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Geoffroy CACHAT

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Tout ce qui a été posté par Geoffroy CACHAT

  1. Oui, et en plus de ça, Lois Boisson a voulu rentrer dans son jeu à envoyer des parpaings au lieu de tenter de varier davantage et bomber ces trajectoires. Elle s'est faite exploser en vitesse de déplacement, car à ce jeu là, Gauff a l'habitude alors que Loïs non. Je l'ai trouvée souvent en retard dans son replacement également, cherchant plus à anticiper les coups de Gauff (malheureusement souvent à mauvais escient) qu'en étant mécanique et venant se replacer de manière plus centrale et plus proche de la ligne de fond. Je sais que son pur jeu de "terrienne" nécessite davantage de temps pour jouer la balle, et que cela faisait partie de se stratégie de s'en donner, mais à mon sens, elle n'a pas su suffisamment se réinventer ou faire bouger les choses. Mais quel parcours elle fait, tombant les armes à la main et sans renoncer face à la deuxième joueuse mondiale, qui a elle fait preuve d'un niveau de jeu absolument hallucinant hier (et depuis le début de la quinzaine sauf son match contre sa compatriote Keys en 1/4). J'ai aussi hâte de revoir Loïs sur d'autres surfaces et dans d'autres tournois. Et je lui souhaite le meilleur dans sa progression à venir. Elle a un potentiel pour bien jouer sur différentes surfaces, y compris sur le gazon (pour moi), car elle a un gros service et un chip de revers qui pourrait être très gênant. Chez les hommes, Papy fait de la résistance, mais maintenant, plus de cinéma... Il va se heurter à la réalité avec Sinner. Cela dit, malgré mes racines italiennes, je préfèrerai voir un nouveau triomphe de Djoko à RG...
  2. C'est complètement vrai, et fort dommage. Je ne dis pas que l'Auvergne géographique au sens large ne mérite pas des étapes (et on peut imaginer que Romain Bardet effectuant ses derniers tours de roues lors de cette édition, il y a eu une raison supplémentaire de faire passer la course par là), mais cela n'apporte pas plus de variété au parcours. Surtout que les coureurs qui ont connu des éditions plus centrées sur Rhône Alpes ne doivent plus être légions dans le peloton 😂 Du Pays de Gex aux Hautes Alpes, en passant par l'Ardèche, la Drôme, les Savoie, l'Isère... il y a déjà de quoi faire et de manière très variée.
  3. Elle peut aussi remercier la jeunesse d'Andreeva qui n'a pas supporté le léger chauvinisme du public (qu'on a déjà entendu beaucoup plus insupportable). Pourtant, cette jeune russe a déjà accompli une très belle carrière et a un palmarès donc aucune française des 10 dernières années hormis Garcia a pu approcher, à seulement 18 ans. Elle a de l'avenir quand mentalement elle ne disjonctera pas comme ça... Mais quelle solidité mentale de Lois Boisson, elle n'a pas paniqué en perdant pied au début du 2° set. Et elle a su renverser progressivement la vapeur.
  4. L'autonomie 11V est supérieure oui, c'est certain, et Pierre l'avait déjà dit. Tu peux compter 2000km sans problème normalement en conditions de changements plutôt fréquents. Les 1500km annoncés au maxi pour le 12V sont vraiment dans des conditions particulières, expliquées plus haut par Pierre et moi-même. C'est de très loin un résultat peu commun.
  5. L'autonomie moyenne annoncée par Shimano est de 1000km. Ce que voulait sans doute souligner Pierre dans son message, en disant que l'annonce était "fausse" sur ce point, est que dire de façon péremptoire que tu pourrais rouler 1500km. Car cela n'est pas une autonomie minimale ni moyenne. Il va de soi que ta façon de rouler et ton lieu de résidence ainsi que tes parcours peuvent faire évoluer de manière significative l'autonomie de la batterie. Si tu vis en plaine, sur des parcours plats, avec une allure très régulière donc sollicitant peu le changement de vitesses, tu vais effectivement pouvoir arriver à 1500km. En revanche, si tu vis en terrain vallonné ou montagneux, que tu es obligé de solliciter dérailleurs arrière et avant fréquemment, avec de nombreuses relances etc... ton autonomie sera beaucoup plus proche des 1000km. Personnellement, en Ultegra DI2 12V, j'ai pu aller jusqu'à 1200-1300km maximum.
  6. Comme Pierre, je suis resté Shimano, mais j'ai plusieurs connaissances de club qui ont roulé et roulent encore sur les deux. Je préfère aussi Shimano pour le freinage, mais également pour l'ergonomie du passage des vitesses/plateaux, bien que la contrainte technique du montage soit un peu plus importante. Généralement, ceux qui ont roulé les deux en viennent à dire que Shimano est plus efficace sur ce point. L'autonomie de la batterie est finalement assez simple à surveiller, d'autant plus avec un compteur adapté qui peut te permettre de surveiller l'état de celle-ci en roulant (et raccourcir ton tour le cas échéant). Mais en gros, il faut se dire qu'elle tient environ un mois. Bien que cela puisse dépendre de combien et où tu roules : si tu fais 500km semaine, c'est certain que ce sera un peu moins, et si tu habites dans une région où tu dois sans cesse changer de développement, cela peut aussi en diminuer un peu l'usage (plutôt 1000km que 1500 par exemple). L'avantage pratique de Sram, pour les batteries, c'est effectivement l'interchangeabilité avant arrière, mais aussi le fait de pouvoir les charger sur un chargeur externe dans une chambre d'hôtel ou dans un gite. Alors que pour Shimano, pas le choix, c'est tout le vélo qu'il faut mettre à proximité d'une prise de courant. Pour la question tarif, le très haut de gamme complet est plus cher chez Sram généralement (Red vs DuraAce), alors que le haut de gamme l'est plus chez Shimano (Force vs Ultegra, mais 100gr plus léger chez Shimano). Comme Pierre l'a dit, cassettes disponibles plus nombreuses chez Sram, mais nettement plus chères. Chez Shimano cependant, il y a franchement de quoi faire déjà sur tous les terrains et pour tous les gabarits, malgré les propositions limitées. Dernier point, les chaines se valent au niveau tarif, mais je trouver les Shimano plus résistantes et durables que les Sram. Si tu es un cycliste sédentaire, Shimano peut être le bon choix. Si tu es un cycliste nomade, qui aime voyager loin hors de ses terres, Sram peut être plus pratique pour la gestion des batteries. Mais en dehors de ça, le choix est Bref, quant à l'esthétique, tout est affaire de goût.
  7. Plateau très relevé pour un parcours plutôt accidenté de manière générale. Toutefois, les deux seules explications entre favoris devraient se dérouler lors des étapes de samedi et dimanche. Je ne pense pas que l'étape haut-savoyarde apportera beaucoup au suspens, mais elle pourrait éliminer les moins puncheurs des favoris, car il est probable que ce soit une vraie course de côte dans Domancy et la Cry. Le plat entre la principale difficulté du jour (la côte de Mont-Saxonnex, juste en face de chez moi à 5km) et le pied de Domancy est beaucoup trop long pour un effort "solitaire" de leaders. Ou alors, il faudrait des équipiers partis en éclaireur dans une échappée (hein la Visma ? 😁). Romain Bardet doit avoir coché l'étape partant de ses terres le 10/06, mais difficile pour une échappée au long cours, à moins de ne tenter que dans la cote du final. En tout cas, comme sans doute la majorité des suiveurs cyclistes, je lui souhaite de décrocher un dernier bouquet.
  8. Et ne pas oublier que la même Lois Boisson a passé près de 10 mois éloignée des terrains jusqu'à ce mois de mai, en raison d'une grave blessure au genou. Avec évidemment en partie la perte de revenus potentiels liés. Au tennis, oui certains peuvent bien gagner leur vie, mais cela est réservé à un nombre plutôt restreint, comme dans le vélo, le golf aussi cité plus haut. Et il faut des résultats dans des tournois "lucratifs".
  9. Je te rejoins sur un aspect en filigrane de ton message si je comprends bien. Que Del Toro n'ait pas fait d'efforts superflus en montée et ait laissé bossé Carapaz faire le gros du travail me parait une décision plein d'expérience (en ayant une certaine gestion du chrono en tête avec un écart inférieur à 2' au sommet). Mais là où réside l'erreur majuscule de son DS (enfin ce que les images laissent penser, en plus de celle de n'avoir placé aucun pion dans l'échappée), c'est quand il l'arrête (s'arrête?) littéralement de rouler dans la descente/faux plat et accumule les minutes de retard. Alors qu'il est plutôt très bon descendeur et que les efforts économisés en montée auraient pu lui permettre de revenir au pire un peu sur Yates, en maintenant l'espoir, au lieu de le saborder complètement.
  10. J'en ai pris une aussi cette année chez notre fabricant belge du club, Bioracer. Je n'ai pas choisi le modèle très haut de gamme (Epic : choisi par un autre camarade du club, trop fité pour moi), mais le modèle Icon en taille 5 (XL). Même principe pour ma combinaison, 2 poches assez profondes toutefois au lieu de 3 dans un maillot. Je l'ai testée lors de mon stage en Italie sur une sortie de 135km, 2000m de D+ et 5h30. J'ai pu embarquer un gilet sans manches, un porte carte avec des billets et la CB du club, mon téléphone, et du ravitaillement pour 5h (donc 4 barres et un gel) et mes pastilles d'électrolytes. Je confirme l'aspect très confortable, l'aspect compressif du fait que l'ensemble soit d'un seul tenant. La météo était au contraire plutôt fraiche pour nous, et le fait que ce soit une seule pièce n'est pas gênant au contraire, car cela minimise les éventuelles zones pouvant laisser passer l'air. Le col bas aussi, différent de nos maillots à col haut, me semble pouvoir aider à la ventilation générale sans avoir à ouvrir dans les zones ou journées plus chaudes. Je me suis senti tellement bien dedans que je vais l'utiliser pour Milan/San Remo ce dimanche et ses 300km. J'ai aussi une trifonction de triathlon de marque HUUB, et le confort n'a absolument rien à voir. Elle n'est pas prévue pour des sorties de plusieurs heures à vélo (au delà de 2h jusqu'à 3h grand max), et la conception est différente : l'ouverture ne permet par une séparation au devant avec effet "maillot" comme cela l'est sur une combi de vélo de route. Toutefois, certaines sont fabriquées et étudiées pour des distances plus ou moins longues avec des pads plus confortables également. Enfin, j'en avais une auparavant du type de celle mise en lien, mais je déconseille vraiment sauf pour des sorties courtes de maxi 1h30. Peau très inconfortable et matière trop élastique, absolument pas qualitative. Je ne l'utilise plus que sur home trainer 😂
  11. Je n'ai pas rapporté mon grain de sel à la discussion. Mais d'après ce que j'ai vu et lu, oui Yates a été le plus fort, il est monté en puissance tout au long de l'avancée de ce Giro en gérant ses temps plus faibles et en utilisant son énergie disponible au bon moment. Exemple : mardi lors de l'étape à kilomètres et D+ à rallonge, il n'a pas cherché à suivre Carapaz lorsque celui-ci a placé sa mine qui a décroché tout le monde, mais il a patiemment attendu le moment pour démarrer pour gérer son effort et ne pas se mettre trop dans le rouge. Il était pour moi le plus frais en fin de Giro parce qu'il a su courir intelligemment tout au long de ce Giro, et pas qu'à la fin. D'ailleurs samedi soir, quand Carapaz dit que le plus intelligent a gagné, personne ne peut affirmer qu'il se contente de le dire et le penser pour l'étape de samedi avec le Finestre. C'est en tout cas mon point de vue. Et la Visma a joué une belle partition. Autant elle se rate parfois ou souvent sur des classiques, autant je trouve que sur les GT, sauf coup dur pour leur leader, elle sait mener sa barque de manière très intelligente. Elle l'a fait, par exemple, deux fois par le passé au TdF en plaçant Van Aert dans une échappée matinale servant de relais à un de ses leaders. Quand une équipe adverse sait qu'un coureur comme Van Aert est devant, elle doit absolument réagir et ne pas laisser de champ au leader de l'équipe qu'il représente s'il démarre. Donc à mon sens, la défaite n'est pas de Del Toro, mais celle d'UAE qui n'a pas su, soit lui laisser les coudées franches en lui faisant confiance et le laissant y aller au panache, soit en ne contrôlant pas assez les équipiers des rivaux. Car à leur niveau, les équipiers d'El Torito auraient bien pu figurer aussi aux côtés d'un Van Aert dans le final (au moins un ou deux) et se laisser décrocher aussi pour apporter leur soutien dans le final. Quant à Carapaz, il avait déjà gagné le Giro avant, mais à mon avis ce n'est pas la raison de son incapacité à rouler, il n'était tout simplement plus le plus fort en cette dernière grosse journée. Il avait déjà grillé un certain nombre de cartouches auparavant.
  12. En mai, 874km et 11581m de D+ Vautour50______________11016km (objectif 25000km) Didier Blanguernon_________8313 km/ Michel Dubin _____________6629km/61511m+ André Massol_____________6611km/94805m+ Jean-Christophe Rincent_____6122km/54130m+ André Advocat ___________4949km/63860+ ( dont 442km/13536 + vttae) Nicolas Joary____________3418km/46464m+ Thierry Geumez___________3201km/- Jean-Pierre Courquin_______3121 kms/29900m+ Geoffroy Cachat __________3121km/37364m+ Pierre-Yves Dessimoz_______3005km/19400m+ Serge Masselot___________2983km/- Pierre Plana_____________2895km/36600m+ Johan Assink____________2883km /6109m+ Sylvain Karle ____________2794km/16850m+ David Courtois ___________2763km/25257m+ Jacques Vandewiele (VAE) ____2430 kms/21753m+ Jean-Marc Bouquet________2421 km/19271 m+
  13. Cela promet pour les dernières étapes. UAE voit sa stratégie d'hydre à deux têtes être complètement anéantie. Mais conserve l'équipe collectivement la plus forte. Del Toro va certes être bien entouré demain, mais les signaux de faiblesse envoyés ce jour vont décupler les envies des Carapaz, Simon Yates, Gee, Tiberi, Caruso, Storer, Pelizzarri et Bernal, d'attaquer, attaquer et encore attaquer. Parce que les équipes comme la Ineos ou la Visma ont encore de quoi faire sauter le verrou...
  14. Oui le grand dénivelé et les grands cols, il n'y a vraiment rien de tel pour sécher et être en forme. Mais avant de vraiment pouvoir les grimper sans que ce ne soit un calvaire, mieux vaut déjà se préparer un peu (surtout pour un gabarit comme moi 😆)
  15. Non Sylvain, tu as mal lu. Avant, j'arrivais à mieux monter seulement, avec 8kg de moins. Pour le reste, je suis plus facile maintenant, en ayant toutefois moins de puissance pure (sur un sprint à PMax). Et à côté de mon entrainement, je roule en club ou en groupe. Je viens de terminer un stage où nous roulions tous les jours ensemble 😆 et nous avons terminé exactement comme tu le disais, en se faisant mal à la gueule en mode chacun pour soi mais le plus vite possible sur un segment de 21 bornes avec 460m de D+. Vu ce que j'ai sorti lors d'un dernier jour après les efforts consentis les jours qui ont précédé, je peux vraiment te dire que ma prépa fonctionne.
  16. Effectivement, c'est la théorie qui a cours dans la majorité des cas. J'ai reconstruit ma condition physique sur cette base depuis le mois de janvier, avec beaucoup de foncier à basse intensité et depuis 4 mois l'introduction de séances variées (PMA, seuil, sprints, force/vélocité etc), aussi ciblées en fonction de mon objectif principal, Milan/San Remo, une cyclo où cela va rouler fort, et relancer souvent, avant de se terminer par des efforts au seuil dans les capi du final. Ce que je peux vous dire : après deux années très moyenne au niveau de ma structuration d'entrainement et une prise de poids que je n'ai pas maîtrisé (quelques kilos mais quand on est proche du quintal), je remonte aussi vite les pentes en vitesse de croisière que dans mes années où j'étais plus léger (800m/h), et ce à rythme cardiaque très maîtrisé (ce qui était moins le cas avant). J'ai retrouvé mon "punch" sur des efforts courts. Les deux bémols me concernant : j'ai perdu un peu en puissance max, et je n'ai pas ma capacité à aller au delà des 900m/h sur des efforts longs en grands cols, chose que j'arrivais à faire lors de ma meilleure année (avec 8kgs de moins). Pour ce dernier bémol donc, je le mets davantage sur le compte de la différence de poids que sur l'entrainement, même si je n'ai pas travaillé spécifiquement les longues montées jusqu'à maintenant (il faudrait faire davantage de seuil justement).
  17. Séance de seuil ce midi : 4x 6'/4'. 32km, 557m de D+ en 1h20.
  18. Il reste Santa Barbara (12,6km à 8,3% de moyenne) et le Passo di San Valentino (18,1km à 6,2%), avec avant cela une montée non répertoriée. Tout cela dans les 85km restants.
  19. Parce qu'il a ouvertement indiqué en début de saison qu'il souhaitait participer aux championnats du monde de VTT à Crans Montana en septembre, s'agissant de la seule épreuve qui manque encore à son palmarès. Que lorsqu'il fait du VTT en cours de saison cycliste, il a pris pour habitude de participer à la manche de Coupe du Monde de Nove Mesto, sur laquelle il avait remporté en 2019 sa première épreuve en XCO en carrière. Donc il ne fait que "suivre" ses habitudes, ayant sans doute pensé qu'en allant à Nove Mesto sur un parcours qu'il connait bien, il prenait moins de risques. Ce qu'il était raisonnable de croire. Mais une course reste une course, et MVDP ne les fait jamais à moitié. Il a voulu partir vite, remonter vite, comme il le fait en cyclocross, mais ça n'est pas passé.
  20. Belle annonce qui permet de brouiller les pistes 😁
  21. Je ne pense pas. Il a été maladroit/malchanceux depuis ce début de Giro et cela s'en ressent sur sa performance. Mais, à titre personnel, je me méfie de la bête blessée. Bien qu'il ait perdu un de ses atouts maîtres en montagne trop tôt au cours des premières étapes qui aurait pu l'aider à tenter de renverser la table.
  22. Absolument ! J'avais suivi ça et j'avais trouvé ta cyclo plutôt remarquable ! D'ailleurs, sur un autre monument belge, le Tour des Flandres à un an d'intervalle, nous avons fini avec une moyenne semblable. J'avais fait le grand (240), ce qui fausse un peu car le dénivelé était guère plus important de mémoire, mais avec 70 bornes de plat en plus, ce dans des conditions dantesques (pluie du début à la fin et pavés détrempés et boueux). Ce serait avec grand plaisir pour rouler ensemble. Nous envisageons avec le club, pour l'an prochain, un périple pyrénéen car nous ne connaissons pas... Ce pourrait être l'occasion. Sinon, oui, je prends beaucoup de plaisir avec des gars aux capacités proches. Car on se tire la bourre sur le plat, dans les montées en ayant toujours l'un ou l'autre en point de mire, et on recolle sur les relances dans le pire des cas. Dans le club, j'ai deux gars très polyvalents qui grimpent et roulent, et font très mal quand ils décident de faire les deux dans la même sortie. Mais rien de tel pour s'amuser 😆
  23. Pendant le stage, ou en sorties clubs, le principe est le suivant : on roule fort en groupe sur le plat/faux plats montants et descendants, et en montée, chacun son "rythme" (celui qu'il a envie de mettre). Les plus forts en grimpe, dont je ne fais évidemment pas partie (je suis plutôt dans les 2-3 plus mauvais à un rythme de croisière de 700-800m/h) partent devant et redescendent nous chercher. Selon le type de montées, je peux m'accrocher un moment voire être un peu meilleur que certains "purs" grimpeurs" car étant plus puissant (jusqu'à 6%), ou alors sur des efforts courts sollicitant le punch lorsque je décide de vraiment me faire mal et péter le caisson. Mais globalement, je suis plutôt celui qui roule fort dans les autres moments de la sortie, et me défend autant que possible dans les montées en gérant à intensité tempo, quand nous roulons en groupe/club. Je fais davantage mes intensités seul, ou alors dans quelques montées choisies sur une sortie, ou plusieurs sorties d'affilée (comme c'était le cas pendant ce stage).
  24. C'est la 5° année, et en général, nous essayons de trouver une date environ 15 jours à un mois avant nos gros objectifs. Cela fonctionne plutôt bien (comme les pros 😆), enfin d'après notre relative expérience. Cela a aussi l'avantage de nous offrir une belle semaine de "vacances" dans un lieu dédié. Au niveau du programme pour les deux prochaines semaines : effectivement il faut digérer mais sans perdre les acquis --> séances plus courtes mais en gardant des intensités (PMA/Seuil autour d'une 1h grand max par séance). Plus de sorties à gros volume mêlant longueur, D+ et intensités. Une seule sortie de 4h prévue en endurance stricte mercredi, si j'arrive à la caser car j'ai une semaine de 3 jours pros bien chargés avant 4 jours bloqués persos sans vélo pour aller aider dans ma belle-famille. La semaine prochaine, ce sera une séance d'intensité puis un déblocage la veille, entrecoupées de séances de récup pour faire du jus et remonter la forme à son maximum pour un pic. J'ai la "chance" d'être un "endurant" et de bien supporter la charge, puis récupérer assez vite. En essayant d'optimiser aussi bien entendu le fait de pouvoir bien dormir, bien boire, m'alimenter etc... Comme cela est de toutes façons nécessaire en temps normal.
  25. Retour d'une semaine de stage à Riccione, en Italie sur l'Adriatique, légèrement au sud de San Marin. Partis avec le club le samedi 17/05 et retour samedi 24/05. Nous avons roulé du samedi midi au vendredi fin d'après-midi : 7 jours/ 707,8km/ 9326m de D+. Un bon stage d'entrainement avec un certain volume et une certaine fatigue finale. Place au rush final avant mon grand objectif, Milan/San Remo amateurs dimanche 8/06 dans 14 jours. Puis Les Boutières/Ardéchoise, au cours de laquelle je serai l'accompagnateur d'une des féminines de notre club.
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