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Tout ce qui a été posté par Geoffroy CACHAT
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Rogliz quitte le Tour suite à sa chute intervenue hier... Un des quatre s'en va, et une part du suspense avec lui.
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En direct, clairement ils ne l'ont pas évoqué, pris par le suspens des 100 derniers mètres. Mais il était tout à fait possible de déceler au vu des images que Démare pouvait recevoir cette sanction tant il a fermé la porte sur sa droite à Van Aert, qui sans cela aurait pu gagner car il s'est imposé un double effort. En revanche pour Cavendish, ce n'est pas très évident, il se décale aussi pour ne pas percuter McLay et se faire percuter par les autres derrière (Groenewegen par exemple). Autre occasion aujourd'hui. Je ne vois pas un ou des puncheurs aller au bout même en démarrant dans la dernière bosse. Derrière le final n'est pas favorable avec une fin toute plate.
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Oui mais ça n'est pas du tout le tempérament de Pogacar d'attendre qu'on l'attaque pour répondre. Il est offensif, et sa stratégie est axée sur des coups (répétés quand il s'agit de Vingegaard en face) pour faire céder ses adversaires. Cela ne lui a pas toujours réussi, mais c'est le vélo qu'il aime. Et sincèrement, je pense qu'il préfère perdre avec panache que gagner en roulant de manière téléguidée. L'antagonisme de leur attitude rend leur duel encore plus intéressant. Et avec les deux autres larrons en trouble-fête, un poil en dessous en termes de niveau, cela promet des étincelles pour les futures étapes. A mon avis, Roglic sera plus patient qu'Evenepoel, car il a perdu son dernier atout en montagne. Alors que le belge a toujours Landa pour lancer l'offensive : c'est davantage lui que je vois partir à l'abordage prochainement.
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Jambes Tétanisées plusieurs jours après Rando en montagne.
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Serge NAVETAT dans L'entrainement et la santé
Je rejoins Michel et Pierre pour les conseils, pratiquant aussi la randonnée ou le "trail" avec parcimonie. Il n'y aura vraiment que l'habitude qui t'évitera des courbatures. Question toute bête mais prends-tu de la Sporténine pendant ou après tes randonnées ? Cela peut s'avérer très efficace... -
La densité de ce TDF est assez incroyable. Dans le top 20 du classement actuel, il y a : - 7 vainqueurs de grands tours (2 autres si on élargit au top 30) - tous les autres ont au moins fini une fois dans un top 5 d'un des grands tours Une place dans le top 10 de cette édition est déjà un exploit en soi.
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Je pense comme toi Pierre, une attaque groupée des GFDJ pour favoriser la victoire d'un des deux grimpeurs. Et si l'échappée ne va pas au bout, un petit coup de Pidcock ou Bardet même s'il a affirmé dès le début ne pas viser le général. Les deux jours qui suivront seront beaucoup plus faciles à contrôler alors pourquoi pas tenter de s'offrir deux jours de plus en jaune pour son dernier tour, avant le CLM...
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Boisson isotonique
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de André MASSOL dans L'entrainement et la santé
A titre personnel, j'en ai essayé un certain nombre. Mais rapport qualité prix, celle de Decathlon, la ISO+ de marque Aptonia est vraiment très très bien placée et existe en différents conditionnements y compris sachets par bidon. Du coup, cela la rend très pratique pour un usage ponctuel. Je l'utilise à chaque sortie un peu longue ou un peu chargée en D+. -
Bottecchia 8 Avio Ultimate avis test prix....
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Chris RAYNAUD dans les vélos et cadres
Je n'ai jamais pratiqué les Bottechia mais je roule sur Wilier depuis que j'ai reprise le vélo. Dans ce que tu recherches, celui qui est indiqué est le Garda, que je possède depuis un peu plus d'un an. Ce n'est pas le vélo le plus léger (l'ensemble cadre+fourche fait 150 à 200gr de plus que celui du Bottechia que tu as en vue à peu près) et il n'est pas fabriqué en Italie à ma connaissance. C'est un vélo très confortable et dont le rendement s'avère assez bon du moment que tu ne recherches pas la vivacité d'une monture de coursier. Une fois lancé, il est facile à mener au train, qui est plus son programme que les violentes accélérations et les changements de rythme permanents. Il est parfait pour les longues distances, en montée, vallonnées ou plates quelque soit la surface. Tu peux aussi monter des pneus jusqu'à 32mm donc cela laisse des possibilités de sorties en chemins. J'ai plusieurs sorties supérieures à 230km avec et je n'ai jamais souffert y compris en circonstances "hostiles" (pavés, pluie etc). Après, pour comparer, le Bottechia en 105 Di2 me semble un peu mieux fini (notamment le combo potence/cintre tout intégré) encore et moins cher (700 €) que le Wilier en 105 Di2. Toutefois, la paire de roues prévue sur le Bottechia est nettement moins bonne que celle du Wilier (qui sont en carbone à l'inverse de celles du Bottechia). Si tu veux consacrer au Bottechia le même budget que le Wilier par exemple, je te conseillerai de changer les roues directement avec ton vélociste et prendre des Fulcrum Racing 3, par exemple, qui font 300gr de moins que celles prévues, sont meilleures et ne coutent pas très cher. Et ce sont de bonnes roues sans être toutefois des roues carbone. Ce sont celles qui équipent mon Garda. -
Et la région d'arrivée cet automne. Si le parcours n'est pas ou peu modifié, il s'agira d'une première étape déjà redoutable pour bien connaître déjà les trois dernières côtes là où je vais en stage depuis quelques années. Certes tout le monde sera frais, mais cela peut déjà faire mal et certains vont prendre de bons éclats. L'Italie regorge d'itinéraires bis, surtout dans ces régions où les côtes sont nombreuses. Je ne pense pas que le parcours soit modifié ou alors peu le cas échéant.
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Lenny Martinez dans la liste de départ chez GFDJ, curieux de voir comment il va tenir le choc sur trois semaines à très haute intensité. Il a paru en retrait sur le tour de Suisse. Quid du choix de l'équipe : le lancer dans le très grand bain pour le griller auprès des équipes désireuses de le voir rejoindre leurs rangs en 2025 et ainsi lui garder un pied dans l'équipe en cas de raté, ou au contraire tenter de faire grimper sa valeur marchande en faisant confiance à ses très grandes qualités déjà entrevues ?
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La DSM annonce que Romain BARDET participera bien à son dernier Tour de France mais... qu'il signe pour une nouvelle saison avec un objectif final : le championnat du monde de gravel à Nice à l'automne 2025 ! Pour ce faire, il fera la première partie de saison avec le Giro et effectuera ses derniers tours de roues sur route au Criterium du Dauphiné 2025.
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Je connais des frites qui tiennent en effet très bien très bien les roues et me font vite péter sur un col suivant le pourcentage 😆 Mais là d'ordinaire, ce copain tient bien les roues. Là effectivement, trop peu d'énergie. Mais j'aurais pu aller aussi plus vite vu la configuration.
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En faux plat descendant ou descente, ça reste raisonnable non ? Et j'ai vite préciser qu'il m'avait dit qu'il allait essayer et ça n'a pas duré longtemps du coup 😆
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Achat vélo endurance/confort
Geoffroy CACHAT a répondu à un(e) sujet de Benoît GIROU dans les vélos et cadres
50x34 et 11x34, cela permet de passer partout avec un peu d'entrainement, même dans le très raide quand on est bien portant. Pas à une fréquence de 85-90 tout le temps évidemment. Mais c'est une très bonne formule. -
Franchement, c'est aussi une expérience cycliste à part, pour moi, d'où l'envie de retourner la faire. Un peu comme les pavés peuvent te marquer et te donner envie d'y retourner même si tu sais que tu vas "souffrir" un peu. L'Ariégeoise fait aussi partie de ma "to-do list" mais pas cette année, je suis bien trop peu préparé. C'est un joli défi à la %@!?, je connais tout à fait le principe 😆
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Merci à tous, nous avons (tous ?) de temps en temps envie d'être égoîstes, car il faut avouer que parfois ça fait du bien de ne penser qu'à soi (j'entends par là que ça "soulage"). Mais bercé par le sport co et ayant encore un peu de conscience d'intérêt général, cela me paraissait bien naturel. D'ailleurs, plusieurs fois des participants ont ralenti et demandé si nous avions besoin de quoi que ce soit. Preuve en est que l'esprit est plus cyclotouriste que cyclosportif pour sur cette épreuve (ce n'est pas péjoratif du tout dans mon appréciation). Et franchement, même adorant la compétition, cela fait plaisir à voir compte tenu du nombre de participants où l'on pourrait s'attendre à une grosse machine genre Etape du Tour, très individualiste. Je pense que le fait que les participants sont d'ailleurs moins présents sur cette cyclo pour se faire la guerre d'une manière générale que sur d'autres cyclos ; et moins internationaux/anglo saxons. En tout cas c'est mon impression et cela n'était pas désagréable.
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Pour répondre après Pierre qui a fait une description synthétique et pertinente comme très souvent, c'est certain que de passer du 23 au 28 a du te surprendre un peu. Depuis mon passage sur vélo à FAD (2 ans maintenant et j'ai gardé pendant 1 an un vélo à patins sur lequel je roulais en 25), je roule au moins sur des 26mm (Pirelli) ou 28mm (Pirelli et Hutchinson donc). Personnellement, pour moi, le poids supplémentaire du pneu n'est pas conséquent (on parle de quelques dizaines de grammes, pas de centaines), et je privilégie le rapport rendement/confort. Et force est de constater que je ne perds rien en ayant augmenté un peu la taille. Au contraire, c'est encore plus "sécurisant" et efficace, à mon avis. En ce qui concerne ce Hutchinson, je ne l'ai pas mesuré, mais d'après les retours ci et là, il serait inférieur à la section annoncée, le 28 étant plus proche d'un 26. Néanmoins, je l'ai trouvé très confortable par rapport à un vrai 28mm. Donc il peut être un excellent compromis pour ceux qui hésiteraient à passer un 28mm confirmé. Mais comme Pierre, chacun aura son propre avis sur la question. A titre personnel, je venais simplement alimenter la discussion avec ce nouveau pneu. En résumé, pour moi, ce type de pneus plus larges sur jantes plus larges n'ont absolument rien de pénalisant. Partant de là, comme le confort est accru, il n'y a pas raisons de ne pas les adopter.
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Merci Michel, pour moi ça paraissait normal, car le vélo c'est aussi un sport collectif. La "frustration" passe vite avec une (ou plusieurs ?😂) bonne(s) bière(s) à l'arrivée tous ensemble.
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Je déterre le sujet pour éviter d'en créer un nouveau à chaque test/avis sur un pneu : Je viens de tester en condition "cyclosportive" les nouveaux Hutchinson Blackbird Racing Lab, sur les routes de l'Ardéchoise. J'ai régulièrement changé de marque de pneus mais j'ai très majoritairement été sur des Hutchinson, des Vittoria et des Pirelli plus récemment. J'aime beaucoup cette dernière marque dont de nombreux produits étaient d'ailleurs fabriqué par Hutchinson, mais là, mon vélociste n'avait plus ceux que je voulais en tubeless en 28mm. Il m'avait proposé le classique Conti GP 5000 mais n'étant pas trop fan de la marque, je me suis orienté sur le Hutchinson Blackbird Racing Lab, dernier sorti et remplaçant du Fusion 5 Performance. Et franchement, je suis bluffé par ce pneu sur les premiers tours de roues. Tout d'abord, même s'il n'est pas le plus léger (290gr), il reste dans la moyenne des pneus haut de gamme qui ne sacrifient pas tout au poids. Ce qui m'a le plus frappé dans un premier temps est le confort de roulement. Il est d'une souplesse impressionnante et se déforme bien permettant d'en utiliser la meilleure largeur. Son rendement n'en est qu'accru, quelque soit l'état des routes. Les routes ardéchoises ne sont certes pas les routes belges 🤪 mais elles peuvent passer du tout au tout : d'un bitume parfaitement lisse et neuf à un revêtement ancien et granuleux, voire zébré. Nous sommes partis du gîte sous la pluie... Et pour tout dire, je n'avais pas eu le temps de les rouler depuis leur mise en place. J'aurais pu avoir une petite appréhension, mais elle aurait été très vite levée. Les 11km pour rejoindre le départ ont été de nature hyper rassurante, malgré la pluie continue et les routes détrempées. Immédiatement en confiance en descente en courbes, très bonne adhérence en montée dans les petits raidards pour couper au plus court. Dans les premières descentes mouillées de la cyclo, aucun problème pour mettre de l'angle et attaquer, et encore plus évidemment lorsque le sol s'est asséché. Confiance idem en cas de changement rapide de conditions dans certains passages encore bien humides en forêts, alternés avec des espaces secs le long de prés ouverts. J'ai également trouvé sur les phases de faux plat que plus on accélérait avec, plus il délivrait, comme si sa résilience était encore optimisée à une vitesse supérieure. Restera à voir la longévité et la résistance aux crevaisons. J'use en général plus vite les pneus que la moyenne donc je pourrai vous indiquer si les 4000km annoncés sont tenables ou non. Mais pour moi, ce pneu a vraiment tout pour devenir une vraie référence.
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Petit résumé de ma cyclo ardéchoise, sur le parcours des Boutières (137km/2400m D+). Arrivée le vendredi soir, retrait des dossards très rapide autour de 20h15, y compris pour un copain du club et sa femme. Retour au gite et bon petit repas. J'ai du encore travailler un peu jusqu'à 23h45. Du coup, la nuit a été courte car lever 5h15 pour départ 6h et rejoindre Saint Félicien (un de nos camarades de club prenait le départ à 6h45 sur les "Europe Mediofondo" desquels il termine 35° au scratch et 4° caté. Après 30' d'échauffement pour rejoindre la zone de départ, nous patientons dans le sas, les 8 restants du club. Nous passons la ligne vers 7h05 et c'est parti. Première montée relativement groupée avec notre première féminine pour la mettre dans le rythme (elle restera accompagnée par deux autres camarades). Je lui propose un rythme "tempo" bas histoire de ne pas trop en mettre de suite, car c'est bien inutile. Nous faisons la descente où les plus à l'aise prennent de l'avance (dont moi), et nous nous recalons à un rythme tempo bas pour la plus courte ascension suivante, le temps que les autres nous rejoignent. Je laisse notre féminine à ce stade avec ses deux autres "chaperons" et nous filons avec deux copains de club à un rythme plus soutenu. Je tire notre groupe sur tout le faux plat avant la troisième ascension, en bon sanglier. Je m'alimente en arrivant au pied de celle-ci, car elle est plus longue bien que peu difficile, et laisse "partir" mes deux collègues un peu plus rapidement. Au bout de quelques kilomètres, je reviens sur un des deux, qui est complètement à l'arrêt. Il est en très mauvaise posture, les papillons dans les yeux, plus d'énergie. Bien que sachant que notre féminine et deux autres sont encore derrière, je prends la décision de m'arrêter avec lui car son état m'inquiète de suite. Je le fais manger, se couvrir et reprendre ses esprits. Après 10 bonnes minutes de pause, nous repartons et je me cale à un rythme qu'il peut suivre. Dès lors, je ne pense qu'à une chose, l'aider à passer ce mauvais moment, sans me douter qu'il allait subir ceci tout le reste du parcours. Fréquemment, ces pauses reviennent au gré de ses pics glycémiques. La fin de l'ascension et le gros ravitaillement au sommet lui font du bien. Il reprend un peu de couleurs. Il reste 60km, et je lui demande si ça va aller. Il pense que oui alors nous reprenons avec notre féminine et ses deux acolytes qui nous ont bien évidemment repris (nous sommes passés de 18km/h moyen en montée à 11km/h moyen). Nous entamons donc à 5 l'avant dernière bosse. Il décroche un peu et je reste avec lui. Il ne tient pas les 10km/h. Nous laissons filer après la descente les trois autres au pied de la dernière longue ascension. Et là de nouveau, nous devons faire des pauses très régulières. Je lui propose de l'alimentation salée, voulant essayer de contrecarrer ses pics glycémiques dus à une prise d'alimentation uniquement sucrée, mais il refuse, ayant peur de ne pas la digérer. Bref, cette dernière montée pourtant très abordable et régulière sur 13km à 4,5% sont un véritable calvaire pour lui, malgré mes encouragements, mon soutien. Alors que nous aurions du normalement nous éclater sur ce parcours, étant habitués aux pourcentages un peu plus difficiles des cols de Haute-Savoie (même pour un gros comme moi ). Au sommet, encore une pause et nous commençons les 33 derniers km en descente et/ou faux plat descendant. Je ne suis pas fatigué et je reprends les devants pour lui faciliter la tâche autant que possible. Il reste dans ma roue tant bien que mal. Je lui demande si on peut finir un plus fort autour des 45km/h à 50km/h de moyenne. Il acquiesce, voulant essayer de me laisser me faire plaisir aussi (j'adore ce genre de portions). Mais lorsque je me retourne, ne sont dans ma roue que d'autres participants bien à l'abri . Je me relève et l'attends pour la vraie partie descente. Nous faisons le début ensemble et je finis les trois derniers km seul histoire de me faire un peu plus plaisir. Je l'attends en bas pour faire le dernier faux plat rejoignant l'arrivée, et nous passons la ligne ensemble. Le temps, le classement, tout cela est très clairement anecdotique, déjà parce qu'à allure normale pour moi, il serait bien modeste par rapport aux coursiers comme vous, mais encore plus cette fois-ci où je me suis véritablement mué en chien Saint-Bernard, en coéquipier responsable du club. Je suis satisfait de l'avoir ramené à l'arrivée sans qu'il abandonne (et sans que ce soit non plus dangereux pour lui), mais un peu "frustré" de ne pas avoir pu me livrer totalement sur un parcours qui me correspond bien : longues montées roulantes où mon poids pénalise moins que dans les forts pourcentages. C'était toutefois bien l'intention de départ d'accompagner nos féminines (l'une a préféré rouler avec un de ses collègues de travail en partant un peu plus tard pour éviter la première grosse demi-heure sous les averses). Mais je m'étais pris au jeu car les jambes étaient là, et le début de la mission était accompli. Bref, je retournerai faire l'Ardéchoise chaque année jusqu'à avoir fait l'intégralité des parcours y compris l'originale. Pour le nombre de participants, l'organisation et l'ambiance très cyclo plutôt que sport sont absolument parfaites. Chaque ravitaillement dans les villages décorés et animés sont un enchantement pour les yeux, les oreilles et les papilles. La météo n'a certes pas été celle d'un mois de juin (humide sinon pluvieux au début, puis éclaircies, mais température fraiche), mais cela n'enlève rien au plaisir de parcourir ces routes ardéchoises semblant hors du temps et aux paysages incitant à revenir flâner tranquillement en vélo.
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Et aujourd'hui, et ce we probablement, ils vont reprendre la pluie. Quelle météo pour un mois de juin... 🤨
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Mais je n'ai pas non plus dit à l'inverse que Traen ressemblait à un "pur" nordique Pierre-Yves, juste que le cliché était répandu et pas toujours justifié. 😉
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Oui alors après ce cliché là du blond nordique, il saute très vite... J'ai joué au hockey avec un certain nombre de suédois, et ni eux ni leurs conjointes étaient tous blonds aux yeux bleus (d'ailleurs en parlant de leur conjointes, les brunes aux yeux bleus ne sont pas plus moches). Et pourtant il s'agissait tous de suédois "de souche".
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Yates a pris du temps sur tous les principaux favoris en terminant à 23" de Traen qui a bien résisté. Almeida et Skjelmose. Les outsiders qui ont perdu du temps sont : Bernal, Pidcock, Carapaz, Martinez, Mas, Gall, Uijtedebroeks.
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Je vais participer cette année sur le parcours des Boutières, en accompagnant les deux féminines de notre club sur les 134km et 2470m de D+. Vu mes piètres statistiques depuis le début de l'année, je ne vais rien viser de personnel mais chercher à être utile pour notre club en les emmenant le mieux possible. Les autres joueront au plus bas chrono.