Thierry GEUMEZ

j'aurais aimé une 13/25 mais ils ne les font plus, les andouilles. Celle là, c'est vraiment le pied Lorsque tu seras obligé de changer entièrement de transmission (j'ai pas dit demain), considère avec attention un double 46/30. Tu rouleras presque toujours sur le 46, tu ne mets le 30 que dans les vraies côtes et 46 x 12 équivaut à 50 x 13 😉

Michel est un phénomène ! Il avale avec joie (et facilité, enfin presque) des pentes à 20% sur son 40 x 25 mais est incapable d'emmener plus gros que 50 x 14 sur le plat ou dans les descentes. Nous sommes plusieurs à lui avoir conseillé une transmission mono vitesse… Il ne veut rien entendre...

Nous serons toujours frustrés quelque part, il faut bien d'admettre. Il nous reste donc à faire le moins mauvais choix possible. Qu'es-tu prêt à sacrifier en premier : le plus petit braquet ? le plus grand ? l'étagement ? le 12 vitesses ? être équipé en "tout campa" ?

Tes arguments sont pertinents. Beaucoup de cyclos se surestiment et ont honte des petits développements. Les fabricants ne proposent pas assez de solutions réalistes.

Arrête ton plaidoyer en faveur des gros développements Michel. J'ai déjà fait des tests avec différents braquets dans une même côte et je suis le plus rapide avec des braquets modérés.

Je n'ai jamais été un "puncheur" et mon gabarit de naissance est plutôt mince. A 19 ans, je pesais 54 kg (pour 1m67), les côtes étaient mon point fort. Je pesais cet hiver 66 kg (j'ai été jusqu'à 73 kg certaines annnées). Ma réflexion est que je ne peux rien faire pour mon âge mais que je suis responsable de mon poids et j'aimerais retrouver du plaisir dans les côtes...

Je roulais autrefois (pas régulièrement en raison de mes horaires de travail décalés) avec un groupe. Après une interruption d'un an pour diverses raisons, j'y suis retourné et mon niveau n'avait pas changé, un "caïd" du groupe m'avait même reproché de prendre des relais trop appuyés. Mais c'était sur un parcours presque plat…

Au plus fort de la pente dans la Redoute, par exemple, je suis à environ 6-7 km/h. Calcule ma cadence et tu comprendras qui est incohérent... Sinon, en temps "normal", j'ai une cassette 11-25. P.S. notre dernière sortie sur les "terres" de Franck m'a filé un coup au moral. Mes piètres performances dans les forts pourcentages m'ont poussé à regarder la réalité en face. 5 ans seulement nous séparent et ne suffisent pas à justifier une telle différence de vitesse ascensionnelle. N'excluons pas d'emblée ton immense talent… Ceci dit, j'ai donc supprimé le chocolat et les biscuits de mon alimentation et j'ai perdu 3 kg, un bon début sur la voie de la rédemption. Je ne me suis pas encore fixé de limite basse 🆒

Je règle la longueur de ma chaîne selon la méthode campa (sur petit plateau/petit pignon). En mettant grand plateau/petit pignon comme pour shimano, le galet inférieur est plus reculé que le supérieur, ma chaîne est donc légèrement plus longue. Si je mets un maillon de plus, la chaîne frottera sur le galet supérieur sur 30 x 13 ou 14.

En ces temps difficiles, il n'y a pas de petites économies : tes broches vont faire le bonheur d'autres patients ! 😃 Sinon, tu ne souffres pas trop ? As-tu reçu des recommandations concernant ton activité cycliste ?

Tu raisonnes comme un montagnard, Pierre. Les variations importantes de la pente justifient pleinement une grande amplitude de la gamme de braquets et un écart de 16 dents entre les plateaux est judicieux dans ce contexte. Pour un "habitant de la plaine", les gros écarts entre les développements sont plutôt perçus comme contraignants par les ruptures de rythme qu'ils imposent. Le changement de plateaux est encore plus gênant avec une cassette peu étendue, genre 11/23 ou 11/25, parce qu'il faut alors balayer la cassette et croiser plus souvent la chaîne, un 50 x 21 équivalant à 34 x 14. A l'époque où j'étais plus costaud, j'utilisais régulièrement des plateaux de 50/39 avec une cassette 12/25 et mettais 50/34 avec une cassette 12/29 pour les parcours comportant beaucoup de dénivelé et/ou de gros pourcentages. Actuellement, j'ai 46/30 en permanence à l'avant et joue avec plusieurs cassettes. Le 46 m'impose rarement un changement de plateau sur les parcours peu vallonnés, ce qui réduit les occasions de trouver un inconvénient à l'écart de 16 dents à l'avant.

Oui Peut-etre qu'une rallonge de la patte de fixation du dérailleur réglerait le problème

Ils ont modifié le parcours ? Het Nieuwsblad se déroule en montagne ? Complètement fous, en effet !

J'ai ce mini garde boue. Sa protection est effectivement limitée. Le derrière reste au sec, c'est déjà ça. Quant au suiveur... rien ne lui est épargné. Charité bien ordonnée commence par soi-même 😃 Reste le problème des pieds lorsque la route est détrempée . Je ne connais pas de "mini" solution.

Tu as raté un épisode Franck 😛

Ah ! Les sources divergent. N'étant pas un spécialiste des Porsche, je vais m'abstenir de dire des bêtises... Il n'empêche, ça ne me déplairait pas de rouler en Porsche 🆒 Mais j'ai la toiture et la véranda à refaire 😃

https://www.google.be/search?q=porsche+998&sxsrf=ALeKk01UCSdeHSh_H70o2js8sEhRQzkhIA:1583351294383&tbm=isch&source=iu&ictx=1&fir=NhkF3kErQpUxeM%253A%252CVa7qoXgf2vEc4M%252C_&vet=1&usg=AI4_-kRYxljfvRcYDHjgkt83fkc9oFXSZQ&sa=X&ved=2ahUKEwja6tKby4HoAhUM-aQKHXMlDxwQ9QEwAHoECAkQHA#imgrc=NhkF3kErQpUxeM:

j'ai fait la Marmotte 2001 Je m'en souviens d'autant mieux que c'est ma seule participation à cette épreuve. Canicule les jours précédents, pluie dès le départ, brouillard dans la descente du premier col, 4°C en haut du Galibier. Expérience du vélo en montagne nulle, avec mon cuissard court, mes manchettes et mon K-Way, j'ai beaucoup souffert...

Et comme il le dit lui-même, il adapte sa conduite de vélo si la pluie survient. Ralentir pour s'adapter à des freins relativement défaillants est une manière curieuse, et peu convaincante, de prouver leur efficacité 😉

Les freins à disques usent… les disques, qui ne s'usent semble-t-il pas aussi facilement et qui surtout sont beaucoup moins onéreux à remplacer. Surtout, le disque conserve sa capacité supérieure de freinage sous la pluie pendant toute sa vie.

Mon avis rejoint tout à fait celui de Franck. A te lire, ainsi que tous ceux qui sont satisfaits de leurs freins à patins sous la pluie, j'ai l'impression que nous n'avons pas les mêmes références ou ne parlons pas la même langue. J'ai cru pendant un temps que mes Eurus vieillissantes étaient responsables du manque d'efficacité sur le mouillé, mais j'utilise depuis peu des Bora one et des Zonda et c'est à peine mieux. Que ce soit en voiture ou à moto, je n'ai jamais ressenti un tel décalage entre le sec et le mouillé.

Gérard a le bonheur d'avoir des freins à patins efficaces sous la pluie… Qu'ajouter à cet argument imparable ?

D'autre part mes freins à disques sont des TRP Hylex, pas des Shimano… Peux-tu expliquer pourquoi c'est un avantage ?

le freinage agit immédiatement, il n'y a plus ce temps de latence qui peut être si dangereux. Et plus besoin de «lécher» la jante avec les patins pour enlever le gros de l'eau avant de vraiment freiner… Parfaite description de ce que je ressens dans les descentes mouillées et de l'efficacité des disques dans cette circonstance…

vive le freinage à disques qui reste efficace sous la flotte Tu as déjà pu expérimenter dans une vraie descente sous une vraie pluie ?