Jérémie LAPLAC Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 Question qui m'est passée par la têt hier soir, en rentrant du bureau : 3 C° au depart, pluie et vent, 1 C° les 5 derniers kilomètres, neige fondante. Malgré les vêtement d'hiver et les gros gants, j'avais les jambes et les doigts engourdis par le froid.C'est ma limite sur le vélo : la pluie par temp froid et la neige fondante, quand l'eau glacée s'infiltre partout. Le froid sec ne me dérange pas, j'aime rouler sous la neige, la pluie et le vent font partie des choses courantes ....Et vous, qu'en est-il ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel SERRES Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 J'essaie de sortir au sec avec des températures jamais négatives. Faire plusieurs heures avec un ou deux degrés voir zéro ne me pose pas de problème. Le gel, la pluie ou la neige, je reste à la maison...Pas trop envie de nettoyer le vélo après chaque sortie et encore moins envie de me vautrer sur le bitume. J'ai déjà donné à deux reprises dans de graves accidents donc le mauvais temps n'est pas pour moi... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Freddy DUPONT Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 y'a que le verglas, la neige, les tempetes qui me font pas sortir sinon s'il pleut je sors quand meme. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Simon RANO Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 Plus que le confort c'est le risque de chutes qui guide mon choix. Pas de sortie d'entrainement si il pleut de manière abondante, si il y a du verglas ou des rafales de vents de +50 kmh. Dans ces cas là je vais en forêt en VTT ou cyclocross, on est à l'abris du vent et des routes glissantes. En dessous de 5°C j'ai pas l'équipement pour rester dehors longtemps non plus.Par contre vélotaf par tous les temps. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 Ma limite, c'est quand il y a de la neige ou du verglas. Ou quand le vent souffle trop fort. Autrement dit, tout ce qui fait qu'il est impossible de tenir sur son vélo.Etant donné l'humidité habituelle en Belgique, dès que le mercure descend en-dessous de 0° ça implique généralement neige ou verglas sur les routes, voire les deux. Des routes qui ne sont généralement pas dans un état reluisant au départ… Donc je ne sors quasiment jamais en dessous de cette température de 0°.Ce qui me procure habituellement une franche coupure d'une ou deux semaines par an. Ça peut paraître court, mais le froid vraiment intense est (heureusement 😄) peu fréquent en basse et moyenne Belgique, c'est-à-dire grosso modo la Belgique non ardennaise. C'est l'avantage d'un climat océanique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maurice AUTOBUS Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 Pas vraiment de limites fixées à l'avance. En hiver je sors peu le matin, ça limite/annule les risques de verglas, qui est le seul truc vraiment incontrôlable. Sinon la flotte, la neige, le froid, ça se gère. J'empile les couches de vêtements jusqu'a ne plus pouvoir bouger, s'il le faut. Mais si j'ai prévu de sortir, je sors.Ces jours ci, le truc un peu pénible, ce sont les tapis de feuilles mortes, bien traîtres dans les virages. Ca ne m'empêche pas de rouler, mais c'est vitesse minimale en sous-bois ou le long de certaines haies.Le seul truc qui est mal passé, c'est une descente de col l'hiver dernier. Route parfaitement déneigée, mais il devait faire - 10°. Les mains n'ont pas aimé. J'ai écourté ma sortie, ce qui est rarissime. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jérémie LAPLAC Posté le 10 novembre 2016 Auteur Share Posté le 10 novembre 2016 J'avais oublié le verglas ! Cause de deux chutes, à basse vitesse, dont une où ma tête a heurté la bordure du trottoir. Casque coupé en deux à hauteur de la tempe 🙄 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier SALEMBIER Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 La pluie ou un mistral à décorner les boeufs = vélo reste à la casa ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christophe LE PHAR Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 Ce qui me gêne le plus, c'est la pluie : sortir de la ville, problèmes de visibilité, de freinage, flotte qui s'infiltre partout, vélo à laver entièrement, à graisser...Donc comme je n'ai aucun objectif, que je fais du vélo pur le plaisir, je reste chez moi (quand j'étais jeune, mon seul jour d'entraînement était le mercredi après midi, donc je sortais).Le reste, non : je sors par 35° ou 1° . Après selon les circonstances, au cas par cas , j'évite le gel ( la ville lave la route le matin, et quand ça gèle, il y a des plaques de verglas partout) , la pollution, un vent extraordinairement fort... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eric HENNUY Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 De la pluie sous une température de 5°C et moins. Cela ne sert à rien; les muscles se refroidissent trop avec la pluie et le froid. Et puis 1h dans la baignoire pour se réchauffer😠. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick CHEVALIER Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 il (le casque) t'as surement au minimum évité des séquelles et au maximum sauvé la vie ce jour là 😉(Sapin ne va pas tarder a rappliquer)😃 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jérémie LAPLAC Posté le 10 novembre 2016 Auteur Share Posté le 10 novembre 2016 il (le casque) t'as surement au minimum évité des séquelles et au maximum sauvé la vie ce jour làDepuis ce jour-là, je le mets systématiquement. Avant, je ne le mettais jamais sur des courtes distances comme bureau-boulangerie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jérémie LAPLAC Posté le 10 novembre 2016 Auteur Share Posté le 10 novembre 2016 Cela ne sert à rien; les muscles se refroidissent trop avec la pluie et le froid.Dans mon cas, Eric, ça sert à rentrer à la maison 🤐 mais j'avoue : j'avais les marrons glacés en rentrant 😇 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge MASSELOT Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 bonsoir,Quand le vent dépasse 50-60 km/h (rafales) je ne sors pas ............ici dans le sud .quand j'ai eu habité dans des régions froides ( la Savoie ,l'Aveyron ou encore la Loire) sauf verglas ou neige sur la route ....je roulais.a+ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre-Yves DESSIMOZ Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 Aujourd'hui, pluie , température 5°c, temps bouché, manque de l'élément essentiel au plaisir : le soleil! Fin d'année, baisse de forme et d'envie, la crasse qui s'accumule sur la chaîne et les galets qui couinent, tout pour me déplaire! Grand froid et grand soleil sans verglas, on peut rouler tant qu'on est bien habillé, mais ça ressemble à janvier, l'heure de la reprise. C'est encore un peu tôt pour arrêter, après il faudra tout recommencer... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 Moi, ma limite, c'est quand ma femme me tire la g.... le dimanche matin à l'heure où je devrais me lever pour rouler avec les copains du club.Et que je me dis que finalement, je suis beaucoup mieux là où je suis qu'à me les geler tout seul parce que personne n'est sorti et que je me retrouve seul comme une andouille au rendez vous.C'est du vécu. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Frederic ANDRIEUX Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 La pluie qui tombe averse m'oblige à rester chez moi et faire les 100 pas en espérant une éclaircie.Pour le froid, vu ma situation géographique, je ne suis pas concerné 😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fabrice DELDONGO Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 Je ne pars pas quand il pleut, pas moins de 5 °, naturellement pas de neige. On n'a plus 30 ans. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry LUNARD Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 Je ne sors pas le vélo en cas de verglas, de neige, de forte pluie, après c'est l'envie ou le manque qui prend le dessus quand je n'ai pas roulé depuis plus de quinze jours/trois semaines. En ce cas la sortie dépasse à peine les deux heures trente à cause de mes arpions sensibles au froid. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
James JEAU Posté le 10 novembre 2016 Share Posté le 10 novembre 2016 Impressionnant le nombre de guerriers qui roulent sous la pluie et qui aiment ça ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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