Michel DURY Posté le 6 janvier 2019 Share Posté le 6 janvier 2019 Quand tu vois une photo d'Eddy, c'est celui qui est juste derrière. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean marc FOURNIER Posté le 6 janvier 2019 Auteur Share Posté le 6 janvier 2019 Pas sur la 16e étape du Tour 1974 😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eric HENNUY Posté le 6 janvier 2019 Share Posté le 6 janvier 2019 Sans avoir regardé je parie que c'est au Pla d'Adet😉 C'est la seule possibilité😃Pour contrebalancer l'hégémonie de Merckx il faut bien mettre très fort l'accent sur ses contre-performances.Avez-vous remarqué que quand on parle de Merckx, il faut presque toujours glisser Orcières-Merlette, Pra Loup, Barcelone 73 ou Pla d'Adet... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 6 janvier 2019 Share Posté le 6 janvier 2019 (hors sujet, mais j'adore: parle leur de l'arrivé au Ventoux un 14 juillet il y a quelques années, tu sais quand les deux belges ont gagnés pendant que Froome faisait son footing) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 6 janvier 2019 Share Posté le 6 janvier 2019 De par ma situation particulière, je suis un peu plus au «courant» que mes compatriotes au sujet de Merckx et de ses actes manqués… donc je rajouterais quatre dates : Nürburgring 66, Giro 69, Grand Prix E3 72 et Lombardie 73.Votre Dieu vivant préfèrerait oublier ces dates, pouvez-vous dire pourquoi, pour chacune d'entre elles ? Les raisons peuvent être assez différentes ! 😇Vaut mieux que je sorte maintenant… Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 6 janvier 2019 Share Posté le 6 janvier 2019 Ayant 53 ans je me souviens peu de Merckx sauf sur le TDF ou Thevenet le bat et signe son déclin ...vu son palmares le surnom de "cannibale" n'est pas usurpé ....A l 'Heure actuel dans notre cyclisme moderne je ne vois que Sagan comme coureur qui s'approche " un peu" de la façon de courir de Merckx .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier MILLIÈS-LACROIX Posté le 6 janvier 2019 Share Posté le 6 janvier 2019 Hello, Pour moi le ratage du Nurburgring 66 est surtout un ratage franco-Français ! Un sabordage mutuel entre Poulidor et Anquetil (au profit d’Altig) comme rarement vu ! Seuls Bardet et Pinot ont fait aussi bien (au profit de Cummings), à Mende en 2015, mais ce n’était pas au CdM, et n’étaient donc pas équipiers ce jour là... Merckx, au Nurburgring je ne sais pas ce qu’il a fait.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 6 janvier 2019 Share Posté le 6 janvier 2019 Il était devant avec Anquetil, Poulidor and co dans le dernier tour, et se voyait gagner sur ce circuit très difficile qui lui convenait parfaitement… quand il a été pris de crampes. Erreur de jeunesse (il n'avait que 21 ans après tout). D'après J.P. Ollivier, « seules les crampes sont responsables de la défaite d'Eddy Merckx», et celui-ci en était tellement frustré qu'il en a longtemps pleuré après l'arrivée.Il a pris sa revanche l'année suivante à Heerlen, faut-il le préciser ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean marc FOURNIER Posté le 7 janvier 2019 Auteur Share Posté le 7 janvier 2019 C'est vrai qu'Eddy a tellement gagné de courses,qu'on retient facilement ses quelques défaites.. par contre,il y en a une qui lui est restée à travers la gorge et dont on parle très peu,car elle est survenue au début de sa carrière,lorsqu'il courait chez "Peugeot",il s'agit du Paris-Nice 1967,qu'il aurait du gagner .. mais face à un véritable complot de la part de son équipier Tom Simpson,il avait du s'incliner..Simpson,mais également Van Looy,Godefroot et même "Maître Jacques",sont alors pointés du doigt,pour avoir fait perdre Merckx .. Etant donné le caractère du champion naissant,celui-ci,prendra alors de suite sa revanche en remportant un superbe Milan San Rémo devant le gratin Italien (2e Motta,3e Bitossi,4e Gimondi) ,puis il continue sur sa lancée et s'impose sur Gand-Wevelgem et la Flèche Wallonne .. ses adversaires ont alors vite compris qu'il valait mieux,ne plus trop le chercher .. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean marc FOURNIER Posté le 7 janvier 2019 Auteur Share Posté le 7 janvier 2019 tu as bien fait de préciser "un peu" , car Merckx c'est 5 TdF ,5 Giro et une Vuelta 😉Tout le monde,le surnommait "le Cannibale", mais il a déclaré: "Ce surnom de Cannibale ne me plaisait pas,mais bon ... " Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rémy FAURE Posté le 7 janvier 2019 Share Posté le 7 janvier 2019 Deuxième, tu veux dire....Ceci dit, il bat le papi du peloton😛On ne va pas revenir sur la longévité de Poupou, la classe d'Eddy, mais quand même l'allure de maitre Jacques dans les chronos de sa jeunesse, cette machine a pédaler, n'a pas encore et a mes yeux, eu d'égal dans ce monde de champions. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel ROTH Posté le 7 janvier 2019 Share Posté le 7 janvier 2019 J'ai un souvenir d'un Paris-Nice où le jeune Merckx parti derrière Anquetil dans un clm le rejoint ! Il est vrai qu'Anquetil était alors sur le déclin. Je crois qu'il s'agissait d'un clm dans le col d'Eze lors de l'édition 1969. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 7 janvier 2019 Share Posté le 7 janvier 2019 C'est curieux quand même à vous lire tous... il manque un ingrédient qui illuminerait vos points de vue.Vous parlez d'exploit, de premier et de performance, de vainqueur, de victoires et tout et tout, mais d'émotions, rien.Et je pense que c'est ça qui a fait la notoriété de Merckx, à égale intensité que ses victoires, l'émotion qu'il a insufflé à tout un pays. Le réduire à ses performances, c'est passer à coté de l'essentiel, et c'est bien dommage je trouve.Ici, Eddy faisait battre les coeurs, c'était LE phénomène de l'époque, et j'en garde de précieux souvenirs car il faisait presque partie de la famille.Pour moi, Merckx, c'est le grand frère qui réussi au delà de tout espoir, le cousin magnifique qui honore la famille, le copain de classe qui traverse la cour de récréation la tête haute et magnifique. Tout ça quoi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 7 janvier 2019 Share Posté le 7 janvier 2019 Tu manques complètement de recul Michel. Ton aveuglement n'est bien sûr pas critiquable. Mieux, ta passion fait plaisir à lire. Mais comment ne pas sentir la pointe de chauvinisme dans tes propos ? Il n'y a rien de mal à ça, c'est normal, mais n'attends pas des Français qu'ils éprouvent pour Merckx la même ferveur que pour Anquetil ou Poulidor.J'ai aussi admiré Eddy pendant mon adolescence et je lui dois sans doute une part importante de mon goût pour le vélo. J'ai même acheté un vélo Merckx en 2004... Mais à mon âge, je ne suis plus "fan" de personne. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel ROTH Posté le 7 janvier 2019 Share Posté le 7 janvier 2019 Ce n'est pas de l'aveuglement. C'est un souvenir qui avait marqué beaucoup de personnes à l'époque. Je pense que ce devait être la seule fois que Jacques Anquetil, le spécialiste du clm, était rejoint dans ce genre d'exercice. Ceci dit, il est vrai que Anquetil livrait sa dernière saison et était nettement sur le déclin en 1969. La saison de trop pour lui probablement. Merckx a commis la même erreur en débutant une saison 1978 où il remisa définitivement son vélo lors d'un critérium. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 7 janvier 2019 Share Posté le 7 janvier 2019 Tu t'es trompé de Michel, Michel, je répondais à Michel Dury, pas à toi 😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Karl COUDRE Posté le 7 janvier 2019 Share Posté le 7 janvier 2019 Je suis en 1966 et j'ai le souvenir de ma grand mère maternelle qui en écoutant la radio jurait en flamand, elle vivait la course intensément, passionnément...Pas d'oreillettes, pas de capteur de puissance, juste l'instinct, du coeur et des tripes... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rémy FAURE Posté le 7 janvier 2019 Share Posté le 7 janvier 2019 Un chrono en bosse c'a ne "pardonne" pas. Cette année, sans Merckx, le poupou aurait battu maitre jacques pour le général de Paris-Nice Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard MOREAU Posté le 7 janvier 2019 Share Posté le 7 janvier 2019 https://fr.wikipedia.org/wiki/Paris-Nice_1969 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rémy FAURE Posté le 7 janvier 2019 Share Posté le 7 janvier 2019 Pas d'émotions quand le mécano de Maitre Jacques évoque l'usure de son axe de pédalier." il (l'axe de pédalier) est usé pareil sur toute la circonférence", plus loin dans la soirée, "il doit chatouiller les pédales ce phénomène"....Et nous de rêver "chatouiller le 53x13", et même si nous l'avions fait, comment imiter le profil du maitre, comment imiter ce rictus qui ne reflète rien de sa souffrance.Pas d'émotion quand il bluffe le poupou, jusqu'au sommet du puy de dome, capable de gagner un Tour, alors que les moyens physiques le lache. Maitre Jacques, c'est des montagnes d'émotion, c'est une vie d'émotions. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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