Votre sortie du jour 2025

[Nicolas JOARY]

Compte tenu des températures caniculaires en Provence, je suis parti de Valréas à 6h40 en direction de Nyons, Condorcet et Crupies pour une première partie de route que je connais bien (Côte de Novézan, Montée vers Saint-Ferréol et Col de la Sausse), que j'ai enchaînée vers l'inédit pour moi : le Col de la Chaudière. De belles pentes, surtout entre Bezaudun et l'avant-dernier kilomètre, dans un environnement calme et offrant quelques zones ombragées par des arbres, le soleil n'étant pas encore très haut quand j'ai réalisé l'ascension. L'autre versant, par Saillans, est probablement plus difficile, mais je ne l'ai ni descendu, ni monté. J'ai fait demi-tour et suis rentré à Valréas par Vesc (Col de l'Homme), Montjoux et La-Roche-St-Secret. S'il n'avait fait déjà si chaud, j'aurais tenté le crochet par le Col de Vesc vers Comps (une belle montée que je me suis promis d'essayer dans ce sens-là, après avoir fait l'autre la semaine dernière). Ce sera partie remise.

Je retiens du Col de la Chaudière une montée assez sérieuse (Cat.1) et, surtout, une descente plutôt technique (sinueuse, pentue, virages masqués, revêtement un peu sautillant) qui exige de bons freinages et du cran (que je n'ai pas) pour oser pédaler pour bien relancer entre les freinages. Quand on connaît bien, c'est probablement plus facile...

Mes 1,7 litres d'eau étaient un peu "justes" compte tenu de la chaleur (pas loin de 30°C au retour) et du vent défavorable qui se renforçait en fin de parcours.

Les lavandes seront bientôt prêtes, c'est mauve partout et ça sent bon ! Jolie région qu'il est toujours plaisant de parcourir à vélo, même en 112km et 1684m+.

 

 

 

[Thierry GEUMEZ]

Col de Peyresourde avec Pierre P. cet avant-midi. Départ vers 8h00 pour éviter la chaleur dans l'ascension. Petite mise en jambes sur un circuit qui traverse de petits villages environnants puis nous "attaquons tranquillement" la montée. Je n'ai pas tout-à-fait récupéré de mes sorties précédentes, je suis donc attentif à ne pas essayer de suivre Pierre qui grimpe mieux que moi malgré ses 20 kilos supplémentaires. Je roule le plus souvent assis, au contraire de Pierre qui est souvent en danseuse. L'ascension se passe sans problème particulier, la fatigue ne commençant à se faire sentir que dans les derniers lacets très exposés au vent. Petite pause au sommet pour boire une limonade et prendre la photo souvenir puis c'est la descente en sens inverse. Les rafales obligent à la prudence, surtout pendant les premiers kilomètres. 

 

Pour Michel : je n'ai atteint que 78,5 km/h, aplati au maximum et les oreilles rentrées, alors que Pierre a dépassé facilement les 80, je suis donc une fusée... de papier 😜

 

Pierre m'a fait remarquer qu'il freinait plus tard que moi avant les virages. Deux explications avancées : d'une part il connaît cette route comme sa poche, d'autre part ses freins à disque sont plus performants que mes patins. Je m'incline devant son objectivité et n'essaie pas de relancer le débat sur les freins à disque.

 

Repos demain et Port de Balès prévu pour vendredi.

 

 

 

 

 

 

[Thierry GEUMEZ]

il y a 32 minutes, Michel DURY a dit :

Curieusement le mal au dos qui m'accompagne depuis tant d'années s'estompe, et ça fait une différence énorme car ça m'épuise totalement d'habitude. Une telle douleur en permanence est une torture dont l'impact est vraiment gigantesque, au point que je ne devrais normalement plus faire de vélo. Ca me scie en deux littéralement, depuis 32 ans.

Tu bonifies en vieillissant, Michel ! 

[Pierre PLANA]

il y a 6 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

Col de Peyresourde avec Pierre P. cet avant-midi. Départ vers 8h00 pour éviter la chaleur dans l'ascension. Petite mise en jambes sur un circuit qui traverse de petits villages environnants puis nous "attaquons tranquillement" la montée. Je n'ai pas tout-à-fait récupéré de mes sorties précédentes, je suis donc attentif à ne pas essayer de suivre Pierre qui grimpe mieux que moi malgré ses 20 kilos supplémentaires. Je roule le plus souvent assis, au contraire de Pierre qui est souvent en danseuse. L'ascension se passe sans problème particulier, la fatigue ne commençant à se faire sentir que dans les derniers lacets très exposés au vent. Petite pause au sommet pour boire une limonade et prendre la photo souvenir puis c'est la descente en sens inverse. Les rafales obligent à la prudence, surtout pendant les premiers kilomètres. 

 

Pour Michel : je n'ai atteint que 78,5 km/h, aplati au maximum et les oreilles rentrées, alors que Pierre a dépassé facilement les 80, je suis donc une fusée... de papier 😜

 

Pierre m'a fait remarquer qu'il freinait plus tard que moi avant les virages. Deux explications avancées : d'une part il connaît cette route comme sa poche, d'autre part ses freins à disque sont plus performants que mes patins. Je m'incline devant son objectivité et n'essaie pas de relancer le débat sur les freins à disque.

 

Repos demain et Port de Balès prévu pour vendredi.

 

 

 

 

 

 

Hydrate-toi bien, repose-toi bien mange du sucre, lent : le port de Bales (surtout côté Mauleon) c’est vraiment un cran au-dessus

[Pierre PLANA]

il y a 38 minutes, Michel DURY a dit :

Fallait l'oser, celle là, le pauvre! Et quoi, vous vous en êtes bien tirés?

 

Moi j'ai fait une sortie de 72 km au départ de Kruth vers Willer sur Thur, montée au Grand Ballon facile mais longue: 

https://climbfinder.com/fr/montees/grand-ballon-willer-sur-thur

Bien dommage que j'étais seul dans la deuxième partie, il y a d'habitude toujours blindé de cyclos dedans mais pas aujourd'hui, donc j'ai dû faire l'effort sans me repérer sur d'autres, ce qui aurait facilité les choses. Monté l'ensemble du truc en 1h20, je suis très satisfait de ce temps mais j'y suis allé à l'économie car il faut tenir la distance, et les derniers km sont durs.

 

Ensuite descente au Markstein, puis la route des Crêtes et redescente vers le Bramont avant de plonger dans le lac pour détendre tous mes petits muscles endoloris.

 

Curieusement le mal au dos qui m'accompagne depuis tant d'années s'estompe, et ça fait une différence énorme car ça m'épuise totalement d'habitude. Une telle douleur en permanence est une torture dont l'impact est vraiment gigantesque, au point que je ne devrais normalement plus faire de vélo. Ca me scie en deux littéralement, depuis 32 ans.

C’est l’effet des bains d’eau froide.

Je me souviens que Rika Zarai préconisait de se tremper ses fesses dans l’eau froide.

Ça guérit de tout, sauf de la connerie😀

[Michel DURY]

il y a une heure, Pierre PLANA a dit :

Hydrate-toi bien, repose-toi bien mange du sucre, lent : le port de Bales (surtout côté Mauleon) c’est vraiment un cran au-dessus

C'est drôle quand même, les impressions, car Balès par Mauleon, j'ai trouvé que ça passait facile. On l'avait fait avec le sommet dans un nuage, j'étais arrivé pas loin des régionaux mais bien sûr après eux, faut pas rêver.

 

Par contre l'enchaînement avec Peyresourde directement dans la foulée, ça m'a tué. Je suis arrivé en haut au bout de ma vie, vraiment.

 

Celui que j'avais trouvé le plus dur dans le coin, c'était l'Hospice de France, que j'ai fait 2 fois. Emmènes y Thierry, là il va prendre grave.

 

@ Thierry: 78.5 kmh sans connaître la route c'est pas mal, moi je n'ai pas dépassé les 72. Cette descente est fa-bu-leuse!!! J'étais derrière Michel Dubin qui...enfin qui envoyait grave. Lui, c'est encore pire que toi (-:

Modifié le 25 juin par Michel DURY

[Philippe DAVID]

j etais dans le Tourmalet par la Mongie ce matin 20 degres au depart et de fortes rafales en haut

pas beaucoup de mode.........

[Nicolas JOARY]

Temps orageux sur les Pyrénées ?

[Didier SALEMBIER]

Je rentre d'un itinérant en Ardèche avec mon club,1 semaine dans la fournaise !

769km 11.200m.Une magnifique aventure sportive et humaine,la forte chaleur était accablante.

[Nicolas JOARY]

il y a 5 minutes, Didier SALEMBIER a dit :

Je rentre d'un itinérant en Ardèche avec mon club,1 semaine dans la fournaise !

769km 11.200m.Une magnifique aventure sportive et humaine,la forte chaleur était accablante.

Tout ça sur une semaine, bravo !

[Franck PASTOR]

41 km cet après-midi pour une sortie 100% bruxelloise, en mode tourisme et détente après des corrections d'examen. Cette fois direction le nord de la ville, pour grimper quelques mini-côtes du côté d'Evere et Laeken, et surtout faire une halte devant l'Atomium, monument emblématique :

 

 

Ceux qui n'en savent pas suffisamment sur cette originalité architecturale qui date de l'exposition universelle de 1958 peuvent lire ceci :

https://atomium.be/discover

 

Comme la photo le montre, il faisait beau. Il fait également toujours aussi chaud selon les normes belges : 28° à l'ombre, et ça n'est pas pour me déplaire. Un thermomètre de devanture de pharmacie affichait 33° à mon passage peu avant mon retour. Pour moi, ça peut bien encore prendre quelques degrés 😛

Modifié le 25 juin par Franck PASTOR

[Franck PASTOR]

il y a 31 minutes, Philippe DAVID a dit :

j etais dans le Tourmalet par la Mongie ce matin 20 degres au depart et de fortes rafales en haut

pas beaucoup de mode.........

 

Tous des ringards ces cyclistes ! 😛

[Thierry GEUMEZ]

Il y a 1 heure, Michel DURY a dit :

Celui que j'avais trouvé le plus dur dans le coin, c'était l'Hospice de France, que j'ai fait 2 fois. Emmènes y Thierry, là il va prendre grave.

 

Pierre n'est plus à Luchon, il ne m'emmènera nulle part 

[Pierre PLANA]

il y a 48 minutes, Didier SALEMBIER a dit :

Je rentre d'un itinérant en Ardèche avec mon club,1 semaine dans la fournaise !

769km 11.200m.Une magnifique aventure sportive et humaine,la forte chaleur était accablante.

Bravo Didier. C’est sympa ce genre de projet 

[Jacques VANDEWIELE]

Avant hier RV chez le vélociste : Aller :  22,84 kms et 155m de D+ et au retour 21,67 kms et 177m de D+ soit 44kms51 et 332m de D+ par une T° agréable 23°C mais avec un vent modéré assez soutenu (23 km/h).

[Pierre PLANA]

Il y a 18 heures, Michel DURY a dit :

C'est drôle quand même, les impressions, car Balès par Mauleon, j'ai trouvé que ça passait facile. On l'avait fait avec le sommet dans un nuage, j'étais arrivé pas loin des régionaux mais bien sûr après eux, faut pas rêver.

 

Par contre l'enchaînement avec Peyresourde directement dans la foulée, ça m'a tué. Je suis arrivé en haut au bout de ma vie, vraiment.

 

Celui que j'avais trouvé le plus dur dans le coin, c'était l'Hospice de France, que j'ai fait 2 fois. Emmènes y Thierry, là il va prendre grave.

 

@ Thierry: 78.5 kmh sans connaître la route c'est pas mal, moi je n'ai pas dépassé les 72. Cette descente est fa-bu-leuse!!! J'étais derrière Michel Dubin qui...enfin qui envoyait grave. Lui, c'est encore pire que toi (-:

Par contre l'enchaînement avec Peyresourde directement dans la foulée, ça m'a tué. Je suis arrivé en haut au bout de ma vie, vraiment.

--> ça c'est normal : Bales c'est la première lame et derrière Peyresourde t'achève ! 🙂 

 

Le port de Bales est tranquille au pied mais il est quand même super dur dans ses 10 derniers km. A un moment tu traverses la rivière et là ça démarre vraiment. Tu as un premier km à 11%, puis une récup, puis un km au-dessus des 12%, à nouveau une récup.

L'une des dernières fois où je l'ai monté, je suis revenu deux fois sur les "grimpeurs" de mon club dans les récup.

Mais derrière tu as à nouveau 2km > 10% et le final plus facile sur les 3 deniers km, et j'avais pris 5 minutes en 5km 🙂 (bon, on avait déjà fait le Menté et le col des Ares en apéritif...)

Ne pas oublier avant la bosse de Siradan qui n'est pas complètement anodine.

 

Celui que j'avais trouvé le plus dur dans le coin, c'était l'Hospice de France, que j'ai fait 2 fois. Emmènes y Thierry, là il va prendre grave.

--> Ha, Ha, je lui en ai dit du bien ! 🙂. Les trois derniers km de l'Hospice sont effectivement terribles (à 12.5 de moyenne je pense). J'ai quand même vu Manu mettre la plaque et sprinter derrière une voiture sur 500m (un dingue !!!), pendant ce temps moi je zigzaguais pour "diminuer" la pente apparente. 

[Pierre PLANA]

Il y a 20 heures, Thierry GEUMEZ a dit :

Col de Peyresourde avec Pierre P. cet avant-midi. Départ vers 8h00 pour éviter la chaleur dans l'ascension. Petite mise en jambes sur un circuit qui traverse de petits villages environnants puis nous "attaquons tranquillement" la montée. Je n'ai pas tout-à-fait récupéré de mes sorties précédentes, je suis donc attentif à ne pas essayer de suivre Pierre qui grimpe mieux que moi malgré ses 20 kilos supplémentaires. Je roule le plus souvent assis, au contraire de Pierre qui est souvent en danseuse. L'ascension se passe sans problème particulier, la fatigue ne commençant à se faire sentir que dans les derniers lacets très exposés au vent. Petite pause au sommet pour boire une limonade et prendre la photo souvenir puis c'est la descente en sens inverse. Les rafales obligent à la prudence, surtout pendant les premiers kilomètres. 

 

Pour Michel : je n'ai atteint que 78,5 km/h, aplati au maximum et les oreilles rentrées, alors que Pierre a dépassé facilement les 80, je suis donc une fusée... de papier 😜

 

Pierre m'a fait remarquer qu'il freinait plus tard que moi avant les virages. Deux explications avancées : d'une part il connaît cette route comme sa poche, d'autre part ses freins à disque sont plus performants que mes patins. Je m'incline devant son objectivité et n'essaie pas de relancer le débat sur les freins à disque.

 

Repos demain et Port de Balès prévu pour vendredi.

 

 

 

 

 

 

Mon Thierry, en montées je suis pas terrible mais la descente de Peyresourde c'est mon jardin, et là je ne suis pas trop vermoulu.

Je me fais un petit plaisir de pipi vent dans le dos  !!!

Sans le vent (mais avec les vêtements d'hiver) au mois de Février... Bon Sivakov n'était pas en course, mais c'est le régional de l'étape, il la connait aussi par cœur :

[Nicolas JOARY]

il y a 24 minutes, Pierre PLANA a dit :

Mon Thierry, en montées je suis pas terrible mais la descente de Peyresourde c'est mon jardin, et là je ne suis pas trop vermoulu.

Je me fais un petit plaisir de pipi vent dans le dos  !!!

Sans le vent (mais avec les vêtements d'hiver) au mois de Février... Bon Sivakov n'était pas en course, mais c'est le régional de l'étape, il la connait aussi par cœur :

Ta vitesse moyenne en descente, c'est à peu près ma vitesse de pointe dans les mêmes circonstances.

[Eric FLEURY]

il y a 28 minutes, Pierre PLANA a dit :

Mon Thierry, en montées je suis pas terrible mais la descente de Peyresourde c'est mon jardin, et là je ne suis pas trop vermoulu.

Je me fais un petit plaisir de pipi vent dans le dos  !!!

Sans le vent (mais avec les vêtements d'hiver) au mois de Février... Bon Sivakov n'était pas en course, mais c'est le régional de l'étape, il la connait aussi par cœur :

Re,

C'est étrange les pulsations cardiaques associées, soit du récupères très vite, soit les autres pédalent encore asses fort dans la descente ce qui pourrait expliqué le niveau du cardio haut 

[Nicolas JOARY]

il y a 7 minutes, Eric FLEURY a dit :

Re,

C'est étrange les pulsations cardiaques associées, soit du récupères très vite, soit les autres pédalent encore asses fort dans la descente ce qui pourrait expliqué le niveau du cardio haut 

... Ou son cardio fonctionnait mal ce jour-là ?

Non, s'il est bon descendeur et plus lourd que les autres, ça ne m'étonne pas. Devoir pédaler à 110-120 tpm dans une descente pour compenser un faible poids, ça fait monter le cardio.