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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Pour lever tout malentendu et pour ceux qui ne connaissent pas les deux lascars en question, Eric Hennuy et Jérémie Laplac : ils sont tellement forts que nous suivre est pour eux une véritable épreuve… de patience. C'est pour cela que je parlais d'« astreinte » !
  2. Bon ben le message précédent le prouve, tu as raison, il se défile encore, le lâche. Dire qu'il préfère les plages et les calamars grillés aux côtes ardennaises, ça situe ses priorités ! 😝 Par contre, on sera pour ainsi dire à un jet de pierre de chez Jérémie, peut-être sera-t-il de la partie, lui. Et peut-être Eric aussi? (Dans les deux cas, s'ils viennent, mieux vaudra les laisser filer devant, à moins qu'ils s'astreignent à nous suivre…).
  3. Je viens de faire un tour sur le site de Liège-Bastogne-Liège Challenge: https://www.sport.be/lblcyclo/fr/ En regardant les parcours proposés, j'ai remarqué deux nouveautés parmi d'autres : le départ et l'arrivée se feront à Banneux, au sud de Liège, près de Remouchamps, et non plus à Liège même (l'année dernière c'était déjà déplacé, mais à Angleur) et surtout le Stockeu figure maintenant aussi au menu de la distance intermédiaire de 147 km. https://climbfinder.com/fr/montees/stockeu Normalement, ce ne sera que le premier kilomètre du profil ci-dessus qui sera parcouru, mais c'est de loin la partie la plus raide. Michel, Thierry, avec la Redoute et la Roche-aux-Faucons, ça vous fait une raison supplémentaire d'affûter vos plus petits braquets !😉 Autre modif : la dernière côte du parcours (toutes distances comprises) est celle de Cortil, qui était la première côte l'année dernière. La Roche-aux-faucons sera cette fois-ci l'avant-dernière. Plus question de s'y donner à fond, par conséquent. Cette côte de Cortil n'est pas très pentue, mais elle est assez longue, et donc largement suffisante pour qu'elle fasse très mal si on est déjà bien entamé…
  4. Tu ne crois pas si bien dire ! Je n'ai pas changé mes cadences de pédalage mais j'ai tiré plus gros que d'habitude dans ces bosses, pour les grimper à plus forte intensité. Toujours avec LBL Challenge en tête. Résultat, les crampes sont apparues en fin de parcours. Mais mieux vaut avoir des crampes à l'entraînement que le jour J. 😎
  5. Azraël, mon gros matou, viens ici ! Je vais t'emmener voir un ami en Hesbaye brabançonne, tu vas voir, tu vas l'adorer !
  6. Oui, j'ai mon vélo à disques. Quant au dénivelé, je ne suis pas équipé pour le mesurer. Puisque le balcon de Belledonne a lui seul fait dans les 1500 m de dénivelé en 60 km d'après le site que j'ai pointé plus haut, et compte tenu des autres ascensions de mon parcours, je dois avoir fait dans les 2000 m aujourd'hui.
  7. 97 km aujourd'hui, avec au menu les quelques 60 km du Balcon de Belledonne et son profil ultra-torturé, dans le sens Allevard-Uriage, avec quelques variantes pour corser encore le parcours : montée au col du Barioz non pas par Saint-Pierre-d'Allevard mais par Salles-le-Haut (variante plus courte et donc plus pentue), et une fois le Balcon terminé, descente non pas sur Uriage mais sur Murianette, par Venon et Le Japin, ce qui rajoutait encore quelques méchantes petites bosses au passage. Présentation et tracé (standard) du Balcon : https://www.alpes4ever.com/france/isere/les-plus-de-1000-m/balcon-de-belledonne/ J'ai fini bien entamé et avec des crampes aux deux cuisses, ce qui est souvent mon lot dans ce genre de parcours truffé de bosses en tout genre. Je préfère de loin les longues ascensions régulières, et à part le col du Barioz à l'entame du parcours, le Balcon n'en propose pas. Ceci dit, c'est une bonne simulation d'un parcours ardennais, et j'ai toujours Liège-Bastogne-Liège Challenge en tête pour fin avril… Rayon anecdotes : je me suis fait courser par un chien dans la montée du col du Barioz. Belle poussée d'adrénaline… et sprint effréné ! 😮 Heureusement il n'a pas insisté et mes mollets sont restés intacts.
  8. Robustesse, durabilité et résistance aux intempéries. Mais quand ça finit par s'user, il faut tout refaire, et ça coûte très cher. Raison pour laquelle les autorités belges les font souvent durer bien au-delà de l'acceptable, surtout en Wallonie où les budgets sont serrés. Pour ne rien arranger, le réseau routier belge est un des plus denses du monde. Tu as dû forcément t'en apercevoir pendant ta randonnée flandrienne: des routes, il y en a un peu partout et elles partent dans tous les sens, même en «campagne». Ce qui fait aussi un nombre faramineux de routes à rénover…
  9. (Bis) Tu peux garder les pneus de 25 comme le font les pros. Ce n'est pas parce que les disques permettent de monter de plus grosses sections de pneus que c'est obligatoire.
  10. Faudra que tu me cites les endroits où ces qualificatifs injurieux de «nuls», «ignares», «rétrogrades», sont sortis. Pas de moi, c'est sûr. Moi je me souviens d'un « gugusses » tout récent qui venait de toi-même. Mais à vrai dire, je ne te prends plus guère au sérieux sur ce sujet-ci, tu es dans la provocation pure depuis quelques temps déjà.
  11. Et au juste, quels braquets avais-tu ?
  12. Moi, je trouve que l'agressivité vient de l'autre côté. Je n'ai jamais vu des réactions aussi exacerbées, aussi extrêmes, aussi passionnées, vis-à-vis d'un changement sur nos vélos, que celles vis-à-vis des freins à disques. Et ça m'interpelle à chaque fois. Des réticences face à ce changement, d'accord, mais pourquoi tant de haine ? On continue à faire du vélo comme avant, il me semble ? Si ce n'est avec un meilleur freinage, 300 à 600 g de plus, et des jantes qui dureront autant que le vélo, mais au-delà, qu'est-ce qui change ?
  13. Bravo ! Quelle volonté ! Moi aussi d'ailleurs je lutte souvent contre les crampes dans les épreuves belges (que ce soit en Flandre ou en Wallonie). C'est à mon avis les points communs de leurs types de parcours qui veulent ça : toujours haché, irrégulier, truffé de bosses plus ou moins longues, et donc des changements de rythmes incessants qui font mal aux jambes. J'espère que ton récit va faire envie à Michel, Thierry et les autres Belges anti-pavés de ce forum. 😇
  14. Ma façon de freiner a légèrement changé, en effet: mes freinages sont plus brefs et plus puissants. Mais ma position pour freiner n'a pas changé: grosso modo, je fais comme tu le décris (ce qui dans mon cas est facilité par ma position de base, déjà très reculée) et je ne me suis jamais senti en danger de basculer vers l'avant.
  15. Et pour rebondir sur ce témoignage, hier je suis monté la Bastille de Grenoble et ses pourcentages faramineux, et surtout je l'ai redescendue, du même côté (pas le choix, en fait), avec mon vélo à disques. Cette route faisait aussi peur aux cyclistes, sinon plus, dans le sens de la descente que dans l'autre. Je dis «faisait» parce qu'avec l'avènement des disques, ce ne sera probablement plus le cas. Quelle différence avec mes anciens vélos à freins sur jantes, lorsqu'on dévale des pourcentages pareils… https://climbfinder.com/fr/montees/bastille-de-grenoble
  16. Un VAE ou un vélo à changement de vitesse électrique ? (ou les deux ?)
  17. Et sinon, pour toi c'était comment samedi le Paterberg ? Et tout le reste ? Qu'on parle enfin vraiment de vélo !
  18. Après les freins à disques et les freins à tambours, pour continuer dans la même veine musicale: les Freins À Cymbales.
  19. 47 km cet après-midi, quand il faisait moins froid (11°) que ce matin, ce qui a permis à pas mal de neige de fondre entre-temps, et à moi de grimper à la Bastille de Grenoble comme point d'orgue d'une sortie globalement plate… par ailleurs ! https://climbfinder.com/fr/montees/bastille-de-grenoble Il restait quand même quelques petites plaques de neige au sommet (500 m d'altitude), mais rien de gênant. Et la route elle-même était complètement sèche. Sensations pas fameuses, mais déjà bien content de grimper ce talus pour ma première sortie grenobloise. Edit : en repartant du sommet, j'ai pris une petite photo de la stèle en l'honneur de Thierry Claveyrolat, « l'Aigle de Vizille », meilleur grimpeur du Tour de France 1990 et vainqueur à la Bastille dans une étape du Critérium du Dauphiné Libéré, décédé bien trop tôt en 1999. Cette stèle se trouve dans la dernière épingle à cheveux de l'ascension, une cinquantaine de mètres avant le sommet. En fond, le mont Saint-Eynard, un des sommets de la Chartreuse.
  20. Les pros visiblement ne sont pas concernés par cette nouvelle tendance. Ça reste du 25 mm pour quasi tout le monde. Et ils étaient passés à cette section bien avant que les freins à disque se généralise. Par contre, ceux qui, comme moi, pour une raison ou pour une autre (confort, robustesse) voulaient des pneus de plus grande section et ne pouvaient pas les mettre, sont ravis de pouvoir le faire sans que les étriers viennent gêner le passage de ces pneus. À ce propos, pour les épreuves genre Paris-Roubaix ou Strade Bianche, les pros peuvent enfin se permettre des pneus de sections plus adaptées, par rapport à l'époque où les freins à double pivot limitaient la taille des sections possibles.
  21. Avec plus de progressivité dans le freinage (point fort des freins à disques hydrauliques) tu devrais parvenir plus facilement à freiner juste ce qu'il faut pour ne pas bloquer la roue. Évidemment, si avec les freins à disques hydrauliques on garde les réflexes de freinages acquis avec les freins à patins, on est mal… Le nouveau « touché de freins » est un réflexe à acquérir.
  22. Si ça peut te consoler, c'est pas mieux dans le sud, à Grenoble du moins. Ça caille dur ici aussi : 4° en ce moment, à 200 m d'altitude, et il y a de la neige dès 400 m… Sortie prévue cet après-midi, mais à cause de cette neige je vais probablement devoir rester dans la vallée. ☹️
  23. Tu ne sembles pas avoir compris ce que ce passage signifiait. La jante est conçue à la fois pour diriger le vélo et lier le vélo à la route via les pneumatiques. Avec les freins à patins, elle doit en plus supporter les contraintes de freinage. Les freins à disques, qui transmettent les contraintes du freinage aux moyeux et non plus aux jantes, libèrent celles-ci de ces contraintes, et pour elle c'est donc tout bénéfice. Finis entre autres les risques de fonte de colle à boyaux lors de longues descentes en montagne, finies les jantes creusées rapidement si comme moi on roule très souvent par mauvais temps et sur routes sales, finis les frottements sur les patins en cas de voile, etc. Et les constructeurs peuvent faire des recherches sur des jantes plus légères, plus efficaces, plus aérodynamiques parce qu'ils n'ont plus à composer avec la nécessité de proposer une surface de freinage. Bref, non seulement pour le freinage en lui-même mais également pour les jantes, les disques apportent un très net progrès.
  24. J'oubliais dans ma liste des oubliés 🙂 : Valentin Madouas, qui me semblait très à l'aise sur la Dwars door Vlaanderen. Bon, ceci dit, je ne vais pas pouvoir regarder la course, je serai sur la route des vacances toute la journée… j'espère profiter d'un « replay » quelque part pour ce soir.
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