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Michel ROTH

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Tout ce qui a été posté par Michel ROTH

  1. Olivier, comme je l'ai déjà fait remarquer, il ne faut pas oublier les points UCI. Prenons le cas de Barré qui était dans l'échappée. Il fait partie de l'équipe Intermaché, actuellement 21eme au classement UCI. Pour être une équipe WT, il faut être classée dans le top 18. Donc Barré va plutôt courir pour les points plutôt que de se mettre à plat ventre pour finalement offrir la victoire à Mathieu van der Poel, qui était logiquement le plus rapide au sprint. Finalement Barré termine 3eme alors que dans le scénario où il aurait relayé Van der Poel, il se serait probablement classé au-delà de la troisième place. Je ne dis pas que cela explique tout, mais c'est un élément dont il faut tenir compte pour comprendre la stratégie de certains coureurs. Le fait d'avoir dans l'échappée un coureur dont on sait qu'il est le plus rapide au sprint n'incite pas non plus à organiser une poursuite efficace.
  2. Victoire au sprint de Milan qui prend le maillot jaune par la même occasion, Pogacar s'étant relevé pour terminer au-delà de la 30eme place. Van der Poel en terminant 3eme prend encore des bonification et se retrouve 3eme au général. Belle tentative de Romain Bardet dans la dernière bosse répertoriée. Pas compris quels étaient les intérêts des UAE à rouler derrière? Bon ce n'est que partie remise pour Romain. Il paraît qu'il a coché l'étape de Combloux.
  3. Ouais mais je sous-endentais les derniers km, les 3 derniers. Là on ne voit pas Pogacar relayer (sous réserve de ce que la réalisation ne montre pas quand elle s'attarde sur les poursuivants). Je reconnais que Vingegaard a pris un relais d'environ 200 m à 1,6 km de l'arrivée, mais c'est peu par comparaison aux relais appuyés de Van der Poel et Evenepoel qui avaient l'air de bien s'entendre. Buitrago a aussi fait de beaux relais. Vingegaard est celui qui a déclenché l'offensive en répondant à une attaque de Van Gils (qui n'a pas pu accompagner). Donc on ne peut pas lui reprocher grand chose. Par contre Pogacar s'est bien tenu dans les roues pendant un peu moins de 4 km. Il se souvenait peut-être du sprint de San Remo quand Van der Poel l'avait largement battu, alors qu'il l'avait attaqué à de nombreuses reprises. Le résultat du sprint est somme toute logique : le plus frais des 5 a gagné. Van der Poel a été obligé de faire un sprint long parce que le peloton revenait très fort. Face au vent de face, il n'a pas pu conclure. Buitrago qui a assumé un dernier relais décisif à 400 m de la ligne l'a payé puisqu'il ne termine pas dans le top 5.
  4. Voici ce que donne l'enregistrement : Km 5 : Van der Poel en tête. Evenepoel fait la jonction. Km 4,8 : la réalisation montre le peloton. Km 4,7; sortie d'un virage avec Pogacar en tête Km 4,6 : Vingegaard en tête Km 4,5 : Van der Poel en tête Km 4,4 : la réalisation montre le peloton Km 4,1 : Buitrago en tête Km 4,0 : Vingegaard en tête Km 3,9: Pogacar en tête Km 3,8 : Van der Poel en tête Km 3,6 : Evenepoel en tête Km 3,3 : la réalisation montre le peloton Km 2,6 : Evenepoel toujours en tête Km 2,6 : Van der Poel relaie et Vingegaard ne passe pas. Km 2,4: Buitrago en tête Km 2,2 ; la réalisation montre le peloton Km 1,9 : Evenepoel en tête Km 1,6 : Vingegaard en tête après que Evenepoel lui ait fait signe de passer. Km 1,4 : Van der Poel en tête Km 1,3 : Buitrago en tête Km 1,2 : la réalisation montre le peloton 996 m : Evenepoel en tête entre dans la dernière ligne droite. 880 m : la réalisation montre le peloton 750 m ; Van der Poel en tête +/- 400 m : Buitrago en tête 250 m ; Van der Poel lance le sprint Le plus long relais des trois relais de Vingegaard est à 1,6 km de l'arrivée et c'est son unique relais dans les 3 derniers km. Pogacar n'est pas vu en tête dans les 3 derniers Km. On ne voit évidemment pas ce qui se passe en tête quand la réalisation montre le peloton. Les plus gros moteurs de ce quintuplé sont Van der Poel et Evenepoel. Il n'est pas faux de dire que sans eux, le peloton revenait. A noter que l'écart maximum a été de 8 s après le long relais de Evenepoel.
  5. Si Evenepoel ne fait pas un long relais, ils sont revus. Pas un seul relais de Pogacar, ni de Vingegaard. Le plus malin a gagné.
  6. Profil de la 8ème étape : Dimanche 15 juin. Val-d'Arc - Plateau du Mont Cenis : 133,3 km. Montagne.
  7. Profil de la 7ème étape : Samedi 14 juin : Grand-Aigleblanche - Valmeinier 1800 : 131,6 km. Montagne.
  8. Le profil de 6ème étape : Vendredi 13 juin. Valserhône - Combloux : 126,7 km. Accidentée. Arrivée en altitude.
  9. Le profil de la 5ème étape : Jeudi 12 juin. Saint-Priest - Mâcon : 183 km. Accidentée.
  10. Le profil de la 4ème étape : Mercredi 11 juin. Charmes-sur-Rhône - Saint-Peray : 17,4 km. C.L.M individuel
  11. Le profil de la 3ème étape : Mardi 10 juin : Brioude - Charantonnay (207,2 km) accidentée.
  12. Le profil des deux premières étapes : Dimanche 8 juin : Domérat - Montluçon (195,8 km) accidentée. Lundi 9 juin : Prémilhat - Issoire (204,6 km) accidentée
  13. Et la dernière de Romain Bardet. Je lui souhaite une dernière victoire d'étape sur ce Dauphiné pour clôturer une belle carrière. Il le mérite (c'est mon coureur français préféré).😄
  14. Non Sylvain je ne raconte pas ce qui m'arrange. Je ne suis pas fan de Yates et je trouve que Del Toro a fait un très bon Giro pour un jeune et qu'il aurait été sympathique qu'il gagne ce Giro. J'aime bien Carapaz car c'est un coureur qui ne calcule pas. Les écarts que je donne sont exacts (ce sont les écart GPS). Et les chiffres ne mentent pas. Oui ils ont ralenti mais c'était après une violente attaque. Donc c'est difficile de dire si c'est parce qu'ils étaient allés trop loin dans l'effort ou si c'était tactique. Ce que je retiens, et ce que les images montrent, c'est que Carapaz et Del Toro ont commencé à perdre des forces au fur et à mesure de la montée. Et quand Del Toro est passé en tête parce que son maillot était en danger, Yates continuait à prendre du temps. Je pourrais encore donner l'avis de deux pros sur un autre site qui pensent aussi que Del Toro était limite, même s'il a fait une erreur tactique de ne pas relayer Carapaz. Mais je m'arrêterai ici. Je respecte les opinions de chacun et je n'oblige personne à partager mes analyses. Bonne après-midi et sans rancune j'espère. .
  15. Heureusement que j'ai gardé l'enregistrement. J'ai revisionné toute l'ascension de la Finestre. - Au début c'est l'équipe de Carapaz qui met le feu aux poudres. Del Torro revient et Yates ne bouge pas. - Quand l'écart atteint les 15 s, Yates comprend qu'il ne peut pas rester avec le groupe qui monte au train. Il s'extrait de ce groupe avec une facilité déconcertante et rejoint en peu de temps le duo Carapaz - Del Torro. Contrairement à ce que tu as écrit, ils ne faisaient pas du surplace puisque Carapaz tentait encore de décrocher Del Torro. - À peine revenu, Yates place la première mine. C'est Carapaz qui réagit et Del Torroi fait l'élastique. - Ensuite, deuxième attaque de Yates. C'est encore Carapaz qui réagit et Del Torro fait encore l'élastique. - Puis, Carapaz place une mine et c'est Del Torro qui réagit car Yates, après ses deux mines fait l'élastique. - Nous sommes toujours en début de col. Yates place une troisième mine. Celle-ci est décisive. Carapaz ne réagit pas, soit parce qu'il ne sait pas, soit parce qu'il juge que Yates n'est pas encore une menace. Del Torro ne bouge pas non plus. - L'écart entre Yates et le duo n'est pas très grand, mais c'est Carapaz qui effectue toute la poursuite derrière. - Derek Gee revient sur le duo des poursuivants et c'est lui qui dicte le train. - Grâce à Gee, l'écart avec Yates n'est plus que de 12 s. - Et c'est alors que l'on voit que Yates était vraiment très fort, car il se retourne et voit le trio se rapprocher. Il se dresse sur les pédales et accélère. L'écart remonte aussitôt. - Carapaz et Del Doro qui ont récupéré derrière Gee, le dépose et c'est toujours Carapaz qui fait tout le boulot de la poursuite. - L'écart avec Yates continue à augmnter. - Le duo rejoint Dries De Bondt qui leur donne un coup de main en assurant un bon rythme et l'écart semble se stabiliser. - Dries De Bondt laisse filer le duo et Carapaz place une mine. Del Torro accuse une vingtaine de mètres de retard. Mais contrairement à ce que l'on dit, il ne revient pas si facilement. - Les deux hommes ralentissent à ce moment-là et se parlent. Il est difficile de dire si c'était tactique ou s'ils avaient besoin de souffler après le brusque effort consenti. En attendant Yates continue à grignoter secondes après secondes. - Quand l'écart atteint 1 min 20 ou 1 min 25 s, Del Toro sent le danger et prend la tête du duo. Mais Yates continue à creuser, ce qui montre que Del Toro, à ce moment-là de l'ascension, était moins fort que Yates. Même que Gee parvient encore à recoller. - Jens Voigt sur la moto annonce même que derrière, Pellizarri est en train de revenir. - Carapaz finit par reprendre la main, puis loupe un virage et Del Toro repasse devant sans faire grosse impression par rapport à Yates. - Au sommet l'écart est de 1min 42 s en faveur de Yates et on se dit, que vu les qualités de descendeur de Del Toro, il pourra réduire cet écart et sauver son maillot. - Malheureusement, une publicité nous empêche de voir un moment crucial de la course, c'est-à-dire quand Yates rejoint Van Aert et l'attitude de Del Toro après le passage au sommet. - Quand les images reviennent, on annonce que grâce à Van Aert, Yates a repris 10 s. - Alors que l'on s'attendait à voir Del Torro faire parler ses talents de descendeur, il n'en est rien. Pour moi, il était trop émoussé par cette ascension et avait montré, au moins, à deux occasions, qu'il était limite. Il était bien en début d'ascension, mais a progressivement faibli au fur et à mesure de l'ascension. Il en était de même de Carapaz, qui lui avait l'excuse, d'avoir fait le plus gros de la poursuite.
  16. D'après Carapaz et Del Toro, qui n'avaient pas les jambes, Simon Yates a fait la course avec sa tête. 😃
  17. Le premier extrait est un extrait de journaliste, donc subjectif. Il ne parle même pas de la descente. Del Toro aurait pu faire ce que Savoldelli avait accompli en 2005. Tout comme Del Toro, Savoldelli était dépossédé de son maillot rose au sommet de la Finestre, cette année-là, par le Vénézuélien Rujano (vainqueur de l'étape à Sestrières). Mais Savoldelli l'a récupéré grâce à ses talents de descendeur. Qu'on m'explique pourquoi Del Toro n'a pas fait parler ses talents de descendeur et laisser Carapaz loin derrière, puisqu'il avait les jambes ? Ici les soi-disant consignes du DS n'avaient plus lieu d'être. Les deux autres extraits que tu cites sont des propos de coureurs frustrés qui cherchent des excuses à leur défaite. Ils s'accusent mutuellement pour ne pas reconnaître qu'ils n'étaient tout simplement pas les plus forts. En plus, ils manquent de sportivité vis-à-vis de Yates, traité seulement de plus intelligent. Ils ont dépassé Evenepoel dans le domaine des excuses toutes faites. Mais autant les excuses de Evenepoel sont plausibles, autant celles-ci sont risibles. 😄
  18. Tu dis que les équipes du Top 10 doivent défendre leur place au général et tu sembles accuser le comportement de Carapaz. Mais c'est Carapaz qui a mené l'essentiel de l'ascension. Il a demandé à Del Toro de le relayer. Celui-ci a refusé en disant à l'interview que s'il le faisait, il craignait une attaque décisive de Carapaz. Pour moi cette réponse est un aveu de faiblesse qui conforte les dires du DS. S'il avait écouté Carapaz, les deux se seraient relayés et tout les pros te diront que monter de la sorte est beaucoup plus efficace que de monter par à coup. Ensuite lorsque lorsqu'ils sont passés ensemble au sommet, l'écart était de moins de deux minutes. En supposant que Del Toro a obéi à une directive du DS de ne pas relayer Carapaz, alors on imagine mal pourquoi cette directive était encore valable dans la descente. Ce n'est pas en descente que Carapaz allait donner le coup de grâce à Del Toro. Si Del Toro avait vraiment eu encore les jambes, il decramponnait Carapaz dans cette descente très technique. Del Toro, s'il n'était pas émoussé pouvait reprendre du terrain à Yates. La seule erreur tactique des UAE est d'avoir sous-estimé Van Aert, d'avoir permis à l'échappée d'avoir pris plus de 10 minutes d'avance et de ne pas avoir mis d'equipiers dans l'échappée. Van Aert est passé 5eme au sommet et a déclaré qu'il avait fait le maximum pour arriver au sommet avant Yates. Il n'aurait pas pu gagner l'étape de toute façon.
  19. Au vu des images, si Del Toro en avait encore sous la pédale il ne se se serait pas embarassé de Carapaz qui a essayé une dizaine de fois, en début d'ascension de lâcher Del Toro. Ce col était très long et au fur et à mesure des kilomètres on voyait bien que Del Toro était limite. Del Toro aurait peut-être pu suivre Yates en début d'ascension mais pas jusqu'au sommet. Maintenant si Del Toro veut faire du Evenepoel en cherchant des excuses ....😁
  20. Après le drame du Heysel, je ne me suis plus vraiment intéressé au football. Je viens de lire qu'après le match de hier on compte déjà deux morts et 559 interpellations. Est-ce normal que les commerçants des Champs Élysées doivent se barricader par peur de débordements de supporters. En plus je trouve que le salaire des vedettes du football est scandaleux. Je préfère le cyclisme qui est un sport bien plus éprouvant et même si Yates a gagné hier, je n'en suis pas spécialement fan, ni d'ailleurs de l'équipe Visma, ni de celle d'UAE. Je donne ma préférence aux équipes à plus petit budget comme Lotto ou Soudal QS. Hier on a assisté à une très belle étape. Une qui marquera l'histoire du Giro. Au moins le hooliganisme n'est pas présent sur le cyclisme, du moins pas au même niveau qu'en football.
  21. Voilà qui devrait faire taire les critiques sur les supposées directives de Gianetti, qui n'est d'ailleurs pas le DS de l'équipe : Le manager Matxin rejette les critiques. Le manager sportif José Antonio 'Matxin' Fernández est revenu sur l’étape de montagne catastrophique de Sestrière pour UAE Emirates XRG. L’Espagnol est certes déçu, mais n’en veut pas à Del Toro. 'Il roulait à la limite. Il a essayé de neutraliser les attaques de Carapaz à chaque fois, mais a été sur le point de se briser à un moment donné. Courir et rester immobile a été bon pour Isaac à la fin." 'Nous avons couru comme ça tous les jours, répond Matxin aux critiques sur la façon dont son équipe a couru lors de l’étape de samedi. Le plan était de rouler à un rythme serré dans la montée finale, mais EF Education-EasyPost s’est immédiatement imposé. À partir de ce moment-là, il s’agissait en fait d’une lutte d’homme à homme entre les trois meilleurs coureurs de ce Giro d’Italia. Source: de wielerflits.nl
  22. Carapaz a déjà gagné un Giro. Et c'est au porteur du maillot à le défendre.
  23. Quand on a le maillot de leader, ce n'est pas à Carapaz de le défendre, mais à celui qui le porte, c'est-à-dire Del Toro. Quand Del Toro a pris quelques relais, car il en pris, l'écart n'a pas diminué. Que sais-tu des directives du DS ? Tu supposes que c'est le DS qui l'a obligé à ne pas rouler derrière Yates, mais tu n'en as pas la preuve. En plus, c'est supposer que Del Toro est un imbécile. N'importe quel coureur, quand il voit que son maillot de leader est en danger, fera tout pour le conserver, et passera outre des soi-disant directives de son DS. La vérité est beaucoup plus simple : vous ne voulez pas reconnaître que Del Toro et Carapaz étaient un cran en dessous de Yates. D'ailleurs Del Toro avait déjà montré que dans des longs cols, il était en difficulté : étape de lundi et montée du Mortirollo. Donc, il n'y a rien d'étonnant à ce qu'il s'est passé hier. En plus, au sommet de la Finestre, Del Toro aurait pu prendre les choses en main, s'il était si frais que ça. L'écart était inférieur à deux minutes et c'est un excellent descendeur. Mais quand on est cramé, on descend mal et Yates ayant retouvé Van Aert, l'écart a encore augmenté. Ils ont fait du surplace, parce que Carapaz ne voulait pas faire tout le boulot pour ramener Del Toro. Ensuite, ils ont aussi bien profité des relais de Gee, et même de Dries De Bondt. A l'arrivée, on a bien vu également que Del Toro n'était plus très frais.
  24. La seule erreur tactique des UAE est de ne pas avoir placé un (ou des) équipier(s) de Del Toro dans l'échappée et, en plus avoir permis à cette échappée de prendre plus de 10 minutes d'avance avec un Van Aert devant.
  25. Je suis d’accord qu'en 2021, le leader de la Visma n'avait pas course gagnée mais Roglic avait déjà perdu le Tour lors de l'étape du Ventoux et Vingegaard était déjà à plus de 5 minutes et n'était probablement pas considéré comme vainqueur possible à l'époque, mais comme équipier de Roglic. Car en 2021, le leader de la Visma était Roglic qui devait prendre sa revanche sur son échec de 2020. Van Aert avait le champ libre sur cette édition. Par contre, en 2022, Van Aert s'est mis à plat ventre dans Hautacam pour Vingegaard. Ce n'est qu'en 2022, qu'on a vu que Vingegaard était au moins aussi fort que Roglic lorsque ce dernier remporta le critérium du Dauphiné devant Vingegaard qui, visiblement, aurait pu l'emporter. Vingegaard confirma alors lors du Tour de cette année-là pour une première victoire sur un grand Tour.
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