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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Nous, on dit : "encore un peu de grenadine ?"
  2. Très peu roulé cette semaine, après les 55km de lundi à part une bonne vingtaine de kilomètres cumulés de petites sorties pour les emplettes avec la randonneuse, et 42km/525m+ mercredi matin avant la forte chaleur. Le reste du temps, c'était avec la famille en visite dans la région ou en séjour chez nous. Ça faisait du monde autour de la table et pas mal de bouteilles vides à aller déposer dans la bulle à verre. Par ces températures, le rosé bien frais, c'est gouleyant ! 😂
  3. Très beau, ton vélo, Didier. Les gens bien informés disent qu'il est possible de faire un vélo confortable en acier, en carbone, en titane... Et sans doute dans d'autres matériaux. Moi, je trouve le titane particulièrement sobre et élégant.
  4. Hier vers 18h, nous prenions tranquillement l'apéro sur la terrasse et... La région nous a joué un air connu : pas de vent ; et puis soudain ça souffle brutalement au point d'envoyer valdinguer un tas d'objets, soulever des débris végétaux et arracher des feuilles aux arbres... Nous avons rapidement tout mis en sécurité (en commençant par nos verres). Il a fait plus sombre, nous avons vu des éclairs dans le lointain ; mais il n'est pas tombé une goutte et le ciel s'est dégagé peu à peu. Ce matin, temps ensoleillé, il va faire chaud cet après-midi. En attendant, nettoyage de la piscine et des filtres, redéploiement des parasols... Pas en forme pour le vélo. Trop chaud !
  5. Les VAE ne me dérangent pas tant qu'ils ont l'air de ce qu'ils sont. Ceux qui roulent sur des VAE non plus ; mais parmi eux j'en vois beaucoup, ici dans le Midi en période de vacances, qui ne maîtrisent pas très bien l'engin et s'aventurent dans les cols en short, tee-shirt, sandalettes... et sans casque. La majorité de ceux-là sont des couples d'âge mûr, peut-être sur des engins de location. Cela pose question. Et les loueurs de vélos ont beau mettre les clients en garde quant à l'autonomie des batteries... ☹️
  6. Nicolas JOARY

    Emporter plus d'eau

    Quand on voit des images anciennes de coureurs avec deux bidons accrochés devant le cintre, on se dit que là, au moins, c'était directement sous la main. Pas comme le changement de vitesses. Maintenant, c'est les leviers de vitesses qui sont à portée de main, les bidons ont migré sur le cadre.
  7. Nicolas JOARY

    Emporter plus d'eau

    Moi, je bois aussi beaucoup. Et j'adore pi**er. C'est des sensations ! 🤪
  8. 13 - 14 degrés, ce n'est pas rare. Ils vendangent même souvent aux heures fraîches de la nuit, pour apporter au pressoir du raisin qui ne soit pas trop chaud. Cela aide à maîtriser mieux la fermentation. La teneur en sucre du raisin, avec les températures moyennes en hausse, est devenue problématique. Les vendanges se font aussi de plus en plus tôt (on commence déjà en août, seconde quinzaine).
  9. Hier soir, c'était plus sombre sur Valréas et nous entendions des coups de tonnerre lointains vers le nord-est. Finalement, pas de pluie ici et tout s'est dégagé. Déjà 30°C à l'ombre à 10h aujourd'hui matin.
  10. Nicolas JOARY

    Emporter plus d'eau

    J'ai deux grands bidons comme ça. Mes porte-bidons en alu s'en accommodent bien. Par contre, ce n'est pas très pratique à manipuler depuis le porte-bidon fixé sur le tube de selle, avec les cadres "sloping". Il faut "inverser", quand celui de devant se vide. Généralement, on fait comme ça car on a souvent une préférence pour un des deux emplacements, l'autre servant pour le bidon de réserve. Mais quand on prend un bidon sucré et un bidon eau seule, ça peut être un peu moins pratique. Je n'ai jamais essayé sur mon vélo de route le p-b SKS mentionné précédemment. Il tiendrait bien sur le tube supérieur. J'essaierai un de ces jours.
  11. Nicolas JOARY

    Emporter plus d'eau

    Et c'est en cours de route que tu t'aperçois que tu as oublié le tire-bouchon ! Évidemment, en chemin, tu peux trouver un brave gosier sec équipé de l'engin adéquat ; mais voilà : si c'est un gosier sec...
  12. Nicolas JOARY

    Emporter plus d'eau

    Ici, effectivement, pas facile de trouver de l'eau dans un cimetière ou une fontaine, souvent marquée "non potable" quand on en trouve. Il y a deux ou trois "fontaines à eau" que je connais et utilise parfois (Allan, Solérieux) ; j'ai aussi pu remplir discrètement, il y a peu, dans une aire pour camping cars. J'ai aussi un porte-bidon SKS Anywhere, qui se fixe avec des velcro. Je l'utilisais en vélocamping, pour emporter un troisième bidon. Ça tient plutôt bien.
  13. Collusion avec l'UCI, ça se voit pas quand tu pi**es. C'est peut-être le plus efficace ? 🤪
  14. Je pourrais peut-être passer du 32, mais avec les C17, je n'aurais plus cette forme ronde pour moi idéale avec les 28. Surtout depuis que j'ai mis des tpu. Ma randonneuse a pour l'instant des 32 sur des C17, la forme est plutôt "en ampoule". Ce que je gagne en confort, c'est perdu en "peps" question roulage. Compromis, comme toujours.
  15. Eh ben moi, en ces périodes très chaudes, je n'avance pas ! Déjà, un autre temps, ce n'est pas terrible, mais là... Et pourtant, je supporte assez bien la chaleur, même si j'évite de faire des efforts aux heures les plus chaudes. Et même avant d'habiter dans le sud de la France, j'avais aussi ce "coup de mou" au milieu de l'été. C'est dû, je pense, à mon rythme de sorties autant qu'à l'effet de la chaleur. Au sortir de l'hiver, les balades s'intensifient et s'allongent jusqu'au "pic de forme" (tout est relatif) de mai-juin. Ensuite, ce n'est plus aussi bien. Mais je trouve souvent, après le coup de mou estival, une nouvelle période plus satisfaisante à l'automne. Ça tombe bien, car c'est pour moi la plus belle saison, dans le Midi. Sinon, pour en revenir au thème de cette discussion, trop souvent négligé ces derniers temps, je signale que tout est toujours OK avec les TPU. J'ai essayé de baisser encore un peu la pression de gonflage ; à 4,5 Bar à l'arrière et 4 à l'avant dans mes pneus de 28, mais cela ne m'a pas rassuré. Les petites routes sont rugueuses, moins de pression augmente le confort, mais le passage de petites bosses (asphalte soulevé par des racines, par exemple) me fait craindre la "pincette". Pour gonfler moins, il faudrait passer au tubeless. Pas dans les projets immédiats...
  16. Nous sommes tous dans une période de hautes températures et, par endroits, de sécheresse. Ici, dans l'Enclave des Papes, nous n'avons pas vu une goutte depuis plus de trois semaines (la drache du petit matin du 21 juillet, en hommage aux Belges expatriés dans le Midi). Hier, sous abri, c'était 38°C. Cela ne devrait guère différer cet après-midi et, selon les prévisions, les orages ne seront pas pour nous. Mais qui sait ? Un débordement de quelques kilomètres un peu plus au sud-est suffirait peut-être.
  17. Ah, ça ! Les bonnes routes belges... Mieux vaut tenir les mâchoires bien serrées. Ou alors, laisser les dents à la maison dans leur gobelet.
  18. Je te dis pas ce que nous sommes ici. 🤪
  19. Moi, ce que je trouve marrant, c'est les pédales, avec le pas gauche et le pas droit. Le problème se corse quand on utilise une clé Allen de l'autre côté... 🤔
  20. "Le faire évoluer". C'est bien là le danger.
  21. Incurables !
  22. Mettre déjà sous pression un gaillard aussi jeune, ça peut faire du dégât. Qu'on lui f* la paix et qu'on le laisse mûrir à son rythme, c'est le mieux qu'on puisse faire. Et je pourrais en dire autant côté belge à propos de Jarno Widar.
  23. Les changer 1x l'an, ça ne me semble pas un luxe, de toute façon.
  24. J'ai souvent pratiqué la rando par le passé, mais jamais avec des bâtons. Mais bon, en Belgique... J'allais aussi parfois dans les Vosges, dans l'Esterel, le Luberon et les pentes du Ventoux. Jamais eu envie ni besoin de bâtons pour grimper ni même pour descendre. Ici aussi, je m'en passais mais Chérie en utilisait. Un jour, en redescendant du sommet de Saint-Jaume dans la caillasse qui se barrait à chaque pas, Chérie m'a passé un de ses bâtons de rando. C'était vraiment dangereux et, sans cette aide, j'aurais pu facilement chuter et, compte tenu de la pente et de l'étroitesse du sentier, dévaler assez pour risquer ma peau. Depuis, quand je pars en rando sur du fort dénivelé, j'emporte les deux bâtons que j'ai achetés. Ils sont repliés et accrochés à mon sac à dos. Ils servent très rarement, quand il y a une descente technique, par exemple. Souvent, Chérie me reproche de ne pas les utiliser, surtout si de la caillasse roule sous un de mes pieds. Récemment, je m'en suis bien servi. Et des deux à la fois, en descendant plein pot un tronçon du GR9 sur le flanc de la Montagne de la Lance. Sans eux, non seulement j'aurais été beaucoup moins vite, mais je me serais gamellé dans la caillasse si j'avais essayé d'accélérer l'allure. Ils ne servent pas souvent, mais en montagne, c'est chouette de les avoir. Surtout qu'ils peuvent avoir d'autres usages, par exemple pour un bivouac improvisé. Et un petit tarp et de la corde dans le fond du sac, ça ne pèse quasi rien.
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