Sylvain KARLE Posté il y a 8 heures Posté il y a 8 heures il y a 58 minutes, Nicolas JOARY a dit : Là où notre ami Johan roule, dirais plutôt : 30 contre le vent, 11 avec ; et le 16 qui ne s'use que quand, par chance, il n'y a pas de vent. Certains font le Paris-Bret-Paris en mono vitesse soit 1200km avec 10 000m D+ , pourquoi on s'embête avec notre double plateaux et 12 pignons 😁
Michel DURY Posté il y a 7 heures Posté il y a 7 heures Il y a 1 heure, Nicolas JOARY a dit : Là où notre ami Johan roule, dirais plutôt : 30 contre le vent, 11 avec ; et le 16 qui ne s'use que quand, par chance, il n'y a pas de vent. C'est vrai. Notre ami Johan n'a pas de bol... déjà qu'il fait du D+ sous le niveau de la mer, faut le moral pour habiter un pays pareil. 2
Nicolas JOARY Posté il y a 7 heures Posté il y a 7 heures il y a 53 minutes, Sylvain KARLE a dit : Certains font le Paris-Bret-Paris en mono vitesse soit 1200km avec 10 000m D+ , pourquoi on s'embête avec notre double plateaux et 12 pignons 😁 Oui, bien sûr. Mais là, c'est un choix délibéré de leur part. Je pense à l'époque où nous n'avions pas le choix, comme quand j'avais 2x5 et 44:24 comme plus petit braquet. C'était dur, le vélo, même si j'étais jeune, très jeune.
Gérôme BORGER Posté il y a 7 heures Posté il y a 7 heures il y a 6 minutes, Nicolas JOARY a dit : Oui, bien sûr. Mais là, c'est un choix délibéré de leur part. Je pense à l'époque où nous n'avions pas le choix, comme quand j'avais 2x5 et 44:24 comme plus petit braquet. C'était dur, le vélo, même si j'étais jeune, très jeune. Oui et à cette époque il n'était pas rare de mettre pied à terre. 1
Pierre PLANA Posté il y a 6 heures Auteur Posté il y a 6 heures Il y a 16 heures, Nicolas JOARY a dit : Faut pas rigoler avec les ponts d'autoroute. Je ne trouve pas cela facile. Tu es sur le plat ou faux plat, bien en rythme, puis soudain tu dois prendre cette courte bosse, toujours moins courte et plus pentue qu'elle en a l'air, avec la plupart du temps un vent de travers qui te coupe bien ton élan. Un rouleur puissant passe en force, mais pour une frite comme moi, c'est beaucoup moins évident. Je me définis comme un bon grimpeur de ponts d'autoroutes 🙂
Pierre PLANA Posté il y a 6 heures Auteur Posté il y a 6 heures Il y a 17 heures, Marquez a dit : Ouais en réalité ce n'est pas du ressenti, Mais du constat en situation réelle, je juge un matos en fonction des gains en capacité à suivre ou à résister à des accélérations brutales des membres du groupe, à la capacité à grimper les bosses, en fonction des autres avec qui je roule et dont je connais précisément les capacités. Et bien sur pas sur une sortie où la forme peut être plus ou moins bonne. Avec ça je n'arrive pas précisément à départager, pour mon usage, les 3 paires de roues de différentes marques que j'ai actuellement, en revanche pour les pneus et les caa TPU, il n'y a pas d'équivoque, tout comme avec le récent V3RS, par rapport aux TCR, KTM Revelator, Trek Madone entre autres Tu joues sur les mots 🙂 le "constat en situation réelle" si tu n'as pas d'outil de mesure ce n'est pas vraiment différent du ressenti. Quand je vois que sur des sorties similaires avec des vitesses pas tellement différentes, Strava me donne des puissances moyennes qui varient de 150 à 200W... Je ne sais pas s'il existe vraiment de vrai outil de mesure adapté au vélo et à tout les cyclistes ; les capteurs de puissance c'est juste un début...
Thierry GEUMEZ Posté il y a 5 heures Posté il y a 5 heures (modifié) il y a 47 minutes, Pierre PLANA a dit : Tu joues sur les mots 🙂 le "constat en situation réelle" si tu n'as pas d'outil de mesure ce n'est pas vraiment différent du ressenti. Marquez a pourtant bien expliqué quel était son dispositif d'évaluation infaillible : il peut, ou pas, suivre le groupe 1 de son club ! 🤣 il y a 47 minutes, Pierre PLANA a dit : Je ne sais pas s'il existe vraiment de vrai outil de mesure adapté au vélo et à tout les cyclistes ; les capteurs de puissance c'est juste un début... Que veux-tu dire par "vrai outil de mesure adapté au vélo " ? En quoi les capteurs de puissance ne seraient-ils pas "vrais" ? La vraie difficulté, c'est l'estimation des résistances à l'avancement. L'influence de la pente est assez facilement calculateur, surtout si elle est constante. Pour les frottements de la transmission et des pneus, c'est déjà un peu plus difficiles mais de nombreux essais ont permis de cerner des limites assez précises. C'est la résistance aérodynamique qui constitue le principal écueil. Les essais en tunnel aérodynamique éliminent les incertitudes liées aux variations du vent et permettent des mesures pertinentes... pour des conditions données et pas toujours reproductibles en situation réelles. Modifié il y a 5 heures par Thierry GEUMEZ
Pierre PLANA Posté il y a 5 heures Auteur Posté il y a 5 heures il y a 5 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Marquez a pourtant bien expliqué quel était son dispositif d'évaluation infaillible : il peut, ou pas, suivre le groupe 1 de son club ! 🤣 Que veux-tu dire par "vrai outil de mesure adapté au vélo " ? En quoi les capteurs de puissance ne seraient-ils pas "vrais" ? Le capteur de puissance est un outil qui va effectivement mesurer comment le cycliste "appuie". En fonction de la façon dont le cycliste pédale (rythme, angle tibia pédalier, etc...), je pense (mais peut-être je me trompe) que tu dois avoir quand même un bonne incertitude sur la puissance mesurée. Ensuite, une fois la puissance mesurée, le résultat en "vitesse" instantanée ou moyenne va tellement dépendre de paramètres qui sont indépendants de la puissance déployée que je me pose la question de savoir si ça sert à qque chose de la mesurer. D'une part, parce que pour une même puissance, s'il y a un peu de vent défavorable ou favorable ou de travers, s'il fait plus ou moins chaud, si la route est plus ou moins granuleuse, etc... la vitesse va bcp changer. D'autre part parce que si tu roules tout seul ou en groupe, pour une même puissance, tu ne vas pas avoir du tout le même résultat. Enfin, parce que (au moins pour moi), entre une journée ou je me sens bien, ou je suis motivé et une mauvaise journée, il y a un écart énorme dans ce que je peux produire. Quand j'ai préparé le triathlon que j'avais fait en 2020, sur des circuits de même longueur et de même dénivelé, (20km/200m D+), à l'entrainement, même en me faisant mal, j'arrivais péniblement à 35km/h de moyenne, les meilleurs jours. Le jour de la compétition : 40km/h... même bonhomme, même matériel. A l'époque où je faisais beaucoup de cyclosportives c'était pareil : le jour J, d'une part j'allais bcp plus vite et d'autre part je laminais mes compagnons d'entrainement qui habituellement roulaient bien mieux que moi.
Sylvain KARLE Posté il y a 5 heures Posté il y a 5 heures il y a 21 minutes, Pierre PLANA a dit : Le capteur de puissance est un outil qui va effectivement mesurer comment le cycliste "appuie". En fonction de la façon dont le cycliste pédale (rythme, angle tibia pédalier, etc...), je pense (mais peut-être je me trompe) que tu dois avoir quand même un bonne incertitude sur la puissance mesurée. Ensuite, une fois la puissance mesurée, le résultat en "vitesse" instantanée ou moyenne va tellement dépendre de paramètres qui sont indépendants de la puissance déployée que je me pose la question de savoir si ça sert à qque chose de la mesurer. D'une part, parce que pour une même puissance, s'il y a un peu de vent défavorable ou favorable ou de travers, s'il fait plus ou moins chaud, si la route est plus ou moins granuleuse, etc... la vitesse va bcp changer. D'autre part parce que si tu roules tout seul ou en groupe, pour une même puissance, tu ne vas pas avoir du tout le même résultat. Enfin, parce que (au moins pour moi), entre une journée ou je me sens bien, ou je suis motivé et une mauvaise journée, il y a un écart énorme dans ce que je peux produire. Quand j'ai préparé le triathlon que j'avais fait en 2020, sur des circuits de même longueur et de même dénivelé, (20km/200m D+), à l'entrainement, même en me faisant mal, j'arrivais péniblement à 35km/h de moyenne, les meilleurs jours. Le jour de la compétition : 40km/h... même bonhomme, même matériel. A l'époque où je faisais beaucoup de cyclosportives c'était pareil : le jour J, d'une part j'allais bcp plus vite et d'autre part je laminais mes compagnons d'entrainement qui habituellement roulaient bien mieux que moi. On ce demande pourquoi tous les coursiers tous les pros utilisent le capteur de puissance maintenant ...... je pense que tu mélange un peu tout , le mental la motivation te fait battre tes perfs mais si tu n'est pas capable d'avoir X watts dans un col sur 1h ta motivation ne changera rien ...........quand tu est a bloc tu est a bloc et tu explose si tu met trop de watts .... 1
Gérôme BORGER Posté il y a 5 heures Posté il y a 5 heures il y a 34 minutes, Pierre PLANA a dit : Le capteur de puissance est un outil qui va effectivement mesurer comment le cycliste "appuie". En fonction de la façon dont le cycliste pédale (rythme, angle tibia pédalier, etc...), je pense (mais peut-être je me trompe) que tu dois avoir quand même un bonne incertitude sur la puissance mesurée. Ensuite, une fois la puissance mesurée, le résultat en "vitesse" instantanée ou moyenne va tellement dépendre de paramètres qui sont indépendants de la puissance déployée que je me pose la question de savoir si ça sert à qque chose de la mesurer. D'une part, parce que pour une même puissance, s'il y a un peu de vent défavorable ou favorable ou de travers, s'il fait plus ou moins chaud, si la route est plus ou moins granuleuse, etc... la vitesse va bcp changer. D'autre part parce que si tu roules tout seul ou en groupe, pour une même puissance, tu ne vas pas avoir du tout le même résultat. Enfin, parce que (au moins pour moi), entre une journée ou je me sens bien, ou je suis motivé et une mauvaise journée, il y a un écart énorme dans ce que je peux produire. Quand j'ai préparé le triathlon que j'avais fait en 2020, sur des circuits de même longueur et de même dénivelé, (20km/200m D+), à l'entrainement, même en me faisant mal, j'arrivais péniblement à 35km/h de moyenne, les meilleurs jours. Le jour de la compétition : 40km/h... même bonhomme, même matériel. A l'époque où je faisais beaucoup de cyclosportives c'était pareil : le jour J, d'une part j'allais bcp plus vite et d'autre part je laminais mes compagnons d'entrainement qui habituellement roulaient bien mieux que moi. Ne mélange pas ta vitesse moyenne et ta puissance. J'utilise le capteur de puissance principalement dans les longues montées et en col. La vitesse moyenne ne m'intéresse que très peu, je ne sais jamais à quelle vitesse je roule lors de mes sorties. Maintenant pour ceux qui cherchent à performer , le capteur de puissance est à mon avis plus efficace lors des entraînements. De toutes manières tes watts et mes watts si tu vois où je veux en venir 🤪. Lorsque tu as à peu près ciblé tes capacités en watts, le capteur prend son sens.
Thierry GEUMEZ Posté il y a 4 heures Posté il y a 4 heures il y a 4 minutes, Sylvain KARLE a dit : ...........quand tu est a bloc tu est a bloc et tu explose si tu met trop de watts .... C'est tout-à-fait ça. Lors de ma dernière sortie avec Gégé et Michel, je savais que je devais gérer mon effort. Je me suis appliqué à faire les premières ascensions en me limitant à environ 160 W. Pour la dernière, j'ai poussé 180 W, laissant Michel prendre 200 m d'avance puis il a plafonné et je suis revenu progressivement sur lui et l'ai dépassé. En debut de sortie, Michel était pourtant plus costaud que moi et il aurait probablement terminé avant moi s'il n'avait pas ralenti en haut des bosses pour que je le rejoigne. Gégé était une jambe au-dessus partout. J'ai tenté de m'accrocher à sa roue dans le dernier coup de cul mais j'étais à 260 W et j'ai explosé un peu après.
Thierry GEUMEZ Posté il y a 4 heures Posté il y a 4 heures (modifié) il y a 46 minutes, Pierre PLANA a dit : Le capteur de puissance est un outil qui va effectivement mesurer comment le cycliste "appuie". En fonction de la façon dont le cycliste pédale (rythme, angle tibia pédalier, etc...), je pense (mais peut-être je me trompe) que tu dois avoir quand même un bonne incertitude sur la puissance mesurée. Le capteur de puissance tient compte de l'efficacité de ton pédalage, il prend en compte la poussée que tu appliques et l'angle de cette force par rapport à la manivelle. Il mesure donc la puissance développée par le cycliste et calcule la puissance "à la sortie" du pédalier (si j'ai bien compris) Modifié il y a 4 heures par Thierry GEUMEZ
Marquez Posté il y a 2 heures Posté il y a 2 heures Il y a 3 heures, Pierre PLANA a dit : Tu joues sur les mots 🙂 le "constat en situation réelle" si tu n'as pas d'outil de mesure ce n'est pas vraiment différent du ressenti. Quand je vois que sur des sorties similaires avec des vitesses pas tellement différentes, Strava me donne des puissances moyennes qui varient de 150 à 200W... Je ne sais pas s'il existe vraiment de vrai outil de mesure adapté au vélo et à tout les cyclistes ; les capteurs de puissance c'est juste un début... Tu vois dans le vélo la s"le chose qui m'interesse ce ne sont pas des mesures etc etc ou des temps genrs kom, mais c'est la capacité à étre en phase avec le groupe avec lequel je roule et plutôt devant que derrière etc'est à l'aune de ça que je jauge les qualités du matériel. C'est tt à fait perso et bien évidemment un matériel qui va me satisfaire pleinement avec ces critères ne sera peut être pas du tout apprécié identiquement par un autre
Pierre PLANA Posté il y a 2 heures Auteur Posté il y a 2 heures Il y a 2 heures, Sylvain KARLE a dit : On ce demande pourquoi tous les coursiers tous les pros utilisent le capteur de puissance maintenant ...... je pense que tu mélange un peu tout , le mental la motivation te fait battre tes perfs mais si tu n'est pas capable d'avoir X watts dans un col sur 1h ta motivation ne changera rien ...........quand tu est a bloc tu est a bloc et tu explose si tu met trop de watts .... Non, non, je ne mélange pas tout, je sais parfaitement ce qu'est la puissance et ce qu'est la vitesse moyenne. Pour un pro qui se connait par cœur, qui est super entrainé, qui a une routine, je ne doute pas de l'intérêt du capteur de puissance. Même si, comme moi, il doit y avoir des jours "avec" et des jours "sans". Pour moi, entre les moments "avec" et les moments "sans", il y a un fossé énorme et c'est lié à quelques facteurs comme par exemple un bon sommeil les nuits précédentes, mais aussi mon niveau de motivation. Par exemple, si je suis capable de tenir X watts pendant un temps T certains jours, avec la motivation et la capacité d'avoir un peu plus mal, des journées où je suis bien reposé, je suis capable de tenir la même puissance sur plus longtemps. Arrête-toi de travailler trois semaines et tu fais un test de puissance au début et à la fin des trois semaines... il y a 37 minutes, Marquez a dit : Tu vois dans le vélo la s"le chose qui m'interesse ce ne sont pas des mesures etc etc ou des temps genrs kom, mais c'est la capacité à étre en phase avec le groupe avec lequel je roule et plutôt devant que derrière etc'est à l'aune de ça que je jauge les qualités du matériel. C'est tt à fait perso et bien évidemment un matériel qui va me satisfaire pleinement avec ces critères ne sera peut être pas du tout apprécié identiquement par un autre Je suis comme toi, j'ai une boite noire (ma montre qui enregistre), mais plus de compteur, à fortiori, pas de capteur de puissance. Donc je fonctionne aux sensations et à l'aune de ce que je fais par rapport à mes camarades de virées. Mais forcément, si tu ne mesures rien, il y a une part de subjectivité et d'effet placébo...
Thierry GEUMEZ Posté il y a 2 heures Posté il y a 2 heures il y a 30 minutes, Marquez a dit : Tu vois dans le vélo la s"le chose qui m'interesse ce ne sont pas des mesures etc etc ou des temps genrs kom, mais c'est la capacité à étre en phase avec le groupe avec lequel je roule et plutôt devant que derrière etc'est à l'aune de ça que je jauge les qualités du matériel. C'est tt à fait perso et bien évidemment un matériel qui va me satisfaire pleinement avec ces critères ne sera peut être pas du tout apprécié identiquement par un autre - Le juge : monsieur, vous comparaissez devant ce tribunal pour avoir roulé à 90 km/h en agglomération ! - Je n'en sais rien monsieur le juge parce que je n'ai pas de compteur et pour être franc avec vous, les chiffres m'ennuient un peu. Mais je peux vous assurer que je roule prudemment ! Bruno, les chiffres ne disent pas toute la vérité mais toi, tu nages en pleine subjectivité. L'allure de ton groupe est ta référence mais l'allure d'un autre groupe est peut-être plus lente ou plus rapide et nous n'en savons rien. Il faut parler la même langue pour se comprendre et je visualise mieux de quoi on parle quand on prononce les mots "km/h", "watt", etc.
Marquez Posté il y a 2 heures Posté il y a 2 heures (modifié) il y a 8 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : - Le juge : monsieur, vous comparaissez devant ce tribunal pour avoir roulé à 90 km/h en agglomération ! - Je n'en sais rien monsieur le juge parce que je n'ai pas de compteur et pour être franc avec vous, les chiffres m'ennuient un peu. Mais je peux vous assurer que je roule prudemment ! Bruno, les chiffres ne disent pas toute la vérité mais toi, tu nages en pleine subjectivité. L'allure de ton groupe est ta référence mais l'allure d'un autre groupe est peut-être plus lente ou plus rapide et nous n'en savons rien. Il faut parler la même langue pour se comprendre et je visualise mieux de quoi on parle quand on prononce les mots "km/h", "watt", etc. Un point important surces considérations: en vélo sport, mis à part les CLM où c'est uniquement le chrono qui est juge, quand on roule en peloton, on a vite fait de constater notre niveau du jour par rapport aux différents membres du groupe. Quand on roule à longueur d'années avec grosso modo la même bande, on se situe assez précisément par rapport à chaque membre du groupe, ça c'est un fait et ça évolue assez peu. Donc j'en viens à l'appréciation du matos par rapport à ça. Quand on change de roues, de pneus, de cadre, on a vite fait de savoir si celui ci est meilleur par rapport au précédent: s'il avantage dans les bosses, dans les longs bouts droits à 45 kmh, dans les relances brutales, dans la sensation de confort et il faut confirmer ces constats sur plusieurs sorties. C'est absolument imparable. Bien meilleur que un chrono de 10 mnts sur une portion de route, trop influencé par la forme du jour, la météo et le court laps de temps du test. Cela c'est mon propre constat qui pour l'instant me donne des indications très précises sur le niveau d'efficacité du matériel et pour mon utilisation actuelle. Ensuite on fait des choix conditionnés par plusieurs paramètres: le confort de roulage, la sensibilité au vent (les roues de 50 ou 60 sont meilleures en plat à 45 kmh mais trop "volages" dans le vent pour moi donc je zappe cette option pourtant plus performante dans ma région. etc etc Modifié il y a 2 heures par Marquez
Thierry GEUMEZ Posté il y a 2 heures Posté il y a 2 heures il y a 4 minutes, Pierre PLANA a dit : Non, non, je ne mélange pas tout, je sais parfaitement ce qu'est la puissance et ce qu'est la vitesse moyenne. Pour un pro qui se connait par cœur, qui est super entrainé, qui a une routine, je ne doute pas de l'intérêt du capteur de puissance. Même si, comme moi, il doit y avoir des jours "avec" et des jours "sans". Pour moi, entre les moments "avec" et les moments "sans", il y a un fossé énorme et c'est lié à quelques facteurs comme par exemple un bon sommeil les nuits précédentes, mais aussi mon niveau de motivation. Par exemple, si je suis capable de tenir X watts pendant un temps T certains jours, avec la motivation et la capacité d'avoir un peu plus mal, des journées où je suis bien reposé, je suis capable de tenir la même puissance sur plus longtemps. Arrête-toi de travailler trois semaines et tu fais un test de puissance au début et à la fin des trois semaines... Je suis comme toi, j'ai une boite noire (ma montre qui enregistre), mais plus de compteur, à fortiori, pas de capteur de puissance. Donc je fonctionne aux sensations et à l'aune de ce que je fais par rapport à mes camarades de virées. Mais forcément, si tu ne mesures rien, il y a une part de subjectivité et d'effet placébo... Lorsque je roule aux sensations dans des contextes particuliers, notamment en groupe, avec un esprit compétitif, ou sur des dénivelés très différents de mes sorties habituelles, il n'est pas rare que les crampes surviennent et gâchent la fin de ma sortie. L'utilisation du capteur de puissance est une aide indiscutable dans ces contextes. Cela nécessite de connaître ses zones d'intensité d'effort mais on y arrive assez facilement au bout de quelques mois. Je ne respecte pas toujours les indications du capteur... parce que je ne vais quand même pas me soumettre à une machine, crévindieu ! Et j'assume si je me suis trompé
Thierry GEUMEZ Posté il y a 1 heure Posté il y a 1 heure il y a 20 minutes, Marquez a dit : Un point important surces considérations: en vélo sport, mis à part les CLM où c'est uniquement le chrono qui est juge, quand on roule en peloton, on a vite fait de constater notre niveau du jour par rapport aux différents membres du groupe. Quand on roule à longueur d'années avec grosso modo la même bande, on se situe assez précisément par rapport à chaque membre du groupe, ça c'est un fait et ça évolue assez peu. Donc j'en viens à l'appréciation du matos par rapport à ça. Quand on change de roues, de pneus, de cadre, on a vite fait de savoir si celui ci est meilleur par rapport au précédent: s'il avantage dans les bosses, dans les longs bouts droits à 45 kmh, dans les relances brutales, dans la sensation de confort et il faut confirmer ces constats sur plusieurs sorties. C'est absolument imparable. Bien meilleur que un chrono de 10 mnts sur une portion de route, trop influencé par la forme du jour, la météo et le court laps de temps du test. Cela c'est mon propre constat qui pour l'instant me donne des indications très précises sur le niveau d'efficacité du matériel et pour mon utilisation actuelle. Ensuite on fait des choix conditionnés par plusieurs paramètres: le confort de roulage, la sensibilité au vent (les roues de 50 ou 60 sont meilleures en plat à 45 kmh mais trop "volages" dans le vent pour moi donc je zappe cette option pourtant plus performante dans ma région. etc etc On est d'accord, même si j'aime te titiller. Je me reconnais (dans mes souvenirs) dans ce que tu décris des sorties rapides en groupe : quand ça accélère, pas besoin de compteur pour savoir si tes jambes répondent... ou pas. Je ne peux par contre pas adhérer à tes explications quand il s'agit de quantifier l'avantage procuré par tel ou tel matériel et lorsque tu dénigres les mesures effectuées par des laboratoires indépendants (à condition qu'ils soient vraiment independants, ce n'est pas toujours très clair).
Pierre PLANA Posté il y a 1 heure Auteur Posté il y a 1 heure Sur le site CSC normalement je suis allé au bout du processus et ils devraient me contacter pour faire un virement, sauf qu'il ne se passe rien... 😞
Thierry GEUMEZ Posté il y a 1 heure Posté il y a 1 heure il y a 8 minutes, Pierre PLANA a dit : Sur le site CSC normalement je suis allé au bout du processus et ils devraient me contacter pour faire un virement, sauf qu'il ne se passe rien... 😞 Tu veux acheter des 35 mm avec rayons carbone ?
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