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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Les patins de marche, c'est bien quand tu n'as à marcher que sur des surfaces lisses, mais si c'est pas le cas, la cale rentre trop souvent en contact avec le sol quand même. Quand ta pratique t'oblige à marcher souvent sur terrain irrégulier, des cales noyées dans la semelle sont vraiment indispensables. Autant je pouvais me passer de chaussures et pédales de VTT quand j'étais grenoblois, autant elles me facilitent la vie de cycliste en Belgique, particulièrement à Bruxelles et environs. Les routes et les bas-côtés sont complètement différents…
  2. Je ne fais que du vélo de route, j'ai eu longtemps des pédales et chaussures routes (Time Equipe pro) et maintenant, après être passé par un modèle cyclo (la Time Allroad mentionnée plus haut), j'ai des pédales et chaussures VTT (Time Atac carbone, chaussures Specialized modèle Sport). Pourquoi? parce que, vivant en plein cœur d'une ville, avec des itinéraires parsemés de feux de circulation et d'obstacles en tout genre, je dois mettre très souvent pied à terre, bien plus souvent que le cycliste vivant loin des grands centres citadins. Presqu'autant qu'un VTTiste. Et j'en avais marre de risquer la chute à chaque fois que je dois faire cinq pas sur un sol inégal à côté de mon vélo. C'est parfaitement exact qu'une semelle VTT est en général moins rigide (les derniers modèles en carbone se rattrapent de ce côté, semble-t-il) et que la surface de contact (l'appui) sur une pédale VTT est nettement moindre. Mais la différence de rendement est imperceptible avec mes anciennes pédales route à mon très modeste niveau de pratique (cyclotourisme, cyclosport, pas de compétition). Les plus l'emportent sur les moins, dans mon cas.
  3. Je n'ai pas dit le contraire. L'orthographe de l'espagnol est un régal à ce niveau. Il y a quand même des règles à apprendre pour l'écrire correctement. Par exemple, comprendre pourquoi faut placer un «u» entre le g et le «e» «guerra» mais pas entre le «g» et le «a» ou le «o» de «gallego», pour avoir un son semblable. C'est pas bien compliqué à comprendre, mais même pour ça il y en a qui ne se donneront pas cette peine. Et c'est bien là le problème…
  4. C'est bien beau de suivre le mouvement, mais prendre un peu de recul avant de le faire ne fait pas toujours de mal non plus… Si j'avais voulu suivre le mouvement, faire comme les copains, je serai en train de fumer comme un pompier aujourd'hui, comme ceux qui m'entouraient il y a vingt ans. On a un cerveau, c'est pour s'en servir. Pour ce qui est de l'écrit, entre l'usage de la rue et celui fixé par support écrit (ou informatique aujourd'hui…), il y a une marge. Il y en a toujours eu. Il se passe des années, parfois des siècles, avant qu'un usage devienne une règle. C'est le temps qui décidera. C'est lui qui montrera si le SMS (par exemple) est un vrai mouvement de fond ou simplement une mode qui apparaîtra ridicule dans dix ou vingt ans. Certaines orthographes du phonème o correspondent encore aujourd'hui à des prononciations différentes («sol» et «saule» par exemple). D'autres ont disparu, c'est vrai, et il faudrait adapter l'orthographe. De même que la grammaire ou la syntaxe. Bien d'accord que le Grevisse ou le Bled sont des bouquins ridiculement longs. Mais ça ne se fait pas en un jour ni en une réforme. Si quelqu'un veut changer l'orthographe actuelle, qu'il propose un système dont les règles sont claires et reproductibles, que quelqu'un de France qui nous relit cent ans plus tard, ou quelqu'un d'aujourd'hui mais qui vient d'arriver du Japon et apprend le français, sache à quoi s'en tenir. Le SMS c'est pas encore ça, cé (c? sé?) encor (ancor? enkor?) ninport koi au petit bonheur la chance. L'espagnol est une langue phonétique, dis-tu, mais elle a ses règles d'écritures, tout aussi codifiées que les autres, et sa grammaire ne s'apprend pas en un jour non plus. Pour qui veut s'y plonger, elle contient d'ailleurs pas mal de difficultés… Le néerlandais aussi se veut phonétique, donc du même genre, et pourtant chaque année il y a une dictée façon Pivot aux Pays-Bas et en Flandre…
  5. L'orthographe et la grammaire actuelle ne sont pas tellement différentes de celles d'il y a un siècle. Les textes de l'époque sont d'ailleurs parfaitement lisibles aujourd'hui. L'usage dont tu parles doit encore se généraliser et surtout se pérenniser avant qu'on en fixe les règles et qu'on finisse par les imposer à tout le monde. Qui te dit que dans dix ans le SMS existera encore ?
  6. mais les choses changent, évoluent, en bien ou en mal on s'en tape, l'essentiel est d'aller de l'avant. Si devant c'est un gouffre, je ne vois pas trop l'intérêt d'aller de l'avant, même s'il y en a plein qui le font. Qui a dit « moutons de Panurge » ?
  7. Avec des pneus Continental 4 Seasons de section 25, je gonfle à 6 bars au lieu de 7 sur un tel parcours (je pèse 61 kg). Mieux vaut ne pas trop baisser la pression des pneus, vu l'état des routes en général : il y a plein de saletés qui trainent sur ces routes (souvent en piteux état) et donc à trop dégonfler on risque la crevaison. Et finalement les pavés ne sont qu'un petite partie du parcours.
  8. Carlos Sastre, 2ème de l'étape en question, n'a jamais rien avoué. D'ailleurs, avec LeMond, il est pour l'instant le seul vainqueur du Tour après-guerre qui n'ait jamais été impliqué, de près ou de loin, dans une affaire de dopage (ce qui en soit ne veut pas dire grand'chose en soi, d'ailleurs).
  9. Des médicaments administrés à des gens en pleine santé, ça donne quoi? 🙄 Pour ton info, Boogerd a été littéralement contraint d'avouer suite à une avalanche d'aveux concordants sur le dopage dans l'équipe Rabobank. http://www.eurosport.fr/cyclisme/le-dopage-etait-de-mise-chez-rabobank-entre-1996-et-2012_sto3581254/story.shtml Si tu avais été à sa place, tu aurais probablement fait pareil de ton côté : personne n'aurait envie d'être aussi ridicule que Virenque lorsqu'il niait l'évidence, du temps de son fameux "à l'insu de son plein gré"…
  10. Ce n'est pas contradictoire, si on suit sa logique. Il se « préparait » (comme ses adversaires) avant le Tour, mais pendant le Tour il ne prenait rien de particulier, le dopage était déjà effectué. Ce qui est triste, c'est qu'il appelle ça « courir le Tour à l'eau claire »… Pour ceux qui comprennent le néerlandais, notamment parmi les Belges de Vélo101, on trouve un résumé et un extrait de la « confession » à cette adresse : http://www.standaard.be/artikel/detail.aspx?artikelid=DMF20130306_003
  11. Dans l'interview Boogerd dit précisément : « ik heb vaak genoeg de Tour schoon gereden », ce qu'on pourrait traduire par « le plus souvent, j'ai couru le Tour à l'eau claire ». Mais il explique qu'il y avait auparavant des phases de « préparation » avec force doping.
  12. Tâche d'utilité publique : je renseigne sur ton mode habituel de trolling. Enfin, je croyais. Éric en savait suffisamment sur toi, en fait. Pour le triple, fais à ta guise. Typique du troll : attiré seulement par les sujets à controverse. @+
  13. Pas génial pour manier les leviers de changement de vitesses, je suppose… 😬 Ça me rappelle qu'il y a longtemps, j'avais vu dans la revue du Cycle un modèle de gants à trois doigts : l'annulaire et l'auriculaire ensemble dans un doigt du gant, l'index et le majeur dans un autre, et bien sûr le pouce tout seul dans le dernier. Quand j'y repense, ça me semble un bon compromis entre moufle et gant ordinaire : les doigts sont regroupés entre eux un minimum pour moins perdre de chaleur, mais il reste possible de manier correctement les leviers de vitesse. Mais je n'en ai jamais vu de ce type chez mes revendeurs favoris. Devrais essayer les sites webs, pour voir…
  14. Pour les gants de ski, j'ai déjà essayé. Comme les sous-gants, ça marche pô chez moi, j'ai toujours cette douleur lancinante au bout des doigts et je dois attendre qu'elle passe toute seule. Par contre, la pommade chauffante, j'ai pas encore essayé, c'est peut-être une idée.
  15. Éric, ça fait quelques temps que le « p'tit Martin » sévit sur le forum, mais jusqu'à présent il s'est surtout mieux senti dans la peau du troll, spécialement sur les sujets concernant le casque. Ce sujet en est d'ailleurs encore un exemple… Ne pas oublier la devise du surfeur : « don't feed the troll » ! ;-)
  16. Sous-gants ou non, à vélo j'ai toujours froid aux doigts quand il fait froid (plus rarement aux pieds). Et plus il fait froid, plus c'est long à passer. Parfois la douleur dure toute la sortie (2h ou plus). Mais le pire, c'est une fois rentré au chaud, le retour du sang dans les doigts…
  17. Ne plus jouer au troll de service ?
  18. Souvent, ces trous, on doit se les farcir quand même à cause de la circulation. Donc faut regarder loin devant soi pour anticiper ce genre d'obstacles et ralentir suffisamment pour les passer sans trop de secousses. Autrement dit : rouler au pas. Et mon vélo est un acier sur mesure, prévu justement pour ces conditions…
  19. Et de se faire rouler dessus… Pour info, la circulation routière en Belgique est l'une des plus denses d'Europe, si ce n'est pas la plus dense. Encore un exemple pour la route (si j'ose dire), et cette fois-ci… en côte! http://www.youtube.com/watch?feature=endscreen&NR=1&v=G-TeJg0dqWs
  20. Le confort et le rendement, quel que soit le pneu, ça n'a plus aucun sens quand on roule en permanence sur des routes défoncées. D'ailleurs pour ressentir vraiment une différence de confort dans ces conditions, il faut jouer sur la section. Et ne pas lésiner. Genre passer du 23 au 28, ou du vélo de route au VTT… Tiens, essaie de rouler sur les routes genre belge, et on en reparle. Pour donner une idée de notre quotidien de cycliste (vu de voiture pour ne pas vous faire peur :-): Portez une attention particulière à la droite de la chaussée, là où doivent rouler les cyclistes… 😬 Conditions idéales pour tester la résistance et la durabilité des pneus, vous ne trouvez pas ?
  21. +1. Et le 4 Seasons est encore plus durable que le GP 4000, ce qui n'est pas peu dire. De toutes façons, le rendement, sur des routes de m…, il ne compte plus vraiment. Par ailleurs, si on doit rouler en permanence dans ces conditions je conseille plutôt de mettre des 25 (et pourquoi pas des 28 si la route est carrément un champ de ruines) que des 20 ou 23.
  22. +1. La majorité des véhicules qui me frôlent, ces sont des utilitaires ou des 4*4. Et une fois un camion (là, à cause du déplacement d'air je me suis retrouvé à rouler sur l'herbe du bas-côté… mais ça aurait pu être tellement pire…) À chaque fois, il s'agit de conducteurs stressés/pressés, qui considèrent en plus, parce que ça les arrange dans leur boulot, que la route est à eux et qu'ils en font ce qu'ils veulent.
  23. À mon avis, tu ne trouveras pas beaucoup de gens qui répondront 1) 😃 Moi en tout cas c'est 2), clairement. Je hais le froid mais je vais rouler quand même tant que les routes sont praticables. Mais à la moindre trace de neige ou de verglas, le vélo reste à la maison. Cet hiver, il l'est donc resté longtemps 😕
  24. À Bruxelles c'est tout blanc ce matin, comme prévu!
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