviennent également aux cassettes 10 pignons puisqu'ils sont compatibles avec les leviers Shimano route 10 vitesses (même ratio de tirage). Prévoir une molette de réglage de tension au cadre pour le Deore XT, celui-ci n'en ayant pas lui-même.
-
Choix gants courts vélo route
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Philippe JULIEN dans Le matos
J'ai justement les gants été Assos S7 (taille L) et je trouve justement que la paume n'est pas bien épaisse, en plus de ne pas être répartie sur toute la paume, seulement à certains endroits. Même si ces gants sont de bonne qualité globale et qu'ils se font complètement oublier s'il fait chaud, je me fais du souci sur la protection en cas de chute, et donc j'envisage d'en changer. C'est surtout pour cela que je mets des gants : pour ne pas que la moindre chute transforme la paume de mes mains en gruyère râpé... j'ai déjà vécu ça et je n'ai pas envie de renouveler l'expérience. -
Ça vous rend complètement fous, tu veux dire ! Incroyable ce qu'un peu de beau temps provoque chez les Belges. Et vas-y qu'on installe les bancs et les transats devant les portes ou dans les parcs, que les gens sortent en short et T-shirt (qu'il fasse 15° ou 25°), et c'est tout juste si les filles ne se baladent pas seins nus ! 😲
-
Maillot obligatoire
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Maurice JAUFFRET dans Les évènements route
Et si ça caille ou s'il pleut, ils fournissent aussi des vestes aux couleurs de la cyclo ? 🙄 -
Ça m'étonne que personne ne l'ait encore évoqué ici, l'histoire me paraît pourtant assez remarquable ! La version junior de Paris-Roubaix aurait pu ne pas avoir lieu cette année, par manque de moyens financiers, si le vainqueur de l'épreuve pro en 2015, John Degenkolb, n'avait pas pris l'initiative d'un «crowfunding». Et ça a marché ! Les détails dans l'article ci-dessous. https://cyclismerevue.be/2019/02/17/john-degenkolb-sauve-paris-roubaix-juniors/
-
75 km dans le sud-ouest de Bruxelles, avec au passage les 45 km de la « route Herman Teirlinck » (Herman Teirlinckroute), circuit balisé pour cyclistes portant le nom d'un poète flamand qui a résidé dans le coin, à Beersel. Magnifique parcours bien vallonné, mais sur certains secteurs plus digne d'un circuit pour «graveleux» que pour routiers (Jérémie Laplac, c'est typiquement un circuit pour toi, même si c'est du côté de Bruxelles 😉). Pour les routiers, c'est donc faisable mais seulement par temps sec, comme aujourd'hui (temps magnifique, jusqu'à 22° au soleil, un peu gâché par un vent très sensible de secteur sud-ouest). Par endroits, vu l'état de la chaussée ou de la piste, il vaut quand même mieux mettre pied à terre, mais heureusement ce n'est pas fréquent. Un descriptif du circuit, en néerlandais seulement, mais avec de très belles photos : http://fietsknooppunten.blogspot.com/2007/03/herman-teirlinckroute.html Le plan du circuit pour ceux qui seraient intéressés, au format PDF: http://www.visitbeersel.be/download.ashx?id=1310
-
Comme si les fabuleuses routes locales n'étaient pas assez piégeuses en elles-mêmes, il faut encore que les chantiers en rajoutent. 😕 Ça va mieux aujourd'hui ? C'était où, d'ailleurs ? Que j'évite le secteur si je passe dans le coin !
-
Fichtre ! Un seul bidon, même grand, pour plus de 4 h de vélo bien sportif ! Je serais mort de soif en cours de route, si j'avais été à ta place.
-
Une petite vingtaine de km à la sauvette cet après-midi, au sud de Bruxelles, en grande partie dans la belle forêt de Soignes. Temps splendide, avec une température digne du printemps (15°). Pourvu que ça dure.