David MUCCI Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a 3 minutes, Eric FLEURY a dit : Re, Cela rejoint l'hypothèse thermique .... Oui, en effet, c'est logique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eric FLEURY Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a 1 minute, Thierry GEUMEZ a dit : On en revient toujours à la même réalité : le transfert de masse vers l'avant lors des freinages empêche le frein arrière de travailler autant que le frein avant. sauf si le cycliste évite volontairement d'utiliser le frein avant de manière optimale. En moto GP, certains pilotes n'utilisent pas du tout leur frein arrière ! Re, En moto gp, le freinage est volontairement appuyé sur l'avant, en plus du besoin de ralentir, pour "tasser la moto" au sol, at abaisser le centre de gravité, pour passer encore plus fort en courbe Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a 1 minute, David MUCCI a dit : Oui, en effet, c'est logique La principale raison qui explique une plus grande température sur le frein arrière, c'est que le cycliste freine peu de l'avant ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier (modifié) il y a 5 minutes, Eric FLEURY a dit : Re, En moto gp, le freinage est volontairement appuyé sur l'avant, en plus du besoin de ralentir, pour "tasser la moto" au sol, at abaisser le centre de gravité, pour passer encore plus fort en courbe Ce n'est pas ça !!! Lors d'un freinage violent tel qu'en compétition, presque tout le poids est transféré vers l'avant, il n'y a donc plus de poids sur l'arrière et le moindre freinage sur l'arrière bloque instantanément la roue. Il va sans dire, mais je le dis quand même et j'insiste, qu'un léger coup de frein sur une roue arrière délestée entraîne très peu de chauffe du frein arrière. Modifié le 9 janvier par Thierry GEUMEZ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gérôme BORGER Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier à l’instant, Thierry GEUMEZ a dit : La principale raison qui explique une plus grande température sur le frein arrière, c'est que le cycliste freine peu de l'avant ! Ou bien les freinages sur l'arrière ne sont pas assez appuyés, trop longs ils font montés la température. Un peu comme ceux que tu suis en voiture dans les descentes avec le feux stop qui brille sur des kilomètres 😕. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a 3 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : La principale raison qui explique une plus grande température sur le frein arrière, c'est que le cycliste freine peu de l'avant ! ça me semble le plus probable, je ferai attention lors de ma prochaine sortie mais je sais que le ralentisseur arrière sert plus que le frein avant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
David MUCCI Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a 4 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : La principale raison qui explique une plus grande température sur le frein arrière, c'est que le cycliste freine peu de l'avant ! N'importe quoi, je freine a 80% de l'avant. Tu ne t’arrêtes pas en freinant de l’arrière... Quand je déboules a 90kph, avec une épingle a 80m, c'est pas l’arrière qui va te ralentir,, Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier à l’instant, Michel DURY a dit : ça me semble le plus probable, je ferai attention lors de ma prochaine sortie mais je sais que le ralentisseur arrière sert plus que le frein avant. J'ai fait de la moto pendant 20 ans, dont quelques journées sur circuit. Lors du freinage en bout le ligne droite, la roue arrière est à la limite de se lever et se met parfois à dribbler. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a 17 minutes, David MUCCI a dit : N'importe quoi, je freine a 80% de l'avant. Tu ne t’arrêtes pas en freinant de l’arrière... Quand je déboules a 90kph, avec une épingle a 80m, c'est pas l’arrière qui va te ralentir,, David, il faut rester pragmatique ! Si tu freines tout le temps avec une répartition 80/20, le frein avant travaille en moyenne 4 fois plus que le frein arrière. Il faut prendre en compte les innombrables freinages non maximaux pour lesquels la répartition avant/arrière varie selon les cyclistes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a 20 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : J'ai fait de la moto pendant 20 ans, dont quelques journées sur circuit. Lors du freinage en bout le ligne droite, la roue arrière est à la limite de se lever et se met parfois à dribbler. Donc tu freinais beaucoup de l'avant si l'arrière ce levait 🤔 Perso que ce soit en moto ou vélo je freine + de l'avant.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a 26 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : J'ai fait de la moto pendant 20 ans, dont quelques journées sur circuit. Lors du freinage en bout le ligne droite, la roue arrière est à la limite de se lever et se met parfois à dribbler. Et n'oublie pas qu'en moto le pneu arrière est beaucoup + gros qu'a l'avant ce qui n'est pas le cas en vélo .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier 😁 "Lors d'un freinage puissant, le frein l'avant aura davantage d'adhérence, c'est donc avec lui qu'il faut le plus freiner. Mais pour limiter le transfert de masse vers l'avant et le délestage de la roue arrière, il faut anticiper en actionnant le frein arrière. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a une heure, Nicolas JOARY a dit : Il n'y aurait que lors des ralentissements en douceur en utilisant les deux freins ou le frein arrière seul qu'on éviterait les reports de masse vers l'avant... Le transfert de masse dépend de la décélération, peu importe si celle-ci est provoquée par le frein avant ou le frein arrière... mais il est vrai que la limite (du transfert) vient d'abord du frein arrière puisque ce dernier aura tendance à bloquer le premier. Sur certaines voitures (de compétition), le pilote peut faire varier la répartition avant /arrière du freinage. Sur les sols secs et adhérents qui autorisent un fort transfert de masse vers l'avant, le pilote augmentera la puissance des freins avants. A contrario, sur les sols très glissants, il est impossible de freiner fort sous peine de glisser et il y a donc peu de transfert de masse. Le pilote équilibre alors la puissance de freinage entre les deux trains. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a 39 minutes, Eric FLEURY a dit : Re, En moto gp, le freinage est volontairement appuyé sur l'avant, en plus du besoin de ralentir, pour "tasser la moto" au sol, at abaisser le centre de gravité, pour passer encore plus fort en courbe +1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier Vous parlez de deux choses différentes: le freinage et le ralentissement. On est tous d'accord pour dire que le freinage, c'est l'avant qui fait le boulot. L'arrière va vous ralentir quand vous n'avez pas besoin d'un freinage, ou il va "initier" celui ci le cas échéant, Par contre si vous ralentissez avec l'avant qui est très puissant, vous allez galérer pour reprendre votre vitesse car la différence de vitesse est justement importante. Donc pour ralentir, on caresse l'arrière et on ne touche pas autant à l'avant. En montagne on combine les deux, en vallonné on a plus intérêt à ralentir de l'arrière pour ne pas être pénalisé à la reprise. Ceux qui font de la moto connaissent très bien la différence entre ralentir et freiner, et ils jouent avec l'avant ou l'arrière en fonction de la situation qui se présente, et qui est similaire au vélo. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a 42 minutes, David MUCCI a dit : Pierre, j'ai remarque la même chose, et pas uniquement cela. Le disque arrière en 140 se voile, alors que l'avant en 160 ne bouge pas, meme apres beaucoup de Kms avec du D+ enorme Sur mes disques, c'est pourtant exactement le contraire : c'est le disque avant (160) qui a tendance à se voiler plus souvent que le disque arrière (140). Et pourtant mes plaquettes s'usent plus vite à l'arrière qu'à l'avant. Tout en freinant généralement plus souvent et plus fort du frein avant lors de mes sorties ! 🤔 Tout ça me paraît assez paradoxal… mais il y a aussi le fait que c'est le frein arrière qui reçoit le plus de saletés abrasives, comme le fait remarquer Nicolas, et les routes sont très souvent sales dans ma région hors été. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier 😁 Freiner avec sa moto Un freinage trop violent, la roue avant qui glisse, ça arrive à tous les motards, même par temps sec. Le mieux est donc de garder une distance de sécurité suffisante mais la circulation en ville ne se prête pas à ce beau comportement idéal. Si cela vous arrive, il faut relâcher rapidement le levier de frein, la moto se remet d’aplomb d'elle-même si vous agissez rapidement. Mais le problème s’évalue souvent au cas par cas. La théorie pour le freinage est une répartition, de 70% sur la roue avant, de 15 % de frein moteur et de 15% sur la roue arrière, mais il faut nuancer dans la pratique. Dans une courbe, un léger freinage arrière ralentit la moto mais l’idéal est de la redresser pour freiner et reprendre de l’angle ensuite (pencher). Pas toujours évident à mettre en pratique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 9 janvier Auteur Share Posté le 9 janvier il y a 44 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Je viens de vérifier sur mon vélo : l'usure avant/arrière est également répartie. Comme dit précédemment en patins j’usais plus devant que derrière donc je pense que c’est lié à la thermique. Je pense qu’il y a possibilité avec un adaptateur de passer en 160mm Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a 9 minutes, Michel DURY a dit : Vous parlez de deux choses différentes: le freinage et le ralentissement. On est tous d'accord pour dire que le freinage, c'est l'avant qui fait le boulot. L'arrière va vous ralentir quand vous n'avez pas besoin d'un freinage, ou il va "initier" celui ci le cas échéant, Par contre si vous ralentissez avec l'avant qui est très puissant, vous allez galérer pour reprendre votre vitesse car la différence de vitesse est justement importante. Donc pour ralentir, on caresse l'arrière et on ne touche pas autant à l'avant. En montagne on combine les deux, en vallonné on a plus intérêt à ralentir de l'arrière pour ne pas être pénalisé à la reprise. Ceux qui font de la moto connaissent très bien la différence entre ralentir et freiner, et ils jouent avec l'avant ou l'arrière en fonction de la situation qui se présente, et qui est similaire au vélo. Rien a voir en moto 2 pneus différents et des suspensions 🤣 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 9 janvier Share Posté le 9 janvier il y a 5 minutes, Sylvain KARLE a dit : 😁 Freiner avec sa moto Un freinage trop violent, la roue avant qui glisse, ça arrive à tous les motards, même par temps sec. Le mieux est donc de garder une distance de sécurité suffisante mais la circulation en ville ne se prête pas à ce beau comportement idéal. Si cela vous arrive, il faut relâcher rapidement le levier de frein, la moto se remet d’aplomb d'elle-même si vous agissez rapidement. Mais le problème s’évalue souvent au cas par cas. La théorie pour le freinage est une répartition, de 70% sur la roue avant, de 15 % de frein moteur et de 15% sur la roue arrière, mais il faut nuancer dans la pratique. Dans une courbe, un léger freinage arrière ralentit la moto mais l’idéal est de la redresser pour freiner et reprendre de l’angle ensuite (pencher). Pas toujours évident à mettre en pratique. Avec ma BM, je fais presque tout au frein moteur, qui est monstrueux. En vélo pas de frein moteur fatalement, donc j'initie à l'arrière et je termine à l'avant. Mais comme expliqué plus haut, je ralentis plus que je ne freine. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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