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Tout ce qui a été posté par Thierry GEUMEZ
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Le cyclisme changerait il?
Thierry GEUMEZ a répondu à un(e) sujet de Claude CARRIES dans Discussions Route
Je n'ai pas vu ce freinage... Peut-être ne se sentait-il pas maître de l'assistance électrique trop puissante et qu'il a paniqué 😆 -
Le cyclisme changerait il?
Thierry GEUMEZ a répondu à un(e) sujet de Claude CARRIES dans Discussions Route
"pour revenir a tes propose Claude c'est sur que Froome n'est plus le grand Froome qui s'envolait dans le mont Ventoux en se permettant de freiner dans les virages... mais il continue tout de meme a vaincre." L'imagination de l'homme est sans limite, attendons le prochain épisode en matière de tricherie... 😃 Je rêve d'un Tour de France qui se terminerait à 37 km/h de moyenne, il me paraîtrait moins inhumain 😇 -
"mais nous sommes au XXIème siècle, pas au XVIIème" Je suis heureux d'apprendre que la nature de l'homme s'est améliorée 😕
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En toute honnêteté : plus près de Robert ou de Chris ? 😃
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Joe Dalton et ton Texan monoc.....e ont un peu le même menton ! Pour en revenir à Joachim, il a le don d'en agacer certains, mais je l'aime bien. Nous sommes tous ici pour nous montrer. Certains en roulant des mécaniques, d'autres en dénigrant leurs copains, mais la finalité est la même : échanger et être reconnu.
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Ah ! Jo (e) Dalton ? 😉
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Pas d'accord, ce n'est pas si simple. Lorsque j'ai fait la Marmotte (il y a 15 ans), il m'a fallu une semaine pour récupérer. Indépendamment de la vitesse, je n'aurais jamais pu terminer un Tour de France. Nous ne sommes pas égaux...
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Desolé, je suis bouché ou pas sur la même longueur d'onde, mais j'ai rien compris à ta vanne 😳
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Est-il permis de se demander si les hautes instances de l'UCI ont reçu un remerciement de la part des équipementiers ? Ceci dit, il ne faut pas qu'une approche passionnelle et passéiste occulte les avantages d'un système qui doit encore mûrir.
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Mon expérience ne rejoint pas ton affirmation concernant les problèmes de freinage sur le mouillé : j'aime le pilotage en descente et ai donc tendance à freiner tard; le temps de séchage des jantes rend les distances de freinage aléatoires et j'ai failli sortir de la route quelques fois; l'adhérence des pneus n'était pas en cause, il n'y a pas eu glissade. C'est la seule circonstance qui pourra me faire hésiter pour mon prochain vélo parce que pour les autres aspects de la question, le frein à patin réunit beaucoup d'avantages. Plus de sécurité 2 ou 3 jours par an à mettre en balance avec une petite perte de vivacité toute l'année...
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Jo un criminel ? Peux-tu m'instruire ?
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Je crois que tu ne dois pas te tracasser pour la disponibilité des pièces avant quelques années
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Le freinage à disque est plus lourd et plus cher. De plus, l'offre en matière de roues est moins fournie. Techniquement, le frein à disque est plus puissant et conserve son efficacité par temps de pluie. Difficile de spéculer sur l'avenir du frein traditionnel. Actuellement, ressens-tu un manque d'efficacité avec tes patins ?
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Allez Alexandre, ne fais pas ton jaloux, reconnais qu'au fond (tout au fond) de toi, tu l'admires éperdument ! 😆
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Grosse semaine ! Ca va te faire l'équivalent de 3 Marmottes, au moins ! Tu sembles avoir de belles facultés de récupération... Tu tiens la forme, y'a pas à dire 😉
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"mais a mon avis il faut un brin de folie pour ce lancé a tombeau ouvert" C'est certainement ce que pensent tous ceux qui se font dépasser dans les descentes. Moi qui me sent à l'aise (jusqu'à environ 70 km/h, au-delà, je suis très concentré et devient plus méfiant) quand il fait sec, j'en double une grande quantité qui descendent "lentement", les mains aux cocottes... et je me dis : "ils ont l'air d'avoir peur". Ou se situe la limite entre l'aisance et la témérité ? La peur est-elle toujours synonyme de prudence ? Par contre, il y a une "justice" : les gars que je double dans les descentes me repassent souvent dans les montées, parfois l'air narquois, c'est leur "vengeance" 😆
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La tienne du dragon, c'est très pentu mais très court, mais je retiens quand même. J'hésite toujours un peu à m'aventurer à Wasmes, pas à cause du dragon qui hantait autrefois ses marécages... mais parce que les conditions de circulation y sont compliquées : les rues, souvent à sens unique, forment un dédale inextricable dans lequel je me retrouve rapidement à tourner en rond... Je pense que finalement, la première condition pour être performant sur une épreuve, c'est de l'avoir dans la tête, il faut être hyper motivé. A partir de là, on s'entraîne, on s'entraîne et on s'entraîne encore, de manière quasi obsessionnelle, et toutes les côtes peuvent faire l'affaire. A la limite, le gars qui en veut vraiment se prépare sur son HT, roue avant surélevée pour simuler la pente et habituer son corps à la position, et gros braquet ou grosse résistance pour tourner les jambes à 70-75 tr/min. C'est sans doute cette motivation qui me fait défaut... actuellement en tout cas.
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"j'ai testé sur le HT sur une séance en hyper force. Le paradox avec ces plateaux c'est que ça tourne rond" "moi je conseille.....surtout pour ceux qui ont une mauvaise technique de pédalage (sans travail de cheville) et ceux qui ont de la force " Peut-on en déduire que les plateaux ovales auraient moins d'intérêt pour ceux qui pédalent souplement et en vélocité ?
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Tu insistes sur la précision de la direction, ce point m'intéresse (j'ai tâté du circuit à moto, mais pas en compétition 😉). Quelle est la taille de ton C60 ? Ça me permettra de voir l'angle du tube de direction
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Etriers de freins skeleton campagnolo
Thierry GEUMEZ a répondu à un(e) sujet de Eric FAVREL1639476564 dans Le matos
Je te parles de freinage en descentes mouillées et tu me réponds adhérence en virages... Je suis bon descendeur sur le sec, mais sur le mouillé, les distances de freinage deviennent aléatoires et ça me dérange. Si ça ne t'a jamais gêné, je te soupçonne de ne l'avoir jamais expérimenté 😉 -
Etriers de freins skeleton campagnolo
Thierry GEUMEZ a répondu à un(e) sujet de Eric FAVREL1639476564 dans Le matos
Ça freine bien... sur le sec. Dans les descentes mouillées, le problème vient plutôt des jantes qui doivent d'abord sécher avant de permettre le ralentissement. Sur un an, ça ne m'arrive que 2 ou 3 fois, mais c'est flippant quand même. Je me laisserai peut-etre tenter par le disque sur mon prochain vélo. -
Nous essayons surtout de nous rassurer en imaginant que nous maîtrisons notre vie en adoptant tel ou tel comportement. Mais la finalité est toujours aussi angoissante, il faudra y passer...
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"Mais les 4 500 iront surement plus volontiers dans les études de mes gosses" Heureux d'apprendre que tu étais papa ! 😄 J'ai roulé sur un Colnago pendant 9 ans. Un "Superissimo" en acier Colombus et dont la peinture "Art Decor" m'avait séduit... Il passe maintenant une retraite (plus que) tranquille sur mon HT. Je suis toujours un peu effrayé par le prix des vélos "haut de gamme". Un C60 me tente, même si je n'ai pas le moteur pour l'exploiter, et puis, la raison l'emporte... 😢
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VAE dans les pelotons
Thierry GEUMEZ a répondu à un(e) sujet de Daniel CLERC dans Les évènements route
Je lis avec intérêt les arguments des uns et des autres. Ce qui me frappe, c'est le côté passionnel de la discussion. Alors, pourquoi les cyclos équipés d'un vélo "furtif" nous irritent-ils ? En quoi nous estimons-nous lésés ? Sommes-nous agacés d'être dépassés par une voiture ou une moto ? Evidemment pas ! Parce que nous savons dès le départ qu'il n'y a pas dans ce cas un "combat à armes égales". Il semblerait que le problème se situe précisément là. Lorsque nous roulons en groupe (à plus que un), nous ne pouvons nous empêcher de nous mettre en situation de compétition, même en dehors des courses, et nous aimerions que la lutte soit équitable, sans que quiconque bénéficie d'un avantage par rapport à ses "adversaires". Je ne peux m'empêcher de penser qu'il y a quelque chose de paradoxal dans ce souhait de gagner sans commencer la lutte avec un avantage... Nous ne naissons pas égaux, certains sont plus grands, plus forts, plus intelligents... Dès lors, quel est l'enjeu des compétitions ? Dans beaucoup de sports, il existe des catégories de poids, ou des handicaps, de manière à réduire les inégalités. Mais si le plus fort gagne, quel est son vrai mérite, pourquoi l'admirons-nous "malgré tout" ? Je n'ai pas la réponse à ces questions, je les laisse m'interroger. Et que tous ceux qui s'énervent d'être doublés par des VAE se consolent en se rappelant qu'ils ont été le spermatozoïde le plus rapide de leur groupe... -
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