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Tout ce qui a été posté par Thierry GEUMEZ
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Différence Bora One et Bora Ultra
Thierry GEUMEZ a répondu à un(e) sujet de François PERRIN dans Le matos
Des chiffres ? Je pense que la différence est minime. C'est avant tout une affaire de marketing. Quand on voit la résistance à vide (sans chaîne installée) d'un boîtier de pédalier actuel, celle des roulements de roues est secondaire. Tu me diras : ce n'est pas parce que le pédalier ne tourne pas librement qu'il faut rajouter de la résistance ailleurs... Si on établit une courbe du rapport rendement/prix, le raisonnement est valable pour tout, la qualité augmente proportionnellement au prix dans le début de la courbe puis elle n'augmente presque plus alors que le prix grimpe en flèche. J'essaie de m'arrêter juste avant ce point d'inflexion. Le raisonnement sera différent si l'on a un portefeuille extensible... -
Différence Bora One et Bora Ultra
Thierry GEUMEZ a répondu à un(e) sujet de François PERRIN dans Le matos
"Le test c'est partir en descendant sans pédaler en haut d'une côte à côté d'un gars du même poids équipé de roues à roulements classiques, vraiment bluffant dans le cas des Bora." Et encore, à partir d'une certaine vitesse, c'est la résistance aérodynamique qui devient prépondérante. Donc, difficile d'apprécier la supériorité d'un type de roulements dans ces conditions. Lors des descentes des cyclos, je sens nettement mon gain de vitesse en adoptant la bonne position et je me mets à rattraper ou à doubler presque tout le monde, et ce, quelque soit mon poids (de 62 à 73 kg) et sans jantes hautes Perso, je réserverais la différence de prix pour un autre achat. -
David, choisir c'est aussi renoncer, on dirait que tu as beaucoup de mal à t'y résoudre. Tu aimerais garder la simplicité des patins... mais tu veux des roues carbone. Et quand tu es prêt à prendre les disques, tu t'inquiètes des purges... C'est sans fin ! Il y aura toujours des avantages ET des inconvénients à chaque solution ! En fait, si je comprends, tout part de ton souhait d'avoir des jantes en carbone. Je me trompe ?
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"Mais le but de ce topic est d'aider David à faire son choix, ce qui semble difficile au départ quand on ne connait pas son profil." Justement, on ne connaît pas le profil de David ! Pourquoi lui déconseiller les disques dans ces conditions ? C'est là que tu reconnais les opposants "par principe". Ce n'est pas le cas de tous les intervenants, heureusement, il y a eu des avis plus nuancés.
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Différence Bora One et Bora Ultra
Thierry GEUMEZ a répondu à un(e) sujet de François PERRIN dans Le matos
T'as gagné combien de centimètres au bas de la descente avec les roulements céramiques ? -
Je ne pense pas que Franck ait cherché absolument à être compris de tous ou à plaire à tous. Une simplification de son propos lui aurait fait perdre son sens, et du coup, son intérêt.
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Tu amènes des chiffres, c'est un bon début. Les 8 secondes gagnées sur une descente mouillée ne sont pas décisives pour le classement d'un cyclo moyen, je te l'accorde. Mais combien de secondes perdues dans une montée avec les freins à disques ? Je ne comprends pas l'acharnement des opposants aux disques à prétendre "que ça ne sert à rien", "que les freins traditionnels sont bien suffisants". Ils devraient ajouter "pour moi", et ne pas essayer de convaincre les autres. Les utilisateurs de disques sont beaucoup plus modérés, moins passionnés lorsqu'ils donnent leur avis. Je suis sensible à des arguments tels que ceux de Christian Berthelet qui possède plusieurs paires de roues haut de gamme incompatibles avec les freins à disques. De même, je comprends qu'un compétiteur traque le poids dans les ascensions : un podium, ou même une victoire est peut-être en jeu, cela mérite d'être pris en compte. Mais pour beaucoup, il s'agit d'un refus de principe et leurs arguments, lorsqu'il y en a, sont à la limite de la mauvaise foi. Personnellement, j'éprouve beaucoup de plaisir dans les descentes. J'ai dépassé des dizaines de cyclistes dans les descentes lors de ma dernière cyclo ardennaise et personne ne m'a dépassé. Je ne regarde pas le temps gagné sur le parcours, c'est anecdotique, je pense à m'amuser en gardant la sécurité à l'esprit. Alors, pour moi, et je peux admettre que ce ne soit pas la priorité d'un autre, un freinage fiable en toutes circonstances est essentiel et cette condition n'est pas assurée par les freins à patins tels que ceux que j'ai expérimentés (actuellement : freins campa chorus, patins campa, jantes campa eurus). Je retiens ta proposition des revêtements céramiques et des patins spéciaux.
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"Le problème dans tout çà, c'est qu'on mêle les avis de purs cyclo, souvent en surpoids, ... et ceux de personnes qui cherchent la performance" Le problème n'est pas qu'on mêle les avis de personnes dont les intérêts sont opposés mais qu'on ne parvient pas à l'heure actuelle à réunir sur un même vélo le meilleur freinage et le meilleur rendement. Quelle raison y aurait-il de se priver de la supériorité du freinage à disques s'il n'y avait pas l'inconvénient du poids, de la perte aérodynamique et de la difficulté (relative) de maintenance ? Ceux qui critiquent les freins à disques parce qu'ils recherchent la performance à tout prix se mentent à eux-mêmes en affirmant que les freins à patins sont suffisants en toutes circonstances. Qu'ils aient au moins l'honnêteté de reconnaître qu'ils ont choisi entre la performance maximale et la sécurité maximale.
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Je comprends que cette mésaventure t'ait refroidi ! C'est toujours dangereux les descentes. J'ai eu un guidonnage à plus de 60 km/h peu de temps après ma reprise du cyclisme (j'étais un peu crispé, ce qui a amorcé les oscillations)... je suis parti acheter un casque aussitôt ! J'ai failli sortir de la route pour cause d'insuffisance de freins dans une descente détrempée. Heureusement, il y avait une échappatoire avant le virage. J'ai pu terminer mon freinage dans le chemin qui prolongeait la ligne droite et les cyclistes que je venais de dépasser ont pris tranquillement le virage en me regardant d'un air amusé... Sur le sec, pas de problème, ça s'est toujours bien passé... jusqu'à présent.
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Merci pour ce bilan détaillé et non passionnel de ton expérience des freins à disques, Philippe. Personnellement, je suis convaincu de la supériorité du système... en ce qui concerne le freinage (cet aspect de la question est toujours éludé ou minimisé par les opposants). Je ne fais pas une fixation sur le poids : j'ai 5-6 kilos à perdre ! J'attends, comme toi, que le marché évolue et arrive à maturité (standardisation des axes des roues, des fixations des étriers, offre plus étendue en matière de roues).
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"Je ne le prend pas comme ça moi. Si on a peur dans les descente, on va avoir tendance à freiner plus pour prendre moins de vitesse. Et là que cela soit sur le sec ou le mouillée tu n'as pas besoin d'un d'avoir un freinage plus mordant." Tu as raison, les cyclistes que je dépasse dans les descentes ont les mains aux cocottes et ne donnent pas l'impression de freiner très fort. Je n'ai pas encore chuté en descente, je croise les doigts... Pas de combinaison en cuir à vélo ! 😬
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"On ne dit pas "n'importe nawak" mais bien "portnawak"" Oufti, voilà les Belges qui donnent des cours de français, à c't'heure (qu'on peut écrire "astheure") !!! 😉 Tu fais bien de me corriger, ça m'apprendra à critiquer mes petits copains 🆒 Pour une fois que j'essayais de parler jeune... 😳
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Tu risques de te faire "piéger" en te référant uniquement à la taille du cadre. Tu dois faire attention à la hauteur de la douille de direction pour ne pas te retrouver avec un cintre trop haut ou avec 3 cm de bagues sous la potence
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M'enfin Christian, c'est une décision qui ne se prend pas à la légère ! Et si on organisait un référendum ?
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Ta formule est ancienne et ne tient pas compte de l'évolution de la hauteur des pédales. Tu peux commencer avec la valeur indiquée par Christian et l'adapter en fonction de la longueur de tes manivelles, du modèle de pédales et de ta pointure de chaussures. Pour la taille du cadre, prends 54 si tu veux une position agressive ou 56 si tu as besoin d'être plus relax. Ça dépend aussi de la longueur de tes bras. Et chaque modèle est différent. Si tu connais ta position, essaie de la reproduire avec le cadre qui te plaît pour voir si c'est possible
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Si je suis ton raisonnement, plus on a peur dans les descentes et moins on a besoin de freiner ??? N'importe nawak !
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Dernier livre sur l'entraînement
Thierry GEUMEZ a répondu à un sujet dans L'entrainement et la santé
C'est comme pour la voiture : on peut conduire 1000000 de km, on n'est pas pour autant pilote de rallye -
Curieux le vélo de Froome...
Thierry GEUMEZ a répondu à un(e) sujet de Richard FREQUELIN dans Discussions Route
Sur le post "Procès de L. A." on mettait en doute l'impartialité des juges, à juste titre selon moi. A présent, c'est le peuple qui juge... si l'on peut dire. C'est effrayant ! Lorsqu'on ne se réfère pas à des lois, ce sont les passions qui reprennent le pouvoir... et on s'étripe 😲 -
Curieux le vélo de Froome...
Thierry GEUMEZ a répondu à un(e) sujet de Richard FREQUELIN dans Discussions Route
On fait un remake de la discussion de "stade 2" ? Pourquoi avoir changé le titre ? 🙄😃 -
Sur le sec, c'est parfaitement jouable si tu n'es pas en permanence sur les freins, sur le mouillé en montagne, ça se complique vachement...
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On est bien d'accord là-dessus !
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J'en ai bien peur. Tu vas devoir choisir tout seul, comme un grand ! 😆
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"Mon Dieu ! Quel beau prêchi-prêcha ! Je te verrais bien en haut de la chaire le dimanche et, moi, buvant tes paroles, au milieu des vieilles bigotes !" C'était dans le sujet "on touche le fond ?" Je ne suis pas rancunier... mais il m'arrive d'avoir de la mémoire 🆒
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Tu t'étais moqué de moi quand j'avais cité Balavoine, il y a 2 ou 3 semaines : "les lois ne font plus les hommes mais quelques hommes font la loi". 😆
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On reste dans la lutte des classes 😉