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Tout ce qui a été posté par Jean GUY
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Oui, d'ailleurs, cette fin de carrière à rallonge et l'énergie qu'il déploie en vain sur nombre de courses de ce niveau le rend encore plus sympathique. A mes yeux en tout cas.
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A priori, ça ne donne rien si tu utilises toujours les bons patins, et que tu les maintiens à peu près propres. J'ai deux paires de Zipp à pneu depuis 4 ans au moins, dont une avec au moins 40 000 km. J'ai eu beaucoup de soucis de roulements, mais les flancs des jantes sont toujours nickel.
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Je ne vois toujours pas ce que m'apporte la vidéo (que j'ai fait l'effort de regarder), alors que j'ai testé moi-même les deux systèmes (sur le sec et sous la pluie). Cela ne change rien à mes arguments qui sont : excès de poids, frottements, moins d'aéro et entretien plus complexe. Si en plus tu me dis qu'avec des pneus de 24 (au lieu des 28 qui me semblent personnellement plus appropriés pour gérer le puissance de freinage au sol et l'adhérence) tu es obligé de faire attention sur le mouillé, je ne vois vraiment pas l'avantage de ce type de freinage. Quant aux innovations, je roule quand même avec un groupe Di2, des roues carbone, un GPS et un capteur de puissance. Les routiers ne sont pas réfractaires à l'innovation, loin de là, mais encore faut-il que celle-ci soit utile. Mais comme tu dis, personne ne m'oblige à adopter ce type de freinage. Néanmoins, je te renvoie à l'objet du post qui concernait le fait que les disques pouvaient "être imposés" ou non de force par les constructeurs, en ne proposant plus que ce type de technologie sur leurs vélos. Bon dimanche.
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C'est sur que sur les surfaces humides faut être prudent, comme avec les freins patins d'ailleurs C'est quoi l'intérêt alors?
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Le groupe mécanique devrait être dispo cet automne. Par contre, je ne sais pas encore dans quelle configuration, ni si les pièces détachées le seront aussi. Concernant cette combinaison 12-28, elle semble en effet très intéressante en termes d'étagement.
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Idem pour les journalistes, on se limite à la possession de la carte de presse ? Normalement oui :) Ou alors on n'appelle pas ça un journaliste, mais un "rédacteur". Ou dans ton cas, un "chef d'entreprise dont l'activité est la publication d'articles" Même si le contexte actuel fait que les choses sont un peu plus complexes que cela.
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Il ne t'échappera pas, j'espère, que les responsables des groupes de presse ne sont pas des philanthropes, qu'ils viennent pour la plupart d'autres milieux que celui de la presse. Voir la tendance dans les principaux groupes, où ça dégraisse plutôt qu'autre chose. Et tant pis pour les moyens mis à disposition des rédactions pour fonctionner. Ce genre d'investisseur ne vise que la rentrée à court terme. Cela passe par des économies à tous les étages, et tout de suite. Donc, l'investissement avec une vue à moyen terme, tu peux oublier. Cela n'arrivera pas ou plus en France, sauf pour les toutes petites rédactions comme des sites Internet professionnels, mais qui de toute façon n'auront jamais les moyens de rivaliser avec Tour. Parce que Tour se vend à plusieurs dizaines de milliers d'exemplaire (Allemagne, autre marché...), et que les salariés sont une dizaine au moins.
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Le problème dans ce que tu écris, c'est que 100 paires de roues testées autrement que sur banc de mesure, je n'en ai jamais vues. Tout simplement parce que ce n'est pas possible. Autant je peux imaginer un type recevoir les 100 paires de roues, les déballer, les passer une à une sur un banc de mesure, et ensuite les remballer pour les renvoyer, autant il est absolument impossible que ce même gars (ou un autre) aille rouler avec les 100 paires de roues à la suite. Pour le reste, à l'instar de ce qu'écrit Nicolas au-dessus, vous êtes complètement éloignés des réalités simplement économiques d'un boulot de ce type. Quand je lis qu'il suffirait de trouver un petit col (la plupart des rédactions sont à Paris), et saisir la bonne fenêtre météo, c'est malheureusement impossible. C'est un peu comme si vous demandiez à un facteur de distribuer seulement le courrier un jour de beau temps, et en plus d'exiger de lui qu'il fasse l'ensemble de sa tournée et de toutes celles qu'il a en retard le même jour. Un magazine ou un site Internet ont des impératifs économiques. Sortir à l'heure, et le nombre de pages prévues et commandées chez le marchand de papier et l'imprimeur. Une rédaction n'a pas un budget extensible et ne peut envoyer chaque mois un type dans le sud de la France plusieurs jours en attendant qu'il fasse beau et que le temps se calme. Quant aux ressentis, il ne seront jamais totalement précis, parce que nous sommes des humains, et que les gens à qui se destinent ces vélos sont aussi des humains. La même chose existe dans le milieu de l'automobile. Il y a certes des données objectives concernant les performances et la puissance du moteur, mais il y a aussi toutes les données subjectives (tenue de route, confort, feeling, etc.). Rien ne t'interdit cependant de choisir un vélo simplement parce que tu le trouves joli, parce qu'il t'est conseillé par son vélociste, ou encore par des forumeurs de Vélo 101, dont tu ne sais rien pour la plupart d'entre eux. Bref, rien ne t'oblige à lire des essais que tu trouves incomplets ou inutile. Chacun son truc.
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Argument totalement contradictoire. Tu dis d'un côté que se référer aux sensations c'est bâcler le boulot. Et tu dis d'un autre que de comparer 100 paires de roues sur un banc de mesure, ça ne tient pas la route.
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Les journées sans vent, ça n'existe pas ! Si je regarde les statistiques météo en région parisienne par exemple, il y a moins de 10 jours par an avec un vent moyen de moins de 3 km/h (et rafales à 6 km/h). C'est donc suffisant pour perturber des tests avec un capteur à différentes périodes de l'année. Et surtout, même avec un SRM, qui a une précision revendiquée de 1% (ça fait +/- 3 watts à 300 watts, soit une fourchette de 6 watts), ces tests sont vraiment casse-gueules. A cela tu rajoutes le fait que pour s'exprimer au mieux, de manière fine, un coureur doit avoir un vélo réglé au mm près. Et ça, avec des vélos d'essai, c'est impossible. Tu peux encore comparer deux vélos de la même marque, avec la même géométrie et les mêmes composants de position. Ok. Mais deux vélos différents, à des périodes différentes, suivant la méthode du SRM, ce serait vraiment malhonnête. Par contre, contrairement à la majorité des lecteurs du forum et des lecteurs lambda, il ne faut pas oublier le recul dont bénéficie celui dont c'est le métier. Quand quelqu'un teste 20 vélos par an, et ce depuis plusieurs années, ça fait quand même pas mal de références, qu'il essaie ensuite de retranscrire par des mots. La méthode n'est certes pas parfaite, mais c'est la seule de valable.
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Déjà, les poids sont à vérifier. Certaines marques sont habituellement très optimistes. Ensuite, à voir celles qui nécessitent en plus un fonds de jante. Dans ce cas tu peux rajouter 50 g par paire.
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De toute façon, il appartient aux consommateurs de faire le bon choix, et rien qu'à eux. Les constructeurs n'imposeront rien du tout. Ils peuvent aussi prendre un bouillon. Il existe suffisamment de marques et de modèles de vélos pour faire un choix réfléchi. Que Spe ou Cannondale équipe leur gamme "course" de vélo à disque (alors que c'est interdit en compétition), c'est une hérésie, tout simplement parce que le gars qui achète ce type de vélo veut pouvoir tout faire avec (entraînement, balade, cyclo, et compète). Que ces mêmes marques, et d'autres, proposent des modèles typés cyclo (confort, braquet, géométrie, etc.), avec des disques, c'est beaucoup plus logique. Car ça correspond à la pratique du gars qui roule une à deux fois par semaine, qui fait des randos, qui a besoin de "sécurité" car il a peu d'expérience dans certains cas. M'enfin, pour la compète, c'est un peu comme si on voulait mettre l'ABS et l'ESP à Hamilton ou à Ogier :) Le disque c'est plus lourd, ça frotte, ça demande un entretien plus compliqué, ça rajoute des durites sur toute la longueur du vélo (alors que dans le même temps on s'extasie devant le Sram eTap parce qu'il n'a plus de fil, cherchez l'erreur !), ça demande des pneus plus gros et plus costauds, des roues plus solides au niveau du rayonnage et des axes... Bref, après essai et comparaison, je reste persuadé que vélo performant et vélo à disque ne vont pas ensemble. Mais encore une fois, personne n'est obligé de quoi que ce soit. Quand un vélociste fait le choix de ne pas référencer de vélo à disque dans sa vitrine (j'en connais, eh bien il ne vend pas de vélo à disque. Et personne ne lui réclame (à part VTT bien sûr).
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En fait, après y avoir passé l'après-midi, je viens de trouver ! Un dossier "trashes", avec tous mes anciens fichiers... Donc une fois ce dossier vidé, j'ai regagné près de 40 mo. Cela devrait aller maintenant. Merci de ton aide :)
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Je parle bien de la mémoire interne. J'ai connecté le 520 à l'ordi et je suis allé dans "activités". Il n'y a aucun fichier .fit apparent. Il semble que ceux ci disparaissent dès que que le 520 est connecté à Garmin Express (et les fichiers transférés sur Garmin Connect et Strava). Ainsi, je n'ai plus que 5 mo de disponibles sur 105 mo. Cela veut-il dire que ces fichiers .fit sont cachés? Je ne comprends pas.
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Peut-être cela a-t-il été traité dans le sujet sur le Edge 520, mais il y a 11 pages, et ça part un peu dans tous les sens... Depuis hier, mon 520 affiche "mémoire saturée". Pourtant, chaque activité disparait du disque dur après être transférée sur Garmin Express. J'ai fait trois ou quatre reset, et retiré le seul fichiers imposant du disque dur, c'est à dire le fond de carte mondial. Ainsi, j'ai pu faire la mise à jour logiciel, jusque là impossible, et remettre le fond de carte. Mais je viens de vérifier à nouveau : le disque dur est toujours plein à 95%. Je crains d'avoir encore le même souci lors de mes prochaines sorties. Quelqu'un a une idée? Merci
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Bon courage Daniel !
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Dopage dans les rangs amateurs!
Jean GUY a répondu à un(e) sujet de Charles CASTELLI dans Discussions Route
Que tu te charges la gueule pour aller au boulot, c'est ton problème. Le problème avec ceux qui ont un raisonnement comme le tien, c'est qu'ils sont aussi les premiers à dégueuler sur les sportifs qui se dopent, et notamment les pros. Pourtant, si on suit ton raisonnement, un cycliste pro qui prend un adjuvant pour tenir le coup alors qu'il est en état de faiblesse (rhume, angine ou fatigue), il peut bien faire comme toi, non? Puisque c'est son métier... Pour t'éviter les raccourcis faciles, je ne me mets jamais en arrêt de travail, et d'ailleurs je n'aurais pas intérêt à le faire puisque je suis à mon compte. Et quand j'ai une maladie saisonnière, eh bien je laisse la nature faire les choses et mon corps se défendre tout seul. Ca marche aussi bien, et aucun risque d'être déclaré positif à la cyclo du coin ! -
Là tu exagères un peu. Dans tous leurs travaux, il y a une distinction par rapport à la longueur de la montée. De plus, le poids ne rentre pas en ligne de compte, puisque c'est un poids étalon. Le watt près n'a pas vraiment d'importance quand on parle de 442 watts sur une montée, et que le seuil de "suspicion" a été établi à 410 watts. Il est évident que si les calculs donnent 409 ou 411 watts, le lecteur est assez intelligent pour ne pas se faire une opinion définitive.
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Merci à tous les deux pour ces argumentations détaillées. Une précision tout de même concernant la limite "arbitraire" de 410 watts. Celle-ci a été déterminée (et affinée), grâce aux nombreux coureurs de haut niveau testés et entraînés par AV à un moment ou à un autre de leur carrière, et dont il a le suivi (Vo2 en labo, tests de terrain, fichiers SRM etc.). Pour ne citer que les plus célèbres : Virenque, Hervé, Brochard, Zuelle, Peraud, Bassons... En plus des données fournies par certains dopés repentis (Hamilton, Landis, LA).
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Tu n'as pas tort je pense. Car il y a encore une semaine, AV croyait encore fortement à Bardet. Donc j'imagine que cela doit bien l'embêter de voir ce genre de performance. Néanmoins, il est amusant de voir que dans ton cas tu trouves qu'il ne tape pas assez fort, alors que sur d'autres supports (facebook par exemple), des voix se lèvent pour lui reprocher même d'avoir écrit cet article, où il se pose légitimement la question.
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Je ne sais pas si tu as bien pris le temps de lire et de comprendre la méthodologie de Porteleau. Il utilise la dénivellation, le temps de montée, puis il entre dans le calcul des paramètres "estimés" qui correspondent aux coef. de frottement, au coef. de pénétration dans l'air, et à la force du vent. Pour valider ces "estimations", il dispose de fichiers SRM de quelques coureurs qui participent à la course, et dont il compare les données réelles avec les données calculées (ce qui permet de vérifier les données estimées comme le vent le jour J). C'est donc différent de l'estimation Strava, qui ne prend en compte que ton poids et ton temps de montée, et pas les paramètres extérieurs. C'est vrai par contre que certaines performances supersoniques, quand elles sont réalisées le même jour par un grand nombre de coureurs (par ex. Verbier 2009) peuvent laisser penser qu'il y a un truc bizarre dans le calcul (un fort vent de dos non pris en compte?). Mais globalement, quand on nous annonce des perfs à 440 watts, ça commence à parler quand même.
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Ferrari, Fuentes, Human Plasma... Le nombre de spécialistes du dopage était suffisant pour que les champions de l'époque ait tous leur méthode. Mais on peut voir les choses autrement concernant la prise d'EPO de LA avant et après son cancer. Jusqu'en 97, pas de limite d'hématocrite. Donc c'était open bar, avec Riis à 60 % en 96 ou Pantani à + de 60 dans la même période. Qui sait à combien était Ulrich à ce moment-là? Puis la limite à 50, puis l'affaire Festina, puis la détection de l'EPO, et donc le recours aux micro-doses. Et LA prend le dessus sportivement parlant. Donc, toi tu penses qu'il se dopait mieux que les chaudières précités, et moi je pense que des règles plus strictes (et donc un dopage plus faible pour échapper aux contrôles) lui ont moins posé de problèmes que ceux qui avaient déjà goûté au No Limit. J'en conclue que c'était le meilleur de sa génération, à armes égales. Mais on est pas obligés d'être d'accord. D'ailleurs, la question concernant les radars (pour revenir au sujet), serait plutôt de savoir comment se situe Romain Bardet, par rapport à sa perf du Betex.
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L'EPO est arrivé quelques années avant que Jaskula n'explose. Il s'est peut-être juste remis à niveau. Cela dit, comme beaucoup de coureurs de l'Est à ce moment-là, il a joué quand même le météore. Alors surdosage ou Bella Vita sur les rives du Lac de Garde, je ne sais pas...
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Oui, de très mauvaise foi cet article, puisqu'il considère que certains coureurs sont suspects pour avoir fréquenté après une équipe sulfureuse, mais pas d'autres. Dans ce cas, ça ne marche pas pour Nardello, qui est passé chez T-Mobile (Telekom) de 2003 à 2006, soit en même temps que des "grands" Ulrich et Vinokourov. Puis j'avoue aussi que le fait qu'il ait gagné une étape du Tour en 98, qu'il ait été classé parmi les 10 premiers du Tour aussi bien en 98 qu'en 99 (98 c'était open bar quand même), ne me fait pas croire qu'il ait été différent des autres. Mais je me trompe peut-être. Cela dit, je ne fais pas de distinction particulière. Ce que je voulais juste dire, c'est qu'il n'y avait pas le diable LA et tous les autres.
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