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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Merci pour ton appréciation. 🆒 Je n'ai pas vu de chutes, mais évidemment je ne pouvais pas voir tout ce qui se passait, d'autant qu'apparemment on a été assez peu nombreux à partir, et de façon très espacée (départs libres entre 8 h et 9 h 30 sur ma distance, de mémoire). Si bien que je roulais souvent tout seul. J'ai juste vu trois cyclistes arrêtés sur pépin mécanique, deux en train de changer une chambre à air et un troisième qui attendait visiblement une assistance. Quand je me suis arrêté pour lui demander si je pouvais l'aider, il m'a dit que non et m'a montré son problème, un truc que je n'avais encore jamais vu même si j'en avais entendu parler : son corps de roue libre tournait à vide, il n'entrainait pas la roue. Évidemment, c'était imparable, et il attendait en fait la voiture-balai… Pour ce qui est de la pression à mettre dans les pneus, ça m'a paru le bon compromis pour cette sortie. La grande majorité de la rando s'est quand même faite sur route bitumée/bétonnée, bien plus que sur les pavés. Et je préfère risquer de trop gonfler que pas assez, par peur des crevaisons.
  2. S'il était Français il serait adulé avec la saison qu'il a fait Colbrelli .... C'est tellement vrai… d'autant que, encore une fois, il n'a pas vraiment «ratonné» dimanche, attaquant tout seul pour rejoindre le groupe de tête et prenant des relais quand il le fallait. Mais il a mieux su s'économiser, et c'est tout l'art d'une course bien menée.
  3. Hier, jour de Paris-Roubaix, j'ai participé à la randonnée finale du Proximus Cycling Challenge : le Kwaremont Sluitingsprijs, le Prix de Clôture de Kwaremont. Ma troisième participation à cette épreuve. https://www.kwaremontsluitingsprijs.be/fr/ Départ et arrivée à Bavikhove, commune de Harelbeke en Flandre occidentale, juste à côté de Courtrai et à une vingtaine de kilomètres de Roubaix. Autrement dit, les conditions climatiques subies par les coureurs de Paris-Roubaix auront aussi été celles subies par les participants de cette randonnée, dont votre serviteur. Mais je savais bien sûr à quoi m'attendre, ayant scruté la météo les jours précédents en quête d'un signe encourageant. En vain : pluie il était prévu, pluie il y aura eu. Mais si je devais renoncer à une rando belge à chaque fois que de la pluie était annoncée, je n'en ferais plus qu'une sur deux, au mieux. Alors j'y suis allé quand même, d'autant que ce n'était que ma deuxième (et dernière) sortie cette année dans le cadre d'une organisation officielle, la première étant Liège-Bastogne-Liège Challenge il y a quelques semaines. Entre les distances proposées, tant qu'à subir le mauvais temps, autant y aller franchement : j'ai donc choisi la plus longue, 132 km. D'autant que je trouve le parcours proposé très plaisant en soi: il commence par passer par des routes tranquilles de Flandre occidentale, puis les fameuses Ardennes flamandes par des obstacle pas piqués des vers mais généralement ignorées des grandes foules, à part deux difficultés bien connues : le Vieux Kwaremont et le Taaienberg. Puis retour à Bavikhove par des chemins de traverse étonnamment bucoliques. Je commence par partir en voiture de chez moi dimanche matin vers 6 h 45, pour arriver à Bavikhove une heure et demie plus tard. Tout ce trajet-là se fait sous une pluie battante : ça promet, décidément… Sur le site de départ, toujours la pluie : fine maintenant, mais constante et glaciale. Très peu de monde, ce qui change par rapport aux premières éditions, mais ce qui n'a rien d'étonnant : je peux bien comprendre que plutôt que de subir le temps qu'il fait, les habitués de la randonnée préfèrent encore regarder bien au chaud au fond de leur canapé les pros se farcir le même type de temps sur Paris-Roubaix ! Je me dis d'ailleurs que j'aurais dû faire de même. Tant pis c'est trop tard, le vin est tiré, il faut le boire. Je prends le départ donc vers 9 h. Les 25 premiers kilomètres sont une transition, d'abord toute plate puis légèrement vallonnée, en direction des Ardennes flamandes et du Vieux Kwaremont. Pédaler me réchauffe, et je finis par ne plus trop prêter attention à la flotte. Jusqu'à un premier secteur pavé, peu avant le Kwaremont : le Varent. Un kilomètre plat de kasseien plutôt bien jointes mais glissantes. Et pas question de prendre le bas-côté, truffé de branchages de toutes sortes, à cause du vent qui a soufflé en tempête la veille. Mais ça passe bien. Trois kilomètres plus loin, la ville de Berchem et le premier obstacle d'importance : le Vieux Kwaremont, donc. La plus longue côte pavée de Flandre et l'une des plus longues de Belgique, sur 2 km. https://climbfinder.com/fr/montees/oude-kwaremont C'est l'endroit qui me faisait le plus peur a priori : je le connais bien, je sais que les pavés y sont assez mauvais, et c'est la première fois que je le fais sous la flotte. Je «balise» donc pas mal, mais là aussi, je passe sans encombre, sans faire de glissade. Sans doute que les pneus de 30 mm gonflés à 4,5 bars, ça aide… Et les jambes tournent bien, ce qui est bon signe. Peu après le sommet, premier ravitaillement. Très peu de monde, comme au départ. Je ne m'attarde pas trop, car je me refroidis très vite. Pendant toute la sortie, seul le fait de pédaler m'empêchera d'avoir froid ! Après être reparti, longue descente vers Renaix, puis le deuxième obstacle : le Schapenberg, un mont très peu connu mais qui devrait l'être. Il est asphalté, mais il est long, irrégulier, très pentu par endroits, pour finir par un mur digne d'ascensions plus célèbres. Jugez-en: https://climbfinder.com/fr/montees/schapenberg-bierinkstraat Peu après le sommet, mine de rien, on se trouve au point culminant de la province de Flandre occidentale, le Hotond : 152 m d'altitude. L'air de rien, mais il fallait y accéder par cette route, et ça changeait pas mal de chose ! Mais encore une fois, ça s'est bien passé. Ensuite, ça se passe moins bien. Non pas une question de forme, mais de routes. On entre dans la zone de champs cultivés qui forme le cœur des Ardennes flamandes. Donc, routes étroites en béton le plus souvent, qui longent ces champs. Et ces routes sont tapissées de toute la boue qui dégringole des champs sous l'effet de la pluie : résultats, les freins couinent régulièrement à cause de la boue sur les disques, mais surtout les câbles de dérailleur s'encrassent : il devient de plus en plus difficile de passer les grands pignons et le grand plateau. Qui plus est, chaque fois que je passe un grand pignon, ça fait un bruit de crissement assez pénible. Dans ces conditions, je passe dans l'ordre le Taaienberg pavé, puis le méconnu Kortekeer parallèle au Koppenberg (dommage qu'il n'ait pas été au programme) et pour finir le Ganzenberg, le tout sans problème particulier à part ceux cités précédemment, avant d'arriver au deuxième ravito. https://climbfinder.com/fr/montees/taaienberg https://climbfinder.com/fr/montees/kortekeer https://climbfinder.com/fr/montees/ganzenberg À ce ravito, je jette un coup d'œil au vélo : couvert de sable, évidemment. Je préfère ne pas penser à ce à quoi je ressemble moi-même… Quant aux conditions météo, ce sont toujours les mêmes : pluie constante et vent qui va devenir contraire, ce que j'exècre encore plus que la flotte. Seul point positif : il ne fait pas trop froid, dans les 13°. Mais avec le temps qu'il fait, le ressenti est très inférieur… La forme est toujours correcte, mais je sens que je vais déguster par la suite. Une fois reparti, on se trouve dans une zone peu connue des Ardennes flamandes, les communes de Brakel, Zwalm et Horebeke. Et pourtant elles sont très attractives, particulièrement les deux dernières. Peu après le départ, le Valkenberg se présente. Côte citadine en plein cœur de Brakel, je l'avale très vite, en faisant la course avec un type qui me précède et un autre qui me suit. https://climbfinder.com/fr/montees/valkenberg Ensuite, à nouveau une longue «transition» champêtre, d'abord dans la magnifique vallée de la Zwalm et ensuite dans les environs d'Audenarde, avec une floppée de côtes non répertoriées mais qui commence à me faire mal aux jambes, d'autant que l'état des routes ne s'améliore pas, au contraire ! Puis j'ai droit à une vision dantesque, quelque chose que je n'avais jamais vu jusqu'à présent : une côte bétonnée transformée en véritable torrent d'eau boueuse. Et je dois grimper ça ! Croyez-moi, ça fait particulièrement bizarre, remonter un cours d'eau sale dévalant sur plusieurs centaines de mètres… Une fois au sommet, je vois la cause de cette inondation : un tuyau de drainage destiné à évacuer le trop plein d'eau des champs avoisinant. Et ça coule à flots, un vrai torrent ! Problème, ça débouche sur la route… Peu après, nouvelle vision d'horreur, toujours sur une route bétonnée, sur un replat entre deux côtes : une longue, longue flaque bien profonde, là aussi sur plusieurs centaines de mètres. Pas le choix, il faut y passer, l'eau occupe toute la largeur. Je fais une prière pour qu'il n'y ait pas de piège caché sous la flotte. Il n'y en a pas, finalement. Mais bien sûr, c'est de plus en plus difficile de changer de vitesse avec mes leviers Gevenalle… ceci dit, en forçant, ça passe toujours. Et il vaut mieux car bientôt se présente le dernier obtacle d'importance de la journée, lui aussi méconnu du grand public. Et pourtant, cette Rampe bien nommée, aussi appelée Kalkhovenberg, mérite mieux. Jugez-en: https://climbfinder.com/fr/montees/kalkhovenberg-rampe Elle est toute proche du bien plus fameux Paterberg, mais ne lui cède pas grand'chose en terme de difficulté, d'autant qu'elle est pavée, également. Là aussi, les pavés ne m'ont guère gêné, je passe comme une fleur, toujours bien aidé par mes pneus de 30… et aussi, mon braquet mini de 24/34, qui me permet de larguer dans la partie la plus pentue un type collé à mes basques depuis le début de la difficulté. (Finalement, quand j'y pense, le plus difficile pour mon vélo dans cette rando, ce n'aura pas été les pavés, mais les routes bétonnées tapissées de boue…) Juste après, le troisième et dernier ravitaillement. Toujours aussi peu de monde, toujours aussi refroidissant, je n'y passe à nouveau qu'un minimum de temps. Mais quelque chose s'y produit : la pluie commence à s'arrêter. Il était temps, après cinq heures de flotte non-stop… À part une ou deux averses courtes et peu importantes, le reste du trajet, jusqu'à l'arrivée, se fera par temps sec. Contrairement aux routes, toujours aussi humides, mais au moins elles ne sont plus pour la plupart faites dans ce *$@&% de béton… Pour ce retour, vent de face malheureusement pour moi, on fait une petite incursion en Wallonie, par les communes de Mont-de-l'Enclus et Celles, avant de se retrouver en Flandre occidente, toujours sur des routes doucement vallonnées : Avelgem, Zwevegem… et puis à nouveau le plat pays de Harelbeke et enfin Bavikove, l'arrivée. 136 km selon mon compteur, 90 tours/minutes de cadence de pédalage moyenne, 21 km/h de vitesse moyenne, soit moins vite que quelques semaines plus tôt lors de Liège-Bastogne-Liège Challenge, pourtant un peu plus long et bien plus vallonné ! Mais bon, vous pouvez deviner ce qui a fait la différence. À l'arrivée, il a toujours aussi peu de monde qu'au départ et aux ravitos : un écran géant diffuse Paris-Roubaix mais quasiment personne ne regarde. Le peu de monde présent est occupé soit à discuter de la sortie autour d'un verre dans le bâtiment-brasserie au centre du site, soit à faire ses bagages pour rentrer le plus vite possible prendre une bonne douche. Je fais partie de la deuxième catégorie : pas envie de rester à l'air libre même si c'est pour voir une course qui déjà, est de toute évidence très animée (Van der Poel venait de sortir pour rejoindre les échappés, laissant derrière lui Van Aert, Lampaert et compagnie). Je suivrai le reste de la course à la radio, dans ma voiture, après m'être changé et être reparti. Au bilan, une journée forcément mémorable, qui m'a permis de retrouver une région que j'adore et que je n'avais pas «pratiquée» à vélo depuis pas mal de temps, pandémie oblige… mais que j'aurai encore plus plaisir à retrouver dans d'autres conditions… climatiques ! 🆒
  4. Il a un lien de parenté avec Gianni? Apparemment pas. L'un (Gianni) est de Roulers en Flandre occidentale, l'autre est des environs de Gand. Le plus comique est que le père de Florian, Noël Vermeersch, est mécanicien chez Alpecin-Fenix, l'équipe de Gianni, dont le père s'appelle Stefaan selon Wikipedia. https://fr.wikipedia.org/wiki/Gianni_Vermeersch On voit sur cette vidéo (en néerlandais) Noël Vermeersch suivre le sprint de son fiston: https://sporza.be/nl/2021/10/03/bekijk-vader-vermeersch-ziet-op-de-cross-hoe-zijn-zoon-2e-wordt-in-roubaix~1633276434818/ Mais Vermeersch est un patronyme très répandu en Flandre, comme Durand ou Martin en France.
  5. Pas vu la course à la télé, j'étais moi-même sur mon vélo pour une rando en Flandre (idéal pour avoir une idée, même imprécise vu la différence d'allure, de ce que peuvent endurer les coureurs par ce temps 😬). Mais j'ai suivi une dizaine de km (à partir de 80 km avant l'arrivée, plus ou moins) sur écran géant à l'arrivée de ma randonnée, et le reste à la radio flamande lors de mon retour en voiture. Les commentateurs s'accordaient à dire que le succès de Colbrelli était mérité (mais Moscon le méritait encore plus), et qu'il passait des relais suffisamment régulièrement. Ils étaient évidemment dithyrambiques au sujet du jeune Florian Vermeersch (prononcer "Vermeers" et à ne pas confondre avec Gianni Vermeersch). Saviez-vous au juste que ce garçon fait de la politique ? Il est au conseil communal de sa ville, Lochristi (libéral flamand). À cet âge et pour un coureur pro, c'est assez remarquable !
  6. Comme prévu, j'ai fait aujourd'hui les 132 km du Kwaremont Sluitingsprijs (prix de clôture de Kwaremont), entre Bavikhove près de Courtrai et Brakel près de Grammont puis retour, en passant par les Ardennes flamandes et donc quelques belles côtes et secteurs pavés (l'un n'empêchant pas l'autre). https://www.kwaremontsluitingsprijs.be/fr/ La pluie prévue était là aussi, les 100 premiers kilomètres se sont passé intégralement sous la flotte et l'état des routes était à l'avenant. Une journée de vélo mémorable ! 🆒 Plus de détails normalement demain dans le forum «Cyclosport».
  7. Section infirmerie, suite : Annemiek Van Vleuten s'est fracturée la hanche (pubis) lors d'une chute tôt dans la course. Saison terminée. https://sporza.be/nl/2021/10/02/annemiek-van-vleuten-houdt-bekkenbreuk-over-aan-val-in-parijs-roubaix~1633202260470/ (néerlandais)
  8. Pour répondre moi-même à mes inquiétudes sur Ellen Van Dijk : apparemment elle ne souffre pas de fracture, mais elle se plaint de maux de tête après avoir quasiment perdu connaissance suite à sa chute. https://wielerrevue.nl/artikel/459251/harde-crash-nekt-ellen-van-dijk-in-roubaix-ik-ging-bijna-out (en néerlandais) Quant à Christine Majerus, elle semble ne pas avoir trop souffert de sa chute puisqu'elle termine 11e, ce qui m'avait échappé. https://lequotidien.lu/sport-national/cyclisme-deignan-simpose-majerus-malchanceuse-mais-onzieme/
  9. Oui, félicitations à toutes ces pionnières, particulièrement à Deignan pour avoir osé cette échappée et à Vos pour avoir tenté l'impossible. Mais j'aimerais avoir des nouvelles de Van Dijk et Majerus, leur chute était vraiment mauvaise, je crains que les conséquences soient graves, surtout pour Van Dijk.
  10. Pour l'ambiance de folie et la bière, pas de problème, les spectateurs flamands les amènent avec eux le long du parcours de Paris-Roubaix...
  11. Jour de congé aujourd'hui, et j'en ai profité pour faire 145 km autour de Bruxelles, dont les 126 km de la Groene Gordelroute. https://www.vlaanderenmetdefiets.be/fr/routes/groene-gordel.html J'avais déjà tenté de faire ce circuit balisé il y a quelques mois, pour me perdre plusieurs fois en cours de route. Les panneaux de balisage sont parfois faciles à rater : il suffit d'un camion garé devant, ou de quelques broussailles, ou simplement d'un moment d'inattention… J'avais fini par renoncer à le suivre et suivre mon propre itinéraire, basé sur l'ancienne Gordelroute (aujourd'hui débalisée) qui finissait heureusement par recouper celui-là. Mais j'en avais donc raté une bonne partie, c'est pourquoi je voulais le refaire aujourd'hui… avec l'aide de mon iPhone et de GPX Viewer quand je me reperdais en cours de route, ce qui est encore arrivé deux ou trois fois. Cette fois-ci, j'ai réussi à suivre le tracé dans son intégralité. Ça n'a fait que confirmer ma première impression : les endroits traversés sont souvent très agréables, parfois magnifiques, mais les routes utilisées sont très, très souvent pavées ou en gravel. Ça ne me gêne normalement pas, si c'est relativement exceptionnel sur le trajet… là, c'est particulièrement fréquent, et ça finit par devenir très désagréable quand on est un poids plume et qu'on n'est muni que de pneus de 30 de section. Pour ne rien arranger, j'ai eu des problèmes de dérailleur à mi-parcours, avec le câble qui s'était détendu… sans doute un effet secondaire des vibrations. Enfin bref, une bonne journée de vélo quand même, et sans doute une bonne préparation physique mentale au Kwaremont Sluitingsprijs de ce dimanche auquel je me suis inscrit. https://www.kwaremontsluitingsprijs.be/fr/ La distance sera plus ou moins équivalente (132 km), le terrain un peu plus vallonné (tant mieux) et si le parcours est semblable à celui d'il y a deux ans, les secteurs pavés y seront nettement moins importants qu'aujourd'hui ! 🆒
  12. Je suis certes un cas particulier, mais d'un autre côté je pense que pour beaucoup de cyclos, les développements qui leur sont fournis par défaut actuellement, même avec un plateau de 30 dents, sont inadaptés. Il me suffit de voir leurs cadences encore trop faibles dans les côtes qu'ils grimpent, alors qu'ils sont pourtant « tout à gauche ». On ne devrait pas être obligé de souffrir en côte plus que sur le plat (sauf si on a envie de souffrir bien sûr). Il y a encore du chemin à faire de ce côté. Mais j'ai confiance, ça viendra.
  13. 😃
  14. Non, il ne l'a pas adapté. Mais il est toujours possible de rouler en triple 11 vitesses, à condition de dénicher un dérailleur triple et des leviers triple compatibles. Mon montage triple actuel est ainsi : leviers Gevenalle, pédalier triple Spécialités TA Carmina 46-34-24, cassette Shimano 11 vitesses 11-34. Et ça fonctionne très bien. Quant à vouloir encore trois plateaux : dans mon cas, comme tu dois le savoir à force de le répéter, c'est parce qu'il me permet d'avoir de très petits développements, comme mon 24/34 actuel, sans (trop) sacrifier ni les grands développements ni l'étagement. Je répète quand même: tout le monde ne peut pas ou n'a pas envie de se farcir un 34/25 ou un 34/28 dans les montées sévères 😉 et dans mon cas, même des 34/34 ou 30/34 sont trop grands pour ce que je veux en faire.
  15. Je ne me fierais guère aux produits vaisselle pour ce type de nettoyage, certains ont tendance à persister sur l'objet lavé après application, même après avoir essuyé, et pour un disque (a fortiori une plaquette) ce n'est probablement pas bon.
  16. 😲😲😲 Je n'ai qu'un conseil à te donner : continue à rouler au même endroit qu'actuellement et par les mêmes conditions climatiques. Ça doit ressembler au paradis cycliste… Si tu roulais là où je roule, tes pneus — que tu uses normalement jusqu'à la carcasse — exploseraient après 10 kilomètres, et tes jantes seraient creusées deux plus vite que mes vieilles jantes à patins — qui étaient pour rappel creusées après 15000 bornes environ malgré des nettoyages réguliers.
  17. Parce que tu ne nettoies jamais tes jantes ni tes patins, toi ? 😲 Ah oui, c'est vrai, tu ne sors jamais par mauvais temps. 🤐
  18. Pour ma part, j'utilise le Finish Line Disc Brake Cleaner, ou le Bike7 Brake Cleaner. Les deux produits se valent. J'ai lu aussi que l'alcool isopropylique vendu en grande surface conviendrait très bien, mais je n'ai pas testé. http://www.finishlineusa.com/products/bicycle-degreasers/bicycle-disc-brake-cleaner https://www.bol.com/nl/nl/p/bike7-brake-cleaner-500ml/9200000088260442/ Je pulvérise directement le produit sur le disque, je laisse agir un moment et j'essuie au chiffon (qui doit être impeccablement propre et sec). Ou bien je pulvérise le produit sur le chiffon et j'essuie ensuite le disque avec, s'il n'est pas particulièrement sale. Il faut se méfier des dégraissants, parce que certains comme le WD40 sont eux-mêmes légèrement lubrifiants… ce qu'il faut absolument éviter sur tout type de freins ! J'ai testé un produit pour supprimer des couinements au freinage, le Swissstop Disc Silencer. Et oui, en effet, ça rend le freinage silencieux mais également moins efficace. Ça freine encore correctement, mais il faut actionner plus fort les leviers pour le même résultat qu'avant. Cette baisse d'efficacité du freinage est moins perceptible après un nouveau rodage des plaquettes (comme recommandé par Swissstop d'ailleurs), mais elle reste notable. Je déconseille donc ce produit! Finalement, le meilleur moyen que j'ai trouvé pour garder mes freins silencieux, c'est de nettoyer régulièrement les disques au Brake Cleaner, ainsi que les plaquettes si les routes ont été particulièrement sales.
  19. Et le chevreuil, il va bien au moins ? 😆 Blague à part, content que tu t'en sois tiré suffisamment bien pour faire ta sortie quand même. J'espère que les dégâts sur ta bécane accidentée ne sont pas trop graves. Ce qui démontre au passage l'intérêt d'avoir un vélo de rechange à disposition. Vivement que je dispose de ce luxe à nouveau (j'ai bien un autre vélo, mais je l'ai amené et laissé à Grenoble chez mes parents, à 900 km de chez moi).
  20. Bon, après tout ce cirque je vais enfin être un peu plus tranquille sur mes routes d'entrainement. Ça commençait à faire longtemps que je n'avais pas eu le Smeysberg et la Moskesstraat pour moi tout seul. 🆒
  21. Hé bien, c'est fait ! 🆒 J'aurais bien aimé que Stuyven soit sur le podium, mais il passe juste à côté.
  22. Tu peux même y ajouter Stuyven, si Van Aert cale. En plus c'est le local de l'étape. Ne reste plus qu'à attendre.
  23. Ce qui est sûr, c'est que ça grouille de types rapides au sprint devant : Van Aert, Colbrelli, Van der Poel, Nizzolo, Valgren, Pidcock, Alaphilippe, Stybar… Sénéchal me semble avoir moins de chances au sprint, pour lui il faudrait que ça se décante avant l'arrivée. Ça va se jouer entre cette quinzaine de coureurs, mais pour savoir qui va gagner parmi eux…
  24. Maintenant, je dirais plutôt que c'est Van der Poel qui paraît gros comme une maison. À part une distraction à Louvain, il n'a pas eu à rouler une seule fois aujourd'hui…
  25. Il vont faire une dernière fois le Smeysberg. Y aura-t-il la décision ?
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