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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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45 km de sortie aujourd'hui en milieu de l'après-midi, dans le sud-est de Bruxelles, avec quelques belles bosses. Beau temps après de grosse draches le matin, mais vent très gênant, y compris dans certaines bosses. On a beau connaître l'explication, c'est toujours un coup au moral de grimper une bosse 2 km/h moins vite que d'habitude. 😠
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C'est loin d'être la première fois qu'Alaphilippe et Mühlberger se retrouvent ensemble dans une échappée. On ne va plus pouvoir les séparer, ces deux cascadeurs ! À propos, les deux étaient équipés en disques aujourd'hui… 😇
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Merci et bonne continuation dans ta réadaptation !
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C'est la période des fractures du fémur, il faut croire, avec Froome qui en a pris une aussi, en encore plus sévère. Bon rétablissement à lui et à ton camarade ! Par rapport à la course à pied, la pratique du vélo est bien moins traumatisante en soi pour le corps… mais il y a malheureusement les chutes pour « compenser ». 🙁
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De mémoire, je mettais environ 1 h 30 pour monter à Pipay, que ce soit à partir de Froges ou Tencin. Ça devrait me mettre au fin fond du classement Strava, si j'y étais inscrit. 😃 Les meilleurs doivent boucler cette montée en moins d'une heure, j'imagine ?
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Ah bon ils prennent par la D29 sur le Dauphiné ? La montée classique commence normalement au centre de Tencin, par la D30. Mais ça se rejoint assez vite et ça ne change fondamentalement pas la distance ni la dénivelée. Je maintiens donc : les valeurs que tu as trouvées sont fausses. Voici d'autres stats, qui correspondent à mon vécu et au souvenir que j'ai des stats d'Altigraph sur l'ascension : https://www.cyclingcols.com/col/PipayLesSeptLaux
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Ou bien peut-être qu'un caillou quelconque a entaillé le flanc du pneu pendant un virage serré et la chambre à air a explosé peu après. J'ai eu une mésaventure de ce genre lorsque j'avais fait rouler mon vélo sur une portion de route défoncée par des travaux. Le flanc pneu (Continental G4 4 Seasons) avait mordu latéralement sur une grosse pierre au bord aiguisé. Flanc du pneu lacéré et hernie de la chambre à travers, mais je ne m'en étais pas aperçu tout de suite. Un peu plus loin… bam !
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J'y retourne skier chaque hiver. 🆒 Les Vallons du Pra, c'est bien mais ma noire préférée est la Combe de Bédina, sauvage à souhait… et malheureusement rarement ouverte. 🙁
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Dans les chiffres que tu indiques, la dénivellation est correcte, mais la distance trop courte et le pourcentage moyen trop grand. De mémoire la distance est de 18-19 km pour un pourcentage moyen d'environ 7 %. Il y a deux accès principaux (et une foultitude de variantes et d'alternatives moins directes). Les deux partent de la vallée du Grésivaudan : l'un par Tencin (celui de samedi), l'autre par Froges. Les deux sont à peu près identiques en profil et difficulté et se rejoignent au col des Ayes à 950 m d'altitude environ. Un peu plus haut au-delà du col des Ayes, la route d'accès se scinde en deux : tout droit on continue vers Prapoutel (1350 m d'altitude) en 3 km environ, à gauche on monte vers Pipay en 6 ou 7 km (1550 m d'altitude environ). Une brève présentation : Pipay est une des trois stations d'accès à l'assez vaste domaine skiable des Sept-Laux, dans le massif de Belledonne près de Grenoble. Les deux autres stations d'accès sont Prapoutel (la plus grande et la mieux équipée, déjà fréquentée par le Tour et le Dauphiné), et Le Pleynet (une des arrivées du Tour 81, je me souviens qu'Hinault avait gagné cette étape) sur l'autre versant de Belledonne. Des trois stations d'accès aux Sept-Laux, Pipay est la plus haute et de très loin la plus petite. Des parkings pour les skieurs, un ou deux restaurants, une école de ski, un énorme télécombi, deux ou trois téléskis et c'est tout. C'est une station pour skieurs « à la journée », essentiellement des locaux. Pendant les autres saisons, elle est plus ou moins déserte, elle n'a strictement rien en elle-même pour attirer l'estivant étranger. Pas étonnant que tu n'en aies jamais entendu «piper» mot… N'y viennent donc alors que quelques locaux, essentiellement des randonneurs pédestres… et ceux parmi les cyclistes régionaux qui savent que la montée vers cette station présente une des plus fortes dénivellations de la région grenobloise, peut-être même la plus forte avec celles de Chamrousse plus au sud dans Belledonne, celle du Charmant Som en Chartreuse et la Source de la Molière dans le Vercors. 🆒
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Remco Evenepoel (Belgique) Un phénomène !
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Alain GACOIN dans Discussions Route
Il ne faut quand même pas oublier qu'il n'a que 19 ans et qu'à cet âge il n'a peut-être même pas achevé sa croissance. Penser à le faire maigrir à cet âge (alors qu'il est déjà performant et loin d'être gras) pourrait donc entraîner plus d'inconvénients que d'avantages ! -
Pneu fendu sur les flancs, ça fait penser à un pincement suffisamment fort pour endommager à la fois la chambre à air et le pneu. Tu n'étais pas passé dans un nid-de-poule ou un truc équivalent à ce moment-là, ou un peu avant ?
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J'attends de voir l'étape de samedi avec impatience, sur des routes que je connais bien. La montée à Pipay est du même ordre de longueur et de difficulté que celle de Chamrousse par Uriage et Prémol, elle pourrait bien faire la différence si les coureurs sont d'humeur à attaquer. La partie la plus pentue, entre Theys et le col des Ayes, est un régal pour les grimpeurs patentés, et ensuite il reste encore près de 10 km d'ascension non-stop !
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Une vingtaine de km en périphérie bruxelloise en fin d'après-midi, en guise de récupération de Tilff-Bastogne-Tillf. Rien à signaler de particulier.
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Tilff-Bastogne-Tilff 2019
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Elle est amusante ta remarque, parce que la semaine dernière je me suis retrouvé à aider une de mes classes à faire leurs révisions de géographie pour leur examen de fin d'année ! Certains (des 5e secondaire pourtant — l'équivalent de la classe de Première en France) n'avaient aucune idée de la location de pays comme la Bulgarie ou la Croatie… Pour l'Estonie ou le Lichtenstein, n'en parlons même pas. -
Tilff-Bastogne-Tilff 2019
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Merci de l'appréciation ! Ceci dit, quand je relis mon récit et que je vois les fautes d'orthographe monstrueuses que j'ai laissé passer… 😳 -
Plutôt "Kreuil-Svèïk". Enfin on dirait comme ça dans la variante du néerlandais que je pratique en Flandre. Pis la façon de prononcer peut varier des Pays-Bas à la Flandre, et même d'une commune à une autre… Bon, il serait temps que j'aille dormir, moi… Tijd om te gaan slapen!
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Tilff-Bastogne-Tilff 2019
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Merci ! Tout le monde ici a bien profité de cette journée, à ce que je vois, et a parfaitement mené à terme ses objectifs sur cette rando. 😄 -
Remco Evenepoel (Belgique) Un phénomène !
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Alain GACOIN dans Discussions Route
Gros, Remco ? 😲 C'est là qu'on s'aperçoit que la notion de «grosseur» est très relative ! Et d'un autre côté c'est le même Lefevere qui a affirmé dans les médias flamands que Bob Jungels a trop maigri en perspective du Tour d'Italie. Ce qui expliquerait ses performances décevantes là-bas. Si une perte de poids est nécessaire chez Evenepoel, il faudra donc veiller à ne pas exagérer… -
Tilff-Bastogne-Tilff 2019
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Je rectifie une erreur dans mon récit : le panneau indiquant « Prochaine côte : côte de Chevofosse à 98 km » ne se trouvait pas au sommet de la côte de Havelange, mais à celui de la côte de Bonnerue, troisième côte répertoriée, qui se trouvait une quarantaine de km plus loin. Chevofosse était donc la quatrième côte répertoriée du parcours et non la troisième. (En réalité, c'était plutôt la quarantième que la quatrième, mais bon…) -
Tilff-Bastogne-Tilff 2019
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Question braquets, j'ai encore une belle longueur d'avance sur vous avec mon 24/34 à l'âge de 47 ans. Et il a bien servi hier sur ce grand parcours de 250 km ! Réveil à 4 h à Bruxelles, départ de chez moi en voiture à 5 h et arrivée au Country-Hall de Liège un peu après 6 h. Trop tôt même pour retirer dossard et plaque de cadre, donc j'en profite pour sortir le vélo du coffre et me préparer. Première contrariété, je m'aperçois que j'ai oublié mes lunettes cyclistes… j'oublie décidément toujours un petit truc lors de ces déplacements ! Enfin bon, ça n'empêche pas de rouler. Dossard et plaque de cadre retirés et installés (épingler ce fichu dossard me prend toujours une plombe !) après une longue file d'attente, il est 6 h 45 quand je prend le départ. Il fait 8 degrés à ce moment-là, et malgré l'imper, les manchettes et les jambières, j'ai froid à en claquer des dents dans la longue et rapide descente initiale vers Tilff, qu'on grimpera au retour. Puis c'est la seule partie plate conséquente du parcours, entre Tilff et Martinrive, le long de l'Ourthe puis de l'Amblève. Et là, à Martinrive, on entre en Ardenne et dans le vif du sujet avec la côte de Chambralles, d'emblée une des côtes les plus difficiles du jour. 1550 m à 9,5% de moyenne et passage à 20% : inévitablement ça réchauffe,et le 24/34 chauffe bien aussi ! Peu après, à Harzé, passage sans problème de la côte de Havelange, longue avec ses 3 km, mas régulière et assez peu pentue (5,5%), juste avant le premier ravito. Ensuite, j'ai le malheur de ressentir à nouveau une douleur au genou gauche, la même que pendant Landen—Trois-Ponts—Landen, qui apparaît dès que mon coup de pédale se désordonne. Ça apparaît souvent lorsqu'il fait froid, ou que la présence d'autres cyclistes fait que je vais inconsciemment plus fort que d'habitude… C'est le cas ici certes mais la cause première est ma jambe gauche plus courte que l'autre, m'a dit mon médecin sportif, qui fait que mon pédalage est disymétrique. En attendant d'y trouver un remède (surépaisseur de semelle, de pédales ou de cales… je le saurai avant peu), ça m'oblige à me concentrer à fond sur mon pédalage pour ne pas ressentir cette douleur, et à ma grande frustration ne pas trop m'attarder sur les somptueux paysages qui m'entourent. Revenons au parcours. Au sommet de la côte de Havelange, un panneau annonçait quelque chose comme « Prochaine côte à 98 km ». LOL, comme on dit aujourd'hui ! De Havelange à Chevofosse, cette soi-disante «prochaine» côte, la route ne fera que monter et descendre, par des toboggans qui pour n'être pas répertoriés méritaient pourtant de l'être pour certains. Particulièrement de Havelange à Bastogne, où les montées sont souvent longues et certaines pentues. Du reste, peu après Odeigne et une de ces longues ascensions, on atteint le point culminant du parcours à 640 m, près de la Baraque de Fraiture et ses 650 m qui constituent le point le plus haut de la province du Luxembourg belge. Pour rappel, le point culminant de toute la Belgique est à 694 m (Signal de Botrange, province de Liège). À Bastogne donc, km 100, où j'arrive un peu avant 12 h, c'est le deuxième ravitaillement. Séance d'étirement pour soulager les articulations, remplissage de bidons (j'en aurai consommé 6 de 50 cl pendant cette journée) et re-départ. Entre Bastogne et Gouvy, km 140, ça continue certes à monter et descendre, mais cette fois-ci sur des chaussées souvent dégradées. Et, au début, sur une route très fréquentée… pas génial de devoir rouler dans des ornières et nids-de-poule à cause du trafic ! Heureusement la vraie campagne revient assez vite et donc le trafic diminue. Passage entre autres par les bourgs de Mageret (de canard, écrit un farceur sur un panneau) et Boeur (de cacahuètes), puis de somptueux paysage ardennais du côté de Tavigny, Cetturu et Brisy. Peu après la gare de Gouvy, je reconnais à 200 m devant moi un cycliste tout fin en maillot blanc avec un vélo Gravel orange : c'est Jérémie Laplac qui vient comme prévu de descendre du train et qui file vers le 3e ravitaillement, à quelques kilomètres. On s'y retrouve, papote un peu avant de repartir. Jérémie est à court d'entraînement, mais ça n'empêche que son niveau est toujours impressionnant, et il doit le plus souvent m'attendre dans les montées. Le vent est sensible sur certaines portions roulantes, et c'est bien pratique de pouvoir prendre sa roue à ce moment ! Je lui envie ses roues de 42, car le revêtement est encore catastrophique, sauf du côté de Vielsalm et Recht, où on roule tout à coup sur du billard. À Malmédy (beaux paysages !) où on retrouve la province de Liège, une longue, très longue portion en faux-plat descendant entrecoupée de quelques remontées mène à la troisième (ha ha) côte répertoriée du parcours : Chevofosse. La côte du viaduc, j'ai envie de l'appeler, elle passe en-dessous puis au dessus d'un énorme viaduc de l'autoroute E42, à la faveur de deux raidards entrecoupés d'un long replat. La route est très étroite, et malheureusement toute une procession de voitures touristiques choisit ce moment pour emprunter cette côte en même temps que nous. Bonjour le stress et les gaz d'échappements… Enfin bon, cette côte franchie, il ne reste plus qu'à débouler sur Stavelot (km 183) et le 4e ravitaillement. La dernière fois que j'avais fait le grand parcours, en 2017, ce ravito était sur le point de fermer à mon arrivée. Pas cette fois, heureusement, il y a encore du monde et c'est bon signe. Par contre, il est toujours aussi mal placé, quelques centaines de mètres avant la plus grosse difficulté du parcours, la terrible côte d'Amermont. D'abord 2 km très, très pentus, en gros deux «murs» avec un passage à 21% où je roule à 5-6 km/h, entrecoupé d'une très courte redescente, et puis on rejoint l'itinéraire de la Haute-Levée pour les 1500 derniers mètres, en faux-plat montant et venté. Je commence à vraiment sentir mes jambes, la distance se fait maintenant bien sentir. On redescend sur Francorchamps d'abord, puis Moulin du Ruy, pour affronter la difficulté répertoriée suivante : la côte du Rosier. La plus longue du parcours (4 km), pas très pentue et régulière (5,7 %), c'est une montée où je peux normalement atteindre une vitesse de croisière de 15 km/h par endroits… cette fois, j'ai du mal à aller à dépasser les 10, c'est dire si je suis crevé. Au sommet (km 200), Jérémie (qui y est arrivé longtemps avant moi) doit prendre congé et rentrer chez lui par l'itinéraire le plus cours en raison de ses obligations familiales : le tracé de la rando lui ferait faire un détour assez long. Me revoilà seul pour faire les derniers 50 km de la journée. Et après une longue descente bien agréable vers La Gleize, et une petite séance de toboggans à Stoumont, c'est une long faux-plat de 20 km qui m'attend entre Targnon et Remouchamps. D'habitude le moral en prend un coup sur ce genre de portion que je déteste entre toutes. Là, par contre, ça va un peu mieux : le genou se fait maintenant presque oublier et les jambes tournent plutôt bien, jusqu'au cinquième et dernier ravitaillement à Remouchamps (km 225). En 2017, quand j'y étais arrivé, ce ravitaillement-là avait déjà carrément fermé… Cette fois il est encore ouvert, mais il y a très peu de monde. On doit être une dizaine de cyclistes quand même, la plupart du grand parcours mais certains font un des parcours intermédiaires. Il est 18 h, ne reste plus que 25 km et trois côtes pour finir. Mais la première d'entre elles, c'est la Redoute… pas la peine de présenter cette butte qui surplombe Remouchamps. Le 24/34 y chauffe à blanc, mais j'arrive au sommet sans trop de mal. Ensuite régler le Hornay paraît une formalité (mais pas trop vite…) et après la longue descente de Dolembreux, me voilà revenu à Tilff et au pied de la longue côte de l'Hôpital (2500 m) à qui mène à l'arrivée. Dans cette ultime côte, j'ai la surprise deux rattraper… un tandem et un vélo couché, qui font apparemment route ensemble. Même s'ils ont fait un parcours intermédiaire d'après ce que leurs passagers m'ont dit, faire Chambralles, la Redoute et peut-être même Amermont avec ces engins, il faut du mérite !! Retour au Country-Hall de Liège vers 19 h 25. Le compteur est en accord avec la distance annoncée au départ : 250 km. 12 h 40 de sortie au total, dont 11 h 39 sur le vélo, soit une moyenne de 21,5 km/h. 83 tours/minutes de fréquence moyenne de pédalage, plutôt basse par rapport à mon habitude. Fatigue aidant, sans doute, et le fait que je profitais au maximum des descentes pour faire de la roue libre et récupérer. La fermeture du site d'arrivée est censée intervenir à 20 h seulement, mais les préposés plient déjà bagages, notamment ceux du parking vélo que je comptais utiliser. Pas grave, on peut quand même toujours rendre sa plaque de cadre et récupérer la caution de 5 euros qui va avec. Comme sur Landen—Trois-Ponts—Landen, ceux qui aiment ça peuvent toujours prendre une bière, mais les vendeurs de frites et sandwichs sont eux déjà partis, à ma frustration. Mais bon, l'objectif du jour est atteint : à nouveau faire le grand parcours de Tilff-Bastogne-Tilff et terminer dans les délais. 😄 -
Les 250 km de Tilff-Bastogne-Tilff aujourd'hui, distance confirmée par mon compteur. 2960 m de dénivellation dans cette rando ardennaise classique, mais à mon avis il y en avait plus : ça ne faisait que monter et descendre ou presque… Temps sec, très froid à mon départ à 6 h 45 (8° !), puis agréable (17°-20°) ensuite. Vent sensible de direction semble-t-il variable (je jurerais qu'il a tourné pour rester défavorable tout au long du parcours !) mais heureusement pas très fort. Jérémie Laplac m'a rejoint au km 140 en débarquant avec son vélo à la gare de Gouvy et m'aura accompagné jusqu'au sommet de la côte du Rosier, soit jusqu'au km 200 environ, avant de rentrer chez lui par l'itinéraire le plus direct en raisons de contraintes familiales. En plus du plaisir de sa compagnie, il m'aura bien rendu service en m'abritant dans les portions à vent défavorable de ce secteur ! 21,5 km/h de moyenne soit 11 h 39 de vélo d'après le compteur, et 12 h 45 de sortie au total en tenant compte des arrêts ravitos (5 au total). 83 tours/minutes de fréquence moyenne de pédalage, ce qui est assez bas pour moi : fatigué comme je l'étais, et contrairement à mon habitude, je préférais faire de la roue libre en descente pendant les 100 derniers km. Bref, bien crevé ce soir. Rien de mieux que les Ardennes pour vous faire mal aux jambes. 😬 Surtout lorsque des «morceaux» comme Chambralles, Amermont et la Redoute sont au programme ! J'espère poster un compte-rendu plus détaillé demain sur le sujet dédié du forum « Cyclosport ».
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Tilff-Bastogne-Tilff 2019
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Selon l'IRM, le temps sera sec sur l'ensemble du pays, à l'une ou l'autre averse isolée près. On aura donc de bonnes chances de rester au sec. Le vent devrait être faible demain. Et de secteur sud, donc on devrait l'avoir dans le dos au retour de Bastogne, mais comme le vent est par nature un grand méchant caractériel dans ces contrées, je ne m'y fie pas trop. 😕 Bonne route à tous ! -
Tilff-Bastogne-Tilff 2019
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
En effet, je pensais même te le proposer ! Au cas (peu probable mais sait-on jamais) où j'arrive au ravitaillement de Gouvy avant que tu y sois, je t'enverrai un message juste avant de repartir. Je n'attendrai pas, voulant éviter d'arriver comme en 2017 à la limite des heures de fermeture des deux derniers ravitos. Te connaissant, tu me rattraperas très vite de toutes façons. 🆒 -
Tilff-Bastogne-Tilff 2019
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Je ne me souvenais même pas que le parcours passait pile devant la gare de Gouvy. D'accord, si tu décides de venir ta compagnie sera la bienvenue, comme toujours ! :-) Si je pars du Sart-Tilman comme prévu vers 6 h 30, et si je ne rencontre pas de problème particulier, je devrais passer à Gouvy aux alentours de 13h30 - 14h30, sans garantie de précision. Le mieux serait peut-être que je t'envoie un message dès que je suis à Bastogne, tu auras alors une idée de ma vitesse de croisière. Ou peut-être devrais-je envoyer ce message avant, si les trains ne sont pas fréquents. Mieux vaut prévoir large : comme je ne suis pas sûr de tenir les délais, je préfère ne pas attendre moi-même à la gare de Gouvy. -
Tilff-Bastogne-Tilff 2019
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Ce serait d'ailleurs bien qu'on trouve le moyen, entre membres du forum intéressés, de refaire une Flèche de Wallonie "à l'ancienne" un de ces jours. Jérémie avait lancé l'idée il y a un an ou deux, je la ressors pour l'occasion ! 😆