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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Il était juste question de distance parcourue, dans ma tentative d'explication. Si c'est le nombre de tours de roue qui est pris en compte, moins on suit scrupuleusement la ligne droite dans une route rectiligne, plus le compteur "allonge" le kilométrage parcouru, même si, en distance réellement franchie, ça n'ajoute rien.
  2. Oui, c'est possible. Je présume qu'il existe un paramètre de fréquence d'enregistrement de la position et que ça doit être trop espacé sur mon Explore 2, ce qui expliquerait les segments trop longs qui coupent les virages.
  3. Un exemple de l'approximation d'une trace GPS :
  4. Je me suis borné à expliquer qu'un GPS se base sur une succession de positions enregistrées pour établir une trace et calculer la distance parcourue. C'est son principe. Le capteur de tours de roue, de son côté, va compter les rotations et en tirer une distance. Dans les deux cas, une trajectoire non rectiligne (succession de virages rapides ou cycliste maladroit qui zigzague sur la route) peut être synonyme d'approximations. J'ignore comment le logiciel embarqué dans le cyclocomputer opère le tri des informations qu'il capte, s'il utilise pour son calcul à la fois des données GPS et celles d'un capteur de roue. Si elles divergent, fait-il une moyenne ? Donne-t-il priorité à un capteur sur un autre ? No sé...
  5. Comme l'indique Gérard, le GPS tient compte des positions successives du cycliste pour calculer la distance parcourue. Le diamètre de roue (du pneu) n'est pas pris en compte par le GPS. À l'inverse, un compteur (filaire ou non) qui utilise un capteur pour compter les tours de roue nécessite que le diamètre exact extérieur du pneu (y compris un retrait de quelques mm pour l'écrasement et, si on veut être très précis, un autre retrait à mesurer et encoder au fil de l'usure du pneu) soit encodé avec soin. Mais sans aller jusque là, un compteur de tours de roue bien étalonné est plus précis que le GPS qui, lui, additionne des segments de droites entre des points de passage successifs. Plus il y a de virages et plus on roule vite (descente de col, par exemple), moins le GPS est précis.
  6. Garantie, peut-être. Il faut réclamer chez le vendeur, preuves à l'appui. Ensuite, si c'est fondé, le vendeur présente ses humbles excuses en disant que ça n'arrive jamais ; il suffit alors de lui retourner le produit défectueux et il en enverra un autre en retour. Vous saisissez, ça ? ( Comme aurait dit Raymond Goetals.)
  7. Lundi après-midi, balade avec Chérie à Curnier puis Mirabel via le Col de la Croix Rouge et la petite église perchée Saint Michel de Châteauneuf de Bordette. Pas tous les jours que ma femme se risque à vélo (électrique) dans la montée d'un col, même modeste. Ça nous a fait mériter le p'tit blanc en terrasse ! Ce matin, je suis parti seul de Nyons pour une boucle par Mirabel et le Col de Propiac, jusque Buis les Baronnies et retour par le Col d'Ey, Ste Jalle et Curnier. Quelques bonnes montées entre Mirabel et Buis, par une petite route étroite, tortueuse et bosselée, très "montagnes russes" avec de nombreuses relances et des bosses de 10 à 16%. Du monde et de la circulation à Buis (jour de marché), puis plus calme sur la route qui passe par les Gorges d'Ubrieux. La montée du Col d'Ey par le plus beau (et plus pentu) versant s'est faite sous un vent essentiellement défavorable, comme il l'a été pendant le retour vers Nyons. 62km et 980m+ au total, avec de meilleures jambes même si la condition physique laisse encore à désirer (Nyons n'est pas Lourdes, alors, pour les miracles, inutile d'espérer). Au moins, j'ai terminé sans crampes. C'est déjà ça !
  8. C'est moins chaud que la normale d'un mois de juin, en Drôme Provençale, avec du vent frais qui devrait persister quelques jours. Mais le soleil brille et, sauf à l'abri du vent, on ne se rend pas compte de la quantité d'UV dont on est bombardés. Crème solaire indice 50 de rigueur pour ma peau de blond (de plus en plus cendré avec l'âge).
  9. C'est bien, d'avoir les cales juste sous la pointe des pieds ?
  10. Le cutter, nouvel outil indispensable dans le kit de réparation. Chouette à utiliser sur le bord de la route en cas de crevaison ! 🤪
  11. L'ère glaciaire avec la planète qui se réchauffe ! Elle ne se réchauffe pas partout et tout le temps, apparemment.
  12. Jacques vivant en Belgique, il aurait bien de la chance d'avoir échappé à toutes les draches.
  13. C'est certainement sérieux. Une autre méthode est de laisser le pneu un petit moment en plein soleil (je sais, c'est une denrée rare cette année, mais avec un poil d'opportunisme, il doit y avoir moyen). Le pneu chaud est plus souple...
  14. Excellent ! Surtout quand il est question d'alimentation !
  15. J'aimerais que Bernal soit de retour au meilleur niveau. Il a montré de belles choses il y a peu.
  16. Beau temps pour rouler ce matin, avant l'envol du thermomètre. Un petit tour en grimpant Les Blaches (ça doit faire 1800m à 5% de moyenne, 7% maxi), une montée facile sur une belle petite route bien asphaltée, mais c'est à quelques centaines de mètres de chez moi, donc abordée à froid. Ensuite, direction Mirabel-aux-Baronnies, puis vers Venterol par une petite route qui n'en finit pas de monter et redescendre, avec virages, changements de braquets, relances... On croit que c'est fini, puis quand il n'y en a plus il en reste encore. J'y ai croisé pas mal de cyclistes, bien que la route soit sautillante par endroits, signe qu'elle est appréciée malgré tout. Les vignes poussent bien et, partout, les genêts sont couverts de fleurs. Même s'il ne se voit pas, le jasmin embaume l'air à bien des endroits, tant son parfum suave est emmené au gré du vent. Ensuite, traversée de Nyons et boucle jusqu'aux Pilles avec retour via le Col de la Croix Rouge. Quelques cyclistes par là aussi. 53 km et 805m D+. Rien d'affriolant, mais compte tenu de mon manque d'endurance (1400 km seulement depuis janvier, dont zéro en mai), les sorties de cent bornes ne sont pas pour demain. Patience et obstination ! Il en faudra, mais l'environnement incite davantage à rouler que la météo et les routes du Hainaut !
  17. 😳 Non, non, je ne regrette rien, inutile d'essayer.
  18. Les pneus des vélos de course sont trop étroits pour être sujets à l'aquaplaning.
  19. Dynamo, garde-boue, porte-bagages, pneus increvables ou presque... Toutes ces exigences sont peu synonymes de légèreté. En vélo, tout est affaire de compromis. Les pneus, par exemple, quand ils résistent bien aux crevaisons, ils sont assez durs et lourds. Ce qui ne veut pas dire qu'ils ne subiront pas de crevaisons. Ils en auront moins, c'est probable. Mais quand ils en auront une, ce sera galère pour réparer. Compromis, compromis... J'ai velotaffé et je ne me suis jamais enquiquiné avec une dynamo (de moyeu). Les meilleures sont chères et, pour le même prix, des lampes rechargeables font facilement le job. Les batteries actuelles sont bonnes et les DEL ont un rendement intéressant. Les dynamos, c'est bien quand on ne peut pas recharger facilement. Je visetais un VTT tout rigide ou à suspension seulement à l'avant, du moment qu'il a les oeillets pour accueillir g-b et p-b.
  20. C'était juste une averse, des grosses gouttes tièdes (il faisait près de 30 degrés C), peu serrées. L'atmosphère en a été rafraîchie. La terrasse est déjà presque sèche sous le soleil. Ouf ! Je l'ai échappé belle !
  21. Pour moi, juste une bonne vingtaine de km ce matin pour des repérages du côté de Vinsobres (ça monte bien, là). Il a fallu venir à Nyons pour enfin sortir en court (haut et bas). En Belgique, cette année, j'avais osé une ou deux fois le cuissard court, mais jamais les manches courtes. Depuis octobre 2023, pas une seule semaine de temps convenable, en effet. C'est long !
  22. Vous allez rire : ici, à Nyons, il pleut. Je vais finir par raser les murs.
  23. La pluie ? Quelle pluie ?
  24. Plutôt ensoleillé sur Nyons, mais assez venteux pour n'avoir pas trop chaud. D'après les autochtones, le temps du mois de mai était un temps d'avril. Juin commence au sec, sans fortes chaleurs pour l'instant. Après plus d'un mois d'arrêt, j'ai ressorti le vélo pour 63 km et 620 D+, par Curnier et Sainte-Jalle, en continuant vers La-Bâtie-Verdun et le sommet du Col de Peyruergue, où j'ai fait demi-tour pour rentrer par le même chemin. Une montée facile, en principe, qu'un cycliste moyen en bonne condition monterait en sifflotant. Pas mon cas ! Les jambes n'y étaient pas, même si j'ai mieux géré la fin de la montée que le début. Dans la descente, arrêt pour des images des abricotiers, où les fruits commencent à mûrir. Certaines parcelles sont couvertes comme d'une toile d'araignée par des filets à mailles fines. Au retour, malgré les descentes et faux plats descendants, j'étais au bout du rouleau, avec des crampes sur le dessus des cuisses. Il est temps de s'y (re)mettre !
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