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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Vainqueur au sprint d'un groupe de haute classe : dans l'ordre d'arrivée, Sep Vanmarcke (battu d'un quart de roue), Jasper Stuyven, Jens Keukeleire et Nathan Van Hooydonck (neveu d'Edwig). Une des premières réactions des commentateurs flamands : «espérons que chez AG2R on lui fera un peu plus confiance»…
  2. Chaque ville conséquente a son secteur maudit. À Grenoble, même si on me payait grassement je n'irais jamais vivre au Village Olympique, où j'étais souvent allé faire du judo en compétition. Côté vélo, à Bruxelles le nombre de cyclistes a véritablement explosé ces derniers temps. Tout en étant encore très loin de villes vraiment accueillantes pour le cycliste comme Gand, hélas. Mais quand je compare à la situation à mon arrivée ici en 2000… Le chemin à parcourir est encore immense, la vidéo le montre bien — on ne sort pas rapidement d'une gabegie pro-automobile vieille d'un demi-siècle — mais ça semble parti dans la bonne direction.
  3. Le même genre de relation difficile qu'entre Paris et le reste de la France, quoi. Je m'y sens bien à Bruxelles moi, à tout point de vue… sauf le point de vue cycliste. Mais si je fais un bilan, les raisons d'y rester l'emportent. 😆
  4. Bruxelles, ville cyclable ? Pas vraiment. Bien que depuis que je suis arrivé dans cette ville pour la première fois il y a 17 ans, il y ait eu beaucoup de progrès : on y trouve bien plus d'infrastructures, pistes cyclables et signalisation pour cyclistes, notamment. Le problème est que l'automobiliste bruxellois moyen n'a pas encore intégré la variable «cycliste» dans ses données… En témoigne cette vidéo dénichée dans le journal flamand «De Standaard». On y voit une jeune journaliste scientifique effectuer son trajet domicile-travail à vélo entre Leuven (Louvain) à 15 km à l'est de Bruxelles, et Groot-Bijgaarden, juste à l'ouest. La vidéo est en néerlandais, mais les images sont suffisamment éloquentes comme ça… La première partie du trajet (jusqu'à 1'30'' dans la vidéo) suit «l'autoroute cycliste» Louvain-Bruxelles et ne présente aucun problème. Mais cette partie favorable s'arrête à l'est de Bruxelles (Evere) et à partir de là, c'est «la jungle», comme elle le dit très bien et comme vous pourrez en juger vous-mêmes. http://bit.ly/2rKwsJz
  5. L'onglée est tellement habituel chez moi en hiver que je n'y fais presque plus attention… Bon, stop, ne parlons pas de la mauvaise saison alors qu'on est au début de l'été ! 😄 Aujourd'hui, 3 h de sortie à un rythme de balade par des températures moins chaudes (25° maxi) que ces jours derniers. Bonnes sensations, mais vu que je n'ai à aucun moment forcé la machine, sauf dans un mur pavé local (Moskesstraat), ce n'est pas forcément surprenant. Ce week-end, le seul vélo autorisé sera en compagnie de ma fille de 8 ans. Prochaine longue sortie prévue lundi, journée libre, et je vais peut-être la faire en Ardenne. Ça dépendra de la météo.
  6. Ceci est la prevue que tu roules toujours en sous-regime! Pas toujours, notamment en été. Dans mes montagnes grenobloises notamment, il m'arrive d'être à plein régime dans les ascensions de cols, et certains de ces cols sont très exposés au soleil (exemple : col du Coq, col du Barioz), la plupart étant à moins de 1500 m d'altitude. Et pourtant la chaleur ne m'y a que rarement gêné. J'ai une complexion qui m'avantage dans ces circonstances, voilà tout. J'ai très souvent remarqué, dans la vie de tous les jours, que pendant que les autres (surtout en Belgique) se baladent en tee-shirt, moi j'ai encore un pull-over. Ou que je suis un des rares à sortir dans les rues de Bruxelles par grosse chaleur, pendant que la plupart des gens restent calfeutrés à l'ombre chez eux. S'agissant du BRA, l'édition que j'ai bouclée (1997) s'était déroulée sous un grand soleil et une forte chaleur, mais je n'étais pas particulièrement incommodé par cette dernière. Par contre, j'ai la peau sensible au soleil… Ce qui me fait vous conseiller de vous méfier des coups de soleil, très sournois en montagne. Je n'y avais pas pris garde pendant ce BRA et j'avais fini rouge tomate ! Donc si le soleil donne, ne lésinez pas sur la crème solaire !
  7. La chaleur ne m'a jamais vraiment gêné moi, sauf s'il s'agit d'une brutale hausse de température par rapport à la veille. Une fois l'habitude prise, la chaleur me donne des ailes au contraire. J'y suis toujours bien plus performant que par temps froid. Autrement dit, le temps actuel en Belgique me convient très bien ! 😄 Dommage que je n'aie pas l'occasion de sortir plus souvent en ce moment. Bon, je ne me souviens pas ceci dit avoir eu l'occasion de rouler par températures vraiment très élevées, soit plus de 40° à l'ombre. Mais j'ai assez souvent roulé et grimpé par 35°-40° à Grenoble, région en cuvette où le vent souffle peu, ce qui accroit l'effet de la chaleur paraît-il. Moi qui hais le vent, je lui disais plutôt merci de ne pas souffler !
  8. 54 bornes à l'est et au sud de Bruxelles en fin d'après-midi, en passant par quelques bosses de la vallée de l'Ijse et de la forêt de Soignes. Temps très chaud, j'adore ! Sans doute une des raisons pour lesquelles que je me sentais des ailes ! 😄
  9. T'as rien perdu : hier à Bruxelles il faisait presque aussi chaud qu'à Malaucène, et ils prévoient encore 31° à l'ombre pour aujourd'hui !
  10. Galère peut-être due à la chaleur ? Si c'est ça, petit à petit l'organisme va s'y s'habituer.
  11. Il y a des boissons énergétiques au goût salé dans le commerce, qu'on peut utiliser dès qu'on arrive à saturation du sucré. L'Hydrixir salé d'Overstims par exemple (parfum soupe aux tomates). On trouve également des barres et gels au goût salé, en complément ou en alternative à ces boissons. Ça permet de casser cette saturation du sucré tout en poursuivant l'apport d'énergie, alors qu'en passant à l'eau claire on risque l'hypoglycémie à terme. Et par rapport à un sandwich au jambon ou à la saucisse, c'est probablement plus facile à digérer sur un vélo.
  12. Idem, ou bien du «Spordej» de la même marque quand je suis «à la bourre». Moins agréable à manger (avis personnel), mais c'est prêt en un instant et tu peux sortir presque tout de suite après.
  13. Oui, mais je croyais qu'il ne fallait pas nécessairement passer par ce fichier. Je le ferai maintenant, promis ! Je m'en tiens à 7000. Les prochaines sorties devraient être plus intenses (séjour en montagne, entre autres) mais moins longues a priori. Je n'ai pas de «plus de 200» prévu pour le reste de l'année, par exemple.
  14. Seuil des 4000 km dépassé aujourd'hui ! 😄 Toujours largement dans les temps pour l'objectif des 7000 km de fin d'année. À ce rythme, peut-être que même les 8000 bornes seront possibles.
  15. 40 km environ aujourd'hui pour une sortie inhabituelle : j'avais rendez-vous avec une amie pour faire une balade au rythme cool (elle a un vélo de ville) sur tout le territoire de la commune de Dilbeek, et ce à partir de Grand-Bigard, où elle habite. Problème, c'est exactement de l'autre côté de Bruxelles par rapport à mon domicile. N'écoutant que mon courage, j'ai traversé la ville «en plein dedans», suis arrivé à l'heure et l'endroit prévu, nous avons bouclé la balade sans problème… et je suis rentré chez moi à nouveau à travers Bruxelles. Ces deux trajets à travers Bruxelles n'étaient heureusement pas si terribles, le trafic était assez clairsemé. Avec le soleil et la chaleur qu'il faisait (34° indiqués au thermomètre extérieur d'une pharmacie à 17 h !), les Bruxellois avait dû migrer en masse vers la côte maritime ou l'Ardenne ! La balade de Dilbeek suivait la fietsroute Dilbeek, 29 km d'un trajet assez sympa et vallonné par endroits. Flyer de présentation ci-dessous (en néerlandais, mais quelques belles photos) : http://toerismedilbeek.be/wp-content/uploads/2014/03/Folder-Fietsroute-Dilbeek1.pdf
  16. Ça ne lui ferait probablement pas reprendre du poids s'il en consomme raisonnablement. À notre époque, l'ennemi mortel de la sveltesse — si j'en juge par les gens qui m'entourent — ce sont surtout les sucreries. Ça se mange (ou boit) sans faim (ou sans soif), donc c'est propice au grignotage… et mine de rien ça engendre une dépendance. Résultats toujours désastreux, sur l'apparence certes, mais aussi sur la santé : déséquilibre alimentaire, risque accru de diabète…
  17. Il n'y a pas de question indiscrète. Seulement des réponses. 😃
  18. On pense la même chose de moi : « ce type-là c'est un anorexique ou quoi? ». Ou alors on me croit gravement malade d'on ne sait quoi. On ne me le dit pas en face, mais on me transmet ces commentaires… Les commentaires de ce genre s'arrêtent dès qu'on me voit à table, parce que je mange souvent bien plus que ces bonnes personnes compatissantes, pourtant elles-même fréquemment en surpoids. 😃 J'essaie de leur expliquer que ce qui fait la différence, outre la pratique régulière d'un sport d'endurance, c'est que je ne grignote pas entre les repas, ni ne consomme de boissons sucrées (en dehors de mes sorties vélo), ni ne bois d'alcool… mais rien à faire, je n'arrive pas à les convaincre ! Ou peut-être n'ont-elles pas envie de me croire…
  19. Difficile de le dire avec précision. Quand mon sport principal était le judo, je pesais généralement 65 kg (pour 178 cm) et mon maximum absolu a été de 68 kg, vers mes vingt ans, à une époque où j'en faisais encore plus que d'habitude. Depuis que j'ai arrêté le judo, il y a bientôt vingt ans (j'ai 45 ans), et que je ne fais plus que du vélo, 65 kg est devenu mon maximum en hiver, et je peux descendre jusqu'à 61 kg l'été. Comme je n'ai jamais été bien épais, je suppose que j'ai essentiellement perdu en muscle depuis mon arrêt du judo.
  20. Sortie de 2 h 30 dans l'est bruxellois. Soleil et chaleur (28°) fort bienvenus !
  21. Tu semblais craindre que ce soit le fait de pédaler le genou vers l'extérieur qui soit préjudiciable au rendement, et je t'ai répondu là-dessus. Ma réponse ne concernait donc pas la coxarthrose proprement dite. Je ne sais absolument pas si elle est handicapante en elle-même pour la pratique du vélo.
  22. Le casque ne t'a pas servi pour tes rares chutes passées, mais qu'est-ce qui te dit qu'il ne te servira pas pour la suivante ? Une bonne association : vigilance constante + casque.
  23. Les voyageurs ou "touristes" sportifs apprécient les deux systèmes. J'ai un pote équipé des deux systèmes, il a 50 ans. Quand le chrono n'est pas le but ultime, cela apporte pas mal d'avantages. Ce qui m'attire le plus dans ces systèmes, c'est d'abord les petits rapports qu'ils permettent, ensuite leur résistance aux pires conditions climatiques (j'ai été sensibilisé par la question en Belgique…) et enfin l'entretien fortement diminué. J'ai dû déjà t'en parler, c'est un vélo polyvalent du genre du Race Lite de chez Santos qui aurait ma préférence, si je me décide (et quand je serai en fonds, parce que c'est vraiment pas donné ! 😢). http://www.sintchristophorus.nl/test-santos-race-lite-met-rohloff-en-tandriem/ (néerlandais)
  24. Pourquoi dans l'erreur ? Il suffit de ne pas être pressé. Grimper à la vitesse d'un piéton ne me gêne pas (quoique… grimper le Ventoux à pied à 5 km/h, ça doit être déjà quelque chose de costaud !). Ma devise à vélo : j'ai tout mon temps, et je le prends. 🆒
  25. Je comprends. Soit dit en passant, mon père pédale avec les genoux très orientés vers l'extérieur, et ce depuis qu'il sait faire du vélo, m'a-t-il dit. Ça fait un peu particulier à voir, mais je pense que c'est à lier au fait qu'il a les pieds «en canard» quand il marche. Un cycliste pro des années 90-2000, Fernando Escartin, excellent grimpeur, avait aussi cette particularité : pédaler avec les genoux très éloignés du cadre. Apparemment ça n'avait pas l'air de diminuer son rendement. Je ne m'inquièterais donc pas trop à ta place.
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