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Christophe MASSIE

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Tout ce qui a été posté par Christophe MASSIE

  1. Ben non, la lune tourne autour de la terre et donc selon sa position, son attraction est plus forte ou plus faible ... C'est pour ça qu'on en tient pas compte dans nos calculs. Mais sinon, on y avait pensé bien sûr.
  2. J'attends avec impatience la réponse du sieur Neuville ...
  3. Euh ... "travailler", c'est une image, en référence à ce que disent certains gamins bons élèves au collège ! Au vélo, le bon terme pour amateurs et simples sportifs que nous sommes, c'est s'entraîner. Le vélo comme nous en faisons c'est uniquement pour le plaisir je suis d'accord. Certains le trouvent dans la pure ballade, ceux-là ne s'entraînent pas réellement, ils ont une bonne endurance, font ce qu'ils peuvent dans les parties difficiles. D'autres le trouvent plutôt dans la performance et le dépassement de soi. Pour ceux-là, l'entraînement spécifique est indispensable pour atteindre ses objectifs. Pas d'entraînement, pas de forme, pas de résultat, pas de plaisir. Il n'y a donc pas lieu d'opposer plaisir et entraînement. Maintenant, quand je vois un gars comme Yves Martin, avec le palmarès qu'il affiche (sauf à ce qu'il y ait duperie ?), je ne vois pas comment il peut parler ainsi d'un entraînement qu'il a nécessairement pratiqué et qui lui a certainement permis d'obtenir les résultats qu'il a eus. Ça relève de la fanfaronnerie ou de l'esprit de contradiction. Mon "dénigrement" ne va pas plus loin. En fait, je m'en fous un peu, c'est juste pour relever l'exagération du propos. Il roule comme il veut. Pour le reste, Mauro, les exercices de seuil, de force, j'en fait régulièrement pour progresser. Si on n'habite pas trop loin, faisons une sortie ensemble un de ces 4, ce sera plus sympa que de s'apostropher sur le forum et ça mettra fin aux préjugés.
  4. Ne te fâches pas Pierre, des 1ers de la classe qui prétendent ne jamais travailler et avoir même un certain mépris pour le travail, on en a tous connus plusieurs depuis le collège. Certains se trouvent bien dans cette posture, ça les regarde. Il n'y a pas que le résultat qui fait la valeur d'un homme.
  5. Menteur, après une séance de HT, on est forcément crevé.
  6. Si cette remarque est pour moi, alors je confirme !
  7. 2,1,0 avec + de km que moi, ça m'énerve un peu 🤐.Je pensais que 5 crevaisons par an c'était pas bcp ! Dans mon coin, y'a aussi un p'tit pb qui n'arrange pas les choses : beaucoup de cultures le long des routes et à cette période de l'année, c'est la betterave. Les récoltes dégueulassent énormément les routes : terre+cailloux. Il y bcp de silex broyé dans la terre et ça coupe comme un rasoir. Les gros morceaux, on les voit on les évite. Mais je me suis plusieurs fois retrouvé avec un minuscule morceau de 2mm de long, aussi pointu qu'une punaise de tapissier enfoncé dans le pneu.
  8. 4 ou 5 pour moi, ce qui est peu pour pas loin de 10.000 km et les routes médiocres sur lesquelles je roule. Heureusement, car pour ce qui est des réparations, je suis vraiment pas doué, toujours un truc qui colle pas, genre galère pour déjanter le pneu, la pompe qui marche pas, les mains dégueulasses, etc.
  9. De mon point de vue, malgré peu d'expérience mais un peu qd même, ce qui rend difficile l'ascension d'un col, ce sont les forts pourcentages qui ne sont pas suivis de zones de récupération, ou bien une extrême longueur en prise constante. Il faut dire que de ce point de vue, le Ventoux se place bien. Cependant, j'ai fait quelques cols aussi dans l'arrière pays niçois, beaucoup moins connus, et qui m'ont donné plus de fil à retordre que le Ventoux (par Bédoin, bien sûr). Guillaume, ton col à 18% pdt 1km suivi de 7kms entre 10 et 15%, celui-ci, avec mes 78kg et mon compact, je ne le passe pas, c'est certain. Tout cela me paraît bien subjectif au final car indépendamment du niveau de puissance, la masse corporelle et les braquets dont on dispose sont très largement influents sur l'avis qu'on peut avoir sur tel ou tel col.
  10. De retour. On est bien d'accord ! Mes questions venant du fait que j'ai plutôt en tête des repères d'énergie dépensée sur son vélo exprimée en kCal, ce qui en valeur numérique représente effectivement à peu près la même chose que l'énergie transmise au pédalier exprimée en kJ. La combinaison de la conversion kCal/kJ et du rendement de la machine humaine serait plutôt aux alentours de 0.8/0.9.
  11. Dans ce cas, les 5000 kJ, c'est l'énergie transmise au pédalier je suppose. Pas l'énergie totale produite par ton coeur.
  12. En danseuse, on soulage certains muscles, c'est vrai, et ça donne la possibilité de bien tendre les jambes en baissant les talons en bas. Cependant, même si l'amorce ralentit légèrement, on rattrape ça tout de suite. En général, on met facilement un braquet plus long, sauf dans les gros pourcentages. Une chose aussi : en danseuse, le poids du corps n'est plus porté par le vélo mais par les jambes et les bras. Selon qu'on pèse 65kg ou 85kg, le bénéfice ne sera pas du tout le même.
  13. Je suis un peu étonné des chiffres d'énergie consommée sur un parcours comme la Marmotte. 5000kJ ? Es-tu sûr de ce nombre ?
  14. Allons allons, mais non. Tu n'es ni amateur, ni petit niveau ni %@!?. Tu vas finir sur le post sur les suicides toi.
  15. La Vendée une annexe de la Normandie ? Je ne savais pas ...
  16. Je pense plutôt le contraire, là où il faut être le plus rigoureux, c'est à l'entrainement. Sinon, ça s'appelle de la ballade.
  17. Qu'est-ce qu'on s'amuse sur ce forum, hein Maillet ?
  18. Répondu, mais le vélo dans le transport utilitaire, c'est pas gagné ! Il y a le pb de la météo, de l'état dans lequel on se trouve après un effort même petit (pour ceux qui travaillent en costume), le concept même du changement de moyen de transport, ce qu'on fait de son vélo à l'arrivée, etc. Bon courage pour l'argumentaire ...
  19. Si si, ça roule, petite sortie de 50km seulement, mais au taquet tout le temps ! Pour bien faire, je suis sorti en fin d'après-midi par -1°C, j'ai eu peur du coup de chaleur. Temps sec par contre. Résultat : faut surtout pas s'arrêter ni baisser son rythme, sinon, c'est la congélation.
  20. Si en prenant un gel, tu ressens ces effets, c'est peut-être une hypoglycémie réactionnelle, c'est une pathologie plutôt bénigne, mais courante. Cela signifie que lorsque tu ingères un aliment très sucré, ton pancréas s'excite un peu trop et secrète de l'insuline pour métaboliser cet apport, mais en trop grande quantité. Donc dans un premier temps, ta glycémie remonte, puis ensuite, elle redescend et c'est l'hypoglycémie. Le remède, c'est simplement d'éviter les prises de sucres rapides, surtout avec l'estomac vide : petit déj, goûters, sur le vélo. Il faut privilégier des apports étalés dans le temps. Pain d'épice et compote, c'est bien mieux. Sinon pour le citron, je crois que c'est une histoire de pression osmotique qui fait que l'eau citronnée est plus vite absorbée que l'eau plate, donc rehydrate mieux.
  21. Pas de pb, Guillaume ! En fait, tu vois, mon post précédent résume bien cet article.
  22. "même si leur diabète n'est pas aussi handicapant que le tien" Il existe 2 sortes de diabètes : le diabète insulino dépendant (DID), dont on est atteint assez jeune (c'est mon cas, j'avais 20 ans) et dans lequel les cellules du pancréas qui produisent l'insuline sont totalement détruites. L'apport externe d'insuline est obligatoire (piqûres ou pompes). On n'est pas un peu ou beaucoup DID, on l'est ou on l'est pas, avec les mêmes effets, les mêmes handicaps quelle que soit la personne. Il y a aussi le diabète non insulino dépendant (DNID). Celui-là est caractérisé par une production insuffisante d'insuline par le pancréas, soit en quantité, soit en qualité. Il survient plutôt chez les personnes fortes, après 50 ans. On peut être plus ou moins DNID selon la diminution de la quantité d'insuline mobilisable dans l'organisme. De là découle le traitement, par stimulants (simples comprimés) ou éventuellement complément externes d'insuline. Le fait est qu'il n'y a quasiment pas de sportifs dans cette population. Ceci étant précisé (désolé pour le petit cours!), le handicap d'un DID est le même pour tous les sportifs, qu'il s'agisse de champions, d'amateurs, de simples sportifs comme moi : l'objectif est toujours de reproduire au plus près le fonctionnement du pancréas pour équilibrer les apports en insuline avec le bilan de glucose (apports-dépenses). Pour parer à toutes les situations, il faut une connaissance très fine de son métabolisme et de ses besoins en insuline selon les différentes circonstances d'efforts, d'entrainement, d'alimentation, etc. Cela peut prendre beaucoup de temps. Je n'aurai aucun pb à trouver des schémas différents de ceux que j'utilise pour mettre en place une stratégie d'alimentation plus conventionnelle. Mais cela me demanderait pas mal d'expériences, de relevés, d'essais différents, etc. Bref du temps. Quand je vois le temps que je consacre au vélo, je suis à la limite du raisonnable, mais encore dans le raisonnable, et je tiens à y rester ! Les pros, eux, y consacrent le temps qu'il faut, ils sont aidés par des endocrinos, des appareils de mesure permanent de la glycémie, ils peuvent arriver aujourd'hui, avec du temps, à éliminer quasiment tous les inconvénients. Le diabète n'est pas si handicapant que cela au final, c'est une question de temps je dirai. Et aujourd'hui, grâce à l'existence des pompes, on vit quasiment normalement. Je ne suis pas à plaindre, loin de là !
  23. Oui, je suis diabétique et j'ai une pompe à insuline pour remplacer la partie déficiente de mon pancréas ! Ca complique pas mal la recherche du bon équilibre glycémique pendant les sorties (j'essaie de rester entre 0.80 et 1.40 g/l). En ne mangeant rien ou très peu, et en diminuant dans une proportion bien précise le débit d'insuline de ma pompe, tout se passe bien, je reste dans mes objectifs de glycémie. Dés que je mange, il faut un peu d'insuline pour métaboliser les apports en sucre. Et là tout se complique, trop d'insuline ==> hypoglycémie, trop peu ==> hyperglycémie, et il n'y a pas que la quantité qui joue, il y a aussi la vitesse d'absorption qui dépend de l'aliment, de la régularité du rythme, de son intensité etc. Donc autant que possible, j'évite de manger sur mon vélo, sauf à atteindre mes limites d'autonomie.
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