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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Ce n'est pas nouveau. En fait ça a toujours été comme ça : il y a ceux qui grimpent à un rythme régulier, avec pas ou peu de relances, comme moi (d'ailleurs je me mets rarement en danseuse et jamais longtemps), et ceux qui au contraire affectionnent les relances et les changements de rythme. Il semble qu'en ce moment, malheureusement pour les amateurs de régularité, les cassettes de montagne 12 pignons proposées à la vente conviennent surtout à ceux qui aiment changer de rythme. Très bien pour eux, mais le problème est le manque de choix : les autres n'ont pas grand'chose qui leur convient comme cassette… 🙁
  2. Ça m'avait échappé… Je laisse parler les maths à nouveau. Pour varier un peu, j'ai calculé les pourcentages d'augmentation relative des braquets, du plus petit au plus grand. Ainsi, lorsqu'on passe du 34 au 29 dents, l'augmentation relative du braquet/développement est de 17,2 % (arrondi au dixième). Pour fournir des éléments de comparaison : une cassette bien étagée, pour moi, comme pour Rohloff ou Pinion avec leurs systèmes à vitesses intégrées, présente des pourcentages d'augmentation relative à peu près constants entre deux rapports. 13,6 % pour Rohloff, 11,5 % pour Pinion. L'étagement du boîtier Pinion est considéré comme idéal par tous ses utilisateurs, certains utilisateurs du Rohloff trouvent le leur un peu trop large. En pratique ça signifie que la cadence d'un utilisateur du boîtier Pinion diminue de 9 tours environ quand il passe au rapport supérieur, et que celui d'un Rohloff diminue de 11 tours environ. Pour la cassette dont tu parles, voici les pourcentages d'augmentation (tableau Excel): Pignon 1Pignon 2Pourcentage 342917,2292516252213,6221915,8191711,817166,316156,715147,114137,713128,312119,1 On voit que cette cassette présente trois sauts brutaux qui risquent d'être délicats à gérer en terrain vallonné ou en montagne : celui entre les 34 et 29, entre les 29 et 25 et entre les 22 et 19 dents. En compensation, les petites et moyennes dentures sont idéalement étagées (jusqu'au 17 dents du moins). Typiquement une cassette pour habitués de la plaine qui font des excursions plutôt rares en montagne ou en terrain très vallonné façon Ardenne. Un habitué de la grimpe comme moi préférerait probablement l'étagement suivant, qui diminue les écarts entre les grandes dentures: 11-12-13-14-15-17-19-21-23-26-30-34 Tableau des pourcentages d'augmentation de cette cassette, où on constate logiquement des pourcentages un peu plus réguliers que l'autre cassette, concernant les plus grands pignons: Pignon 1Pignon 2Pourcentage 343013,3302615,426231323219,5211910,5191711,8171513,315147,114137,713128,312119,1
  3. Ou tout simplement une pente qui augmente brusquement ! 😛 D'un autre côté, je ne connais de cassettes dans le marché qui proposent ce passage direct du 26 au 32, même pas les cassettes 12 pignons départ 10 dents genre 10-50 si mal étagées par ailleurs. Généralement l'étagement est du genre 24-28-32 ou 25-28-32, donc le problème ne se pose pas en pratique.
  4. Non, ce n'est pas forcément de l'inconscience (du moins si le portable est bien chargé et surtout si la personne que tu appelles est disposée à venir te chercher sans trop râler ! 😃). Par contre tu risques d'être sacrément frustré de devoir interrompre ta sortie, alors que tu aurais pu la poursuivre si tu avais ce boyau de rechange. Mais c'est à toi de voir si le jeu en vaut la chandelle.
  5. La meilleure de mesurer cet écart relatif est de les calculer en pourcentages de diminution du développement. Ce pourcentage, idéalement, est le plus constant possible. Le calcul est facile à faire. Quand on passe du 11 au 12 dents, le braquet (et le développement) diminuera de (1/11-1/12)/(1/11)= 8,3 % (j'arrondis au dixième, comme pour la suite). Dans le calcul précédent, vous pouvez remplacer les 1 par la dentitition du plateau (34 par exemple), ce sera peut-être plus lisible, car vous aurez les braquets: (34/11-34/12)/(34/11) Mais le résultat sera le même de toutes façons, par simplification. De l'autre côté, quand on passe du 26 au 32 dents, le pourcentage relatif de diminution est de (1/26-1/32)/(1/26) = 18,7 %. Pourcentage supérieur de plus du double ! Donc clairement on ressentirait une baisse relative bien plus importante en passant du 26 au 32… alors que la baisse absolue du braquet et donc du développement sera pourtant à peu près la même qu'en passant du 11 au 12. En terme de développement: (34/11-34/12)*2.1 = 0,54 m (34/26-34/32)*2.1 = 0.51 m J'espère ne pas avoir été trop obscur !
  6. Je me rends d'autant plus compte de ce que tu traverses que mon père est également en pleine chimiothérapie en ce moment, sa troisième d'affilée. À 76 ans, c'est physiquement très dur à supporter, mais il en veut toujours. Je crois que sans son moral en acier trempé il serait déjà parti. L'essentiel est justement là : garder le moral. Il faut tout faire pour sortir du tunnel, et en premier lieu croire en ses chances.
  7. De retour en Belgique depuis deux jours, et sortie de 115 km aujourd'hui par un temps presque parfait : soleil, 20°-25° de température… mais malheureusement un peu trop de vent à mon goût, comme il fallait s'y attendre. Le but de la sortie était d'aller refaire les 98 km (99 selon mon compteur) de l'itinéraire cycliste balisé « Brabantse Pijl Cycling Route », la route cycliste de la Flèche brabançonne, qui passe à 8 km de chez moi. Pour rappel, le parcours s'inspire de la semi-classique pro «Flèche brabançonne», dont il emprunte la plupart des difficultés. Je remets ci-dessous le descriptif (en français) et le plan du parcours en PDF : https://www.toerismevlaamsbrabant.be/fr/producten/fietsen/fietsproducten/brabantse-pijl-cycling-route/index.html https://www.toerismevlaamsbrabant.be/fr/Images/brabantse-pijlroute_tcm267-144782.pdf Je voulais savoir où j'en étais question forme après mon séjour à Grenoble. Hé bien, le bilan est plus que positif : pour la première fois de ma vie de cycliste, pour autant que je me souvienne, j'aurais roulé à plus de 25 km/h de moyenne sur un parcours de plus de trois heures. Plus précisément, j'ai effectué les 99 km et les 1080 m de dénivellation en 3 h 56 min, soit une moyenne de 25,1 km/h, et à une cadence de pédalage moyenne de 95 tours/minutes (autre record perso). Et ce malgré les raidards comme le Smeysberg et la Moskesstraat, les secteurs pavés et les portions vent de face qui parsemaient le parcours. 😄 Mes sorties en montagne ont donc payé, même si je n'avais pas pu en faire autant que je l'aurais souhaité ! 🆒
  8. Tu devrais t'entraîner un peu plus sur petit braquet : tu verras, on s'y habitue très bien. Pour ma part le morceau de bravoure de ma sortie du jour aura été la montée au «Pré du Fourneau» dans le massif de Belledonne, à 1130 m d'altitude. Montée effectuée à partir de Lancey à 230 m d'altitude : 900 m de dénivellation donc, en 10 km tout rond d'après Google Maps, donc 9 % de moyenne. Et ça va te plaire, il y a un kilomètre entier à… 13,5 % de moyenne. 🆒 Montée totale effectuée en 62 minutes. Pour le kilomètre à 13,5 %, le compteur aura tourné autour des 7—7,5 km/h, avec la chaîne tout à gauche bien sûr, 24/34, soit une cadence variant autour de 80 tours/minutes. Un luxe appréciable dans des pentes pareilles ! Au «Pré du Fourneau», c'est la fin du goudron. Une piste caillouteuse de 2 km environ, en mauvais état mais (limite) praticable avec mes pneus de 28, prend le relais, en pente montante douce d'abord puis en courte descente plus pentue, jusqu'au col de Pré-long à 1180 m d'altitude, où on retrouve le bitume. Belle descente sur Saint-Mury, sur la route du Balcon de Belledonne, où j'ai poursuivi ma route en passant par le col des Mouilles et le col du Lautaret (rien à voir avec le grand col bien connu), tout deux autour de 1000 m d'altitude. Retour dans la vallée ensuite. Au total, une belle sortie de 3 h environ, la dernière de ces vacances chez mes parents à Grenoble.
  9. aujourd'hui, le col du Coq, en Chartreuse, versant Saint-Nazaire-les-Eymes: altitude 1434 m, 12,7 km de montée à 8,6 % de moyenne, 1100 m de dénivellation du pied au sommet (données Altitgraph). Le tout effectué selon mon compteur en 87 minutes, Correction: en 78 minutes, en fait. Je fais pas mal de fautes de frappe en ce moment… et c'est pas la faute du vélo, j'ai bien moins l'occasion d'en faire que je le voudrais. Enfin bon, je vais pouvoir quand même sortir tout-à-l'heure, sur deux ou trois heures.
  10. J'utilise des pneus, mais j'ai eu une blague analogue avec une chambre à air de rechange, quand j'ai voulu l'utiliser après une crevaison. Ben elle était percée aussi, cette chambre… très probablement par un des autres trucs que je trimballe dans ma sacoche de selle. Heureusement, j'ai généralement deux chambres à air de rechange avec moi, et que la deuxième n'était pas percée, elle. Depuis je les enveloppe dans des sachets plastiques, pas trop fins.
  11. Beau récit, on s'y croirait ! tu me donnes à la fois envie de visiter la région et de faire ce brevet un jour. Je ne savais pas qu'un tel ratio dénivelé - distance était possible dans cette zone.
  12. Toujours dans les environs de Grenoble, ascension de mon col préféré aujourd'hui, le col du Coq, en Chartreuse, versant Saint-Nazaire-les-Eymes: altitude 1434 m, 12,7 km de montée à 8,6 % de moyenne, 1100 m de dénivellation du pied au sommet (données Altitgraph). Le tout effectué selon mon compteur en 87 minutes, à une vitesse moyenne de 10 km/h et à une cadence moyenne de 86 tours/minutes. https://www.cols-cyclisme.com/chartreuse/france/col-du-coq-depuis-saint-nazaire-les-eymes-c913.htm Fort contingent de bagnoles pleines de promeneurs voulant faire en ce jour férié la randonnée qui va du col du Coq jusqu'au sommet de la Dent de Crolles, un des plus haut sommets du massif de la Chartreuse à 2062 m d'altitude. Ce qui est particulier dans cette randonnée, c'est qu'on en voit tout l'itinéraire depuis le point de départ, légèrement en contrebas du col. https://www.trace-ta-route.com/randonnee-chartreuse-dent-de-crolles-boucle/ Paradoxalement, alors que j'ai habité longtemps tout près et que j'ai grimpé le col du Coq un nombre incalculable de fois à vélo, je n'ai jamais fait cette randonnée pédestre. Une lacune à rattraper un de ces jours… Redescente par le même versant ensuite. Première partie de cette descente piégeuse à souhait car la route a été gravillonnée (grrr…) suffisamment récemment pour laisser des tas de gravillons bien traîtres dans les virages. J'ai dû pendant longtemps rester derrière une bagnole immatriculée 51 dont le conducteur, toujours sur les freins et qui prenait les virages à droite à l'extérieur (!!!) devrait d'urgence reprendre des cours de conduite… 😕 Dès qu'une ligne droite s'est profilée, j'ai piqué un sprint pour le doubler et le larguer le plus vite possible. À part ça tout s'est bien passé.
  13. Les cocottes de mes leviers (TRP Hylex) sont particulières puisqu'elles n'incorporent pas le mécanisme de changement de vitesses, placé à l'extérieur des leviers. https://www.gevenalle.com/product/hydraulic/ Et pourtant ces cocottes déjà sont suffisamment longues pour qu'on puisse les empoigner à pleine main, avec des mains de taille normale. Il faut en tenir compte pour le choix de sa longueur de potence.
  14. Belle sortie de 4 h aujourd'hui, je n'imaginais même pas avoir le loisir de sortir aussi longtemps pendant cette période. 😄 Direction la station de ski de Chamrousse, par son accès partant d'Uriage-les-Bains et passant par Prémol et le col du Luitel. 18,3 km à 7,1 % de moyenne d'après Altigraph, soit 1340 m de dénivellation pour aboutir à 1735 m d'altitude. Le tout effectué en un temps moyen pour moi de 96 minutes, longtemps gêné par une douleur au fessier droit, puis une autre au genou gauche. Heureusement ça s'est calmé dans les derniers kilomètres. Cadence de pédalage moyenne de 87 tours/min. J'aurais aimé monté là-haut par le versant le plus raide, celui de Séchilienne, mais l'année dernière, à la même époque, tout la montée de Séchilienne jusqu'au Luitel était gravillonnée. Chat échaudé craint l'eau froide, surtout après mes déconvenues d'il y a trois jours ! Je me suis donc dit que j'avais moins de risque à prendre l'un des deux autres versants, bien plus fréquentés, de la montée vers la station. Temps magnifique et température assez douce, vent sensible et contraire sur la fin. À l'approche de la station et à la station même, vues splendides sur le Vercors et le Trièves avec au loin le Mont Aiguille et sa forme si particulière. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Aiguille Une fois passé le sommet traditionnel de la côte (où j'ai noté le temps de montée), à la mairie de Chamrousse, j'ai rajouté deux kilomètres supplémentaires, effectués tout tranquillement, pour monter au « col de Chamrousse », le point le plus haut de la station accessible par route goudronnée, à 1795 m d'altitude. Ça n'a strictement rien d'un col géographique, et l'endroit même n'est pas particulièrement attrayant par rapport au sommet traditionnel, mais c'est certainement l'altitude maximale qu'on puisse atteindre dans les environs immédiats de Grenoble en restant sur le goudron. Pour finir, descente rapide par l'accès nord de Chamrousse, crochet sur Corps-d'Uriage puis Revel (avec la «côte du cimetière», connue et redoutée des locaux), et retour dans le Grésivaudan.
  15. J'en sais rien, et je m'en moque à vrai dire : moi je suis passé aux disques mais je suis resté fidèle au triple plateau. À chacun son conservatisme ! Le poids de ma bécane n'est pas mon souci prioritaire. Avec mes 62 kg tout mouillé pour 178 cm je suis déjà assez léger comme ça ! 🆒 Si je dois passer au mono-plateau un jour, alors ce sera pour un moyeu ou un boîtier de pédalier à vitesses intégrées, genre moyeu Rohloff (14 vitesses) ou boîtier Pinion (18 vitesses). Au moins la ligne de chaîne (ou de courroie de transmission) ne sera pas un souci, l'entretien sera réduit à presque rien, et l'étagement sera correct.
  16. Moi je pense qu'il devrait rouler avec trois vélos à pignon fixe : un pour le plat, un deuxième pour les montées et un troisième pour les descentes. 🆒 Sa dulcinée serait chargée de le suivre en voiture lors de ses sorties pour lui fournir le vélo adéquat selon le profil du terrain qui se présente. 😃
  17. J'y ai pensé le week-end dernier lorsque je suis allé dans le Vercors voir de la famille. Nous sommes passés par la côte de Saint-Nizier, que le Tour va également emprunter cette année. Ils étaient en train de refaire de fond en comble la route de la descente de Saint-Nizier vers Lans-en-Vercors, d'où des feux de travaux pour circulation à sens unique à plusieurs endroits. Quand il s'agit du passage du Tour, les autorités locales ne se contentent plus de retaper les routes à grand jets de gravillons… 🙄
  18. Dans un certain «plat pays» que je ne citerai pas, il pleut beaucoup, et certains cyclistes que je ne nommerai pas doivent sortir même quand il pleut pour maintenir un niveau d'entrainement correct, car contrairement à d'autres cyclistes que je n'évoquerai pas, ils n'ont que des plages horaires très rigides pour sortir. Ces cyclistes-là sont donc assez souvent victimes de sévères saucées lors desquelles les freins à patins freinent moins bien voire pas du tout parfois, les patins s'usent à vitesse V (grand v) et les jantes se creusent. Et ces cyclistes-là bénissent les freins à disques qui permettent de freiner de façon optimale par tous les temps, et dont les plaquettes s'usent certes parfois aussi vite que les patins mais néanmoins n'usent pas les jantes mais de bêtes disques bon marché et simples à remplacer. Et puis même un habitant de plat pays peut de temps à autre faire une excursion sur sa bécane favorite dans un pays beaucoup moins plat. Je pense avoir bien résumé la problématique d'un certain habitant de plat pays pour qui les disques sont un progrès particulièrement notable. 🆒
  19. Pour la commande, c'est toi-même, si j'ai bonne mémoire, qui m'avais parlé des leviers Cinq-Shift R-Road développé pour moyeu Rohloff et freins TRP : https://cinq.de/en/shifting-technology/360/shift-r-road-for-rohloff Ça te permettrai d'éviter d'utiliser du Sram, en tout cas ! 🆒 J'aimerais bien avoir un retour d'expérience sur ces leviers, d'ailleurs, je n'en ai pas trouvé pour le web. Enfin, s'agissant de la rotation des pédales, ce ne serait pas systématique, et dans le cas où ça se produit ça pourrait se traiter, d'après Rohloff (avis à prendre avec des pincettes donc): https://www.rohloff.de/en/service/handbook/faqs (voir la FAQ: Crank rotation while pushing).
  20. le nombre de copains et cyclistes qui se plaignent du bruit des plaquettes .....a savoir que les disques chauffent beaucoup lors des grosses descentes il y a comme un "voile" i lfaut attendre que cela refroidisse Tous ces problèmes, je les connais et je les ai expérimentés aussi (et résolus pour la plupart), sur mon vélo acheté d'occasion l'année dernière et qui date en fait de 2015. Mais cela ne gêne guère la pratique en elle-même, et apparemment les freins à disques actuels ont fait depuis beaucoup de progrès sur les vélos de route, entre autres grâce aux axes traversants. Jean Guy disait récemment que les vélos haut de gamme récents montés en freins à disques qu'il testait ne faisaient plus aucun bruit. Un peu de patience, ces progrès redescendront jusqu'au bas de gamme, si ce n'est déjà fait. a savoir aussi l'étrier ou se loge les plaquettes il y a du jeux Alors ça par contre j'ai du mal à me le représenter. Un jeu à quel niveau ? Si l'étrier est bien serré sur sa fixation il ne va pas bouger d'un poil. Par contre le disque peut bouger, lui, si l'ensemble fourche-axe-moyeu (ou cadre-axe-moyeu) n'est pas assez rigide. Si j'ai bien compris, c'est tout l'intérêt des axes traversants, qui augmentent cette rigidité.
  21. Avec des roues ordinaires (diamètre 2,1 m), Je m'aperçois après coup avoir écrit une énormité (si mes élèves voyaient ça… 😳), donc rectification : 2,1 m, ce n'est pas le diamètre, mais la circonférence de la roue, quand on a des pneus de 25 ou équivalent. Les calculs qui avaient suivi restent valables.
  22. Je crois que tu es mûr pour un Rohloff… 😇
  23. Désolé si le terme «bourrin» te vexe, ce n'était pas le but. C'est une question de comportement face à la pente, pas de valeur personnelle ni d'intelligence. Certains préfèrent s'attaquer à la pente bille en tête et gros braquets, d'autres y vont avec prudence et modulent leur effort autant que possible. On trouve cette différence de comportement à tout niveau dans le vélo, même chez les meilleurs. J'assimilerais un Valverde (au contraire d'un Pinot ou d'un Froome) à un bourrin par exemple, vu les énormes braquets qu'il emmène. Lui ne serait pas gêné par un mono-plateau, je crois ! Ça n'enlève rien à son niveau cycliste, il a le palmarès qu'on sait. Et cela n'a rien à voir avec sa personnalité par ailleurs.
  24. 2 dents d'écarts cela doit faire 5trs maxi de différence ..... Tu rigoles ? Suppose que tu roules à 35 km/h. Avec des roues ordinaires (diamètre 2,1 m), sur le 42/14 ça te fera rouler à environ 93 tours/minutes, sur le 42/12 ça te fait tourner à environ 80 tours/minutes, soit 13 tours d'écart. Par contre si tu avais un 13 dents, passer du 42/14 au 42/13 ne ferait qu'un peu moins de 7 tours d'écart. Se rappeler que deux dents d'écarts entre deux petits pignons, ce n'est pas du tout la même chose que deux dents d'écart entre deux grands pignons.
  25. Comme tu l'as dit toi-même, même le mono-vitesse peut être performant, ce n'est pas pour ça qu'on va le recommander pour un cycliste lambda qui va pédaler sur tout type de terrain. 😃
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