Marquez Posté jeudi à 21:36 Posté jeudi à 21:36 (modifié) Certains écrou shim font "clic" d'autres pas. En général c'est 40Nm de préconisés minimum, ça fait une sacrée force. Donc sans clé et en y allant de bon coeur ça marche, de cette manière (de bon coeur je veux dire...) jamais eu de desserrage Modifié vendredi à 05:43 par Marquez
Pierre PLANA Posté vendredi à 10:57 Auteur Posté vendredi à 10:57 (modifié) Il y a 16 heures, André MASSOL a dit : Bonjour C'est vrai que le début de la sortie c'est fait sur un rythme soutenue ..Sur la bosse assez roulante , on envoyait dur et pierre n'était pas avare de relais.En haut je lui dit "" on est monter fort , heureusement qu'il ma dit OUI ... Bon pour être honnête j'ai vite comprit la teneur de la sortie et ce qui est sur que la montée de Montségur allait se faire a un rythme😁 . Euh le prochaine fois c'est moi qui décide du parcours avec la sortie que j'ai fait aujourd'hui .😊 Ha, ha, ha… les « tout maigre », vous êtes tous pareils !!! Ca ne vous derange pas qu’on soit en survie dans les cols, mais dès qu’on vous fait rouler un peu fort sur le plat, ça couine ! 🤣 Modifié vendredi à 10:58 par Pierre PLANA 2
Franck PASTOR Posté vendredi à 15:43 Posté vendredi à 15:43 Il y a 4 heures, Pierre PLANA a dit : Ha, ha, ha… les « tout maigre », vous êtes tous pareils !!! Ca ne vous derange pas qu’on soit en survie dans les cols, mais dès qu’on vous fait rouler un peu fort sur le plat, ça couine ! 🤣 Tu devrais emménager en Belgique, ou encore mieux aux Pays-Bas, les bêtes à rouler y font la loi. 😎
Nicolas JOARY Posté vendredi à 18:01 Posté vendredi à 18:01 Première sortie en groupe aujourd'hui avec les nouvelles roues. Le parcours était plutôt roulant, je me suis senti à l'aise du début à la fin et j'ai terminé encore frais. J'étais sans doute bien en jambes, mais l'allégement du vélo (700g de moins sur les roues), les jantes de 40mm et les rayons aéro en carbone ont joué leur rôle. Les relances étaient plus faciles, j'ai assuré quelques bons relais et franchi sans peine les quelques côtes d'un parcours plutôt roulant. En descente, j'ai pu davantage que de coutume profiter de la roue libre. Ces premières impressions positives seront à confirmer sur des parcours plus exigeants, bien sûr ; mais les commentaires des copains quant à mon regain de forme par rapport à la semaine dernière ne sont certainement pas qu'un hasard.
Marquez Posté vendredi à 18:41 Posté vendredi à 18:41 il y a 37 minutes, Nicolas JOARY a dit : Première sortie en groupe aujourd'hui avec les nouvelles roues. Le parcours était plutôt roulant, je me suis senti à l'aise du début à la fin et j'ai terminé encore frais. J'étais sans doute bien en jambes, mais l'allégement du vélo (700g de moins sur les roues), les jantes de 40mm et les rayons aéro en carbone ont joué leur rôle. Les relances étaient plus faciles, j'ai assuré quelques bons relais et franchi sans peine les quelques côtes d'un parcours plutôt roulant. En descente, j'ai pu davantage que de coutume profiter de la roue libre. Ces premières impressions positives seront à confirmer sur des parcours plus exigeants, bien sûr ; mais les commentaires des copains quant à mon regain de forme par rapport à la semaine dernière ne sont certainement pas qu'un hasard. La plupart du temps ce n'est pas le parcours qui est exigeant mais l'allure a laquelle on le fait😓😓😓
Thierry GEUMEZ Posté vendredi à 19:23 Posté vendredi à 19:23 il y a une heure, Nicolas JOARY a dit : Première sortie en groupe aujourd'hui avec les nouvelles roues. Le parcours était plutôt roulant, je me suis senti à l'aise du début à la fin et j'ai terminé encore frais. J'étais sans doute bien en jambes, mais l'allégement du vélo (700g de moins sur les roues), les jantes de 40mm et les rayons aéro en carbone ont joué leur rôle. Les relances étaient plus faciles, j'ai assuré quelques bons relais et franchi sans peine les quelques côtes d'un parcours plutôt roulant. En descente, j'ai pu davantage que de coutume profiter de la roue libre. Ces premières impressions positives seront à confirmer sur des parcours plus exigeants, bien sûr ; mais les commentaires des copains quant à mon regain de forme par rapport à la semaine dernière ne sont certainement pas qu'un hasard. Il y a le matos et la condition physique. Tu commences à prendre tes marques dans ton club, tu as un nouveau vélo et de nouvelles roues, tout cela est source de motivation et crée un effet boule de neige. Profite bien ! 1
Nicolas JOARY Posté samedi à 06:37 Posté samedi à 06:37 Il y a 10 heures, Thierry GEUMEZ a dit : Il y a le matos et la condition physique. Tu commences à prendre tes marques dans ton club, tu as un nouveau vélo et de nouvelles roues, tout cela est source de motivation et crée un effet boule de neige. Profite bien ! Oui, il y a un peu de tout cela, c'est certain. Mes impressions, avec ce changement de matériel, ne sont pas que je roule plus vite (pour ça, c'est surtout les jambes et la motivation qui comptent), mais que j'ai entamé une "chasse au gaspi" côté matériel et position. Quand les gains marginaux s'additionnent, ça peut devenir important, surtout en fin de sortie quand vient une nouvelle fois le moment de "faire l'effort pour boucher le trou". Rien qu'une poignée de secondes de gagnées dans l'exercice, ça permet non seulement de diminuer l'effort pour revenir dans les roues, mais également de profiter d'un meilleur temps de récupération avant l'effort suivant. Rouler en groupe, c'est vraiment autre chose. Il vaut mieux avoir le niveau qui permet d'attendre les autres ou, au minimum, de les suivre.
Marquez Posté samedi à 07:04 Posté samedi à 07:04 il y a 23 minutes, Nicolas JOARY a dit : Oui, il y a un peu de tout cela, c'est certain. Mes impressions, avec ce changement de matériel, ne sont pas que je roule plus vite (pour ça, c'est surtout les jambes et la motivation qui comptent), mais que j'ai entamé une "chasse au gaspi" côté matériel et position. Quand les gains marginaux s'additionnent, ça peut devenir important, surtout en fin de sortie quand vient une nouvelle fois le moment de "faire l'effort pour boucher le trou". Rien qu'une poignée de secondes de gagnées dans l'exercice, ça permet non seulement de diminuer l'effort pour revenir dans les roues, mais également de profiter d'un meilleur temps de récupération avant l'effort suivant. Rouler en groupe, c'est vraiment autre chose. Il vaut mieux avoir le niveau qui permet d'attendre les autres ou, au minimum, de les suivre. C'est très exactement ça et à entrainement egal, les gains matériels dues au cadre et aux roues notamment ainsi qu'à une position correcte sont très appréciables en sortie en groupe, c'est là qu'on peut bien évaluer leur importance, de manière bien plus précise qu'en solo où on à tjs le loisir de gérer individuellement ses efforts.
Thierry GEUMEZ Posté samedi à 09:30 Posté samedi à 09:30 Il y a 2 heures, Marquez a dit : C'est très exactement ça et à entrainement egal, les gains matériels dues au cadre et aux roues notamment ainsi qu'à une position correcte sont très appréciables en sortie en groupe, c'est là qu'on peut bien évaluer leur importance, de manière bien plus précise qu'en solo où on à tjs le loisir de gérer individuellement ses efforts. Pourquoi dénigres-tu les mesures effectuées au moyen d'instruments (que tu ne possèdes pas), Bruno ? Les compteurs, capteurs de puissance et cardiofréquencemètres permettent de relativiser une performance, qu'elle soit réalisée en solo ou en groupe.
Marquez Posté samedi à 13:38 Posté samedi à 13:38 (modifié) Il y a 4 heures, Thierry GEUMEZ a dit : Pourquoi dénigres-tu les mesures effectuées au moyen d'instruments (que tu ne possèdes pas), Bruno ? Les compteurs, capteurs de puissance et cardiofréquencemètres permettent de relativiser une performance, qu'elle soit réalisée en solo ou en groupe. Interprétation toute personnelle et à visée un tantinet negative non? Je ne dénigre absolument rien du tout, je souscris aux propos que je commente sans rien de plus. Et j'y souscris bien volontiers car ils sont du meme ordre que les constats qu'on peut faire avec les compagnons de route du club. Pour tous ceux qui n'ont pas l'occasion de pouvoir expérimenter cette méthode, s'équiper de matériels de mesure peu etre une solution. Entre deux essais comparatifs toutefois, les mesures risquent fort d'etre sensiblement influencées par des conditions de test différentes('vent, météo, hygrometrie, etc etc) , alors qu'avec un 10aine minimum de pédaleurs accompagnateurs, on peut constater très rapidement et de manière évidente si le nouveau matériel nous place plus ou moins bien dans le groupe. Avec plusieurs sorties consécutives ces constats sont parfaitement fiabilisés. Il faut savoir de quoi on parle (précision utile apparemment) il s'agit bien de comparer divers matériels qui n'ont évidemment pas la capacité à faire avancer le vélo 2 ou 3 kmh plus rapidement en permanence. Le tout s'apprécie sur une durée longue (3heures mini) avec dépense énergétique forte, pour permettre de juger du gain éventuel procuré. Le vélo sport étant une activité physique où la gestion optimale de ses forces et de sa récupération sont primordiales, passées les 100 bornes de sortie "hard" on voit tout à fait comment on se place dans le groupe et si le changement de matériel apporte quelque chose. Je comprends que ce ne soit pas évident à imaginer pour ceux qui ne pratiquent pas dans ces conditions mais c'est très évident pour les autres. PS compteur, cardio fréquencemètre, font partie des équipements que j'utilise évidemment Modifié samedi à 14:03 par Marquez 1
Thierry GEUMEZ Posté samedi à 17:49 Posté samedi à 17:49 Il y a 3 heures, Marquez a dit : Entre deux essais comparatifs toutefois, les mesures risquent fort d'etre sensiblement influencées par des conditions de test différentes('vent, météo, hygrometrie, etc etc) , alors qu'avec un 10aine minimum de pédaleurs accompagnateurs, on peut constater très rapidement et de manière évidente si le nouveau matériel nous place plus ou moins bien dans le groupe. Tu opposes un capteur de puissance et un cardiofréquencemètre dont les mesures seraient selon toi influencées par la météo (c'est trop drôle) et une dizaine de cyclos (dont l'allure dépend de l'humeur du jour) pris pour référence ? Je ne nie pas l'influence du matériel sur notre performance mais tu as décidé de rester dans la subjectivité. C'est ton droit mais ça ne m'apprend pas grand chose.
Nicolas JOARY Posté samedi à 18:05 Posté samedi à 18:05 il y a 13 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Tu opposes un capteur de puissance et un cardiofréquencemètre dont les mesures seraient selon toi influencées par la météo (c'est trop drôle)(...) Thierry, ton capteur et ton cardio, tu les poses sur quoi et sur qui ; et dans quelles conditions ?
Thierry GEUMEZ Posté samedi à 18:23 Posté samedi à 18:23 il y a 15 minutes, Nicolas JOARY a dit : Thierry, ton capteur et ton cardio, tu les poses sur quoi et sur qui ; et dans quelles conditions ? Les capteurs de puissance sont situés dans les pédales (Favero Assioma) et le cardio est un modèle Garmin avec ceinture pectorale. Je ne comprends pas ta question concernant les conditions. Je les utilise lorsque je roule à vélo.
Nicolas JOARY Posté samedi à 18:50 Posté samedi à 18:50 il y a 14 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Les capteurs de puissance sont situés dans les pédales (Favero Assioma) et le cardio est un modèle Garmin avec ceinture pectorale. Je ne comprends pas ta question concernant les conditions. Je les utilise lorsque je roule à vélo. Que veux-tu mesurer de manière fiable, puisque tu ne crois que les chiffres ? Le temps que tu mets pour une puissance fixe sur un parcours identique en variant le matériel (des roues aéro ou non aéro, par exemple) ? Comment vas-tu t'y prendre pour comparer le matériel dans des conditions parfaitement identiques et pouvoir décréter à coup sûr que tel matériel donne ou pas un avantage sur un autre ; et s'il en donne un, le chiffrer ? Je pense que la seule manière fiable, ça doit être des essais en soufflerie. Quand on ne dispose pas d'un tel équipement, il faut établir un protocole et le respecter d'essai en essai pour sortir des chiffres fiables. Internet est plein de tests de ce genre, dont les résultats sont contestables parce que le protocole n'est généralement pas assez réaliste ou est orienté pour favoriser un objectif mercantile. 1
Gérôme BORGER Posté samedi à 19:23 Posté samedi à 19:23 (modifié) il y a 34 minutes, Nicolas JOARY a dit : Que veux-tu mesurer de manière fiable, puisque tu ne crois que les chiffres ? Le temps que tu mets pour une puissance fixe sur un parcours identique en variant le matériel (des roues aéro ou non aéro, par exemple) ? Comment vas-tu t'y prendre pour comparer le matériel dans des conditions parfaitement identiques et pouvoir décréter à coup sûr que tel matériel donne ou pas un avantage sur un autre ; et s'il en donne un, le chiffrer ? Je pense que la seule manière fiable, ça doit être des essais en soufflerie. Quand on ne dispose pas d'un tel équipement, il faut établir un protocole et le respecter d'essai en essai pour sortir des chiffres fiables. Internet est plein de tests de ce genre, dont les résultats sont contestables parce que le protocole n'est généralement pas assez réaliste ou est orienté pour favoriser un objectif mercantile. Je pense comme Thierry, la puissance que tu développes lors d'une sortie est très révélatrice. Je roule sur deux vélo équipés du même capteur, un Look et un Time. Le Look est un XS (par choix) le Time un S. Les positions sur le vélo sont donc assez différentes, malgré un stack et reach proche. Ce que je peux dire c'est qu'à puissance égale les moyennes sont très proches sur un même parcours. Par contre le ressenti est très différent, certainement dû à la position très différente entre les deux vélo. Par fort vent de face, la position plus aéro sur le Time fait la différence. Modifié samedi à 19:24 par Gérôme BORGER
Marquez Posté samedi à 19:24 Posté samedi à 19:24 (modifié) Le vélo est un sport, c'est donc le physique qui parle. Quand on écrit par exemple que les roues lourdes sont meilleures que les roues légères (à profil comparable evidemment), la pratique dément immédiatement le propos, ou alors le gars roule en permanence à vitesse quasi stabilisée et n'accorsde aucune importance à l'énergie nécessaire à reprendre de la vitesse. Sur une sortie de 2100 bornes je n'ai jamais compter les relances mais o, ,e doit pas etre loin d'une bonne 40aine (évidemment en course sur circuit ce sera plus du double) et pour regagner le plus vite possible 10kmh mes muscles préfèrent des roues 300 grs plus légères sur le pourtour, et même si certains théoriciens se permettent de prétendre le contraire, sans doute qu'ils n'ont jamais l'occasion de faire de relances à vélo. En bosse ce sera encore pire, sauf à monter au train impossible avec des roues lourdes de suivre une quelconque accélération sans se mettre en zone rouge, ça ira peut être une fois mais pas deux ou trois. C'est exactement la même chose pour les profils aero des roues les mesures faites en labo sont une chose, la vérification en réel sur son vélo et avec ses repères habituels sont beaucoup plus parlant individuellement Tout ça c'est du bla bla sans importance finalement, chacun doit faire comme il le sent et laisser les autres se persuader qu'ils ont raison, quelle importance? la seule vérité c'est celle du terrain et la performance à vélo est surtout appréciée en groupe où pouvoir rouler avec les meilleurs est bien plus interessant que de peiner à garder les roues ou d'obliger régulièrement les autres à attendre. Modifié samedi à 19:32 par Marquez
Thierry GEUMEZ Posté samedi à 19:30 Posté samedi à 19:30 (modifié) il y a 41 minutes, Nicolas JOARY a dit : Que veux-tu mesurer de manière fiable, puisque tu ne crois que les chiffres ? Le temps que tu mets pour une puissance fixe sur un parcours identique en variant le matériel (des roues aéro ou non aéro, par exemple) ? Comment vas-tu t'y prendre pour comparer le matériel dans des conditions parfaitement identiques et pouvoir décréter à coup sûr que tel matériel donne ou pas un avantage sur un autre ; et s'il en donne un, le chiffrer ? Je pense que la seule manière fiable, ça doit être des essais en soufflerie. Quand on ne dispose pas d'un tel équipement, il faut établir un protocole et le respecter d'essai en essai pour sortir des chiffres fiables. Internet est plein de tests de ce genre, dont les résultats sont contestables parce que le protocole n'est généralement pas assez réaliste ou est orienté pour favoriser un objectif mercantile. Tu as tout-à-fait raison, les comparaisons nécessitent des protocoles précis et reproductibles pour approcher la réalité. Il ne suffit donc pas d'être équipé d'un arsenal de capteurs lors des sorties à vélo. Mais la corrélation entre les données fournies par les capteurs et leur interprétation permet quand même de s'affranchir des appréciations "au doigt mouillé" ou de l'effet placebo. Ma méfiance vient de mon expérience décevante après l'achat de roues carbone conseillé et encouragé par des utilisateurs qui voulaient se convaincre de la pertinence de leur propre achat ou des envieux qui fantasmaient sur des roues qu'ils ne pouvaient acheter. Modifié samedi à 19:31 par Thierry GEUMEZ
Nicolas JOARY Posté samedi à 19:40 Posté samedi à 19:40 (modifié) il y a 17 minutes, Gérôme BORGER a dit : (...)Ce que je peux dire c'est qu'à puissance égale les moyennes sont très proches sur un même parcours.(...) Je pense que nous parlons de choses différentes. D'un côté, il est question de développer une puissance égale sur un même parcours dans des conditions identiques avec du matériel différent à comparer ; toute dérive dans le protocole rendant le test peu significatif. De l'autre, il est question de savoir si tel matériel par rapport à tel autre permet de répéter un certain effort un plus grand nombre de fois de suite ou pas ; la variabilité de l'état de forme au départ pouvant rendre le test peu significatif. Modifié samedi à 19:42 par Nicolas JOARY
Pierre PLANA Posté samedi à 19:49 Auteur Posté samedi à 19:49 J’ai monté les Elite sur l’Orbea pour faire une boucle assez montagneuse avec un bosse et un col HC (port de Bales). La portion en faux-plat descendant du début (15km/-1%) avalée avec bonheur sans forcer particulièrement à un bon 38km/h de moyenne. Je pensais me faire un peu hacher dans la partie dure du col et ça a été plutôt une bonne surprise. Je suis bien passé (à mon niveau, bien sûr) à peu près partout et dans ce col qui me réussit rarement, j’avais encore de l’énergie pour faire le dernier km assez vite. La montée des 19km effectuée en 7 minutes de moins que lors de mon dernier (douloureux) passage qui m’avait fait revendre le V4RS. 3 heures en tout sur la boucle : je ne pensais pas du tout rouler aussi vite. Ces roues en 46mm sont pour moi assez polyvalentes.
Gérôme BORGER Posté samedi à 20:14 Posté samedi à 20:14 il y a 27 minutes, Nicolas JOARY a dit : Je pense que nous parlons de choses différentes. D'un côté, il est question de développer une puissance égale sur un même parcours dans des conditions identiques avec du matériel différent à comparer ; toute dérive dans le protocole rendant le test peu significatif. De l'autre, il est question de savoir si tel matériel par rapport à tel autre permet de répéter un certain effort un plus grand nombre de fois de suite ou pas ; la variabilité de l'état de forme au départ pouvant rendre le test peu significatif. Un watt est un watt, peu importe le matériel. La question est, un matériel différent me permet il plus performant? Dans mon cas avec deux vélo différent à watt égal la différence est infinitésimal. 1
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