Nicolas JOARY

17°C ! 😱

Je m'interroge souvent quant aux pourcentages des pentes. Entre ce qu'annoncent Open Runner et Garmin Connect avant le départ ; ce qu'indiquent Garmin Edge et les éventuels panneaux au bord de la route dans les cols ; et aussi les indications de Climb Pro pendant la montée, il y a de quoi se gratter le crâne. Aux sensations et suivant le braquet utilisé, on a en effet parfois l'impression que les données fournies sont inexactes.

Je n'ai pas remarqué de différence flagrante de qualité entre Shimano, SRAM et KMC ; les trois marques que j'ai utilisées. Je parcours d'ailleurs trop peu de kilomètres pour me permettre de comparer autrement que d'une manière beaucoup trop subjective. Je préfère le maillon rapide KMC, raison pour laquelle j'achète généralement cette marque.

C'est l'histoire du garagiste qui meurt et se présente, furieux, devant Saint Pierre... - Mais ça va pas, non, de me faire mourir maintenant ? Je viens seulement d'avoir 42 ans ! - Heu... Désolé, monsieur, mais si j'en crois mon registre des heures de main-d'œuvre que vous avez facturées à vos clients, vous avez 83 ans !

J'en suis tout retourné.

C'est souvent noir, en effet. À noter qu'au rayon VTT, ils ont parfois des trucs plus voyants. Probablement pour que l'automne venu, dans les bois les chasseurs ne confondent pas cycliste et sanglier.

J'ai jamais eu l'impression d'être ridicule sur mon vélo. Mais c'est mon impression, seulement.

Nord-Est du Hainaut ? En un mot : dégueulasse. ☹️

Ici, ça mouille souvent. ☹️ Cela dit, essuyer toutes les cinq minutes dans de telles conditions, c'est difficilement évitable. Peut-être que quand on est très rapide et "aéro", avec des lunettes étudiées en soufflerie, l'eau glisse sur les côtés ? Est-ce que quelqu'un a déjà essayé un produit style "Rain-X" sur une visière de casque ? Sur des lunettes à 500 boules, j'hésiterais de peur de dégrader un éventuel traitement de surface des verres, mais sur la visière d'un casque de chez Alitruc, pourquoi pas ? J'ai encore un peu de ce produit dans mon garage, j'essaierais bien, à l'occasion...

Je suis sorti tôt ce matin, 6°C mais pas de pluie et relativement peu de vent. J'ai consenti davantage d'efforts de volonté que d'efforts physiques pour rouler 34 km dans la circulation et la pollution atmosphérique et sonore, sur les routes sales et humides du N-E du Hainaut. À présent il pleut, le vent souffle en rafales et il ne fait pas moins frais. Il me faudra encore de bonnes doses de volonté pour atteindre le modeste objectif des 400 km parcourus ce mois-ci !

Excellent !

Oui, en Belgique on n'est pas aidés pour le sport. À la suite de l'écrasement de mes Julbo correctrices photochromiques (excellentes, mais déjà 500 boules il y a quelques années) par une Mercedes (ma faute de les avoir laissé choir au mauvais moment), j'ai essayé les verres de contact à usage unique, mais je ne les supporte pas. Rien que les mettre et les enlever, c'est déjà la galère ! J'ai plus ou moins rafistolé les Julbo, mais un des "verres" a un gros pli dans le milieu (j'ai légèrement chauffé pour le redresser). J'ai en commande un casque à visière chez Alimachin, modèle suggéré dans une autre discussion. Pas cher, voir la qualité, mais c'est surtout pour un essai avec des lunettes de ville par dessous. Après, on verra (et c'est le cas de le dire) !

Les fins de saison, souvent, c'est un peu en dents de scie. Sortir dans le mistral (ou dans le froid et l'humidité comme d'autres aujourd'hui), ce n'est certainement pas facile non plus. C'est bien de l'avoir fait.

Bel écart de températures ! 👍

👍

Don't feed the troll.

N'étant pas une mauvaise langue, je m'abstiens d'émettre un commentaire de mauvaise langue. 😇

Plusieurs fois pour moi. Et rien à voir avec un pincement au montage. Morceau de verre, grosse épine, silex. À chaque fois dans le pneu tout neuf. Il y a peut-être une explication rationnelle ?

Les crevaisons, sauf si on utilise des pneus médiocres ou inadaptés à notre pratique, c'est essentiellement une question de malchance. À chaque sortie, tu vérifies la pression ; tu contrôles régulièrement l'état des bandes de roulement ; tu changes avant que ce soit trop usé... et tu peux avoir deux ou trois crevaisons le même mois. Puis, tu es tranquille pendant six mois ou toute une année. Ce qui est curieux, c'est le pneu tout neuf qui crève (grosse épine, morceau de verre) à la première ou deuxième sortie ; alors que le vieux quasi usé jusqu'à la toile n'avait pas été percé depuis des mois.

Vous ne pouvez pas tout avoir, non ? Ici, en Hainaut, vent très faible, de belles éclaircies (si, si !), pas de pluie (incroyable). Cela ne durera pas, malheureusement ! Pas de vélo aujourd'hui, malheureusement aussi, mais la taille des haies ne pouvait plus attendre et j'ai d'autres obligations pour cette fin d'après-midi.

Vous ne pouvez pas tout avoir, non ? Ici, en Hainaut, vent très faible, de belles éclaircies (si, si !), pas de pluie (incroyable). Cela ne durera pas, malheureusement ! Pas de vélo aujourd'hui, malheureusement aussi, mais la taille des haies ne pouvait plus attendre et j'ai d'autres obligations pour cette fin d'après-midi.

Bruno, une chute sans gravité, c'est difficile... (Oui, je sors...)

Mieux !

Je ne pense pas que ce soit un privilège de Bryton. C'est pareil avec Garmin. Je trace également sur OpenRunner, qui me donne kilométrage et dénivelé. Je transfère le GPX sur Garmin Connect, qui confirme le kilométrage mais indique un dénivelé moindre. Je charge le parcours sur le GPS Edge, qui après la sortie confirme plus ou moins le kilométrage et indique encore un dénivelé différent (après avoir, au départ, indiqué "altitude étalonnée à cette position", si j'ai en tête l'exacte formulation). Activité enregistrée et transmise à Garmin Connect, qui propose option de correction du dénivelé (se basant sur le fait que l'altimètre barométrique du GPS manque de précision). Donc, pour un seul parcours, quatre dénivelés différents. Lequel est le bon ? Là, va savoir ! Le kilométrage correct est donné par mon compteur filaire, bien étalonné et qui compte les tours de roue avant et pas l'addition de longueurs de segments de droites entre des points GPS. (C'est d'ailleurs amusant de superposer la trace GPS enregistrée et le chemin parcouru, particulièrement dans des virages en lacets).

J'ai aussi déjà vu ce genre de dispositif en DIY dans la voiture d'un cyclo. Une voiture à l'arrière assez carré, style Berlingo, c'est pas mal pour ça et le vélo est à l'abri et en relative sécurité. Le porte-vélos sur l'attelage, c'est super, sauf quand la météo est dégueulasse et les routes aussi, comme en ce moment dans le nord. J'ai aussi vu un Anglais qui mettait les vélos sans leurs roues sur un porte-vélos sur hayon.