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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Quel est ce choix indispensable ? Normalement c'est l'affaire d'un clic de souris, sur le bouton «Download», et c'est parti…
  2. Ben ça fait justement partie de ces circonstances où on n'a pas le luxe de pouvoir anticiper, comme je l'ai dit… 😬
  3. Combien de cyclistes équipés en disque sortent leur vélo lorsqu'il pleut? Il y a moi, au moins. 🆒 Remarque, je sortais aussi sous la flotte quand j'avais des freins à patins… Les freins qui ne répondent plus sous la pluie, j'ai donc connu aussi : ces longues secondes où on actionne les freins sans que le vélo ralentisse d'un poil, ça marque !! 😬 Il y a une technique à prendre dans ces circonstances : anticiper chaque véritable freinage en faisant «lécher» les jantes par les patins, ce qui permet d'évacuer le gros de l'eau sur les jantes avant le freinage véritable… mais toujours nettement moins performant que sur le sec. Avec les disques, je suis bien content de ne plus avoir à appliquer cette technique, et pour un freinage quasiment aussi efficace que sur le sec. D'autant qu'on n'a pas toujours le luxe de pouvoir anticiper.
  4. Tout événement «de masse» est interdit en Belgique jusqu'au 31 août compris, y compris les randonnées cyclistes telles qu'on en avait l'habitude. Ensuite, elles pourront avoir lieu… a priori. Par exemple, Liège-Bastogne-Liège Challenge pourrait être organisée le samedi 3 octobre, la veille de la course pro. Mais ce n'est pas encore confirmé officiellement, et qui sait s'il n'y aura pas une résurgence de la pandémie pour tout flanquer en l'air à nouveau…
  5. Je pourrais parcourir à peu près les 2/3 du parcours les yeux fermés. Pour le tiers restant (essentiellement la portion qui va du sommet de la côte d'Hives jusqu'au pied du mur de la Vélomédiane, et quelques autres portions plus courtes), la mémoire que j'en ai est beaucoup moins précise. Dans ces parties-là, une carte du parcours ou un GPS me seraient encore utile. Peut-être irai-je faire une petite reconnaissance dès dimanche : je compte aller en Ardenne ce jour-là mais je n'ai pas encore décidé où exactement.
  6. Alors alors alors, ça donne quoi ?
  7. Je n'ai pas de GPS non plus et pas de compte Strava qui plus est. Autant faire le parcours tel que je me rappelle à mon propre rythme et sans pression…
  8. Même dans la vie courante on ne perçoit pas toujours les tentatives d'humour les plus évidentes a priori. Alors sur un forum web… Tiens, je profite de ce message pour réparer un oubli et ajouter à ma rubrique «curiosités touristiques» de mes sorties le «Moulin Banal» de Braine-le-Château. https://nl.wikipedia.org/wiki/Kasteelbrakel#/media/Bestand:Braine-le-Château_JPG02.jpg On peut s'offrir cette bien agréable petite vision à remonter le temps juste avant de s'attaquer à la côte de la rue Sainte-Croix, à Braine-le-Château, qui cumule pavés et passages raides. Ce serait la côte la plus ardue de tout le Brabant, d'après Cotacol (les pavés y sont pour beaucoup). Le Moulin Banal est juste à son pied. https://www.climbbybike.com/fr/ascension/cote-sainte-croix/630
  9. Dans certains passages, j'ai dit ! Les passages en question ne faisaient que quelques dizaines de mètres, et les côtes complètes rarement plus de 800 m. Certaines côtes étaient d'ailleurs suffisamment courtes pour que je les avale à une intensité proche du sprint (la rue du Mystère en particulier, 250 m environ). Les deux côtes les plus longues approchaient les 2 km mais tournaient autour de 4%-5%. De façon générale, les côtes brabançonnes ne doivent pas être considérées à la même échelle que les côtes suisses, je pensais d'ailleurs que c'était évident pour quelqu'un de calé comme toi. Les côtes bretonnes seraient un élément de comparaison bien plus valable. 😉 Par contre, si dimanche prochain je peux faire un saut dans les Ardennes et y accumuler les ascensions, mes vitesses ascensionnelles seront certainement assez révélatrices de ce qu'elles seraient dans les Alpes.
  10. Difficile de te répondre de façon précise, puisque ça dépend forcément de la pente de la côte et de sa longueur ! Pour donner une idée, je monte généralement le col du Coq, près de Grenoble (12,7 km à 8,6 % de moyenne), de difficulté comparable à celle de l'Alpe d'Huez, à une vitesse moyenne de 10 km/h, et comme je l'ai déjà dit, à une fréquence de pédalage variant généralement autour de 85 tours/minutes. De toutes façons, rien ne t'oblige à mouliner si tu ne le souhaites pas 😉. Si tu as monté un petit braquet éventuellement trop petit pour toi, rien ne t'empêche de mettre plus gros en baissant les dents tout en roulant. Par contre, si tu as prévu trop gros… hé bien tu n'as plus qu'à forcer comme un malade, ou à mettre pied à terre. Le problème serait plutôt que les braquets habituels des groupes standards obligent pas mal de cyclistes à pédaler en force, même ceux qui ne le souhaitent pas.
  11. Ça devrait le faire sans problème. J'ai très longtemps roulé en 10 vitesses avec un dérailleur avant Tiagra triple (commandé par un levier 105) et un pédalier Spécialités TA, un Carmina comme l'actuel. De préférence, les plateaux doivent être des Spécialités TA tous les trois (pas de mix entre plusieurs marques) et ne pas avoir d'écart supérieur à 12 dents entre deux plateaux consécutifs. Tu trouveras peut-être le changement de plateaux moins fluide qu'avec des plateaux Shimano d'origine (comme les dentures de ceux-ci sont fixes, ils sont taillés pour fonctionner très précisément les uns avec les autres, contrairement à des plateaux personnalisables dont on choisit soi-même les dentures), mais il ne devrait y avoir aucun véritable problème pour faire passer la chaîne de l'un à l'autre.
  12. Il y a moyen d'avoir un triple en 11 vitesses qui fonctionne de façon fiable, mais il faut oser sortir des sentiers battus. J'ai acheté mon vélo actuel, un Lynskey titane, en occasion à Jérémie Laplac, un autre membre du forum. Il l'avait déjà monté pour son usage en triple plateau Spécialités TA Carmina 46-34-24 (plateaux prévus pour 9 et 10 vitesses mais parfaitement compatibles 11 vitesses), dérailleur avant Ultegra triple (celui du groupe 10 vitesses), et dérailleur arrière Shimano Deore XT 11 vitesses associé bien sûr à une cassette 11 vitesses, 11-34 dans mon cas. Le tout associé à des shifters Gevenalle adaptés, très semblables à des manettes au cadre mais fixés en embout des cocottes, un bon compromis niveau ergonomie. Gevenalle est une marque américaine, dont on ne trouve malheureusement pas les produits à tous les coins de rue et qui sont souvent en rupture de stock, vu que la demande dépasse souvent leur offre ! https://www.gevenalle.com Une alternative qui me semble faisable est de dénicher un levier gauche Shimano Ultegra (ou 105, ou Tiagra…) prévu pour triple, et un levier Shimano 11 vitesses à droite combiné bien sûr à un dérailleur arrière de la même marque (à chape conséquente). Certes les cocottes sont alors dépareillées, mais elles ne doivent pas l'être tant que ça. Mais je n'ai pas eu l'occasion de me lancer dans ce montage, et donc de tester. Ma plus grande surprise a été de constater que le pédalier Spécialités TA Carmina est parfaitement compatible avec la chaîne 11 vitesses (que ce soit Shimano ou KMC). Ça passe comme une fleur ! Le nerf de la guerre reste de trouver un dérailleur avant compatible triple qui soit fiable et durable. Ils se font malheureusement rares. Le modèle Ultegra 10 vitesses semble très fiable, c'est ce qui est utilisé donc sur mon vélo actuel, et sur mon ancien vélo (en 10 vitesses).
  13. Je pense, oui. C'est un site de téléchargement de logiciels, open source pour la plupart, avec lequel je n'ai jamais eu de problèmes, et pourtant j'ai téléchargé un paquet de logiciels sur ce site.
  14. Pour qu'ensuite tu puisses plus facilement me larguer dans les bosses ? 😃 Cause toujours ! 🆒
  15. 85 km cet après-midi, dans la partie la plus vallonnée du Brabant, au sud-ouest de Bruxelles, le secteur couvert par les communes de Beersel, Hal, Ittre et Braine-le-Château. Le but était de me préparer aussi bien que possible pour une éventuelle sortie ardennaise le prochain week-end. Donc, profusion de côtes les plus difficiles possibles, forcément toujours courtes (maxi 2 km) vu que le secteur varie grosso modo entre 20 m et 120 m d'altitude… mais il y en a de joliment raides, comme le Bruine Put à Dworp ou la rue Sainte-Croix et la rue du Drabe à Braine-le-Château. Retour à Bruxelles en passant là aussi par sa côte la plus difficile, la rue du Mystère à Forest. Très bonne sensations pour mon niveau : malgré les pentes qui approchaient les 20% dans certains passages (dans la rue Sainte-Croix et la rue du Drabe) je n'ai jamais eu à passer mon plus petit braquet (24/34) et je ne suis jamais descendu en dessous de 9 km/h d'après mon compteur. Dans le Bruine Put, versant Dworp pour ceux qui connaissent, comme dans la rue du Mystère à Forest, qui me servent souvent de repère, je suis resté au-dessus de 11 km/h en permanence, ce qui est aussi un signe d'excellente forme pour moi, d'autant plus que c'était dans la dernière partie du parcours. Pourvu que ça dure jusqu'aux vacances, si je pars chez mes parents dans les Alpes…
  16. De fait, je suis plus véloce que costaud, tournant les jambes autour de 85 tours/minutes en montée de col. Et donc, j'ai adapté mes braquets à mon cas… personnel. 🆒
  17. Je pèse 62 kg en poids de forme pour 178 cm et même quand j'avais 35 ans je ne passais pas partout avec un braquet du genre 36/28. C'était déjà le genre de braquets qui aurait pu me faire mettre pied à terre dans un long col alpin à plus de 8 % de moyenne. Il me fallait au mieux un 30/26 (équivalent à 32/28) dans ces circonstances, que j'ai longtemps utilisé lorsque j'habitais Grenoble et que je dévorais les cols des environs à quasiment chaque sortie. Quand aux raidards, n'en parlons même pas. Ou plutôt si, juste pour dire que j'ai mis pied à terre deux fois dans la Bastille de Grenoble (2 km à 15% de moyenne) avec ce 30/26. Il m'a fallu monter un 30/28 pour y arriver sans devenir piéton au passage, et finalement, après d'autres tentatives, 28/30 pour y être enfin (relativement) à l'aise. J'avais 28 ans et le même gabarit qu'actuellement. Aujourd'hui, à 48 ans j'ai 24/34 pour ce genre de joyeusetés. Alors, quand on dit qu'on «passe partout» avec tel ou tel braquet, ça me fait sourire à chaque fois. Oui, c'est personnel, tellement personnel qu'on ne peut même pas dire qu'un gars entraîné de 35 ans et 70 kg, voire nettement moins, passe facilement partout avec un 36/28 !
  18. Ça a l'air bien costaud en effet, mais curieusement elle ne figure pas dans l'encyclopédie Cotacol. D'après elle, ce serait la rue du Laveu (que je ne connais pas, je l'avoue 😃) qui serait la terreur pavée de Liège: https://www.climbbybike.com/nl/beklimming/Rue-du-Laveu/1008 Une édition du Liège-Bastogne-Liège Challenge (2015 ?) nous faisait prendre une de ces rues pavées en début de parcours, mais en descente. Je crois que c'était la rue Naimette. C'était la débandade chez les cyclistes qui m'entouraient à ce moment et qui visiblement n'avaient pas prévu de se faire secouer comme ça ! 😆
  19. ? GPXsee, du moins sur Mac OS X, est une application autonome qui ouvre les fichiers GPX comme des documents «normaux» : on double-clique dessus (si on a spécifié GPXsee comme application par défaut pour ouvrir ce type de fichier) ou on fait glisser le fichier sur l'image de l'application contenue dans le «Doc». 😉
  20. Si c'est d'un lecteur de fichiers GPX dont tu as besoin, et non pas d'un téléchargeur (normalement un fichier GPX se télécharge comme n'importe quel autre fichier!), il y a GPXsee, logiciel libre multi-plate-forme dont Mac OS X. Rudimentaire, mais ça marche: https://www.gpxsee.org
  21. Je suis d'accord, à condition de pouvoir reproduire sa position habituelle sur ce vélo de location. Si on a un gabarit hors-normes, un vélo permettant cela sera plus difficile à trouver.
  22. On devrait imposer à tout Français cycliste voulant s'installer en Belgique le test ultime d'intégration : accomplir à vélo un parcours typiquement local imposé par les autorités. Comme ça, on trie le bon grain de l'ivraie : ceux qui survivent, c'est que leur amour de la Belgique est capable de résister à tout ! 😃 En Flandre, ça pourrait être un des circuits thématiques du Tour des Flandres : celui empruntant le Vieux Kwaremont, le Paterberg et le Koppenberg, par exemple. Pavés et routes bétonnées à gogo. Un détour par le Beau-Site de Saint-Sauveur, wallon mais voisin, sera ajouté pour corser encore le menu. Ceux qui s'installent à Bruxelles et environs devront parcourir la Brabantse Pijl Cycling Route que j'ai présentée plusieurs fois ici, corsée de quelques joyeusetés supplémentaires que je me charge de fournir, en immigré exemplaire. 😇 Là aussi, raidards, béton et pavés en suffisance. Pour les Wallons en devenir, Jérémie serait chargé de concocter un circuit ardennais mastoc comme il faut, avec les atrocités dont il a fait son quotidien. La côte qu'il emprunte tous les jours pour rentrer chez lui sera un passage obligé. Bien sûr, quelques montées légendaires devraient en faire partie, comme la Redoute, ou Stockeu, mais les surprises ne devront pas manquer. Un mur pavé liégeois, par exemple… 🆒 Un bonus conséquent serait accordé à l'impétrant si le parcours est effectué par un temps typiquement belge, c'est-à-dire sous la pluie et avec un vent suffisamment fort (force 3 Beaufort au minimum).
  23. Moi aussi je reste sourd aux arguments du 34 : envers et contre tout, je resterai fidèle à mon plateau de 24 ! 😃 (En fait si, j'ai un 34. C'est mon plateau… médian. Triple plateau 46-34-24. Le meilleur des mondes. 🆒)
  24. Quand on habite dans un pays tout plat, il n'y a qu'un moyen de recréer un tant soit peu les résistance à l'avancement des longues montées, c'est chercher le plus possible à rouler vent de face. Seul(e), bien sûr ! Il paraît que les coureurs néerlandais du temps jadis (quand les coureurs n'allaient pas encore en stage dans les Canaries ou les Baléares lors de la morte saison), s'entraînaient chez eux pour la montagne en allant rouler vent de face avec les impers déployés. Quand on a une idée du vent qui souffle généralement sur les Pays-Bas, on réalise ce que représente une telle séance d'entrainement ! 😬 Avec un traitement de ce genre, on ne se forge peut-être pas des jambes de grimpeurs, mais certainement un mental en béton, ce qui est au moins aussi important !
  25. Puisque je dois toujours me répéter, je me répète et puis je laisse tomber : je ne suis pas sur Strava, je n'ai pas l'intention de m'y inscrire (en tout cas ce ne sera pas pour uniquement suivre les sorties de quelqu'un) et tout ce que je vois sur Eric Hennuy, en me connectant à Strava via Facebook, c'est ça: https://www.strava.com/athletes/4668744 Je n'ai pas accès à à ses sorties, par exemple. Je te crois sur parole quand tu dis qu'il roule énormément en Belgique. Mais il roule, ou au minimum roulait, régulièrement (c'est peut-être plus juste que «souvent») en France, comme ses interventions dans les rubriques «Votre sortie du jour» en témoignaient.
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