Bernard MOREAU Posté il y a 6 heures Auteur Posté il y a 6 heures Marquez n'étant pas intervenu, c'est lui qui attribuait la mort de Salanson au dopage, je cite le cardiologue Carré qui avait son dossier : 11/06/2007 - cyclismag.com - Pierre Carrey Quatre ans après la mort subite de Fabrice Salanson, la veille du Tour d'Allemagne, son cardiologue, le Pr François Carré honore sa mémoire avec le Club des cardiologues du sport, qui parraine une Bourse de recherche Salanson. Il explique à Cyclismag pourquoi le risque zéro de mort subite n'existe pas chez les sportifs. Cyclismag : Quel souvenir gardez-vous de la mort brutale de Fabrice Salanson survenue dans la nuit du 2 au 3 juin 2003 ? Pr François Carré (1) : J'étais dans l'avion quand j'ai appris sa mort, je revenais de l'étranger. Je suis rentré immédiatement à mon cabinet pour consulter son dossier, qui remontait trois ou quatre ans en arrière, quand je le suivais avec le CHU de Rennes. Je voulais voir si le dossier comportait une anomalie. Un cardiologue n'a pas droit à l'erreur. Il a toujours peur d'être mis en cause pour une erreur de diagnostic ou de dépistage si l'un de ses patients, auquel il a délivré une licence sportive, décède brutalement. Le dossier vous est-il apparu "normal" ? Tout à fait. Et voilà pourquoi, quatre ans après, j'ai accepté, très touché, la proposition de sa famille et de son ex-manageur Philippe Raimbaud de parrainer une Bourse de recherche à la mémoire de Fabrice Salanson. Celle-ci récompense les chercheurs qui travaillent à améliorer la prévention de la mort subite chez les sportifs. Car, au fond, c'est terrible à dire, mais c'est à cause des accidents qui arrivent que la science progresse. « LE SPORT N'A PAS TUÉ SALANSON » De quoi est mort Fabrice Salanson exactement ? Je n'ai pas eu accès aux résultats de l'autopsie, mais il est très certainement mort d'une anomalie du coeur qui n'a pas été détectée. Contrairement à ce que certains pourraient penser, ce n'est pas le sport qui l'a tué. Le sport ne provoque pas une pathologie cardiaque, il la révèle. L'incident est rare, heureusement. Il touche une personne sur 200 000 dans une population de sportifs âgées de moins de 35 ans. Avant la publication des résultats de l'autopsie, on a soupçonné le dopage d'avoir provoqué la mort de Fabrice Salanson. Cela vous choque ? Oui. C'est trop simpliste. Grâce à ce genre de raccourci sensationnel, les médias peuvent vendre un peu plus de journaux. Pour certains d'entre eux, il est préférable de dire qu'un coureur est mort du dopage que d'une maladie génétique, congénitale, voire d'un manque de chance. Vis-à-vis de la famille et de la mémoire du sportif, c'est une faute éthique de parler sans savoir. Y-compris pour les médecins, qui s'expriment parfois sans attendre les résultats officiels de l'autopsie. « UNE ENQUETE TOXICOLOGIQUE POUR ÉVITER LES SOUPCONS » Laquelle autopsie conclut fatalement à un arrêt du coeur ! Comment écarter définitivement le soupçon du dopage en cas de mort subite ? En incluant une enquête toxicologique aux autopsies de chaque sportif. J'espère qu'une loi rendra bientôt cette pratique obligatoire. J'espère aussi qu'on va systématiser le prélèvement d'ADN lors de l'autopsie pour définir si la mort subite est due à une maladie génétique. Dans 5 à 10% des cas, l'autopsie est dite "blanche", elle ne permet pas de connaître la cause du décès. Et je pense que dans ces cas-là, les causes sont d'ordre génétique. La mort subite chez les sportifs est un sujet dont on parle un peu plus dans les médias... La population ne s'attend pas à voir s'écrouler tout à coup des gens censés représenter la santé, la pleine forme, la jeunesse. On entend même lors des accidents, des voix qui 'élèvent pour dire : "Regardez, le sport, cette personne-là ne savait pas en faire !" Ou bien : "Le sport de haut niveau est dangereux pour la santé" ! « LE SPORT N'EST PAS DANGEREUX POUR LA SANTÉ » Pourquoi contestez-vous ce lieu commun ? Les chiffres sont très difficiles à fournir, car plusieurs paramètres entrent en jeu. Disons qu'une population qui ne pratique pas un exercice physique régulier et qui devrait fournir un effort comme courir derrière son bus ou tailler sa haie, le risque d'infarctus est de 100. Pour une population qui fait un exercice physique régulier, le risque n'est plus que de cinq. Le sport n'est pas dangereux pour la santé. L'espérance de vie pour une population de sportifs sains est égale voire supérieure d'un an à celle d'une population de personnes non sportives. Pour les articulations, c'est vrai, le sport peut provoquer des dommages. Mais pas pour le coeur ! J'ai la chance d'étudier le coeur de plusieurs sportifs de haut niveau. Il s'agit d'une véritable Formule 1. C'est-à-dire ? En cas d'effort très intense, le coeur de Monsieur-Tout-Le-Monde passe d'un débit de 5 litres par minute à 25 litres. Chez un sportif, il monte entre 35 et 40 litres ! « L'ORGANISME DES SPORTIFS EST HABITUÉ A LA CHALEUR MAIS PAS CELUI DE MONSIEUR TOUT-LE-MONDE » Le Club des cardiologues du sport édicte des règles d'or pour éviter la mort subite (lire ici). "Je ne fais pas de sport intense si j'ai de la fièvre, ni dans les 8 jours qui suivent un épisode grippal (fièvre plus courbatures)". Voilà une règle que piétinent bon nombre de cyclistes de haut niveau ! Non, les médecins d'équipe sont de plus en plus respectueux de cette recommandation. Il faut dire que selon les études, 8 à 10% des morts subites qui surviennent dans la pratique du sport sont dues à des myocardites, des "courbatures du coeur". Autrefois, après une grippe, les médecins prescrivaient une période de convalescence. Aujourd'hui, on demande toujours de respecter un repos de huit à dix jours. Autre règle que vous préconisez : "J'évite les activités intenses par des températures extérieures inférieures à -5 ou supérieure à 30 degrés". Comment les coureurs du Tour de France vont-ils exercer leur métier ? Ils courent tous les jours. Leur organisme en général s'habitue à la chaleur. Mais, si Monsieur-Tout-Le-Monde veut pratiquer du sport par 35°, il prend un risque. Il y a deux ans, un participant du Marathon du Mont-Saint-Michel est décédé d'un coup de chaud. Depuis, les organisateurs ont fait passer l'horaire de départ de 9h à 19h. Sera-t-il possible un jour pour un sportif de haut niveau de recevoir un diagnostic à 100% fiable, qui lui permette de pratiquer sa discipline sans risque de mort subite ? Le risque zéro n'existe pas. La science pourra progresser, les maladies génétiques, par définition, continueront d'apparaître. Mais nous souhaitons affiner notre travail de détection. Par exemple, le Dr Jean-Claude Verdier, le premier lauréat de la Bourse de recherche Fabrice Salanson, a travaillé sur une maladie particulière qui provoque des arrêts cardiaques. Au niveau européen, nous voulons travailler sur l'ensemble des maladies. Nous devons en particulier améliorer nos appareils électrocardiogrammes et leur fournir une base de renseignements correspondant à une population de sportifs. A ce niveau, la France est encore en retard sur des pays comme les Etats-Unis ou l'Italie. (1). Le Pr François Carré est professeur à l'Université de Rennes I et médecin au CHU de Rennes. Il préside le Club des cardiologues du sport. --------- C'est dans cyclisme-dopage que j'ai trouvé ces 2 articles. Je m'étonne que Marquez qui connaissait bien Salanson n'ait pas été au courant de ces 2 articles.
Bernard MOREAU Posté il y a 6 heures Auteur Posté il y a 6 heures (modifié) Il y a 3 heures, Thierry GEUMEZ a dit : L'ergocycle utilisé pour le test traduit peut-être la puissance en vitesse, comme sur certains home trainers, et communiquer "49 km/h" serait un moyen de ne pas donner d'information sur la puissance développée par le coureur. Fin de ma parenthèse parano. Ton explication est tout à fait plausible, pour ne pas dire probablement juste. Modifié il y a 4 heures par Bernard MOREAU
Pierre PLANA Posté il y a 4 heures Posté il y a 4 heures (modifié) Il y a 22 heures, Marquez a dit : Quelle tartine pour quelque chose qui ne nous concerne finalement pas du tout, on a tous le droit de penser ce qu'on veut et sur le sujet il me semble que ma position est très loin d'être isolée. T'inquiète,; je respecte ton point de vue et ts les autres malgré mes commentaires amusés (les autruches) inutile d'en faire une fixation à ce point, simplement ce n'est pas le mien et mille excuses de l'exprimer si ça gène certains esprits (étroits 🍺🍺) "je respecte ton point de vue et ts les autres malgré mes commentaires amusés (les autruches) inutile d'en faire une fixation à ce point, simplement ce n'est pas le mien et mille excuses de l'exprimer si ça gène certains esprits étroits" Le problème principal avec toi c'est que tu respectes tous les avis, mais que ceux qui en ont un différent du tien sont 'des autruches", des "esprits étroits", des "bien pensants", "des moutons" ou font partie "de la petite bande" (pour reprendre un florilège) ! En résumé, tu respectes tous les avis, surtout le tien🤣 Modifié il y a 4 heures par Pierre PLANA 2 1
Marquez Posté il y a 4 heures Posté il y a 4 heures (modifié) Il y a 2 heures, Bernard MOREAU a dit : Marquez n'étant pas intervenu, c'est lui qui attribuait la mort de Salanson au dopage, je cite le cardiologue Carré qui avait son dossier : 11/06/2007 - cyclismag.com - Pierre Carrey Quatre ans après la mort subite de Fabrice Salanson, la veille du Tour d'Allemagne, son cardiologue, le Pr François Carré honore sa mémoire avec le Club des cardiologues du sport, qui parraine une Bourse de recherche Salanson. Il explique à Cyclismag pourquoi le risque zéro de mort subite n'existe pas chez les sportifs. Cyclismag : Quel souvenir gardez-vous de la mort brutale de Fabrice Salanson survenue dans la nuit du 2 au 3 juin 2003 ? Pr François Carré (1) : J'étais dans l'avion quand j'ai appris sa mort, je revenais de l'étranger. Je suis rentré immédiatement à mon cabinet pour consulter son dossier, qui remontait trois ou quatre ans en arrière, quand je le suivais avec le CHU de Rennes. Je voulais voir si le dossier comportait une anomalie. Un cardiologue n'a pas droit à l'erreur. Il a toujours peur d'être mis en cause pour une erreur de diagnostic ou de dépistage si l'un de ses patients, auquel il a délivré une licence sportive, décède brutalement. Le dossier vous est-il apparu "normal" ? Tout à fait. Et voilà pourquoi, quatre ans après, j'ai accepté, très touché, la proposition de sa famille et de son ex-manageur Philippe Raimbaud de parrainer une Bourse de recherche à la mémoire de Fabrice Salanson. Celle-ci récompense les chercheurs qui travaillent à améliorer la prévention de la mort subite chez les sportifs. Car, au fond, c'est terrible à dire, mais c'est à cause des accidents qui arrivent que la science progresse. « LE SPORT N'A PAS TUÉ SALANSON » De quoi est mort Fabrice Salanson exactement ? Je n'ai pas eu accès aux résultats de l'autopsie, mais il est très certainement mort d'une anomalie du coeur qui n'a pas été détectée. Contrairement à ce que certains pourraient penser, ce n'est pas le sport qui l'a tué. Le sport ne provoque pas une pathologie cardiaque, il la révèle. L'incident est rare, heureusement. Il touche une personne sur 200 000 dans une population de sportifs âgées de moins de 35 ans. Avant la publication des résultats de l'autopsie, on a soupçonné le dopage d'avoir provoqué la mort de Fabrice Salanson. Cela vous choque ? Oui. C'est trop simpliste. Grâce à ce genre de raccourci sensationnel, les médias peuvent vendre un peu plus de journaux. Pour certains d'entre eux, il est préférable de dire qu'un coureur est mort du dopage que d'une maladie génétique, congénitale, voire d'un manque de chance. Vis-à-vis de la famille et de la mémoire du sportif, c'est une faute éthique de parler sans savoir. Y-compris pour les médecins, qui s'expriment parfois sans attendre les résultats officiels de l'autopsie. « UNE ENQUETE TOXICOLOGIQUE POUR ÉVITER LES SOUPCONS » Laquelle autopsie conclut fatalement à un arrêt du coeur ! Comment écarter définitivement le soupçon du dopage en cas de mort subite ? En incluant une enquête toxicologique aux autopsies de chaque sportif. J'espère qu'une loi rendra bientôt cette pratique obligatoire. J'espère aussi qu'on va systématiser le prélèvement d'ADN lors de l'autopsie pour définir si la mort subite est due à une maladie génétique. Dans 5 à 10% des cas, l'autopsie est dite "blanche", elle ne permet pas de connaître la cause du décès. Et je pense que dans ces cas-là, les causes sont d'ordre génétique. La mort subite chez les sportifs est un sujet dont on parle un peu plus dans les médias... La population ne s'attend pas à voir s'écrouler tout à coup des gens censés représenter la santé, la pleine forme, la jeunesse. On entend même lors des accidents, des voix qui 'élèvent pour dire : "Regardez, le sport, cette personne-là ne savait pas en faire !" Ou bien : "Le sport de haut niveau est dangereux pour la santé" ! « LE SPORT N'EST PAS DANGEREUX POUR LA SANTÉ » Pourquoi contestez-vous ce lieu commun ? Les chiffres sont très difficiles à fournir, car plusieurs paramètres entrent en jeu. Disons qu'une population qui ne pratique pas un exercice physique régulier et qui devrait fournir un effort comme courir derrière son bus ou tailler sa haie, le risque d'infarctus est de 100. Pour une population qui fait un exercice physique régulier, le risque n'est plus que de cinq. Le sport n'est pas dangereux pour la santé. L'espérance de vie pour une population de sportifs sains est égale voire supérieure d'un an à celle d'une population de personnes non sportives. Pour les articulations, c'est vrai, le sport peut provoquer des dommages. Mais pas pour le coeur ! J'ai la chance d'étudier le coeur de plusieurs sportifs de haut niveau. Il s'agit d'une véritable Formule 1. C'est-à-dire ? En cas d'effort très intense, le coeur de Monsieur-Tout-Le-Monde passe d'un débit de 5 litres par minute à 25 litres. Chez un sportif, il monte entre 35 et 40 litres ! « L'ORGANISME DES SPORTIFS EST HABITUÉ A LA CHALEUR MAIS PAS CELUI DE MONSIEUR TOUT-LE-MONDE » Le Club des cardiologues du sport édicte des règles d'or pour éviter la mort subite (lire ici). "Je ne fais pas de sport intense si j'ai de la fièvre, ni dans les 8 jours qui suivent un épisode grippal (fièvre plus courbatures)". Voilà une règle que piétinent bon nombre de cyclistes de haut niveau ! Non, les médecins d'équipe sont de plus en plus respectueux de cette recommandation. Il faut dire que selon les études, 8 à 10% des morts subites qui surviennent dans la pratique du sport sont dues à des myocardites, des "courbatures du coeur". Autrefois, après une grippe, les médecins prescrivaient une période de convalescence. Aujourd'hui, on demande toujours de respecter un repos de huit à dix jours. Autre règle que vous préconisez : "J'évite les activités intenses par des températures extérieures inférieures à -5 ou supérieure à 30 degrés". Comment les coureurs du Tour de France vont-ils exercer leur métier ? Ils courent tous les jours. Leur organisme en général s'habitue à la chaleur. Mais, si Monsieur-Tout-Le-Monde veut pratiquer du sport par 35°, il prend un risque. Il y a deux ans, un participant du Marathon du Mont-Saint-Michel est décédé d'un coup de chaud. Depuis, les organisateurs ont fait passer l'horaire de départ de 9h à 19h. Sera-t-il possible un jour pour un sportif de haut niveau de recevoir un diagnostic à 100% fiable, qui lui permette de pratiquer sa discipline sans risque de mort subite ? Le risque zéro n'existe pas. La science pourra progresser, les maladies génétiques, par définition, continueront d'apparaître. Mais nous souhaitons affiner notre travail de détection. Par exemple, le Dr Jean-Claude Verdier, le premier lauréat de la Bourse de recherche Fabrice Salanson, a travaillé sur une maladie particulière qui provoque des arrêts cardiaques. Au niveau européen, nous voulons travailler sur l'ensemble des maladies. Nous devons en particulier améliorer nos appareils électrocardiogrammes et leur fournir une base de renseignements correspondant à une population de sportifs. A ce niveau, la France est encore en retard sur des pays comme les Etats-Unis ou l'Italie. (1). Le Pr François Carré est professeur à l'Université de Rennes I et médecin au CHU de Rennes. Il préside le Club des cardiologues du sport. --------- C'est dans cyclisme-dopage que j'ai trouvé ces 2 articles. Je m'étonne que Marquez qui connaissait bien Salanson n'ait pas été au courant de ces 2 articles. La famille a été en justice car Fabrice avait effectué moult examens cardiaques de contrôle au CHU de Nantes et apparemment ces résultats auraient nécessité un suivi particulier ce qui n'a pas été fait. Ils ont donc demandé que soient reconnues les responsabilités de son équipe et de la FFC en 2011 ils ont obtenu gain de cause Depuis novembre 2002, Fabrice Salanson s'était par ailleurs attaché les services d'un préparateur personnel, Benoît Nave. Benoît Nave a "une réputation sulfureuse", commente l'un de ses confrères, qui se souvient qu'en 1997 un de ses protégés, le champion d'Europe 1995 de cross-country, Jean-Christophe Savignoni, avait été mis à pied la veille des championnats du monde de VTT pour un taux d'hématocrite supérieur à 50 %. Connaissant bien les proches, je ne me permettrais pas d'aller plus loin dans la suspicion i Quatre-vingts pour cent des sportifs de haut niveau ont des "anomalies" ou des "atypies" dans leurs bilans de santé, c'est une question de vocable, explique Dominique Bossard, médecin de La Boulangère depuis 2003. Si on devait tous les arrêter, il n'y aurait plus personne sur les terrains de sport. Quand à ignorer que l'utilisation D'EPO a causé de nombreux décès de sportifs pendant le sommeil, le décompte des décès pendant le sommeil dus à l'EPO en Hollande varie de 8 à 17 Modifié il y a 4 heures par Marquez
Bernard MOREAU Posté il y a 3 heures Auteur Posté il y a 3 heures il y a 6 minutes, Marquez a dit : La famille a été en justice car Fabrice avait effectué moult examens cardiaques de contrôle au CHU de Nantes et apparemment ces résultats auraient nécessité un suivi particulier ce qui n'a pas été fait. Ils ont donc demandé que soient reconnues les responsabilités de son équipe et de la FFC en 2011 ils ont obtenu gain de cause Depuis novembre 2002, Fabrice Salanson s'était par ailleurs attaché les services d'un préparateur personnel, Benoît Nave. Benoît Nave a "une réputation sulfureuse", commente l'un de ses confrères, qui se souvient qu'en 1997 un de ses protégés, le champion d'Europe 1995 de cross-country, Jean-Christophe Savignoni, avait été mis à pied la veille des championnats du monde de VTT pour un taux d'hématocrite supérieur à 50 %. Connaissant bien les proches, je ne me permettrais pas d'aller plus loin dans la suspicion i Quatre-vingts pour cent des sportifs de haut niveau ont des "anomalies" ou des "atypies" dans leurs bilans de santé, c'est une question de vocable, explique Dominique Bossard, médecin de La Boulangère depuis 2003. Si on devait tous les arrêter, il n'y aurait plus personne sur les terrains de sport. Quand à ignorer que l'utilisation D'EPO a causé de nombreux décès de sportifs pendant le sommeil, le décompte des décès pendant le sommeil dus à l'EPO en Hollande varie de 8 à 17 Tu répètes ce qui est dit dans mes citations, mais qu'apportes-tu de neuf. En te lisant je repense à François Le Bihan. l'un des tout meilleurs cyclistes français autour de 1970. Avant l'EPO: https://fr.wikipedia.org/wiki/François_Le_Bihan
Marquez Posté il y a 3 heures Posté il y a 3 heures il y a 20 minutes, Pierre PLANA a dit : "je respecte ton point de vue et ts les autres malgré mes commentaires amusés (les autruches) inutile d'en faire une fixation à ce point, simplement ce n'est pas le mien et mille excuses de l'exprimer si ça gène certains esprits étroits" Le problème principal avec toi c'est que tu respectes tous les avis, mais que ceux qui en ont un différent du tien sont 'des autruches", des "esprits étroits", des "bien pensants", "des moutons" ou font partie "de la petite bande" (pour reprendre un florilège) ! En résumé, tu respectes tous les avis, surtout le tien🤣 C'est un règlement de compte ou autre chose🤣🤣, quand je qualifie ainsi certaines interventions c'est avant tout du fait de leur manque total de respect pour les avis différents des leurs (nul, betises, etc etc), Par exemple quand on discute sur l'absence de preuves de dopage présentée ar certains, il semble logique de rappeler qu'en droit français, il suffit d'par un "faisceau d'indices, graves, précis et concordants". le faisceau d'indices est toutefois "une preuve pénale totale". En droit français, le code de procédure pénale considère que la preuve est libre, c'est-à-dire qu'il ne fixe pas le nombre d'éléments matériels, de témoignages ou d'indices suffisants pour estimer qu'une personne est coupable. C'est alors au juge, dans ce cas celui du tribunal correctionel, de décider s'il y a assez de preuves pour entrer en voie de condamnation. "Il est très fréquent qu'un juge retienne le faisceau d'indices comme élément de preuve, assure Evelyne Sire-Marin, magistrate à la cour d'appel de Versailles. Prenez l'exemple d'un gros dealer. Jamais il n'est interpellé en train de vendre de la drogue. Sur les écoutes, jamais on l'entend parler de transactions, d'argent ou de produit. Mais on peut retrouver son carnet de contacts et ces derniers interrogés diront qu'ils consomment bien de la drogue." Qu'on affuble quelqu'un de noms d'oiseaux (pas d'autruche bien sur) parce que il ose apporter une contradiction a des avis trop tranchés ne semble pas digne d'un débat constructif. 1
Marquez Posté il y a 3 heures Posté il y a 3 heures il y a 5 minutes, Bernard MOREAU a dit : Tu répètes ce qui est dit dans mes citations, mais qu'apportes-tu de neuf. En te lisant je repense à François Le Bihan. l'un des tout meilleurs cyclistes français autour de 1970. Avant l'EPO: https://fr.wikipedia.org/wiki/François_Le_Bihan Ce sont des articles de dopage .com, il n'en demeure pas moins que cette EPO a causé la mort de pas mal de sportifs
Michel ROTH Posté il y a 3 heures Posté il y a 3 heures (modifié) Il y a 3 heures, Bernard MOREAU a dit : Marquez n'étant pas intervenu, c'est lui qui attribuait la mort de Salanson au dopage, je cite le cardiologue Carré qui avait son dossier : 11/06/2007 - cyclismag.com - Pierre Carrey Quatre ans après la mort subite de Fabrice Salanson, la veille du Tour d'Allemagne, son cardiologue, le Pr François Carré honore sa mémoire avec le Club des cardiologues du sport, qui parraine une Bourse de recherche Salanson. Il explique à Cyclismag pourquoi le risque zéro de mort subite n'existe pas chez les sportifs. Cyclismag : Quel souvenir gardez-vous de la mort brutale de Fabrice Salanson survenue dans la nuit du 2 au 3 juin 2003 ? Pr François Carré (1) : J'étais dans l'avion quand j'ai appris sa mort, je revenais de l'étranger. Je suis rentré immédiatement à mon cabinet pour consulter son dossier, qui remontait trois ou quatre ans en arrière, quand je le suivais avec le CHU de Rennes. Je voulais voir si le dossier comportait une anomalie. Un cardiologue n'a pas droit à l'erreur. Il a toujours peur d'être mis en cause pour une erreur de diagnostic ou de dépistage si l'un de ses patients, auquel il a délivré une licence sportive, décède brutalement. Le dossier vous est-il apparu "normal" ? Tout à fait. Et voilà pourquoi, quatre ans après, j'ai accepté, très touché, la proposition de sa famille et de son ex-manageur Philippe Raimbaud de parrainer une Bourse de recherche à la mémoire de Fabrice Salanson. Celle-ci récompense les chercheurs qui travaillent à améliorer la prévention de la mort subite chez les sportifs. Car, au fond, c'est terrible à dire, mais c'est à cause des accidents qui arrivent que la science progresse. « LE SPORT N'A PAS TUÉ SALANSON » De quoi est mort Fabrice Salanson exactement ? Je n'ai pas eu accès aux résultats de l'autopsie, mais il est très certainement mort d'une anomalie du coeur qui n'a pas été détectée. Contrairement à ce que certains pourraient penser, ce n'est pas le sport qui l'a tué. Le sport ne provoque pas une pathologie cardiaque, il la révèle. L'incident est rare, heureusement. Il touche une personne sur 200 000 dans une population de sportifs âgées de moins de 35 ans. Avant la publication des résultats de l'autopsie, on a soupçonné le dopage d'avoir provoqué la mort de Fabrice Salanson. Cela vous choque ? Oui. C'est trop simpliste. Grâce à ce genre de raccourci sensationnel, les médias peuvent vendre un peu plus de journaux. Pour certains d'entre eux, il est préférable de dire qu'un coureur est mort du dopage que d'une maladie génétique, congénitale, voire d'un manque de chance. Vis-à-vis de la famille et de la mémoire du sportif, c'est une faute éthique de parler sans savoir. Y-compris pour les médecins, qui s'expriment parfois sans attendre les résultats officiels de l'autopsie. « UNE ENQUETE TOXICOLOGIQUE POUR ÉVITER LES SOUPCONS » Laquelle autopsie conclut fatalement à un arrêt du coeur ! Comment écarter définitivement le soupçon du dopage en cas de mort subite ? En incluant une enquête toxicologique aux autopsies de chaque sportif. J'espère qu'une loi rendra bientôt cette pratique obligatoire. J'espère aussi qu'on va systématiser le prélèvement d'ADN lors de l'autopsie pour définir si la mort subite est due à une maladie génétique. Dans 5 à 10% des cas, l'autopsie est dite "blanche", elle ne permet pas de connaître la cause du décès. Et je pense que dans ces cas-là, les causes sont d'ordre génétique. La mort subite chez les sportifs est un sujet dont on parle un peu plus dans les médias... La population ne s'attend pas à voir s'écrouler tout à coup des gens censés représenter la santé, la pleine forme, la jeunesse. On entend même lors des accidents, des voix qui 'élèvent pour dire : "Regardez, le sport, cette personne-là ne savait pas en faire !" Ou bien : "Le sport de haut niveau est dangereux pour la santé" ! « LE SPORT N'EST PAS DANGEREUX POUR LA SANTÉ » Pourquoi contestez-vous ce lieu commun ? Les chiffres sont très difficiles à fournir, car plusieurs paramètres entrent en jeu. Disons qu'une population qui ne pratique pas un exercice physique régulier et qui devrait fournir un effort comme courir derrière son bus ou tailler sa haie, le risque d'infarctus est de 100. Pour une population qui fait un exercice physique régulier, le risque n'est plus que de cinq. Le sport n'est pas dangereux pour la santé. L'espérance de vie pour une population de sportifs sains est égale voire supérieure d'un an à celle d'une population de personnes non sportives. Pour les articulations, c'est vrai, le sport peut provoquer des dommages. Mais pas pour le coeur ! J'ai la chance d'étudier le coeur de plusieurs sportifs de haut niveau. Il s'agit d'une véritable Formule 1. C'est-à-dire ? En cas d'effort très intense, le coeur de Monsieur-Tout-Le-Monde passe d'un débit de 5 litres par minute à 25 litres. Chez un sportif, il monte entre 35 et 40 litres ! « L'ORGANISME DES SPORTIFS EST HABITUÉ A LA CHALEUR MAIS PAS CELUI DE MONSIEUR TOUT-LE-MONDE » Le Club des cardiologues du sport édicte des règles d'or pour éviter la mort subite (lire ici). "Je ne fais pas de sport intense si j'ai de la fièvre, ni dans les 8 jours qui suivent un épisode grippal (fièvre plus courbatures)". Voilà une règle que piétinent bon nombre de cyclistes de haut niveau ! Non, les médecins d'équipe sont de plus en plus respectueux de cette recommandation. Il faut dire que selon les études, 8 à 10% des morts subites qui surviennent dans la pratique du sport sont dues à des myocardites, des "courbatures du coeur". Autrefois, après une grippe, les médecins prescrivaient une période de convalescence. Aujourd'hui, on demande toujours de respecter un repos de huit à dix jours. Autre règle que vous préconisez : "J'évite les activités intenses par des températures extérieures inférieures à -5 ou supérieure à 30 degrés". Comment les coureurs du Tour de France vont-ils exercer leur métier ? Ils courent tous les jours. Leur organisme en général s'habitue à la chaleur. Mais, si Monsieur-Tout-Le-Monde veut pratiquer du sport par 35°, il prend un risque. Il y a deux ans, un participant du Marathon du Mont-Saint-Michel est décédé d'un coup de chaud. Depuis, les organisateurs ont fait passer l'horaire de départ de 9h à 19h. Sera-t-il possible un jour pour un sportif de haut niveau de recevoir un diagnostic à 100% fiable, qui lui permette de pratiquer sa discipline sans risque de mort subite ? Le risque zéro n'existe pas. La science pourra progresser, les maladies génétiques, par définition, continueront d'apparaître. Mais nous souhaitons affiner notre travail de détection. Par exemple, le Dr Jean-Claude Verdier, le premier lauréat de la Bourse de recherche Fabrice Salanson, a travaillé sur une maladie particulière qui provoque des arrêts cardiaques. Au niveau européen, nous voulons travailler sur l'ensemble des maladies. Nous devons en particulier améliorer nos appareils électrocardiogrammes et leur fournir une base de renseignements correspondant à une population de sportifs. A ce niveau, la France est encore en retard sur des pays comme les Etats-Unis ou l'Italie. (1). Le Pr François Carré est professeur à l'Université de Rennes I et médecin au CHU de Rennes. Il préside le Club des cardiologues du sport. --------- C'est dans cyclisme-dopage que j'ai trouvé ces 2 articles. Je m'étonne que Marquez qui connaissait bien Salanson n'ait pas été au courant de ces 2 articles. Je m'étonne que Marquez qui connaissait bien Salanson n'ait pas été au courant de ces 2 articles. Normal, il ne va citer des articles qui vont à l'encontre de ses arguments. Merci en tout cas d'avoir remis les pendules à l'heure à propos de Salanson. Je me souviens de ce coureur. C'était lors d'un Liège-Bastogne-Liège (je ne me souviens plus de l'année). C'était probablement sa première participation. J'étais allé voir la course dans le Stockeu qui, cette année-là, était escaladé jusqu'à son sommet. J'ai vu passer un coureur échappé, seul rescapé d'une échappée matinale. Personne ne le connaissait. J'ai regardé son nom sur la liste des participants : c'était un Français du nom de Salanson. Du Stockeu, jusque l'arrivée, il reste plus de 100 km à parcourir. Rentré chez mon beau-frère qui habite la région, j'ai regardé la finale à la TV. Normalement, et c'est le scénario classique, les derniers de l'échappée matinale (ou dernier dans ce cas-ci) sont rejoints vers la côte des Rosiers, ou vers Spa. À ma grande surprise, Salanson avait résisté très longtemps et n'avait été repris qu'à une vingtaine de bornes de l'arrivée. À l'époque, je l'avais signalé sur ce forum, car sa performance m'avait vraiment impressionné, en disant que ce coureur était très prometteur. Par la suite, n'en entendant plus parler, j'avais demandé sur le forum ce qu'il était devenu. Je ne savais pas qu'il était décédé et j'ai été fort peiné d'apprendre cette terrible nouvelle. J'ai aussi connu un jeune (qui ne faisait pas de compétition), mais pratiquait régulièrement le vélo (j'ai roulé à plusieurs reprises avec lui) et la course à pied. Il est décédé d'un arrêt cardiaque lors d'un jogging. Lui n'avait aucune raison de se doper. Ses parents m'ont confirmé par la suite qu'il souffrait d'une anomalie cardiaque, mais qu'apparemment une pratique sportive ne lui avait pas été interdite. PS : j'ai dit que c'était ma dernière intervention. Il faut comprendre que c'est uniquement vis-à-vis de Marquez (je tourne en rond avec lui). Modifié il y a 3 heures par Michel ROTH
Pierre PLANA Posté il y a 3 heures Posté il y a 3 heures (modifié) il y a 25 minutes, Marquez a dit : C'est un règlement de compte ou autre chose🤣🤣, quand je qualifie ainsi certaines interventions c'est avant tout du fait de leur manque total de respect pour les avis différents des leurs (nul, betises, etc etc), Par exemple quand on discute sur l'absence de preuves de dopage présentée ar certains, il semble logique de rappeler qu'en droit français, il suffit d'par un "faisceau d'indices, graves, précis et concordants". le faisceau d'indices est toutefois "une preuve pénale totale". En droit français, le code de procédure pénale considère que la preuve est libre, c'est-à-dire qu'il ne fixe pas le nombre d'éléments matériels, de témoignages ou d'indices suffisants pour estimer qu'une personne est coupable. C'est alors au juge, dans ce cas celui du tribunal correctionel, de décider s'il y a assez de preuves pour entrer en voie de condamnation. "Il est très fréquent qu'un juge retienne le faisceau d'indices comme élément de preuve, assure Evelyne Sire-Marin, magistrate à la cour d'appel de Versailles. Prenez l'exemple d'un gros dealer. Jamais il n'est interpellé en train de vendre de la drogue. Sur les écoutes, jamais on l'entend parler de transactions, d'argent ou de produit. Mais on peut retrouver son carnet de contacts et ces derniers interrogés diront qu'ils consomment bien de la drogue." Qu'on affuble quelqu'un de noms d'oiseaux (pas d'autruche bien sur) parce que il ose apporter une contradiction a des avis trop tranchés ne semble pas digne d'un débat constructif. Sur le dopage des cyclistes, je n'ai pas d'opinion. Vu de ma fenêtre il me semble juste un peu hypocrite que le sportif ait pour mission d'être exemplaire et propre quand une grosse partie du reste de la population se dope pour diverses raisons... Et toi, ton manque d'objectivité me fait sourire, en fait... Modifié il y a 3 heures par Pierre PLANA
Thierry GEUMEZ Posté il y a 3 heures Posté il y a 3 heures (modifié) il y a 27 minutes, Pierre PLANA a dit : il me semble juste un peu hypocrite que le sportif ait pour mission d'être exemplaire et propre quand une grosse partie du reste de la population se dope pour diverses raisons... D'accord à 100% ! La différence, c'est quand même que le reste de la population qui se dope ne montre pas ses "exploits" à la télé... (sauf les acteurs et les chanteurs : qui se soucie de savoir si leur performance est naturelle ?) Attendons-nous que la compétition sportive soit le dernier bastion de la vertu ? Modifié il y a 3 heures par Thierry GEUMEZ
Sylvain KARLE Posté il y a 2 heures Posté il y a 2 heures Il y a 1 heure, Pierre PLANA a dit : "je respecte ton point de vue et ts les autres malgré mes commentaires amusés (les autruches) inutile d'en faire une fixation à ce point, simplement ce n'est pas le mien et mille excuses de l'exprimer si ça gène certains esprits étroits" Le problème principal avec toi c'est que tu respectes tous les avis, mais que ceux qui en ont un différent du tien sont 'des autruches", des "esprits étroits", des "bien pensants", "des moutons" ou font partie "de la petite bande" (pour reprendre un florilège) ! En résumé, tu respectes tous les avis, surtout le tien🤣 Et il fait son pleureur si on traite son avis de nul ( désolé je n'aime pas qu'on accuse sans preuves ou faisceaux d'indices comme il dit ) mais ce faire traité d'autruche constamment , d'esprit étroit etc....c'est bien + vulgaire et mechant , bref cela démontre une haute estime de soi un peu à la façon de notre Jupitérien de président.... Le seul à savoir et comprendre c'est lui .....
Marquez Posté il y a 1 heure Posté il y a 1 heure (modifié) Une définition d'un esprit etroit c'est entre autre une réticence à considérer des points de vue alternatifs. Ce sujet du dopage sportif est eminemment sensible quand on assiste à des performances extraordinaires ey que les spécialistes de la lutte anti dopage reconnaissent leur impuissance. Je comprends mal comment certaines intervations déchainent à ce point leurs opposants. Il est assez évident que certains propos ici ne suypportent pas qu'on puisse être d'un avis différent du leur et s'acharnent à dénigrer leurs auteurs. C'est donc sur cette absence de largeur d'esprit que il faut bien évoquer les e'sprits étroits. Il est évident qu'en la matière il n'y a pas de réelles preuves prouvant sans conteste qu'un sportif a utilisé des méthodes prohibées. Certains ici devraient quand même (est ce possible, j'en doute au vu de leurs ecrits répétitifs) s'informer des soupçons, des témoignages qui pullulent sur le doute évident sur la "propreté",. Je le dis et le répète (parce que ça n'imprime apparemment pas chez certains, tjs les mêmes évidemment) chacun a le droit de penser ce qu'il veut en fonction de sa culture sportive, de ses expériences de l'influence des médias de l'admiration qu'il éprouve pour tel ou tel. La « sagacité » ou « l'esprit de finesse » (Pascal), la largeur de l'esprit, voilà sans doute les composants essentiels de l'intelligence. Modifié il y a 1 heure par Marquez
Sylvain KARLE Posté il y a 1 heure Posté il y a 1 heure il y a 7 minutes, Marquez a dit : Une définition d'un esprit etroit c'est entre autre une réticence à considérer des points de vue alternatifs. Ce sujet du dopage sportif est eminemment sensible quand on assiste à des performances extraordinaires ey que les spécialistes de la lutte anti dopage reconnaissent leur impuissance. Je comprends mal comment certaines intervations déchainent à ce point leurs opposants. Il est assez évident que certains propos ici ne suypportent pas qu'on puisse être d'un avis différent du leur et s'acharnent à dénigrer leurs auteurs. C'est donc sur cette absence de largeur d'esprit que il faut bien évoquer les e'sprits étroits. Il est évident qu'en la matière il n'y a pas de réelles preuves prouvant sans conteste qu'un sportif a utilisé des méthodes prohibées. Certains ici devraient quand même (est ce possible, j'en doute au vu de leurs ecrits répétitifs) s'informer des soupçons, des témoignages qui pullulent sur le doute évident sur la "propreté",. Je le dis et le répète chacun a le droit de penser ce qu'il veut en fonction de sa culture sportive, de ses expériences de l'influence des médias de l'admiration qi'il développe poutr tel ou teml s et tous les témoignages qui confirment la propreté de certains , mais comme tu a un esprit étroit .....😂
Bernard MOREAU Posté il y a 1 heure Auteur Posté il y a 1 heure Par contre : https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Le-mouvement-pour-un-cyclisme-credible-alerte-l-uci-sur-la-zone-grise-dans-la-lutte-antidopage-et-l-escalade-de-la-medicalisation/1628952
Marquez Posté il y a 1 heure Posté il y a 1 heure il y a 2 minutes, Sylvain KARLE a dit : et tous les témoignages qui confirment la propreté de certains , mais comme tu a un esprit étroit .....😂 Ah bon les témoignages de gars du milieu, évidemment ça ce sont de vrais preuves. Mais contrairement à ce dernier écrit je respecte tout à fait cet avis sur le fait que le dopage se marginalise, je ne le partage pas c'est tout et ce ne sont pas les dénigrements insultes etc qui sont de nature à changer d'avis OK?
Sylvain KARLE Posté il y a 41 minutes Posté il y a 41 minutes il y a 49 minutes, Bernard MOREAU a dit : Par contre : https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Le-mouvement-pour-un-cyclisme-credible-alerte-l-uci-sur-la-zone-grise-dans-la-lutte-antidopage-et-l-escalade-de-la-medicalisation/1628952 352 coureurs ( liste peu etre pas a 100% a jour ) adhéré au MPCC preuve que beaucoup ( la majorité je crois ) joue le jeux sur les produits que tu cite ( cétones et Tapentadol) ... C'est vraiment dommage que l'UCI ne soit pas plus claire sur ces 2 produits dont on ne connait pas les effets a long termes mais pour moi on est loin du dopage lourd a l,EPO, hormones etc ..... cela me fait penser a la créatine qui était au début considéré peu être dopante et qui finalement est toujours autorisé ..... https://www.mpcc.fr/coureurs/
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