Aller au contenu

Franck PASTOR

Membre
  • Compteur de contenus

    16 199
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    88

Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. 105 km aujourd'hui, pour aller enchaîner les côtes dans le sud-ouest du Brabant (Beersel, Hal, Braine-le-Château, Ittre), avec une pointe dans le Hainaut (Ronquières et Écaussines). Une région vallonnée comme je les aime. Il fallait bien que je profite du temps exceptionnel qu'il faisait aujourd'hui : soleil, chaleur (25°) et pas trop de vent.
  2. Tu fais donc partie de cette heureuse minorité de cyclistes dont les tendons sont en acier trempé. Mon père aussi en fait partie, il était capable de faire 150 bornes en montagne sans aucun entraînement et sans conséquences sur ses tendons, et de changer radicalement de position entre deux sorties. Malheureusement pas moi. S'agissant d'Hinault et Genzling, l'extrait concerné : L'année 1983 fut marquée par l'opération du genou, intervenue à la suite d'une erreur de réglage de la selle durant le Tour d'Espagne, remporté malgré tout par le Breton. Cette erreur, qui constitua le facteur déclenchant, sinon la cause première, obligea Bernard Hinault à pédaler sur une selle hissée à 74 cm, tout au long de l'étape de montagne au cours de laquelle il assura sa victoire finale. Une augmentation soudaine ne pouvait que provoquer des dégâts sur l'appareil tendineux d'un coureur dont la position avait été mise au point de façon aussi précise et progressive, surtout dans une étape très dure. Si la selle avait été baissée, au lieu d'être montée, il n'en aurait pas été de même : une selle trop basse diminue le rendement, mais ne provoque pas ce genre d'accident. Comme tu vois, il ne précise pas exactement de quoi souffrait son genou. Selon J.-P. Ollivier, c'était la patte d'oie (dont le tissu péri-tendineux présentait des nodules), et non le tendon rotulien comme tu le croyais. Genzling pense donc que c'est surtout la soudaineté de l'augmentation de la hauteur de selle qui avait provoqué le problème, et je suis d'accord. Mais contrairement à lui, et pour l'avoir éprouvé, je pense que diminuer la hauteur de selle de façon brutale présente tout autant de dangers.
  3. D'après la biographie de Hinault par J.-P. Ollivier, c'était la « patte d'oie » de son genou qui avait souffert de sa hauteur de selle, certes trop haute mais surtout trop brusquement rehaussée. Les tendinites rotuliennes viennent bien plus souvent d'une selle trop basse ou trop brutalement abaissée d'après mes lectures (et mon expérience…), donc prudence. Si on respecte une période de transition après un changement de position (ou de vélo !), pendant laquelle on se garde d'y aller « à fond », les risques sont grandement diminués. Je suppose que lorsque tu passes de ton vélo de route à ton VTT et vice-versa, tu ne te lances pas immédiatement dans des efforts longs et intenses. Dans le cas de ma malheureuse expérience, j'avais surtout fait l'erreur de partir immédiatement faire une longue sortie en montagne après avoir nettement baissé ma selle… et contrairement à mon habitude, j'avais un compagnon de sortie cette fois, ce qui m'avait incité à faire encore plus d'efforts. Ce jour-là on terminait par le col de La Morte, en Isère, qui donne sur la vallée de la Romanche en venant de la Matheysine. Il y avait, de fait, un mort, c'était moi sur mon vélo avec cette terrible douleur au genou ! Un de mes pires souvenirs de cycliste.
  4. 1 ou 2 mm c'est trop insignifiant, essaie carrément 1 cm, il ne saurait rien t'arriver de fâcheux; Dans mon cas si. Un jour j'avais baissé ma selle de plusieurs mm (je ne sais plus combien exactement) avant de partir faire une sortie en montagne. À l'arrivée, tendinites au tendon et à l'aileron rotuliens gauches… trois semaines sans vélo dont une semaine à ne pas pouvoir marcher ni monter une marche d'escalier sans douleur. Depuis, pour moi les changements de hauteur de selle en cours de saison, c'est millimètre par millimètre… dans les deux sens !
  5. Mon entre-jambes a été mesuré à 84,5 mm lors d'une étude posturale qui avait recommandé une hauteur de selle de 74,8 mm, mais avec des pédales Time route très peu épaisse. Depuis que je suis passé à des pédales VTT, ma selle est à 75,5 mm de hauteur. Bien plus haute que la fameuse règle 0,885*entre-jambes.
  6. Moi pas du tout, et pourtant je suis Grenoblois d'origine. Mais ma connaissance du Trièves s'arrêtait au Monestier-de-Clermont… 😳 Merci à Nans Peters et à sa victoire d'étape de m'avoir appris l'existence de Monestier-de-Percy ! 🆒
  7. 41 km dans le nord-est de Bruxelles (Vilvorde, Grimbergen). Les 218 km de la rando Landen—Trois-Ponts—Landen de dimanche dernier ne se sont pas fait sentir dans les jambes : bon signe, même si cette sortie d'aujourd'hui n'était guère vallonnée. Maintenant, objectif Tilff-Bastogne-Tillf et ses 250 km le dimanche 9 juin… probablement le plus gros morceau de mon année cycliste. http://www.tilffbastognetilff.be/fr/
  8. Idem, vidéo inaccessible. 🙁 Mais puisque tu as vécu en Amérique du sud, tu fais autorité en la matière !
  9. Le "z" de Carapaz se prononce normalement à l'espagnole, c'est-à-dire en soufflant avec le bout de la langue entre les dents. Le résultat est bien plus proche du "s" que du "z" francophone, d'où la façon de prononcer ce nom par les commentateurs.
  10. C'est plus que compréhensible. Mais en même temps, en paraphrasant un politicien de ton pays, Paul Van den Boeynants : si tous les dégoûtés s'en vont il ne reste que les dégoûtants. Joyeuse perspective ! Pour l'instant je n'ai pas trop envie de baisser les bras et de laisser la route aux seuls fous du guidon/volant. Pour l'instant… Et en gravel on n'est pas à l'abri non plus, semble-t-il. Ce n'est pas Garreau qui récemment avait eu son premier sérieux accident à vélo depuis des lustres en faisant du gravel ? Le malheur frappe souvent où et quand on ne l'attend pas.
  11. Franck PASTOR

    Cales de rehausse

    Je suis intéressé par le sujet, puisque j'ai une différence de longueur de jambes (due à mon squelette et non à une bascule du bassin) de 1 cm et que j'ai les mêmes pédales. Le problème, puisque ce sont des pédales VTT, est que des cales de rehausse vont faire dépasser la cale de la semelle et compliquer la marche. Il vaudrait peut-être mieux d'abord envisager une semelle intérieure plus épaisse au niveau de l'appui sur la pédale, si la surépaisseur voulue n'est pas trop importante. Sujet à creuser avec un podologue qui s'y connait en cyclisme, ou spécialiste du positionnement sur vélo, si ce n'est déjà fait.
  12. Roglic avait dû changer de vélo pendant la descente du Sormano et prendre celui de Tolhoek. Ça ne m'a donc guère surpris qu'il ait été décroché dans la dernière montée. Et le fait qu'il roulait avec un vélo qui n'était pas le sien n'est probablement pas étranger non plus à la chute qui a suivi. Pas de veine pour lui aujourd'hui…
  13. Le sujet « Normal » lancé par Franck Steinel dans la rubrique «Général» m'a remis en mémoire quelque chose qui m'est arrivé hier et que ma mémoire avait bizarrement occultée au moment de faire mon compte-rendu. Pourtant, j'avais eu très, très chaud… Un peu avant de descendre sur Chambralles et Martinrive, sur une route assez étroite en faux-plat montant, je me suis fait doubler par tout un groupe d'autres cyclistes roulant à toute berzingue. Rien d'extraordinaire jusque là, sauf qu'au même moment une voiture arrivait en face, et très vite également. Le conducteur de la voiture n'a pas ralenti pour autant, et n'a pas serré à sa droite non plus… les cyclistes qui me doublaient se sont rabattus in extremis, m'envoyant rouler sur le bas-côté dans le même mouvement. Ce groupe de cyclistes aurait dû attendre pour me doubler, et ce conducteur aurait dû ralentir et serrer sur sa droite. Quand deux bêtises se rencontrent, c'est explosif… Ça aurait pu finir très, très mal pour le groupe de cyclistes, et moi avec.
  14. La grosse majorité des cyclos ne font pas la plus grande distance, statistiquement cela se prouve. A 18h00 il ne doit plus y avoir grand monde, à part peut être à la buvette Oui et non : d'après l'organisation, sur les 2800 participants recensés sur les quatre parcours, il y en avait effectivement 2000 pour les distances intermédiaires (110 et 160), donc certes ce sont celles qui sont de loin les plus fréquentées. Mais ça ne signifie pas forcément que la participation au grand parcours était négligeable. À 18 h le site d'arrivée était loin d'être désert. Des cyclistes continuaient à arriver, certes pas à flux tendu, mais régulièrement. Et s'agissant de la part du 220 parmi les 800 participants qui étaient sur le 60 ou sur le 220, il ne sont pas précisés, mais d'après mon ressenti, on était assez nombreux sur le 220. À mon avis, plusieurs centaines. Un bon compromis serait peut-être de fermer le site à 19 h. Je vais en toucher un mot à l'organisation, on verra bien ce qu'il en sera l'année prochaine.
  15. Voilà, randonnée bouclée. Premier plus de 200 de l'année, et même depuis l'été 2017. 218 km au compteur, 11 h exactement de sortie dont 10 h 5 min sur le vélo en décomptant les arrêts au ravitaillement, soit une moyenne, correcte pour moi sur un tel parcours, de 21,5 km/h. Les jambes ont tourné assez bien aussi : 85 tours/minutes de fréquende de pédalage moyenne. La journée a commencé par un stress très malvenu : alors que je roulais en voiture, vélo dans le coffre, vers le départ, la jauge d'essence lance un signal d'alerte à mi-parcours : et m… j'ai oublié de faire le plein la veille ! Résultat, je dois rouler au ralenti pour pouvoir atteindre le site du départ et économiser du carburant le plus possible. Et j'atteins Landen plus tard que prévu, si bien que je me mets en route avec le vélo seulement à 6 h 50 au lieu de 6 h 30. La peur de ne pas finir dans les délais a donc fortement augmenté… Il fait froid au départ (8°) et l'imper et les gants longs (légers) sont donc les bienvenus par dessus le maillot à manches longues. On commence en douceur par la Hesbaye brabançonne et ses vallonnements peu prononcés. Inquiété par mon départ plus tardif que prévu, je décide de prendre les roues de deux cyclistes plus rapides que moi mais qui roulent de front en bavardant et en fournissant donc un abri conséquent. Un mauvais calcul, puisque ces cyclistes font pas mal de changements de rythme qui me pèseront vite dans les jambes… si bien que je les laisse filer un peu avant d'arriver à Jehay-Bodegnée, en bord de Meuse. Traversée de la Meuse, et première sérieuse côte de la journée, celle d'Hermalle-sur-Huy : longue et relativement pentue, un petit régal de grimpeur. Les jambes tournent bien, je rattrape et dépasse du monde. Et puis c'est le Condroz et sa tôle ondulée casse-pattes : peu de longues côtes, mais ça ne fait que monter et descendre, et j'ai déjà une sensation de jambes lourdes… Le premier ravitaillement, à Nandrin, est donc bienvenu pour faire une bonne séance d'étirements. Après Nandrin, on continue dans le Condroz : deux côtes répertoriées, plus longues que l'ordinaire de la région mais peu pentues, la Rue Houa et la côte de Xhoris. C'est à ce moment qu'une douleur au genou gauche, assez récurrente chez moi, se met à se manifester : une douleur due au fait que ma jambe gauche est nettement plus courte que l'autre, et qui survient quand mon pédalage devient trop saccadé et irrégulier… si bien qu'au moment d'arriver à la bifurcation des parcours de 160 et 220, j'hésite fortement à prendre le 160 pour abréger cette souffrance. Finalement, par fierté (mal placée?), je choisis de rester sur le 220. Mais je ralentis le rythme et me concentre à fond sur mon pédalage, et sur cette jambe gauche dont il me faut consciemment relever le genou à chaque coup de pédale pour éviter que la douleur survienne. C'est normalement un geste que je travaille systématiquement au début de mes sorties et qui est ensuite un automatisme, mais que j'ai oublié de pratiquer en me concentrant sur autre chose : rester dans la roue des deux cyclistes dont j'ai parlé plus haut… comme quoi ce n'est pas toujours une bonne idée de rouler en groupe. Après Xhoris, on entre en Ardenne. Ferrières d'abord et la côte sévère du «Trou de Ferrières», une borne sèche à 10 % et plus. Puis un long faux-plat montant menant à Werbomont, puis Bosson et le deuxième ravitaillement. La douleur est toujours là mais s'est calmée, les automatismes de pédalage correct reviennent petit à petit. De Bosson, on descend vers la vallée de la Lienne, qu'on suit sur un long passage plat (et donc pénible pour moi) avant de grimper une côte inconnue au bataillon, les Villentes, sur une route large comme un boulevard et un soleil brillant généreusement maintenant. Ensuite, redescente vers Basse-Bodeux, sur le territoire de la commune de Trois-Ponts : la moitié du parcours est faite. Mais il reste encore pas mal de difficultés sérieuses : d'abord la longue et très irrégulière montée de l'Ancienne Barrière par Haute-Bodeux, dans un cadre très agréable et verdoyant. Redescente rapide vers la vallée de la Lienne sur une route large et en très bon état où je m'amuse à prendre un position « à la Sagan », puis à nouveau du plat démoralisant jusqu'au pied du gros morceau de la journée : la côte de Chevron. Deux hectomètres à 18 % pour mettre dans le bain, et un long prolongement irrégulier jusqu'au hameau de Chession : ouf, ça tire dans les pattes ! Mais le genou va maintenant bien mieux, ce qui me redonne du cœur à l'ouvrage. Puis encore une belle descente, mais sur chaussé dégradée cette fois, dommage. Et c'est le pied de la côte de Lorcé, dernière difficulté ardennaise du jour. Longue (3 km) et deux portions pentue entrecoupées d'un faux-plat au village de Lorcé même. Les jambes deviennent lourdes, j'avance péniblement, surtout dans la portion finale où le vent de face s'invite… ainsi que la pluie. 😠 Troisième ravitaillement peu après le sommet de cette côte, sous la flotte donc. Tout le monde enfile les impers avant de repartir… on aura droit à cette pluie jusqu'au sommet de la côte suivante, à Comblain-au-Pont, la côte de Mont qui donne accès à nouveau au Condroz. Ensuite la pluie s'arrête, mais on aura le «plaisir» de rouler sur route détrempée jusqu'à la retraversée de la Meuse. Ce deuxième parcours du Condroz est donc un peu gâché, malgré une belle côte au nom à coucher dehors : Rotheux (!) Le quatrième ravito est celui du premier, à Nandrin. 180 bornes déjà parcourues, ça sent bon l'arrivée proche ! 😄 Juste une dernière côte répertoriée à franchir, après être descendue vers les bords de Meuse par une longue descente sinueuse. Et pour cause, cette descente s'appelle les 36 Tournants… Elle mène à Engis, puis Flémalle, et cette dernière difficulté répertoriée du jour se présente : deux kilomètres d'une côte malheureusement très bien nommée, les Cahottes, car la chaussée est vraiment dans un état… cahoteux. Mais au sommet, ça sent encore plus la fin de parcours. Une dizaine de kilomètres, et c'est le dernier ravitaillement, à Haneffe. Il ne reste ensuite que 25 km pour rentrer à Landen, sans relief notable, que j'accomplis à un rythme pépère, en essayant de ne pas trop penser à un derrière douloureux (ma plus longue sortie de cette année avant celle-ci faisait 160 km… et le revêtement bétonné de la Hesbaye, cher à Michel Dury, n'arrange pas les choses) et au vent devenu défavorable. Et puis c'est à nouvau Landen. Il est 17 h 50, donc 10 minutes avant la fermeture du site d'arrivée : ouf, objectif atteint ! Mais malgré un nombre conséquent de cyclistes qui arrive encore, les préposés commencent déjà à plier bagages. On peut encore boire une bière (pas de bol, je n'en bois pas), rendre sa place de cadre, mais on ne peut plus prendre un bon sandwich à la saucisse, ce qui est mon plaisir habituel de fin de sortie. Quand même, pourquoi diable ne ferment-ils pas plus tard ? Une clotûre à 20 h me semblerait plus adaptée à cette saison et à la longueur du grand parcours. Mais c'est le seul point vraiment négatif que je retiendrai de l'organisation, le reste était nickel (à quelques panneaux indicateurs près, parfois peu lisibles) et me laissera de bons souvenirs. 🆒
  16. Deux ravitaillements : tu auras donc fait le 110 km. Une bonne partie de manivelles quand même, et sur un parcours pas si facile que ça. La bifurcation que tu as loupée était juste à la sortie du premier ravitaillement, commun à tous les parcours (sauf le 60 km, le plus court), à Nandrin… mais c'était aussi le troisième ravitaillement du 160, et le quatrième et avant-dernier du grand parcours. À la sortie de ce ravitaillement il y avait deux panneaux d'orientation, l'un indiquant de tourner à droite pour les 160-215 km, l'autre indiquant droit devant pour les 110 km… et pour 160-215 à leur 2ème passage. Ce n'était pas très lisible, surtout si on est au cœur d'un groupe, et beaucoup ont dû croire qu'il fallait aller droit devant pour faire le 160 ou le 215… tu n'es donc certainement pas le seul à avoir fait cette erreur. Si ça se trouve, celui qui menait ton groupe a fait la même ! S'agissant de l'intérêt à trouver pour ce genre d'événement, pour ma part j'y trouve mon compte avec une pratique axée sur… moi-même : contrairement au 4/5 des participants qui y voient une occasion de se tirer la bourre, de préférence en groupe, j'essaie d'ignorer autant que possible les cyclistes autour de moi et je vais à mon rythme propre, en profitant des routes (vallonnées de préférence bien sûr) et des paysages. Hier je peux dire que j'en ai eu pour mon argent, le cadre était splendide, quasiment du début à la fin.
  17. 😲 Je serai toujours estomaqué par les moyennes que tu réalises sur de tels parcours… Pis je sais bien que la météo dans les Ardennes n'est généralement pas folichonne, mais quand je leur rend visite, elles pourraient au moins faire un effort rien que pour moi ! 🤐
  18. Aujourd'hui, mon premier plus de 200 depuis deux ans, lors de la randonnée belge Landen — Trois-Ponts — Landen. http://www.landentroispontslanden.be/fr/ Officiellement ça faisait 220 km pour environ 2600 m de dénivellation. Pour mon compteur ça aura fait 218 km pour 10 h 05 sur le vélo (soit 21,5 km/h de moyenne) et exactement 11 h de sortie, en ajoutant le temps passé aux cinq ravitaillements. 85 tours/minutes de fréquence moyenne de pédalage. Temps très variable ! Froid au départ avec 8°, mais plus de 20° au cours de la journée. Pluie pendant une heure environ sur la partie ardennaise du tracé (décidément, les Ardennes c'est pas top cette année question climat), mais sec le reste du temps. Vent de nord-ouest sensible sans être très fort, et heureusement, parce qu'on l'avait dans la figure pour le retour… Plus de détails dès que possible dans le sujet dédié du forum « Cyclosport ».
  19. 50 km très tranquilles dans l'est de Bruxelles, en première partie d'après-midi. Encore une fois un très beau temps. Le vent d'ouest était fort mais supportable.
  20. Très, très peu probable que j'en sois. Si je n'ai pas de cours à assurer le lundi l'année prochaine (je suis enseignant à Bruxelles), ça ne poserait pas trop de problèmes mais sinon je peux oublier, je n'ai jamais su correctement encaisser les trajets nocturnes.
  21. Prévisions confirmées donc pour le moment. Voulant mettre toutes les chances de mon côté, je compte partir le plus tôt possible, donc idéalement à 6 h 30. Etant donné que les portions roulantes sont apparemment conséquentes, et mon rythme de croisière dès que ce n'est pas pentu étant ce qu'il est, il y a quand même de fortes chances que tu me rejoignes en cours de route… De fait, avec cette fermeture du site d'arrivée prévue à 18 h j'appréhende d'arriver «hors-délais». Mais le pire serait qu'un des derniers sites de ravitaillements ait fermé avant que j'y arrive. Ça m'est arrivé une fois il y a quelques années (randonnée Maxime Monfort, en 2009 je crois) et comme j'étais complètement à sec j'avais dû mendier une bouteille d'eau à une station-service voisine. Et lors des 250 km de Tilff-Bastogne-Tilff en 2017, les deux derniers ravitaillements étaient sur le point de fermer lorsque j'y étais arrivé, mais là j'ai pu quand même remplir les bidons. Pourtant j'ai bouclé la randonnée une bonne heure avant l'heure de fermeture du site d'arrivée… Aucune envie de reproduire ce genre d'expériences et de ressentir à nouveau l'angoisse qui va avec.
  22. Sortie-détente après boulot, une vingtaine de kilomètres accomplis tout tranquillement, dont une bonne partie dans la forêt de Soignes au sud de Bruxelles. Rien à signaler de particulier. Ah si : il faisait beau !
  23. D'après RouteYou, la longue distance de l'édition de cette année ferait précisément 2614 m de dénivelé pour 221 km. https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/5886051/racefietsroute/landen-trois-ponts-landen-2019-220-km?c=JN-o-yzwxyLh5rg6 Pour l'instant la météo prévoit une journée nuageuse avec des averses, et (snif) un vent sensible de secteur nord-ouest, ce qui fait qu'on l'aura en plein dans la figure au retour. Tiens, encore une configuration qui va me rappeler Mons-Chimay-Mons, l'édition de 2016 cette fois, le retour s'était fait avec le vent dans le pif également. 📢 Point positif, il devrait faire assez doux, 11° mini, 18° maxi.
  24. On est donc d'accord sur les difficultés comparées des distances intermédiaires ! Quelques remarques supplémentaires sur la longue distance dont j'étudie attentivement le parcours : On passera décidément par des routes connues, mais dans l'autre sens, puisqu'en plus de grimper la côte de Lorcé qu'on avait descendue le 5 janvier, on descendra la côte de Chambralles qu'on avait grimpée Eric, Michel et moi ce même jour ! Je me promets déjà de faire attention au panorama (en faisant attention à la pente quand même…), il est splendide à regarder. Juste après, direction Comblain-au-Pont et la côte de Mont, qu'on avait également faite en sens inverse il me semble.Faudra pas traîner en cours de route : on part au plus tôt à 6 h 30 et l'arrivée ferme à 18 h, ce qui laisse 11 h 30 maxi pour boucler la longue distance. En tenant compte des 4 ravitos, ça risque d'être limite pour moi, si j'en crois mes expériences sur des distances semblables (de mémoire, j'avais fait les 210 km de Mons-Chimay-Mons en 11 h et les 250 km de Tilff-Bastogne-Tilff en 12 h 30…).C'est étonnant d'ailleurs qu'ils ferment la ligne d'arrivée dès 18 h, alors que le soleil se couche tellement plus tard en cette saison.
  25. En même temps l'Extrême-orient asiatique est bien plus proche de l'Australie que la Suisse ou la Suède. 😇 Moi ce qui m'étonne chez Caleb Ewan (et qui en étonne beaucoup d'autres) c'est sa position à vélo lors des sprints. La tête sur la roue avant, pour ainsi dire. Comme Cavendish mais encore plus extrême. Moi je n'arriverai même pas à tourner les pédales dans cette position… mais question aérodynamisme, c'est le top.
×
×
  • Créer...