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Christophe MASSIE

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Tout ce qui a été posté par Christophe MASSIE

  1. D'ailleurs, 500g de perte de poids par semaine, c'est un chiffre qui ressort souvent d'expériences réussies, pratiquées soi-même ou observées. Ca correspond d'ailleurs à mon expérience personnelle, 12kg en mois, ça fait bien 500g/semaine env. ...
  2. Message de David : "En gros, tu dis à ton corps que tu roule en foncier pour taper dans les graisses, et en contrepartie tu le recharge en glycogène. Le glyco qui n'est pas utilisé = graisse !" Cette affirmation est fausse. Et l'histoire que ton corps stock soi disant plus si tu le met à l'épreuve, c'est de la connerie. Si tu consomme 1500kcal et que tu en dépense 2500 dans la journée, ton corps ne va rien stocker bien au contraire. Celle-là aussi. C'est un autre sujet, mais si pendant 1 mois tu te mets en déficit de 1000Kcal par jour, ton organisme fera du stockage très rapidement après ce "régime", c'est une certitude. En conséquence, je ne trouve pas les propos de David particulièrement recommandables. Pour le reste, effort intense ou d'endurance pour la perte de poids, l'effort intense est plus efficace, mais par forcément adapté à tout le monde. Un petit surpoids de 5kg pour un cycliste un peu entraîné sera perdu plus facilement par des séances en intensité que par des séances de "foncier". Pour quelqu'un de non entraîne avec un surpoids vraiment important, il est clair que l'effort modéré est bien plus accessible et donc recommandable.
  3. Justement, Jean-Jacques, sur ce point, je pense que vous faites erreur, David (V) et toi. On admet que effort de faible intensité = lipolyse = meilleur moyen d'oxyder sa masse grasse. En réalité, pas tout à fait. C'est un moyen de brûler ses graisses, par forcément le meilleur. Les raisons sont les suivantes : 1. Il est vrai que la filière énergétique privilégiée par l'organisme pendant un effort de faible intensité est l'oxydation des lipides. Cependant, le bilan d'un effort est à établir non pas sur la période de l'exercice mais sur la période exercice+récupération. Or, il a été démontré par l'observation que si on brûle plus de lipides pendant l'exercice, on en brûlera moins après, et vice-versa. Quelle que soit l'intensité d'une sortie, à bilan calorique identique, la quantité de lipides oxydés est ainsi la même. En conclusion, dépenser 2000Kcal en faisant 80kms de plat ou 25kms d'ascension brûle au final la même quantité de graisses. 2. La zone d'effort dans laquelle la filière lipidique est proportionnellement maximale par rapport à la filière glucidique est une plage d'intensité. Cette plage n'est pas fixe. De même, pour une plage donnée, la répartition n'est pas fixe. Ces variations dépendent de différents facteurs, en particulier du niveau de forme de l'individu et de son alimentation récente. L'organisme tient compte des apports énergétiques précédent l'effort dans le choix des filières métaboliques mises en jeu pendant l'effort. Si tu absorbes des glucides avant un effort de faible intensité, tu brûleras sur ton vélo plus de glucides que si tu partais à jeun pour faire le même effort, c'est d'ailleurs vrai aussi si l'effort est intense. Maintenant, si on combine 1+2 : en mangeant des pâtes avant une sortie ou la veille, du oxyderas un peu plus de glucides pendant l'effort (2) et donc un peu plus de lipides pendant la récupération (1). Ainsi, manger des pâtes et rouler à faible intensité, ce n'est pas incohérent, l'organisme s'adapte. 3. Et puis dernier point, l'effort intense et particulièrement l'effort fractionné développe moins l'appétit que l'effort d'endurance à dépense énergétique égale pendant l'effort. Au final, les apports énergétiques sont plus facilement maîtrisés, et la perte de poids plus rapide. J'ai retrouvé toutes ces infos sur un article que m'avait filé un préparateur sportif l'année dernière. Ceux qui seraient intéressés de lire l'article complet peuvent m'envoyer leur adresse mail en MP.
  4. Bonjour PA, un complément à la réponse très complète de Gérard. Tu fais 79kg pour 1.74m. D'un individu à l'autre, la répartition du poids de corps entre masse osseuse, masse musculaire et masse graisseuse est très différente. La seule qui soit intéressante à diminuer est naturellement la dernière et il est plus utile de définir une cible de perte de masse grasse que de perte de poids. La masse grasse s'évalue selon des protocoles bien précis, en prenant l'épaisseur du bourrelet de peau en différents endroits. Avant d'en arriver à mesurer tout ça au mm, le coup d'oeil suffit. Regardes bien où est stockée la graisse (principalement abdominale j'imagine) et vois avec un médecin spécialisé à la fois en nutrition et en suivi sportif ce que tu dois raisonnablement viser, sur quelle durée et avec quels moyens. L'élimination de réserves de graisses accumulées depuis des années est laborieuse. Comme le dit Gérard, les mécanismes du métabolisme sont complexes. Il n'existe pas à ce jour de modèles permettant de prédire avec certitude les filières énergétiques que le corps va privilégier en différentes situations. Les facteurs d'influence sont en effet nombreux : durée de l'activité sportive, intensité des exercices, âge, historique médical personnel, qualité du sommeil, qualité de la nourriture, etc. Ce qui est certain, c'est qu'il faut éviter toute situation de privation comme tu le fais actuellement. Pour ton petit déj, les biscottes et le lait, c'est trop peu en quantité, en variété et trop vite assimilé. Un soupe le soir (je pense que tu veux dire potage plutôt), c'est bien parce que si elle est faite maison, c'est de l'eau, des fibres et des sels minéraux, que du bien après un effort physique. Mais ça reste un repas incomplet et pas équilibré si tu ne mets rien derrière. J'ai toujours eu à la base une hygiène alimentaire très correcte, sans sodas, frites, biscuits, fast-food, et une alimentation au quotidien pas riche et équilibrée. Seulement voilà, la sédentarité, l'absence d'exercice et la gourmandise (allez c'est bon, on se ressert!) ont lentement fait progresser le chiffre sur la balance d'année en année. Lorsque j'ai démarré le vélo, j'ai perdu beaucoup de poids, simplement en roulant (j'ai fait beaucoup de "foncier" au début : endurance, puis résistance, env. 800km/mois), et en appliquant en // quelques règles diététiques simples : éviter de se resservir, 1 seule fois du fromage par jour, un petit déjeuner plus complet avec des aliments à faible index glycémique, un repas du soir plus léger, mais avec qd-même protéines, glucides, et légumes, pas d'apéros (surtout les biscuits apéros!), etc. Rien entre les repas, sauf éventuellement une collation après mes sorties de vélo. Cette période non pas de privation mais de rigueur a représenté un effort de volonté déjà, mais pour aboutir à un équilibre installé et durable. J'ai ainsi perdu 12kg en 6 mois. Poids stable depuis, variant de 76/77 en période d'entrainement à 78/79 l'hiver, pour 1.80m. Je ne ferai jamais 68kg ni même 72 en poids de croisière, constitution oblige (ce que je disais plus haut). il me restera à traquer au printemps les derniers replis de masse grasse pour gagner encore quelques kg pour faire de la montagne, mais ce sera laborieux ....
  5. L'idée est bonne s'il s'agit en fait de débarrasser les conversations d'un sujet omniprésent et qui a un effet très polluant puisqu'il est ramené à tout propos. Cependant, ce n'est pas forcément le bon remède pour les raisons suivantes : 1. pas sûr que les annonceurs voient ça d'un bon oeil 2. le dopage tel qu'il est discuté, n'est plus un échange d'idée ou de point de vue, ni un simple ingrédient de conversation qui comme le dit Jacques peut s'avérer inévitable. C'est juste devenu un sujet d'affrontement entre gens raleurs et tetus (bon, désolé les gars, je ne dis pas ça méchament), au même titre que l'a été le casque. Demain, ce sera un autre sujet qui fera le buz.
  6. Ce n'est pas le sujet, c'est tout.
  7. Qu'il soit dopé soit, mais personne n'a pédalé à sa place et si on regarde bien la plus par son tomber sur contrôle pendant ou aprés le tour, donc Aie Aie Aie, y'en a qui en perdent leur latin avec le cas LA. Sinon, le sujet du post est pas mal, ça change un peu.
  8. Sport de vieux ? C'est vrai que les moyennes d'âge sont assez élevées. Mais je pense que ça tient au fait que c'est un sport, peut-être même le sport, que l'on peut pratiquer le plus longtemps malgré la déliquescence de l'âge ! Il ne pose pas de pb aux articulations, il permet de garder la ligne, il n'est pas incompatible avec un pb cardiaque. De plus, il s'associe facilement avec un esprit de ballade, de tourisme, etc. Et puis à côté de ça, ce n'est pas non plus un sport où la maturité est à 22 ans. Je dirais plutôt 28/30. Donc forcément, chez les jeunes avides de sensations et de performances, on se tournera vers autre chose. Mois à 18 ans, je faisais de l'athlétisme, un peu de foot, pas du vélo. Du coup, le marché se déplace vers des revenus à priori plus élevé, d'où les dérives.
  9. Dans les séances de travail que j'ai faites la saison dernière, les plus austères ont été de loin les séances de force. La cadence n'est absolument pas naturelle et chaque tour de pédale demande beaucoup d'énergie. Les jambes souffrent. Ce sont aussi des exercices qui laissent des traces le lendemain. Donc tout ce que tu dis semble bien normal. Est-ce qu'on s'y habitue pour trouver ça plus rigolo ? Moi non ! En revanche, c'est un exercice profitable. Travailler lentement permet vraiment de bien sentir toutes les phases du geste, tous les muscles qui travaillent, toutes les manières de pédaler avec des muscles différents. Et au final d'aller vers le pédalage le plus fluide et le plus économique. Je te conseillerais même de travailler avec un braquet plus gros et une cadence plus faible (plutôt 45rpm). Je viens de lire la réponse de Guillaume, on se retrouve un peu dans nos avis.
  10. Oui, mais à Marseille, tu sais comment ça se passe, la parole est un amplificateur de la pensée.
  11. Pourquoi pas, mais alors il faudrait un jour où il soit comme Yves Martin, sans casque ...
  12. Non, non, la fin n'est pas du tout spectaculaire. Une histoire pareille ne peut pas finir en drame humain. Non, moi je verrai plutôt une mort brutale genre accident de la route, chute dans un escalier, dans des circonstances un peu mystérieuses mais on insiste pas trop sur le côté mystérieux de la mort. On décrète une mort accidentelle après une brève enquête et le volet 1 s'achève sur l'enterrement du "héros". Un peu plus tard, tu sors le volet 2. Le mec est enterré depuis 2 ans, sa veuve et ses enfants ont une nouvelle vie. Le cyclisme est reparti de plus belle avec les mêmes dirigeants, les mêmes pratiques, de nouvelles stars, etc. Un petit malin (genre le flic en stage qui potasse des affaires anciennes, ou le mec qui fait le tri sur les anciens dossiers avec un peu de curiosité) tombe par hasard sur un détail qui jette le doute sur le côté accidentel de la mort. Par exemple, un objet bizarre sur une photo, que personne n'avait remarqué, grossi 10 fois comme ils savent le faire sur n'importe quelle photo. Par ex.un petit truc au pied du corps qui ne peut pas appartenir à la victime, ou un papier froissé avec des initiales dessus ... La police décide alors de rouvrir le dossier, un inspecteur malin et tenace est chargé de l'enquête. Il revient vers différents personnages : sa famille, ses amis (allez, on va dire qu'il en avait), à l'UCI, les anciens DS, coureurs, les anciens enquêteurs même etc. Il s'aperçoit qu'en fait LA aurait pu faire des révélations fracassantes mettant en cause publiquement et nominativement les notables du milieu, tout cela se ramifie jusque dans les milieux politiques. Un vraie mafia qui donne d'excellentes raisons à plein de gens de le voir disparaître, etc. Ouais, ça me plairait bien un truc comme ça. PS : c'était la suite du scénario de Jean Martin sur la page précédente
  13. Je ne peux pas suivre ton raisonnement Bernard. Ce qui compte en tout homme, c'est la finalité de ses actes, au delà des qualités personnelles qu'il met en jeu pour y parvenir. On peut effectivement admirer les capacités de LA que tu soulignes, à savoir la combativité, l'obstination - l'acharnement même -, l'intelligence, etc. Mais n'est-il pas plus judicieux, lorsque l'on a ces qualités, de les mettre au service d'une cause noble, plutôt qu'au service d'une ambition égoïste dont l'accomplissement se fait au détriment des autres, et même de toute une communauté ? Je ne suis pas étonné qu'une telle entreprise se soit soldée ainsi pour lui. C'est une leçon de vie qu'il aurait du connaître avant. C'est chose faite maintenant. Des profils comme celui-ci, j'en ai croisés dans d'autres domaines. Ce qui les caractérise, c'est l'absence totale de recul, d'appréciation face aux enjeux d'une vie d'homme. Et souvent malgré une capacité d'analyse, d'observation et de décision très au dessus de la moyenne. Ils sont programmés pour satisfaire leur ambition dévorante, connaître le succès, parfois la gloire, et vlan, le destin semble se retourner, l'échec arrive, la déchéance, etc. La curée fait son oeuvre mais elle est indispensable. En fait le destin ne se retourne pas, il s'accomplit. La vraie vie commence après.
  14. Oui, effectivement, pour les abdos, pas trop de risque de prendre bcp de poids ! Sur la diététique, évidemment, je pense aussi que c'est la base et la première chose à bien maîtriser. Ensuite, sur le programme d'activité, la capacité de s’affûter au niveau de la ceinture abdominale dépend quand même de l'âge et de "l'ancienneté" des bourrelets, c'est en tous cas ce que m'avait dit cette diététicienne avec qui j'avais discuté. Ce que je peux dire sur la base de mon expérience personnelle, c'est que depuis que je fais du vélo, j'ai perdu pas mal de poids (12kg environ), je suis assez affûté et le peu qui me resterait encore à perdre si je voulais, c'est bien dans la zone abdominale. Cet été, je vais faire pas mal de montagne, et j'envisage de perdre encore 4 ou 5kg pour pouvoir enchaîner les cols avec moins d'efforts, je verrai bien d'où ils partent !
  15. Non, je n'ai pas vraiment de solution. Je me souviens simplement d'une discussion récente à ce sujet avec une diététicienne. Lorsque l'on aligne les kms de vélo à faible intensité, c'est certain que l'on favorise la lipolyse, et donc la perte de masse grasse, avec un développement musculaire modéré. Cependant, la disponibilité de cette masse grasse n'est pas la même partout. En particulier, la graisse abdominale, surtout si elle est installée depuis longtemps est particulièrement tenace, surtout lorsque l'organe consommateur n'est pas "local". On se retrouve ainsi à être particulièrement affuté en haut du corps, tout en gardant une partie des bourrelets que l'on cherche à éliminer. D'où l'intérêt de faire travailler plutôt ses abdominaux. Mais je ne peux pas dire en combien de temps on obtient de résultats. Ceci dit, des abdos surdéveloppés, ça ne doit pas engendrer non plus une prise de poids énorme !
  16. Moi c'est l'inverse, je roule avec cardio, et je n'ai jamais gagné de courses ... Ouais, c'est vrai Sire, c'est pas faux, j'en ai jamais fait non plus ...
  17. Il faut avoir à l'esprit un autre point, c'est que la perte de masse grasse se fait à des endroits non contrôlables. Et la graisse abdominale est beaucoup plus tenace que celle du haut du corps. Les hommes sont ainsi faits. Perdre ses derniers kgs de masse grasse abdominale est une entreprise compliquée. De plus, si l'objectif est la perte de poids, attention aussi à la prise de muscle que pourrait amener des exercices destinés à faire fondre. Je m'explique : pour le p'tit bourrelet abdominal, le plus efficace serait de faire travailler les muscles locaux. Cependant le développement musculaire des abdos amènera du poids mais aucune puissance supplémentaire sur le vélo ! Pour répondre à la question de départ, le taux de masse grasse est une donnée bien théorique. Il suffit de se regarder pour savoir si l'on doit perdre et à quel endroit, non ?
  18. Je viens de parcourir ce sujet. Alors là, je suis surpris de tous ces chiffres, surtout ceux de Jean Guy. De ce que disent les uns et les autres, j'en voyaient certains d'un bon niveau, trés trés au dessus du mien avec des valeurs de PMA bien plus élevées et plus en rapport avec les valeurs de VO2 annoncées. J'ai passé un test d'effort avec mesure des échanges gazeux en juillet. J'en suis sorti avec 318W au seuil, 358W au max (PMA?) et 48 de VO2max, pour 78kg. Parmi vous, j'en voyais pas mal à 400W en PMA, voir au dessus. Ou bien alors, le toubib qui m'a fait passer le test s'est un peu vautré !
  19. Pour ce qui est de la fourchette, entre 60 et 80 rpm en côte, on trouve 99% des pratiquants amateurs, quels que soit leur niveau. Mais comme déjà dit ci-dessus, la bonne cadence est celle avec laquelle on se sent à l'aise. Elle dépendra beaucoup du % et de ses acquis. Personnellement, je pense que la cadence ne doit pas être un objectif. Celui-ci doit plus être orienté sur le travail d'une qualité intrinsèque : la puissance (force, vélocité), le seuil etc. Selon le niveau que l'on a dans ces différents compartiments, on adoptera spontanément une cadence différente.
  20. Comme tu le vois, j'aime bien rapprocher la théorie de la pratique. En matière d'homosexualité, j'aurais du mal, donc je m'abstiens ....
  21. Je relance le sujet avec quelques infos de terrain. Aujourd'hui, AR entre 2 points par le même itinéraire. Distance entre les 2 points 36.8km. Vent annoncé N-NE : 15kmh, si on admet qu'au sol il faut en prendre la moitié, on retient donc le chiffre de 7.5kmh au sol. Sens du parcours : SE à l'aller, donc NO au retour. Les dénivelés dans les 2 sens ne sont pas tout à fait identiques : à l'aller, je prends 60m d'altitude, au retour, je les perds, soit pas grand chose en énergie potentielle. Temps à l'aller : 1h14'37" soit 29.6kmh, temps au retour : 1h29'01" soit 24.8kmh. FC moyenne à l'aller et au retour quasi identiques (à 1 unité prés) donc même effort, cadence de pédalage aussi donc même type d'effort. Position sur le vélo identique, donc SCx aussi. Bien, dans mon cas, le vent n'est pas totalement de face ni de dos, donc il nous faut un petit calcul intermédiaire. Lorsque la direction du vent fait un angle a avec la trajectoire, on peut décomposer la vitesse du vent en vitesse latérale (Vsina) dont on va négliger les effets, et en vitesse d'opposition ou de poussée +/-Vcosa qui est celle perçue et que l'on prend en compte. Dans le cas présent, à l'aller a=45+22.5=67.5°, cosa=0.382..., au retour, a=180-60=120°, cosa=-0.382.... Donc la vitesse réelle de vent qui me pousse à l'aller et me ralentit au retour est de 2.87kmh (franchement pas réaliste d’ailleurs par rapport au ressenti). Avec cette vitesse Vvent recalculée, je dois pouvoir vérifier maintenant l'exactitude de la formule (Valler-Vvent)^2.Valler=V0^3=(Vretour+Vvent)^2.Vretour, puisque ma fréquence cardiaque moyenne étant identique à l'aller et au retour, j'ai donc développé la même puissance. Allons-y : - (29.6-2.87)^2x29.6= 21148 - (24.8+2.87)^2x24.8= 18988 Pas mal, compte tenu des approximations (trajectoires rectilignes, FC identique, dénivelé, etc.) ... Du coup, j'en déduit la vitesse moyenne que j'aurais obtenue sans vent, à puissance identique : 27.7kmh. Là, avec le vent, ma vitesse moyenne a été de 27.0kmh tout rond.
  22. Le capteur de cadence ? Non, de vitesse !
  23. Oui, je suis aussi de cet avis, au final, Open Runner est trés simple, intuitif, ergonomique précis pour les distances, et offre plusieurs fonds de cartes : IGN, satellite et carte Google sont les plus utiles.
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