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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Les cyclistes français ont des hauts et des bas.
  2. Rouler comme ça aurait peut-être l'avantage d'inverser un peu le bronzage des guibolles.
  3. De toute façon, tu ne vois pas qu'il a froid, puisqu'il est déjà bleu.
  4. Ce matin, je n'ai pas négligé de me lever tôt pour partir encore plus tôt (non, quand même pas, mais presque aussi tôt). Démarrage à la fraîche (22°C sur la terrasse abritée, 19 au grand air avant que le soleil ne tape), dès 6h30, comme de nombreux cyclistes que j'ai croisés et celui qui m'a dépassé dans le Colombier. Au total, 74km/1013m+ ; avec peu de vent mais défavorable dans la descente vers Grignan, où je fus limité à 59,2 km/h. J'ai vidé mes deux bidons, les ultimes gorgées au retour après avoir rentré le vélo. Déjà plus de 30 degrés à l'ombre à l'heure de casser la graine. L'après-midi sera plus reposant !
  5. Franchement, j'ai bien cru que tu allais écrire ensuite que c'était des VAE ! 😂
  6. En effet, pour se concocter un parcours à moins de 1% d+, il faut vraiment chercher. Dès qu'on dépasse 70 bornes, on est presque déjà obligatoirement à 1000m+. Moi, ce sont les longs bouts de plat et faux plat qui me tuent, surtout s'il y a un vent défavorable. Les côtes, c'est dur... mais il y a les descentes. Et puis, c'est tellement magnifique, comme tu l'écris.
  7. Non, pas un espace privé pour quelques potes. Certainement pas. Je dialogue volontiers avec tout le monde, tant que cela reste courtois. Quelqu'un qui n'est pas de mon avis, je le respecte, lui et son avis, tant qu'il respecte le mien. Si j'ai des choses gentilles à écrire, je ne vois pas pourquoi il faudrait le faire en privé. Cela signifierait que ce forum est fait pour échanger des choses exclusivement pas gentilles... À force d'échanger avec les gens, s'ils restent longtemps et reviennent souvent, on finit par les connaître un peu, avoir envie de les rencontrer, même ; de faire un bout de route avec eux à l'occasion. Personne n'est exclu. Tu as peut-être tendance à croire qu'on te rejette, qu'on t'en veut, qu'on est tous de connivence pour te chercher misère, mais c'est inexact. J'apprécie bon nombre de tes propos, tu as de l'expérience, tu es compétent et plus "performant" que bon nombre d'entre nous. Tu as apparemment des potes qui roulent avec toi et qui sont "performants" aussi, mais tout le monde n'a pas les mêmes dons. Vous pouvez être nombreux, vous restez une minorité. Il me semble inopportun de te poser en martyr parce que nous ne sommes pas toujours d'accord avec ce que tu écris. Tu es le bienvenu, et tant que tu restes courtois, il n'y a pas de souci.
  8. Moi qui suis pourtant frileux, j'hésiterais à sortir par les températures actuelles (36 à l'ombre, en ce moment). En partant très tôt (à l'aube, en réalité), aujourd'hui ça signifiait 21°C. C'est convenable, mais je ne le sentais pas. Demain, même temps prévu, mais je me lèverai plus tôt, histoire de rouler un peu et de rentrer avant les trente degrés à l'ombre.
  9. Mon expérience récente me conforte dans ma conviction que les côtes du Ventoux sont nettement plus faciles à descendre qu'à monter. Beaucoup plus dangereuses aussi, surtout en présence de la Maréchaussée.
  10. Déjà 21 degrés à l'ombre ce matin à 6h30. Maintenant, presque 30. Contrairement à hier, le vent est extrêmement discret. La piscine est presque trop chaude (28-29°C) bien qu'on ne l'ait pas couverte la nuit. Il faut être généreux en chlore le soir, sinon la chaleur et les UV de la journée commencent à troubler l'eau.
  11. Je ne sais pas si c'est un effet de la chaleur, mais je me suis réveillé tardivement ce matin (7h00) et le thermomètre à l'ombre sur la terrasse affichait déjà 21°C. Je ne suis sorti à vélo que vers 8 heures, bien plus tard qu'envisagé. Un petit 39 km et 571m+, par la montagne via Vinsobres, Mirabel et Les Blaches pour arriver au marché de Nyons et faire provision de saucissons avant de rentrer à Valréas par la voie la plus courte. Il y avait un peu de mistral, mais à peine frais et, à mon retour, le thermomètre indiquait 29 degrés. Douche, repas léger, sieste... Plus grand chose de motivant à faire dans les 33°C qui régnaient après-midi. J'aurai quand même roulé !
  12. Il faut relativiser, ces derniers temps. En Ille-et-Vilaine, où ils étaient sous eau il y a quelques mois, c'est à présent la sécheresse qui sévit ! La Belgique a connu un printemps exceptionnellement sec ; en Drôme Provençale, il faisait plutôt inhabituellement humide au même moment. Nous sommes en marche pour des bouleversements climatiques. Il faudra "faire avec", car les espoirs de ralentissement du réchauffement climatique sont anéantis par un égoïsme généralisé et la recherche par les multinationales d'un profit maximal sans aucun scrupule pour la décrépitude du Monde de demain. J'essaie de faire des efforts ; c'est difficile, mais au moins j'essaie. Une goutte d'eau dans l'océan, mais qui sait ? Tout déluge commence par quelques gouttes.
  13. C'est loin d'être simple pour les frites ! Surtout le haut. Près du corps, ce serait S ou XS, mais c'est trop étroit en carrure ou, en manches longues, trop court sur les poignets. 🤔
  14. Je connaissais "En voiture, Simone" et "Chauffe, Marcel". "En Selle, Marcel", je trouve que ça sonne bien aussi.
  15. À noter qu'à table, une seule position permet quand même de descendre tout simplement des plats-de-côtes.
  16. Ce n'est pas rare, comme situation. Il y a un tas d'endroits en France où c'est aussi devenu "mort" question activités économiques. Valréas a connu ses heures de gloire dans les années 80-90, avec le cartonnage et l'imprimerie. Ensuite, cette activité a périclité, le centre ville a perdu de nombreux commerces et s'est paupérisé. Un cas classique. En même temps, quelques villes proches, comme Nyons et Grignan, misaient à fond sur le tourisme avec le résultat qu'on connaît. Suffit de voir le monde qu'il y a en haute saison ! Ce n'est pas sans inconvénients non plus, avec des activités en dent de scie et une partie des commerces devenue très saisonnière. Quant au prix de l'immobilier... ☹️ À Valréas, dans les quartiers résidentiels périphériques, on trouve encore de belles propriétés, au calme et à des prix raisonnables. Cela reste dans un chouette environnement, avec encore beaucoup de commerces (2 zones commerciales bien actives, à moins de 2 km, qui drainent la population des alentours). Il ne manque rien... sauf des toubibs, bien sûr, mais c'est un souci très répandu et peu de régions y échappent.
  17. Ce matin à 7h00, déjà 21°C. Maintenant, 29. Ce sera chaud, mais il y a un peu de vent de nord, aujourd'hui. C'est plus aéré qu'hier.
  18. Nous avions fait un court séjour, il y a quelques années, et logions dans une auberge au bas du Col du Bonhomme, côté alsacien. Les nuages restaient calés en haut, sur les Vosges il pleuvait bien, à l'est cela restait sec. La patronne de l'hôtel nous a dit que c'était habituel. Des Alsaciens nous ont raconté que Colmar est une des villes de France où il pleut le moins... C'est en tout cas très joli par là.
  19. L'Alsace, ça nous tentait aussi, mais c'est cher pour de pauvres retraités belges. On s'est rabattus sur la Drôme Provençale et l'Enclave des Papes. En cherchant bien, on a fini par trouver.😁 L'environnement est super pour le vélo et d'autres sports de plein air. Ici, sur la Montagne de la Lance, il y a même une aire d'envol pour les parapentes...
  20. Même temps qu'hier, mistral excepté. De 20 degrés à 7h, nous sommes passés à 32 cet après-midi. Encore 30 degrés à 19h50. Toutes ces températures mesurées à l'ombre, évidemment. Demain devrait être aussi chaud, avec peut-être un peu de vent l'après-midi.
  21. Je me souviens très bien du drame de Pra-Loup et j'ai aussi en mémoire ceux d'Orcieres-Merlette et de l'orage au col de Mente. Ce sont de poignants reportages que nous faisait vivre Luc Varenne, c'était pendant les congés payés de mon père. Nous ne partions pas en vacances, Papa en profitait pour bosser dans ou autour de la maison et, tout gamin que j'étais (13 ans en 71), je l'aidais souvent (apporter des briques, jardiner...). Nous écoutions avidement les reportages et les exploits d'Eddy racontés avec l'immense parti-pris et le sens du drame de Luc Varenne. Les moments les plus poignants devenaient une pause, parfois l'outil encore à la main.
  22. En Belgique, cela me semble faisable. Ici en Provence, beaucoup moins, car le thermomètre, en ce chaud mois de juin, ne descend vraiment qu'après 20h. C'est sûr que le soleil tape moins dur en fin d'après-midi, mais il faut attendre 18h (n'oublions pas nos presque 2h d'avance, à l'heure d'été, sur l'heure solaire). En outre, j'ai le tempérament d'un lève-tôt qui préfère se mettre en selle le matin à la fraîche. Mais c'est bien de pouvoir le faire le soir, de temps en temps. Peut-être que j'essaierai, à l'occasion. Édit. : De 32°C en début d'après-midi, nous sommes retombés à 31°C et il sera bientôt 18h30. Le soleil est encore ardent... 😅
  23. J'étais tout gamin, mais nous écoutions aussi la radio, Luc Varenne et Georges Malfait qui suivait (et précédait) les coureurs sur la moto et transmettait les écarts. Pas de GPS à l'époque, le reportage TV commençait à quelques kilomètres de l'arrivée ; et quand les coureurs étaient en retard sur l'horaire (il y avait des étapes super tranquilles), on voyait une horloge tourner sur l'écran avec en message "bientôt le tour de France"...
  24. C'est une formidable compilation d'un tas d'extraits de reportages et d'interviews d'époque. C'est touchant. Et les commentaires de Rodrigo Beenkens sont intéressants. Grandeur et décadence d'un des plus grands cyclistes de tous les temps. Un grand champion, plutôt timide et réservé, peu charismatique mais qui se cherchait rarement des excuses lors de ses contre-performances. Il avait beaucoup d'adversaires, son écrasante domination lors de certaines saisons lui mettait sur le dos une coalition d'opposants et sa carrière de champion ne fut pas une vie facile.
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