Marquez Posté vendredi à 19:36 Posté vendredi à 19:36 il y a une heure, Thierry GEUMEZ a dit : C'est normal que le prix de tes roues CSC soit bradé, on écoule les fonds de stocks parce que plus personne n'achètera bientôt des freins à patins 🤭 Mauvaise pioche, on a fait une commande de deux paires de ces 50mm une pour FAD et la mienne pour FAP tarifs identiques. En revanche c'est vrai que les hauts de gamme en FAP commencent à être moins facile à trouver. C'est aussi pour cette raison que j'en ai pris plusieurs paires cette année histoire d'être peinard jusqu'à ma retraite sportive🤣🤣. Parce que comme déjà dit souvent à vélo ces freins, genre machine à trancher le jambon, 🤣🤣 ce n'est pas du tout mon truc, je n'en ai nul besoin, mais y en a qui adore, je ne critique pas.
Nicolas JOARY Posté vendredi à 20:55 Posté vendredi à 20:55 Il y a 2 heures, Thierry GEUMEZ a dit : Pour éviter l'effet "placebo", il faut tester en double aveugle 🤪 J'ai déjà pris deux gamelles cet automne en voyant pourtant clair ; tu ne voudrais pas que je roule les yeux fermés, quand même ? 😳 3
Marquez Posté dimanche à 17:09 Posté dimanche à 17:09 Testé les nouvelles CSC en 50mm moyeux céramiques et rayons carbone à 1.280 grs. J'en parle dans le fil "votre sortie du jour". Les roues quand même c'est pas rien....
Pierre PLANA Posté il y a 19 heures Auteur Posté il y a 19 heures Il y a 14 heures, Marquez a dit : Testé les nouvelles CSC en 50mm moyeux céramiques et rayons carbone à 1.280 grs. J'en parle dans le fil "votre sortie du jour". Les roues quand même c'est pas rien.... Pour ma part, je pense que c'est probablement plus important que le cadre...
Nicolas JOARY Posté il y a 18 heures Posté il y a 18 heures il y a 36 minutes, Pierre PLANA a dit : Pour ma part, je pense que c'est probablement plus important que le cadre... Toi qui essaies beaucoup de matériel, comment classerais-tu l'importance des composants dans les cas suivants, étant entendu que les vélo est à ta taille, bien réglé et fonctionne parfaitement ? 1) À géométrie identique : matériau du cadre, nature et poids des roues, type de pneus... 2) À matériau de cadre identique : géométrie, nature et poids des roues, types de pneus...
Thierry GEUMEZ Posté il y a 17 heures Posté il y a 17 heures (modifié) il y a une heure, Nicolas JOARY a dit : Toi [Pierre] qui essaies beaucoup de matériel, comment classerais-tu l'importance des composants dans les cas suivants, étant entendu que les vélo est à ta taille, bien réglé et fonctionne parfaitement ? 1) À géométrie identique : matériau du cadre, nature et poids des roues, type de pneus... 2) À matériau de cadre identique : géométrie, nature et poids des roues, types de pneus... Le matériau du cadre ne renseigne pas sur son comportement, on peut faire du rigide ou du mou avec tout. Le carbone est plus léger... et moins cher à produire... en Chine. L'acier et le titane sont devenus plus confidentiels et concernent particulièrement les productions artisanales. A cotes de position identiques, l'empattement et l'angle du tube de direction donneront un vélo plus ou moins joueur ou stable. Concernant les roues et maintenant que je cerne un peu mieux le comportement de mon nouveau vélo, j'ai de plus en plus la conviction que les Drive 40 D avec Conti GP 4 saisons 28 mm se relancent moins facilement depuis les très basses vitesses que les Zonda/patins avec Conti GP 5000 25 mm. Les pneus étant différents, je ne peux en dire plus, sinon que j'ai toujours à l'esprit la recommandation de Pierre sur les Fulcrum Speed 25. Choisir, c'est mourir un peu Modifié il y a 17 heures par Thierry GEUMEZ
Pierre PLANA Posté il y a 17 heures Auteur Posté il y a 17 heures il y a 24 minutes, Nicolas JOARY a dit : Toi qui essaies beaucoup de matériel, comment classerais-tu l'importance des composants dans les cas suivants, étant entendu que les vélo est à ta taille, bien réglé et fonctionne parfaitement ? 1) À géométrie identique : matériau du cadre, nature et poids des roues, type de pneus... 2) À matériau de cadre identique : géométrie, nature et poids des roues, types de pneus... Oulala, c'est super compliqué de répondre à ça. Ce que je peux dire "pour moi" : - C'est avec des cadres et de roues rigides que je peux aller le plus vite. Mais avec un cadre élastique j'arrive mieux à passer des cumuls de dénivelé importants. - Il est possible de compenser un cadre "élastique" avec des roues rigides. Par contre, l'inverse est rarement satisfaisant. - Des roues trop rigides, deviennent inertes. Je pensais qu'il en était de même pour les cadres jusqu'au Ridley, qui "compense" avec la géométrie très droite (je pense). - les géométries droites permettent d'avoir au moins des sensations de vélos plus facile à relancer en danseuse. Assis ça a moins d'effet. Néanmoins globalement, plus ça avance et plus je suis comme Socrate : "je sais que je ne sais rien"... J'ai essayé plein de vélos, certes, mais je ne peux que dégager des tendances et il y a des vélos dont je ne comprends pas le fonctionnement aussi bien en positif qu'en négatif. La position est quand même cruciale et il y a des vélos sur lesquels je suis bien d'entrée et des vélos sur lesquels je n'arrive à rien de très satisfaisant. Par exemple, j'ai eu deux Pinarello, et je m'en suis séparé très rapidement parce que, bof... Sur l'Orbéa, je ne me sens pas particulièrement bien et je me fais un peu chier, mais il est super facile en toutes circonstances. Le Ridley, je l'ai trouvé tout de suite génial, malgré un cintre trop long. Les deux Cervelo que j'ai essayé les week-end dernier, je m'y suis tout de suite senti bien dessus malgré peu de réglages. C'est aussi le cas du Time... Quant aux roues, c'est pareil, je ne sais plus trop quoi dire... Il y a des roues basses que j'adore, des moyennes qui m'ont planté -trop rigides, des moyennes ou des hautes que je trouve chewing gum, des hautes que j'ai trouvées parfaites... Et je vois qu'autour de moi, l'essai d'un même vélo peut amener à des sensations complètement différentes selon, le poids, le niveau de forme, et la façon de pédaler du cycliste. J'ai deux copains avec lesquels on a des réglages de taille proche, donc on peut faire tourner les vélos, l'un beaucoup plus mince, puissant, jeune que moi, l'autre plus mince, moins beaucoup moins puissant et les ressentis sont très différents (surtout avec le moins puissant). Je ne saurai donc trop conseiller d'essayer les vélo autant que possible... les essais des magazines, d'autres cyclistes, ne peuvent donner que de grandes lignes... J'ai conseillé des vélos et ou des roues autour de moi à des gens dont je connais les caractéristiques. La plupart du temps ça s'est bien passé. Il m'est arrivé de me planter, notamment sur les roues... avec des gens à qui j'ai fait essayer des roues persuadé qu'ils allaient aimer et ça n'a pas été le cas. 1
Eric FLEURY Posté il y a 16 heures Posté il y a 16 heures il y a une heure, Pierre PLANA a dit : Oulala, c'est super compliqué de répondre à ça. Ce que je peux dire "pour moi" : - C'est avec des cadres et de roues rigides que je peux aller le plus vite. Mais avec un cadre élastique j'arrive mieux à passer des cumuls de dénivelé importants. - Il est possible de compenser un cadre "élastique" avec des roues rigides. Par contre, l'inverse est rarement satisfaisant. - Des roues trop rigides, deviennent inertes. Je pensais qu'il en était de même pour les cadres jusqu'au Ridley, qui "compense" avec la géométrie très droite (je pense). - les géométries droites permettent d'avoir au moins des sensations de vélos plus facile à relancer en danseuse. Assis ça a moins d'effet. Néanmoins globalement, plus ça avance et plus je suis comme Socrate : "je sais que je ne sais rien"... J'ai essayé plein de vélos, certes, mais je ne peux que dégager des tendances et il y a des vélos dont je ne comprends pas le fonctionnement aussi bien en positif qu'en négatif. La position est quand même cruciale et il y a des vélos sur lesquels je suis bien d'entrée et des vélos sur lesquels je n'arrive à rien de très satisfaisant. Par exemple, j'ai eu deux Pinarello, et je m'en suis séparé très rapidement parce que, bof... Sur l'Orbéa, je ne me sens pas particulièrement bien et je me fais un peu chier, mais il est super facile en toutes circonstances. Le Ridley, je l'ai trouvé tout de suite génial, malgré un cintre trop long. Les deux Cervelo que j'ai essayé les week-end dernier, je m'y suis tout de suite senti bien dessus malgré peu de réglages. C'est aussi le cas du Time... Quant aux roues, c'est pareil, je ne sais plus trop quoi dire... Il y a des roues basses que j'adore, des moyennes qui m'ont planté -trop rigides, des moyennes ou des hautes que je trouve chewing gum, des hautes que j'ai trouvées parfaites... Et je vois qu'autour de moi, l'essai d'un même vélo peut amener à des sensations complètement différentes selon, le poids, le niveau de forme, et la façon de pédaler du cycliste. J'ai deux copains avec lesquels on a des réglages de taille proche, donc on peut faire tourner les vélos, l'un beaucoup plus mince, puissant, jeune que moi, l'autre plus mince, moins beaucoup moins puissant et les ressentis sont très différents (surtout avec le moins puissant). Je ne saurai donc trop conseiller d'essayer les vélo autant que possible... les essais des magazines, d'autres cyclistes, ne peuvent donner que de grandes lignes... J'ai conseillé des vélos et ou des roues autour de moi à des gens dont je connais les caractéristiques. La plupart du temps ça s'est bien passé. Il m'est arrivé de me planter, notamment sur les roues... avec des gens à qui j'ai fait essayer des roues persuadé qu'ils allaient aimer et ça n'a pas été le cas. Re, Je pense un peu comme toi, la rigidité peut apporter des résultats, combinée avec des roues, le panel reste étendu ! Pour moi la géométrie est primordiale et la posturologie, ce qui, certainement prend le dessus sur un vélo ou l'autre nativement plus adapté ! Ensuite une part importante c'est l'effet euphorie, conditionnement, qui intrinsèquement prends le dessus.... J'ajuterai aussi le visuel ! Pour comparaison, c'est comme avec une voiture, j'ai travaillé dans le domaine, analyse concurrence notamment, et sans parler de puissance ou option, il se dégage des véhicules, pour leur aspect visuel, fortement lié à la couleur.... et aussi l'esprit que l'on appelle dans le jargon, le "cocoonings" , on ne sait pas pourquoi, mais la disposition des commandes, du tableau de bord, l'assise, fait que immédiatement le chauffeur se sent bien.... c'est très difficile à remonter l'ensemble pour analyse et dire quel critère prend le dessus.
Nicolas JOARY Posté il y a 15 heures Posté il y a 15 heures Il y a 2 heures, Pierre PLANA a dit : (...)Je ne saurai donc trop conseiller d'essayer les vélo autant que possible... les essais des magazines, d'autres cyclistes, ne peuvent donner que de grandes lignes...(...) Et c'est très difficile ! À part monter sur l'un ou l'autre exemplaire présent ou, privilège, faire avec le tour du parking, pas facile d'essayer plusieurs vélos. Surtout le même jour dans les mêmes conditions. Et c'est en outre peu intuitif. On peut souvent s'adapter à deux tailles d'un même modèle, mais il est rare de pouvoir essayer ces deux tailles différentes, qui plus est le même jour. Et parfois, la géométrie qu'on pense ne pas nous convenir convient quand même. Le vélo, c'est presque toujours un ensemble de compromis et, comme le rappelle Thierry, choisir c'est déjà renoncer.
Thierry GEUMEZ Posté il y a 14 heures Posté il y a 14 heures il y a 22 minutes, Nicolas JOARY a dit : Et c'est très difficile ! À part monter sur l'un ou l'autre exemplaire présent ou, privilège, faire avec le tour du parking, pas facile d'essayer plusieurs vélos. Surtout le même jour dans les mêmes conditions. Et c'est en outre peu intuitif. On peut souvent s'adapter à deux tailles d'un même modèle, mais il est rare de pouvoir essayer ces deux tailles différentes, qui plus est le même jour. Et parfois, la géométrie qu'on pense ne pas nous convenir convient quand même. Le vélo, c'est presque toujours un ensemble de compromis et, comme le rappelle Thierry, choisir c'est déjà renoncer. Pour ta femme, t'as fait comment ? La vie nous condamne de toutes façons à prendre le risque de se tromper et d'être toujours un peu frustré. Imagine un instant que tu tu puisses être réellement et définitivement comblé. N'ayant plus rien à désirer, tu tomberais dans une dépression infinie... Sinon, ton vélo accidenté est réparable ou tu t'interroges sur son remplaçant ?
Nicolas JOARY Posté il y a 13 heures Posté il y a 13 heures il y a une heure, Thierry GEUMEZ a dit : (...)Sinon, ton vélo accidenté est réparable ou tu t'interroges sur son remplaçant ? J'attends le rapport d'expertise. 1
Nicolas JOARY Posté il y a 13 heures Posté il y a 13 heures (modifié) il y a une heure, Thierry GEUMEZ a dit : Pour ta femme, t'as fait comment ? L'honnêteté et la décence m'interdisent de préciser davantage, comme disait Pierre Dac. Modifié il y a 13 heures par Nicolas JOARY 1
Thierry GEUMEZ Posté il y a 10 heures Posté il y a 10 heures (modifié) Il y a 7 heures, Pierre PLANA a dit : - les géométries droites permettent d'avoir au moins des sensations de vélos plus facile à relancer en danseuse. Assis ça a moins d'effet. Que veux-tu dire par "géométries droites", cette dénomination concerne l'angle de direction, l'angle du tube de selle, ou les deux ? J'ai fait le tour de mon quartier avec mon vélo acier immédiatement après ma sortie avec l'Origine. Les relances en danseuse (vers 20-30 km/h) sont saisissantes avec le cadre acier, la direction est vraiment très légère dans cet exercice. Le tube de direction du vélo acier est incliné à 72° et celui du carbone à 70,5°. Je n'ai bien sûr pas pu tester avec les mêmes roues pour éliminer au moins une variable. Assez bizarrement, la lourdeur (ou inertie ?) que je sens avec l'Origine lors des relances en danseuses depuis les basses vitesses est totalement absente si je monte une côte en danseuse à allure constante, ce qui me fait penser que la géométrie n'est peut-être pas en cause. Saisissant aussi : j'ai eu peur lors du premier freinage au bout de ma rue avec les freins à patins, je pensais que je n'avais plus de freins. On s'habitue très vite à la puissance des disques et ceux qui affirment que les patins "freinent d'enfer" ne savent pas de quoi ils parlent 🤣 Modifié il y a 10 heures par Thierry GEUMEZ
Nicolas JOARY Posté il y a 8 heures Posté il y a 8 heures il y a une heure, Thierry GEUMEZ a dit : (...)On s'habitue très vite à la puissance des disques(...) À mon avis, ce n'est pas la puissance qui est en cause, mais plutôt le rapport pression sur les poignées/pression sur les surfaces de freinage. Avec les patins, je devais mettre impérativement les mains en bas pour exercer une pression suffisante sur les poignées en descente de col. Avec les disques, c'est aussi facile depuis les cocottes (même si ce n'est pas la meilleure façon de faire pour la sécurité).
Thierry GEUMEZ Posté il y a 8 heures Posté il y a 8 heures il y a 43 minutes, Nicolas JOARY a dit : À mon avis, ce n'est pas la puissance qui est en cause, mais plutôt le rapport pression sur les poignées/pression sur les surfaces de freinage. Avec les patins, je devais mettre impérativement les mains en bas pour exercer une pression suffisante sur les poignées en descente de col. Avec les disques, c'est aussi facile depuis les cocottes (même si ce n'est pas la meilleure façon de faire pour la sécurité). Je me souviens de mon ancienne R5 (Renault, pas Cervélo) équipée de 4 freins à tambours non assistés 🤪
Nicolas JOARY Posté il y a 8 heures Posté il y a 8 heures il y a 4 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Je me souviens de mon ancienne R5 (Renault, pas Cervélo) équipée de 4 freins à tambours non assistés 🤪 Les roulements de tambours, ça fait du bruit.
Thierry GEUMEZ Posté il y a 7 heures Posté il y a 7 heures (modifié) il y a 5 minutes, Nicolas JOARY a dit : Les roulements de tambours, ça fait du bruit. Non 😉 mais beaucoup de soucis. Voiture française d'un autre âge 😇 Modifié il y a 7 heures par Thierry GEUMEZ
Pierre PLANA Posté il y a 6 heures Auteur Posté il y a 6 heures (modifié) Il y a 1 heure, Nicolas JOARY a dit : À mon avis, ce n'est pas la puissance qui est en cause, mais plutôt le rapport pression sur les poignées/pression sur les surfaces de freinage. Avec les patins, je devais mettre impérativement les mains en bas pour exercer une pression suffisante sur les poignées en descente de col. Avec les disques, c'est aussi facile depuis les cocottes (même si ce n'est pas la meilleure façon de faire pour la sécurité). Non, non, une fois que tu as essayé les disques, si tu as des circuits où tu as besoin de freiner, tu ne reviens plus en arrière…mains en haut ou mains en bas. Modifié il y a 6 heures par Pierre PLANA
Nicolas JOARY Posté il y a 5 heures Posté il y a 5 heures il y a 57 minutes, Pierre PLANA a dit : Non, non, une fois que tu as essayé les disques, si tu as des circuits où tu as besoin de freiner, tu ne reviens plus en arrière…mains en haut ou mains en bas. Revenir en arrière, sur un vélo ? Non, jamais. Mais ils inventent tout, donc, pourquoi pas une marche arrière pour descendre quand ça monte ? (Il est temps d'aller coucher, Nico.)
Bernard MOREAU Posté il y a 5 heures Posté il y a 5 heures Il y a 4 heures, Thierry GEUMEZ a dit : Saisissant aussi : j'ai eu peur lors du premier freinage au bout de ma rue avec les freins à patins, je pensais que je n'avais plus de freins. On s'habitue très vite à la puissance des disques et ceux qui affirment que les patins "freinent d'enfer" ne savent pas de quoi ils parlent 🤣 Ben oui les freins à patins freinent d'enfer. Je me souviens très bien d'avoir monté des freins CLB (parce que plus légers) et d'entrer dans un rond point où une voiture me refusait la priorité. Ça m'avait obligé à freiner violemment. Ma roue arrière avait décollé mais j'avais relâché la pression juste à temps pour ne pas chuter. Ces freins étaient un désastre par temps de pluie (c'était avant les jantes rainurées). Je veux bien que les freins à disque demandent d'appuyer moins fort, mais pas qu'ils t'arrêtent plus vite sur route sèche.
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