David PAUTHIER1639476555

Haig et Gallopin, j'aurais pu les ajouter effectivement; soit 12 coureurs pour 5 places. C'est compliqué entre ceux qui vont prendre 2 min sur le clm et ceux qui vont prendre 2 min sur le Turini,... un pronostic est compliqué.

Les étapes qui figent le classement général n'ont pas commencer, et le 30ème du classement est déjà à 8min. Qui peut encore prétendre à une place dans le top 5 du classement général? Kwiatkowski, Bernal, Bardet, Molard, Quintana, Keldermann, Bennett, Zakarin, Teuns, Jungels,... Et si la surprise du top 5 venait de Félix Grosschatner!

Bonjour, F1-Julian Alaphilippe F2- Primoz Roglic F3- Thibaut Pinot F4- Adam Yates F5- Tim Wellens Joker: Geraint Thomas Team "les Braqueurs" Cordialement.

Bonjour, F1- Michal Kwiatkowski F2- Bob Jungels F3- Wilco Keldermann F4- Dylan Teuns F5- Egan Bernal Team: "les braqueurs" Cordialement.

Degenkolb, est-il à ranger dans les "top sprinteur"? Dans "top sprinteur", je pense à des coureurs gagnant 10 à 15 sprints par an, avec une forte probabilité de victoire et une concurrence significative. Degenkolb ne fait pas parti de cette race-là, Groenewegen oui. Plusieurs victoires, la même année sur un grand tour classe un sprinteur. Alors, tu me diras, Certes, il a cumulé 10 victoires sur 3 vueltas. Mais, la concurrence était peu dense. Et, pour mémoire, entre Kittel et Degenkolb, son équipe avait réparti les rôles,... en fonction des qualités intrinsèques des coureurs. Degenkolb est certainement le meilleur sprinteur parmi les spécialistes des courses d'un jour, et, le meilleur coureur de classiques parmi les sprinteurs. On peut affectivement, à la limite, aller dans ton sens. Mais, Degenkolb n'a jamais préparé spécifiquement les sprints comme le fait Groenewegen, et, Groenewegen n'a jamais rien préparé d'autres spécifiquement que les sprints. Et, je l'avoue, j'adore Degenkolb. J'ai aimé sa victoire à Roubaix, comme j'aimerais que Stybar ou Sénéchal gagne, un jour, à Roubaix.

Bonjour, F1-Caleb Ewan F2-Sam Bennett F3-André Greipel F4-Dylan Groenewegen F5-Arnaud Demare Team "les braqueurs"

As-tu déjà vu un pur sprinteur, Groenewegen, gagner Paris-Roubaix? L'entrainement pour Paris-Roubaix est trop différent de celui d'un sprint. Le team Jumbo paie Groenewegen pour gagner des courses au sprint. Et, je partage l'avis selon lequel, il est beaucoup trop tôt pour parler de Paris-Roubaix.

Michel, entre un sprint et une victoire sur Paris Roubaix, il y a l'univers.

Bonjour, F1-Simon Yates F2- Miguel-Angel Lopez F3-Jon Izagirre F4-Romain Bardet F5-Wilco Keldermann Joker: Egan Bernal Tealm "les braqueurs"

Bonjour, F1- Tim Wellens F2- Julian Alaphilippe F3- Greg Vab Avermaet F4- Tiesj Benoot F5- Jacob Fuglsang Team: les braqueurs

Je tempérerai un peu l'enthousiasme concernant la victoire de Bob Jungels. Deceuninck a une telle supériorité relativement aux autres équipes belges, que lorsque cette équipe se présente sur une semi-classique, avec 6 ou 7 autres équipes "world tour", la course est déséquilibrée. Et dans ce cas, lorsque que Deceuninck prend la course dans le bon sens et garde l'initiative, cette équipe gagne souvent. Sur Kuurne-Bruxelles-Kuurne, Florian Sénéchal, Yves Lampaert et Zdenek Stybar auraient surement fait un aussi beau vainqueur. Je vous rejoins sur les qualités de Bob Jungels. Je saluerais même son opportunisme et sa science de la course. Avant de dire que Jungels est un "flandrien", j'aimerai le voir sur le E3 et A travers les Flandres sur lesquels le plateau est beaucoup plus relevé

Bonjour, quelle erreur ai-je fait?

Bonsoir, je veux bien participer à un team. Rémi Rochelet m'a proposé de participer avec lui. je ne sais pas s'il reste de la place. Cordialement.

Peut-on participer à la fois en individuel et en équipe?

Bonjour, je propose: 1-Philippe Gilbert 2-Tiesj Benoot 3-Greg Van Avermaet 4-Greg Van Avermaet 5-Zdenek Stybar

J'habite Lyon. Les vents peuvent venir du sud, du nord et de l'ouest. Lorsque je roulais beaucoup, 2000 km/mois, je m'en foutais, puisque généralement, nous roulions à trois, avec deux amis professionnels, et que ce n'est pas moi qui faisait le parcours. Mais, sauf vent très fort, l'idée était plutôt de rentrer vent de face. De toute façon, quand on était en retard, ils leur arrivaient de rouler, vent de face, à plus de 45km/h. Après le vent n'est plus un problème, car avec l'entrainement, lors des sorties (sans les "pros"), lorsque le vent commençait à me peser, je me remotivais en regardant la "tronche" des autres.😆 Depuis que je ne roule plus beaucoup, 600km/mois, je pars vent de face et je rentre vent dans le dos. Et surtout, je suce les roues.🆒 J'ai deux souvenirs particuliers. Sur une cyclosportive, nous nous sommes retrouvés un jour de grand vent, à trois en tête, à se relayer à fond, pendant les 15 derniers kilomètres, à 17 km/h. Le second souvenir est la traversée de la Camargue, entre Aiguemorte et Arles, 41 km, sans aucun abri, avec un vent de 3/4 face soufflant à 90 km/h, lors d'un brevet de 600km pour PBP. En arrivant à Arles, j'étais heureux d'en avoir fini avec cette portion. A la sortie de Arles, j'ai déchanté, le vent était de face.

Je réponds un peu tardivement. Le tour du lac d'Annecy n'est, à mon sens, pas du tout intéressant,... sauf en vélo de ville avec madame. La piste cyclable est obligatoire et beaucoup trop dangereux. Certaines montées sont "cultissime": la côte de Domancy (championnat du monde 1980). Certains parcours sont des classiques: Praz sur Arly, Sallanches, Ugine, Côte de Romme, Le Reposoir, Col de la Colombière, Saint de Sixt, Col des Aravis, Flumet, Praz sur Arly. Certains parcours sont inconnus, mais valent vraiment de détour: -Praz sur Arly, Ugine, Faverges, col du Tamié, Frontenex, Gilly sur Isère, col du vorger, Thénésol, Césarches, Col de Césarches, Col de la Forclaz de Queige, Route forestière de Cohennoz, Cohennoz, Flumet, Praz sur Arly. -Praz sur Arly, Flumet, Col des Aravis, Saint Jean de Sixt, Entremont, Col des Glières, Thorens Glières, Naves Parmelan, Dingy Saint Clair, La balme de Thuy, Thones, Col de la Croix-Fry, col des Aravis, Praz sur Arly. Près d'Albertville, l'enchainement col du Pré et Cormet de Roseland vaut vraiment le détour. Une mention spéciale également pour le col des cyclotouristes, au départ de Conflans (Albertville). Le col des Saisies n'est pas très intéressant. Après, il y a le col de l'Arpettaz. La montée est à faire par le versant ouest, car la route est en trop mauvais état pour être descendue de ce côté. Et comme il faut descendre du vélo, je te propose l'ascension du mont Veyrier (au dessus de Veyrier du lac). La vue, à partir de l'esplanade du téléphérique du mont Veyrier, est exceptionnelle. Le téléphérique a disparu depuis 1984, mais l'esplanade existe encore.

Et, Florian Sénéchal?

Un excellent site pour choisir au mieux ses brevets: http://jeanpba.homeip.net/?page=90&onglet=1&annee=2019 Jean Philippe met à son jour, régulièrement, la liste des brevets. A titre personnel, je considère que PBP est un défi dont le support est le vélo. Mais, à chacun son défi. En 2003, un couple a décidé de faire PBP, en tandem, pour fêter son départ à la retraite. Ils ont dormi les 3 nuits dans leur camping-car. Lui était cycliste; elle pas beaucoup. Ils étaient rayonnant de bonheur, quand je les ai vus dans la forêt de Gambaiseuil, avant l'arrivée. En 2007, mon défi était de réaliser l'épreuve, sans dormir, et surtout sans produit pour ne pas dormir. En 2007, un copain de club a fait, à nouveau, PBP, après une tumeur au cerveau nécessitant une opération avec ouverture du crane. Je pense que PBP ne se résume pas à 1200 km. C'est plusieurs mois (Bernard nous dit depuis novembre précédent; je suis d'accord) de préparation et de gamberges, des brevets avec des copains,... Et, surtout, je conseille de s'asseoir tranquillement la veille de l'épreuve, pour voir tous les cyclistes, français et étrangers, les vélos "spéciaux"; l'émerveillements est sans fin. De même, même si le sommeil vous prend, voir les visages et les corps à l'arrivée vaut également le détour. Mon meilleur souvenir est certainement, pendant la première nuit de 2011, entre Tinténiac et Becherel, lorsqu'un italien est venu me voir. Il avait lu à la fois mon CR de l'épreuve de 2007, puis mes CR de la préparation de 2011, et, il voulait me parler. Il m'a expliqué qu'il était venu sur l'épreuve à cause de mes CR. Et, il m'avait également expliqué qu'un professeur de français les avait traduit en italien, et, qu'ils avaient eu une large diffusion parmi les cyclos italiens. Ca m'a ému, non par narcissisme, mais juste pour avoir transmis des émotions et une passion. Emotion... Tout participant se souvient forcément, avec émotion, du moment où après 1200km, le rond point des droits de l'homme apparaît au fond de la ligne droite,... la dernière ligne droite.

Nous assistons au début prometteur de Tadej Pogacar, 20 ans, en WT, après sa victoire sur le tour de l'avenir 2018, et son très beau tour de Slovénie 2018.

Je pense que Sky (le sponsor) ne choisit pas entre Froome et Thomas. Ce sponsor veut gagner le Tour avec un coureur anglais. Or quel est le mieux placé? Si on se limite aux résultats, Froome semble très bien placé. Mais, la façon ne rassure surement pas Sky (team et sponsor). La veille de l'étape 19 du Giro 2018, qui pensait encore la victoire possible pour Froome? Personne. Parieriez-vous que même, la veille de cette fantastique étape, les membres de son équipe y croyait encore?... Cette étape tient davantage à l'orgueil du champion blessé que du coureur physiquement au top. Sur le Tour, il n'a jamais semblé en mesure de peser sur la course. Quant au dernier contre-la-montre, l'orgueil du champion blessé y est à nouveau pour beaucoup. Thomas, n'a jamais été en danger que ce soit sur le Dauphiné ou le Tour. Il fut d'une sérénité sans faille. Si l'objectif du sponsor est de gagner pour la dernière année le Tour, croyez-vous qu'il soit possible de faire confiance au seul Froome? "On" me dit l'adversité sera de faible qualité, sur le Tour. "On" (mais pas les mêmes on) me dit toujours qu'il faut se méfier des certitudes. Il est vrai que Dumoulin a annoncé qu'il souhaitait se concentrer sur le Giro. Attendons la réalité de son programme de début de saison, pour se faire une opinion. Concernant Romain Bardet, Pinot, le trio de Michelton, attendons également. Un programme de course parle davantage que des mots.

En 2018, Thomas a gagné le Tour, sans discussion possible. Si on observe les victoires de Froome, Giro 2018, Tour 2017, Tour 2016. Certes il gagne, mais sa domination est loin d'être sans partage. Or, quel est le seul objectif de l'année pour Sky? Le Tour. L'équipe Sky, peut-elle dans ce cas se présenter au départ du Tour, pour sa dernière année de sponsoring, sans mettre toutes les chances de son côté? Bien sûr que non. Par ailleurs, Froome aura 34 ans, un âge bien avancé pour prétendre à une victoire certaine sur le Tour. Par ailleurs, Thomas a signé tardivement chez Sky, son nouveau contrat. Il y a surement négocié des clauses dont la possibilité de pouvoir défendre ses chances sur le Tour. Par ailleurs, tous coureurs rêvent de gagner le Tour. pensez-vous que Thomas, après avoir touché le graal une fois laisserait sa place... Surtout après une telle domination! Gérer l'abondance n'est jamais simple. Gérer la pénurie, c'est pire.

En 1987, Charly Mottet courait avec des chaussures "Rivat".

Effectivement entre Cohennoz et Crest-Voland, la route était mal goudronnée.

Bonsoir Bernard, Le siège du club est toujours rue du bœuf à Lyon. Pour ceux qui ne connaissent pas, CT Lyon est propriétaire de son siège social, situé en plein cœur du quartier Saint Jean (le quartier historique de Lyon). Je me souviendrais toujours de mon premier Lyon-Mont Blanc, en 1993. Le samedi, Saint Priest-Combloux, par le col de la Chambotte, col du Frêne, Le col de la Forclaz de Queige, et la route forestière de Cohennoz (235km). Dans les 30 derniers Kilomètres, j'ai perdu 35mn. Pendant ces 30 derniers kilomètres, je n'ai fait que me répéter, "le vélo, c'est pas fait pour toi". A l'arrivée, j'ai cherché en vain une âme charitable pour m'emmener à la gare. Le dimanche, Combloux-Saint Priest, par les gorges de l'Arly, le col du Tamié, Allevard, le col du Coq, et, toutes les montées entre Saint Laurent du Pont et Bourgoin-Jallieu (275km). Il y a plus pendant toute la journée. la descente du Col du Coq jusqu'à Saint Laurent du Pont furent un enfer. Michel L., qui me précédait dans la descente, tremblait tellement que même son vélo tremblait. A l'arrivée, je gagne l'étape... Donc, j'ai continué le vélo. Lyon-Mont Blanc cyclosportif, c'était une aventure. 110 cyclosportifs sur un tel parcours, donc pas de suceurs de roue au départ!