Jérémie LAPLAC

Laurent, pour nettoyer les résidus de colle, j'utilise de l'acétone, simplement car c'est le produit préconisé par Easton. Raconte-nous tes premières impressions quand t'auras fait une sortie. Bonne route, JL

Par contre je n'aime pas le système de changement de vitesse de chez Campagnolo (j'avais essayer ce même système sur un groupe Shimano) mais ce n'est que mon avis personnel ;) Explique-toi car le système Shimano n'est pas le même que le Campagnolo....

Je n'ai sans doute pas été assez clair. Faut croire que ce n'est pas mon jour ... Je monte le boyau d'abord sans colle. C'est l'ABC. Ensuite, j'applique la colle des deux côté cad sur le boyau et sur la jante. Je suis à la lettre les préconisations des fabricants. Et je n'ai jamais eu d'emmerdes. Mais jamais je ne conseillerais à quelqu'un de monter un boyaux encollé qui n'a pas été préalablement étiré, dans les règles de l'art, sur une jante à boyaux. Et je me fiche d'attendre 24 heures de plus avant rouler sur une paire de roues dont les boyaux auraient été encollés à la va-vite pour le plaisir de rouler plus vite dessus. Longue vie au roi 🤐

24 heures suffisent, gonflés à 6 kg ou plus. Au premier montage, c'est franchement rébarbatif. Ensuite, ça rentre comme dans du beurre. L'ennui, en les collant en direct, c'est que la colle prend dès que tu commences à poser le boyau ; hors, ils ne sont pas assouplis et la pose prend plus de temps. Donc, quand tu arrives à l'opposé de la valve, la partie autour de la valve a déjà commencé à coller et l’étirement n'est plus équilibré. A contrario, un boyau monté à blanc ne prend pas plus de 10 seconde pour être posé sur la jante pré-encollée.

A blanc = sans colle. 1/ pas sur une jante à pneu mais sur ta jante boyaux. 2/ la mise en place est ensuite très aisée. 3/ Tu ne laisses pas 2cm sans colle. C'est dangereux et inutile. T'as compris ?

Pourquoi s'emmerder avec de la colle, le scotch double face spécial collage vélo est efficace yesssss, très efficace, trop même sur les jantes carbone. Interdit par Zipp et Easton qui se dégagent de toute responsabilité en cas de dommage. Laurent, un avis basé sur mon expérience des boyaux (Vittoria, entre autre) : tu montes le boyau à blanc sur la jante carbone. De cette façon, 1/ il se met en place sur la bonne jante et 2/ au montage après encollage, légèrement gonflé, il se met tout seul en place. Et 3/ je colle l'ensemble du boyau. Conti et Vittoria déconseillent de ne pas encoller les 2cm à l'opposé de la valve. Pour le décoller, jamais eu de problème... Bonne route, JL

Voici donc quelques raisons qui, selon le bon sens, font que le triple a encore de beaux jours devant lui : 1/ Étagement de la K7 : 11/32 sera toujours moins bon que 12/27, 12/30 en Shim ou 12/29 en Campa 11V 2/ Corolaire : braquet mini de l'Apex : 34/32. Braquet mini sur un Ultegra triple : 30/30. 3/ En triple : pas besoin de se trainer avec un dernier pignon aussi grand qu'une poêle à frire. On me parle régulièrement du manque d'esthétisme du triple, mais quand je vois ces horribles K7 de VTT sur des double compact, ça me fait doucement sourire 4/ La différence de poids est de combien entre un double compact avec sa grosse K7 et un triple ? 100 ou 200 grammes ? ça relève de la farce, rien d'autre. 5/ Le croisement d'une chaine en compact n'est pas mal dans le genre non plus. A voir le nombre de cyclistes qui roulent en 50/21, voire 23 (dont moi 🤐), prétendre que l'on croise plus en triple est quand même osé. Le principal avantage de l'Apex est purement économique : il permet à Sram de s'économiser le développement d'un triple et de ne pas devoir manger sa parole, selon laquelle le triple est tout bonnement inutile. Ce n'est qu'une façon de se démarquer et rien d'autre. Bonnes fêtes et bonne route, JL

D'une manière générale, les jantes à pneu 100% carbone sont à éviter car 1/ les pistes de freinage ont tendance à se déformer lors des efforts répétés. 2/ En cas de crevaison brutale, le contact carbone vs asphalte ou nid de poule... est souvent fatal à la jante. Donc prudence ! Bonne route, Jérémie

Vu comme ça, je suis tout à fait d'accord avec toi. Aucune honte à rouler en compact, ni en triple 22/33/44 devant et 12/27 derrière sur ma randonneuse. Ceci dit, même les plus forts sont toujours le petit joueur d'un autre ; ainsi va la sport....

Didier parle pour lui, pas pour toi.....

Tout le monde (ou presque) est capable de le faire. Ce n'est qu'une question de gestion de l'effort (alimentation, patience) et de temps. Les plus rapides mettront 7 heures, voire moins. Les plus lents mettront plus de 12 heures. A la Marmotte, j'en ai vu rentrer à l'Alpe sur le coup de 20h, alors qu'ils étaient partis à 7h le matin... ça n'enlève rien à leur performance, au contraire. Il faut une sacrée dose de courage pour tenir 13 heures sur la selle.

Eric, j'ai testé et adopté le jus de tomate Over'estim. Il me permet d'alterner le salé et le sucré lors d'une longue sortie. JL

Je ne m'appelle pas Thomas 🤐. Bien modestement, je reste sur le 34x21 ou 23 jusqu'au Plan Lachat, puis je mets le 25, voire le 27 dans la rampe finale....

Le principal intérêt du boyaux est de supprimer le lèvre de la jante, ce qui permet un gain de poids non-négligeable sur une roue carbone. Le tubeless est plus résistant à la crevaison dans la mesure où, en l'absence de chambre à air, le préventif joue plus facilement son rôle de bouchon. Tu perces avec un pneu à chambre (ou boyau), l'objet "coupable", s'il reste dans le pneu, continue à détériorer la chambre même en présence du préventif. Perso, j'apprécie le tubeless pour sa facilité de montage, pour le fait qu'il ne déjante pas en cas de crevaison brusque et pour l'absence de chambre sujette à éclatement en cas de surchauffe (descente de col) ou de pincement. Pour ce qui est de rendement, de confort et autres, je ne saurais comparer les 3 systèmes, n'ayant jamais testé un pneu de chaque type et du même fabricant sur une roue de chaque type et du même fabricant. J'aime les carcasses raides qui ne s'écrasent pas quand je pédale en danseuse, donc ce qui existe actuellement me va très bien. Sportivement, JL

tu creves en tublesse te bien tu mets une chambre !! quel interet ?? vive le boyau !!!!! Non. Tu crèves, tu remets un vieux tubeless que tu as préalablement plié sous ta selle. De cette façon, tu ne t'embêtes pas avec une valve à devoir démonter ....Quant aux avantages incontestables du tubeless sur le pneus, ils se situent au niveau de la sécurité et de la résistance à la crevaison. Bonne route, JL

Ce passage, Guillaume, est en fait un de mes coups de cœur à vélo. Pas un été ne se passe sans que je m'y attaque. J'en bave toujours autant ; j'ai systématiquement les cuisses douloureuses. Mais cette transition entre l'alpage et l'univers minérale du Galibier est unique. Il y a 3 ans, j'avais fait le col par ce même versant nord un jour en semaine, fin septembre ... Entre Valloire et le sommet, pas une auto, pas un cycliste. Arriver au col (pour moi tout seul!!) sous le soleil mais par -5C° a été un moment spécial. Par contre, la descente par -5C° a été elle aussi "spéciale" 📢

C'est effectivement un parcours similaire à la Marmotte, mythique et à ne pas sous-estimer. Tu passeras sans aucun doute le Glandon la fleure au fusil. Le tout sera de ne jamais se mettre dans le rouge, car la transition par la vallée de la Maurienne est usante. Le Télégraphe est très roulant mais continue à te fatiguer lentement et sûrement. Arrive alors Valloire où, à mon avis, il importe de faire une belle pause ravito car le pire est à venir. Si les premières pentes du Galibier ne sont pas difficiles, le Plan Lachat sonne le début des vrais hostilités. A ce stade du parcours, la fatigue et l'altitude commencent à se faire sentir. Les pentes qui suivent le Plan Lachat sont terribles et interminables. Du sommet du Galibier au Bourg d'Oisan, les difficultés ne sont pas non plus négligeables : 1/ Descente rapide et dangereuse jusqu'au Lautaret. 2/ Fortes rafales de vent contraire dès La Grave qui t'obligent à pédaler en permanence. 3/ Prenez de l'éclairage : la traversée de certains tunnels mal éclairés est périlleuse. A Bourg d'Oisan, une pause Banana Split s'impose avant de mettre le dernier coup pour gravir l'Alpe. Il faut y aller au moral, mais le jeu en vaut la chandelle. Quant aux braquets, je vais peut-être me faire allumer mais 34/29 me paraît un peu court en sachant que tu as mis 2h20 pour le Ventoux...La répétition des difficultés use et fatigue. Le sommet du Galibier n'a rien à envier aux pentes les plus fortes du Ventoux, au contraire. Un 30/29 me parait plus approprié. Tu pourras tourner les jambes et mieux doser ton efforts dans les portions les plus dures du Galibier et de l'Alpe et surtout, te garder de la marge. Mais cela n'engage que moi. Dans l'intervalle, je te souhaite de prendre un maximum de plaisir, de pouvoir faire cette sortie un jour de grand beau temps, et d'arriver au bout de ton objectif. Bonne route!! JL

Bonjour, j'ai répondu. Voir également ce lien-ci (bus postaux en Suisse) : http://www.carpostal.ch/pag-startseite/pag-kundenservice/pag-postauto-in-ihrer-naehe/pag-wallis/pag-velo-wallis.htm Bonne route

Bonjour, voir ceci : http://www.velo101.com/forum/voirsujet/cadre-inox--13548 Bonne route

Non, Philippe, Michel Seydur ne faisait pas de faute d'orthographe : "Je vous salut"

Oups !! Autant pour moi, tu as raison.

Le SAV est intervenu en garantie sur ces leviers. Je ne saurais te dire ce qu'il en est aujourd'hui....

Pour le manettes 2009 ou 2010 avec mécanisme modifié, il faut regarder à l'intérieur la couleur d'une poulie ou je ne sais plus quoi. La poulie doit être blanche. La poulie noire est la version non-corrigée, donc merdique : le câble ne coulissait pas correctement dessus, allant même jusqu'à "dérailler"

Si choucroute bien garnie de saucisses - ceki serait dans la norme - elles-mêmes tartinées de moutarde, la reprise a dû être un poil laborieuse, Gilles ? Ils ont profité de l'effet "choucroute" : rouler plein gaz...🤐

Le prix s'oublie, mais la qualité reste...