David PAUTHIER1639476555

Sur la Vuelta 2017, la jeunesse, voire l'extrême jeunesse, n'a pas pénalisé l'équipe. J'avoue qu'il s'agit de mon équipe préféré. Et, j'avais déjà écrit que la transformation de l'équipe de Kittel/Degenkolb (sprinteurs) à Dumoulin (complet) est un modèle du genre. Pour être complet, mon coureur français préféré est Hubert Dupont, aussi pour des raisons amicales. Il fait son 11ème Giro.

Vous m'avez mal compris. La moto était mal garée. Mais, il reste qu'un coureur heurte la dite moto; il s'agit de Keldermann. C'est tout. je n'est pas dit qu'il était responsable. Cordialement.

Je suis d'accord avec vous, concernant le potentiel de l'équipe Sunweb, notamment en contre-la-montre par équipe. Sauf que le Tour de Rhône-Alpes-Isére n'est pas une épreuve pour grimpeur, et, que grimper chez les amateurs n'est pas forcément un gage pour grimper chez les pros. Ofstede n'est d'ailleurs pas un grimpeur.

Je rappelle que, lors de la chute qui a pénalisé la Sky sur le Giro 2017, c'est Keldermann qui heurte la moto. Il s'est fracturé la main de mémoire. Par conséquent, Keldermann aux abonnés absents, c'est bien malgré lui. On peut juste dire que la Sunweb 2017 et 2018 a le même niveau au départ.

"...et son équipe est beaucoup plus forte que l’an dernier." Pour les étapes de montagne, -en 2017: Keldermann, Geschke, Ten Dam -en 2018: Oomen, Vervaecke, Ten Dam. Par conséquent, pas plus forte.

Depuis le début de la saison, les équipiers sont moins présents dans le final des courses. Si Milan-San Remo, Le Tour des Flandres, Paris-Roubaix, et Liège-Bastogne-Liège ont eu un grand vainqueur; le déroulement ne fut pas habituel. Le vainqueur a systématiquement attaqué lorsque les équipiers des autres favoris se sont effacés. Après l'attaque, le groupe de chasse a été systématiquement incapable de s'organiser. L'incapacité à s'organiser résulte d'un schéma dans lequel certains leaders s'étaient enfermés depuis plusieurs années: le dernier équipier accompagnait son leader jusque dans les derniers kilomètres. Liège-Bastogne-Liège et la Flèche Wallonne ne se sont pas terminés par une course de côte, avec un peloton de plus de cent coureurs au pied de la dernière ascension. A quoi devons-nous ce changement? Peut-être à une coincidence, mais plus surement au passage de 8 à 7 coureurs. De même, Paris-Nice me semble assez symbolique du changement dans le déroulement de la course. Si la prise de pouvoir de S.Yates était logique, la stratégie du DS de Michelton semblait figé dans un vieux schéma. Les étapes stratégiques ont laissé au prise les leaders sans équipiers, dans le final. Quand Soler est sorti, S.Yates aurait dû immédiatement réagir, sans laisser le soin à ses derniers équipiers d'assumer une vaine poursuite. A l'opposé, sur le Tour des Alpes, Pinot a su, dans la dernière étape assumé son rôle de leader de la course. Alors, le Giro se profile. Nous allons donc assister au premier grand tour avec des équipes de 8 coureurs au lieu de 9. Allons-nous assister à une course plus débrider? Allons-nous remplacer la victoire des puncheurs, déposer par les équipiers à deux kilomètres de l'arrivée dans l'ascension finale par la victoire de véritables attaquants? Une équipe de 8 coureurs pourra-t'elle maitriser un peloton complet pendant 3 semaines? Si on se réfère au course WT, cité plus haut, le vainqueur a pris des risques (en n'attendant pas le dernier kilomètre), sa victoire n'était pas une surprise, et, son équipe était très forte. Sur ce Giro, parmi les participants, quel coureur a à la fois le potentiel physique, le caractère pour attaquer et une équipe puissante? Dumoulin (Sunweb), Lopez (Astana), Pinot (Groupama), Chaves et Yates (Michelton), Froome (Sky), Aru (UEA),... Et puis j'y ajouterais bien une grosse cote, Wellens (Lotto). A ce jour, nous avons des certitudes sur l'état de forme des protagonistes. sauf sur Chaves. Est-ce l'organisateur qui décide d'attribuer le "1" de Michelton à Chaves plutôt qu'à S.Yates. Nous savons, depuis, le Tour des Alpes, que Froome et Aru ont encore des "réglages" à faire. Nous savons que Lopez est en grande forme, qu'il sait attaquer, et, que son équipe est exceptionnellement forte. Nous savons que Dumoulin n'est pas un attaquant né, mais qu'il est un défenseur acharné. En effet, l'an passé, il n'a perdu qu'une minute sur l'ascension du Stelvio seul contre le groupe des favoris; quel démonstration de force! Et Pinot,... N'est-il pas en forme un peu tôt? Quand à ma grosse cote... Wellens ne nous a jamais rien montré sur un grand Tour; il a peu de référence sur des grandes étapes de montagne; ses références contre-la-montre sont quasi-inexistantes, mais... J'observe qu'il sera accompagné, pour les étapes de montagne par Vanendert, Armée et Van der Sande. Ne pourrait-on pas croire que la direction sportive de l'équipe ne nourrit pas un secret espoir? Dans quatre semaines, nous saurons.

J'ai également la trilogie "échappées belles". Vous me direz ce que vous en pensez, après lecture. Lorsque j'offre un cadeau à quelqu'un, j'offre très souvent "L'aigle sans orteils", car cette BD porte beaucoup de valeurs sociétales. Cordialement.

A titre personnel, j'en suis resté à "l'aigle sans orteils" de Christian Lax, une superbe histoire. "L'écureuil du Vel'd'Hiv" et "Pain d'alouette" du même auteur sont très bien, mais pas dans l'esprit Joe Bar Team.

Bonjour, je suis nouveau sur le forum. J'ai 48 ans. Après avoir fumé 2 paquets de cigarettes par jour pendant 20 ans, je me suis mis au vélo depuis 1 an. Je suis grimpeur; 1,68m pour 82kg. J'ai mis un pédalier sub-compact 46x30, avec une casette Sram Force 10x42. Je suis très satisfait dans les vallonnements autour de chez moi. J'habite Chilleurs aux bois. Toutefois, les copains me lâchent en descente. Puis-je envisager de remplacer le gros plateau de 46 par un 56? Est-ce compatible?

Les trois coureurs sur le podium ont fait une superbe course, chacun avec leurs qualités. Benoot méritait de gagner sa première course; Bardet a eu un comportement plein de panache sur un terrain pas à sa convenance; Van Aert, puissance et sérénité. J'ajouterai à ce tableau d'honneur Matej Mohoric, qui trouve la ressource de gagner le lendemain

Ils ne faut pas parler du chauvinisme des français; il faut juste parler de "supporter". Et, il n'y a rien de moins objectif qu'un "supporter". Alors, juste pour les "supporters français"... Wout van Aert? En 2017 c'est 27 jours de courses sur route, 9 podiums dont 3 victoires. Sur les semi-classiques et kermesses belges, c'est 6 podiums pour 9 participations. Personnellement, le comportement de Van Aert, sur les Strade Bianche, samedi dernier, m'a fait pensé à Tom Boonen sur Paris-Roubaix 2002. Il ne finira pas forcément avec le même palmarès, mais... J'ai d'ailleurs échangé avec deux ex-pros, séparément depuis, eux-comme moi, ils ont vu Romain Bardet "faire le drapeau" dans la roue de Van Aert. Surement que Paris-Roubaix et le Tour des Flandres sera trop long pour cette année. S'il a, d'ailleurs, fait pitié à certains forumers, je suis certain qu'il n'a pas du tout fait pitié à Marc Sergeant (Lotto) et Patrick Lefévère (Quick Step).

Devant tant de donner, je suis perplexe. Sans entrer trop dans le détail, un cadre de 56 pour 1,83m, c'est tout sauf trop petit. Tu dis être passé d'une potence de 130, puis 110, puis 100; sans changement notable sur le mal de nuque/épaule. Aujourd'hui, ton vélo est trop court. Alors que tu nous dis que tu es trop allongé !?! Alors, avant de continuer à te poser des questions sur le sexe des anges, il faut revenir à des choses simples: -un mal à la nuque ou/et entre les épaules est souvent la cause d'une largeur de cintre inadaptée. -les mains en bas du cintre est une position adoptée par les coureurs "vu à la tété"(pros) et les coursiers. En même temps, tu dis faire du vélo depuis un peu plus d'un an et avoir perdu 10kg,... les mains sur les cocottes sont déjà une position plus adaptée à un cyclo (sans aspect péjoratif). -Quand tu auras réglé tes problèmes de position, tu pourras penser à acheter un nouveau vélo. Amicalement.

J'aime les flandriennes, car la tactiques, la stratégie et le collectif y jouent souvent un grand rôle. A ce titre, quelle influence le passage de 8 à 7 coureurs par équipe, va-t'il avoir? En tant que collectif, je regarderais la Quick Step où chaque coureur peut être un vainqueur potentiel; Sunweb, avec trois têtes (Matthews, Andersen, Theuns) et des coureurs expérimentés (Curvers, ten Dam et Stamsnijder). Après, le comportement collectif de la Fdj est à regarder dans l'optique de Paris Roubaix. A titre personnel, je suivrais De Buyst et Andersen, et j'attendrais dimanche pour voir Laporte et Sénéchal.

Sur le même sujet, traité sur un autre post, tu m'as maintenu qu'un an après la sortie, 1985, des pédales automatiques, 3/4 du peloton était passé aux pédales automatiques. Je t'ai répondu que 2 ans après, soit en 1987, une multitude de coureurs pro utilisaient toujours des pédales à cale-pieds (vérification faite, plus de 75%, sur le Tour de France). La réponse ne te convenait pas; tu as décidé qu'elle était dénué de tout intérêt. Il me semble alors vainc d'essayer de t'enseigner les rudiments de la résistance des matériaux. Mais, comme tu habites visiblement en Vendée, demande comment la coque d'un bateau est construite sur les Chantiers de l'Atlantique par des ingénieurs en mécanique. Après, nous en reparlerons. Si ça te plait d'être simpliste, libre à toi, mon ami. (Il est vrai que lors de notre rencontre sur le RPE que tu as fait, tu n'as pas brillé par ta capacité à dialoguer ou ton ouverture d'esprit).

Mince, il faut donc remplacer le cycliste, en premier😆.

Il suffit d'avoir accès au SAV des fabricants de roues. Mavic recense 50 casses de roues, dont 75% sont avec des jantes carbone. Mavic ne parle pas de roues ayant parcouru trop de kilomètre donc fatiguées, ou ayant subi un choc. Il serait très intéressant de connaître la différence concernant les tests de rigidité sur des roues, carbone ou aluminium, lorsque la jante est à 20°C ou à 120°C, par exemple. Dans l'industrie, ce genre de test est pratiqué couramment; les industriels du cycle les font forcément également, sans en donner le résultat. Sauf que quand une roue est limité à des cyclistes de moins de 75kg et à moins de 90km/h, il y a forcément une raison. Croyez-vous réellement que les accessoires (cadres, roues, cintres, pédaliers) sont dessinés par un designer comme ça, parce qu'il trouve ça joli, et, qu'il pense que ça va se vendre. Je vais vous décevoir, la réponse est non. Je raconte régulièrement, l'histoire du Scott Endorphin, premier cadre VTT carbone mis sur le marché par Scott. Le principe était simple, pas de haubans, de très grosse base, dont l'élasticité devait permettre d'absorber les chocs en se déformant. une première série de 200 cadres ont été faits, pour autant de casse dans le premier mois d'utilisation. A l'époque, il n'y avait pas d'étude de résistance des structures. Aujourd'hui, ça n'arriverait plus.... Mais tout matériau a ses limites. Croyez-vous qu'une voiture passe les crashes tests par l'esprit du saint esprit? Bien évidemment non. le vélo, c'est pareil. Pour continuer dans la comparaison avec la voiture, il est facile de constater que certains automobilistes descendent les cols sans jamais lâcher les freins. Croyez-vous que quelques soit la façon de conduire, les disques de freins sont à la même température en bas du col? Evidemment non! Pour le vélo, c'est pareil. Entre un pro et un pinpin, rien à voir. Par ailleurs, combien de roues carbone les équipes pro utilisent-t'elles chaque années? (les archives videos de l'équipe AG2R te donneront la réponse). Cordialement.

Freins à patins ou freins à disques ? Ce débat est stérile, car il se résume à comparer le poids des systèmes, la puissance, l’esthétique et l’aérodynamisme. Si le système de freinage d’une bicyclette était optimum et ne posait pas de problème, il n’y aurait pas de tentative soit pour l’optimiser, soit pour le modifier radicalement. Alors, quel est le principal problème posé par les patins de frein ? Les contraintes thermiques. En effet, lors de la descente d’un col, la température de la jante peut allégrement dépassée les 100°C, certains fabricants de roue vont jusqu’à parler de 200°C. La conséquence est des éclatements de pneus, de chambres à air, des jantes aluminium qui perdent la quasi-totalité de leur capacité mécanique,… Et j’arrive au plus intéressant. Une jante carbone est composée principalement de fils de carbone et de résine époxydique. Or, la résine époxy commence à ne plus être à l’état solide à partir de 50 à 55°C. Mavic, qui fait l’assistance technique des étapes du Tour cyclo, constate une 50 casses de roue à chaque édition, dont 75% composé de jante carbone. Pendant longtemps, une bicyclette est restée une machine mécanique archaïque. Aujourd’hui, et plus encore demain, une bicyclette naîtra sur un logiciel de modélisation et de calcul des contraintes mécaniques, tel Abaqus ou Ansys, manipulé par un ingénieur mécanique pour lequel le critère premier d’une innovation n’est pas le marketing, mais la RDM (résistance des matériaux). Le poids, la puissance, l’esthétique et l’aérodynamisme,… ça s’est du marketing. Pour étendre un peu le débat, la diminution des contraintes sur l’ensemble constitué par la jante, la chambre à air et le pneu, va permettre de travailler sur la forme de la jante, voire les rayons,… pour améliorer le rendement. Pour élargir un peu plus encore, électriques ou mécaniques pour le dérailleur ? Le dérailleur électrique s’imposera forcément, car en passant en 30 ans de 5 à 11 vitesses, dans le même espace, la déformation (allongement) subies par le câble dans le système mécanique, lors du changement de vitesse, ne permet plus d’assurer le changement de vitesse avec la précision et la vitesse nécessaire (il s’agit encore là d’une question de RDM). Pour terminer, la plus importante dissipation d’énergie lors du pédalage vient de la chaine. A quand son remplacement ?

Tu écris dans ton premier post, "en un an, les 3/4 du peloton était passés des cale-pieds au pédales automatiques." Je te réponds "non", avec des éléments irréfutables, photos, qu'en 1990, soit 6 ans après la mise sur le marché des pédales automatiques, beaucoup de professionnels courait encore avec des cale-pieds. Tu juges mes éléments inappropriés. Après, tu prends l'exemple de Jalabert courant avec une poignée avec changement de vitesse et l'autre sans, pour m'affirmer que ça prouve qu'il est convaincu par le système. Ca prouve également qu'il n'est pas totalement convaincu, au moment où il fait ce choix par le système. Tu vas me dire qu'il fait un choix pour alléger son vélo. Je te réponds oui. C'est aujourd'hui un élément majeur des arguments utilisés par ceux qui sont contre le frein à disque. je et dis que c'est la même chose. Maintenant, et parce que je sais que tu as une tendance à l'agressivité quand on ne partage pas ton opinion, je roule sans frein à disque. je ne fais que constater, que dans ma ville, Lyon, où les gens se déplacent beaucoup en vélo, le nombre de vélos avec frein à disques est impressionnant en regard du prix. Je constate également je roule dans deux groupes, 100 cyclistes en tout, la quasi-totalité des non coureurs, lorsqu'ils achètent un vélo neuf, le prend avec frein à disques. Quand aux coureurs, pour tourner en rond sur un circuit de 2km avec 4 virages à droite, dans une zone industrielle, pour aller dans le sens de Christian Berthelet. je dirais que, pour moi, l'étrier de frein arrière ne sert à rien non plus, 11 vitesses encore moins, et qu'un seul plateau serait suffisant. Alors des freins à disque, c'est donner du lard à un cochon. Et, en plus, on demande au cochon son opinion sur un truc qui lui sert à rien (ce dernier paragraphe est pour personne en particulier. Je n'aimerai pas que tu t'énerves Joaquim).

Je te laisse reprendre les "années du cyclisme de 1984 à 1990. 7 année avant de voir la totalité des coureurs professionnels passée en pédale automatique. Tu oublies, alors les débats concernant la tenue des pédales automatiques aloes des sprints (sujet abordé dans le miroir du cyclisme plusieurs fois), les tendinites aux genoux, la distance entre le pied et l'axe de la pédale, les chutes de beaucoup de cyclistes qui ne parvenaient pas à déchausser en s'arrêtant, le poids des pédales,... Mais je te laisse à ton opinion. Toutefois, j'ai l'"année du cyclisme" 1987, sous les yeux quand je t'écris, il suffit de tourner les pages. les faits sont en photos. Page 171, Photo de l'arrivée de la 17ème étape, 1-Van Poppel, 2-Bontempi, 3-Dominguez, 4-Lieckens. Tous les 4 en cale-pieds. Page 129, photos sur l'équipe Carrera pendant le clm par équipe du Giro; sur 9 coureurs, 7 ont des cale-pieds. Page 183, photos à l'arrivée des championnats du monde sur route, 1-Roche, 2-Fernandez, 3-Argentin; tous les 3 en cale-pieds. Page 184, c'est l'arrivée des amateurs avec une superbe victoire française de Richard Vivien (en pédale automatique), Tous les autres coureurs du groupe sont en cale-pieds. Faudra-t'il que j'aille à la cave pour te ressortir les miroirs du cyclisme et que je te cite les articles!?! Concernant les changements de vitesses, Armstrong ou Jalabert pour ne citer que les plus connus utilisaient une poignée gauche normale,... Dix ans après l'apparition des changements de vitesse dans les poignées de frein. Alors es-tu certain que cette innovation s'imposa sans débat. Pour finir sur les cadres carbone, ils sont apparus en 1986. En quelle année leur usage s'est-il généralisé en course? 20 ans plus tard. pendant ces 20 années, quels furent les sujets de débat? la fiabilité et le confort, mais aussi la possibilité de coupures de veines ou plus grave d'éparpillements de fibre carbone dans les plaies en cas de casse d'un cadre carbone lors des chutes massives (si si). Quand à la question du coût, on doublait le prix d'un cadre; tu vas me dire qu'il n'y eut pas de débat... ... Ou bien moindre que pour les freins à disque. Quand à ma femme qui va au travail avec un vélo avec frein à disque depuis Noel, quand je lui parle du sujet du jour, ça la fait bien rire.

-Pour le carbone, vous expliquez "les premiers étaient très chers, et n'apportait pas grand choses". N'est-ce pas là le cœur du débat sur les freins à disque? -Pour les STI, vous vous êtes équipés tôt. Mais, tout le monde n'en a pas fait autant, même chez les pros; comme pour les freins à disque! -Quand au passage des cale-pieds au pédales automatiques, vous écrivez il n' a pas fallu plus d'un an et demi pour que tout le monde les adapte en course. Gloups!?! Certains pros couraient avec en 1983 (de mémoire). En 1989, Indurain courait avec des cale-pieds.... Criquélion gagne Le Tour des Flandres en 1987; Kelly gagne Milan-San Remo en 1992; Planckaert gagne Paris Roubaix en 1990; Fondriest est champion du monde en 1988; Argentin gagne la Flèche wallonne en 1990; Giovannetti gagne la vuelta en 1990... Tous le même point commun... Des cale-pieds pour gagner. Je vous laisse vous replonger dans l'année du cyclisme 1990. L'opinion est une chose; les faits une autre. Bonne journée.

Tu me dis que tu étais cadet 1, lors de ton passage au changement de vitesse. Tu me dis qu'il n'y a pas eu le même débat concernant les pneus ou les boyaux. Oserais-je te préciser que tu n'étais surement pas né. Concernant le débat sur les pédales automatiques ou à cale-pieds, tu devais être dans le meilleur des cas à l'école primaire...!?! Il est bien de donner son avis, mais... Encore faut-il parler de ce qu'on a vécu. (Je te prie de m'excuser pour la réponse un peu sèche)

Je suis totalement abasourdi par un tel débat. Il est récurrent depuis 30 ans. Lorsque les pédales automatiques sont arrivées,... Même débat! Lorsque les pneus ont remplacés les boyaux,... Même débat! Lorsque les changements de vitesse ont intégrées les poignées de freins,... Même débat! Lorsque les premiers cadres carbone sont apparus,... Même débat! Lorsque les Mavic "Hélium" sont apparues,... Même débat! Lorsque les pédaliers compacts sont apparus,... Même débat! Lorsque les GPS sont apparus,... Même débat! Lorsque les dérailleurs électriques sont apparus,... Même débat! Lorsque Assos puis X-bionic se sont mis à vendre des cuissards à plus de 200€,... Même débat Et, à chaque fois, le même citoyen à la pointe du combat,... le "schtroumf grognons". Celui-là, il est contre tout, et tout le temps. Quand on lui fait la remarque; il vous répond "non" avec aplomb. En même temps, je l'aime bien; en attendant le championnat du monde cyclo-cross, le lire passe le temps. Pourtant, il devrait être content. Il a maintenant de jolis épreuves pour lui, avec des vélos "classiques", avec les freins "Mafac", le dérailleurs "Huret jubilé", 5 vitesses, la selle en cuir. Il peut même ressortir son cuissard "Molteni" avec la peau de chamois, la vraie, celle qui vous gratte le c... Et, vous savez pourquoi, il est content le "schtroumf grognons", parce qu'il a des hémorroïdes. Et qu'avec une vraie peau de chamois, il pédale, et en même temps, ça lui fait du bien au c... Il est moins grognons après. Et puis, le vélo plus c'est dur, mieux c'est. Lorsqu'il met pied à terre à la fin de sa sortie. Et là, il engage la conversation avec le type garé devant lui, et qui est entrain de ranger son vélo dans le coffre de son BMW X5 V8 essence, il se fait "rentrer dedans". le type lui vante les vertus des jantes en bois sur son vélos de course version 1905, Alcyon. Et, là, c'est le drame. le type veut pas lui parler parce que les jantes alu, c'est de la m..... Vas comprendre Charles! Bon évidemment, c'est de l'humour. Je le précise, parce que le schtroumf grognon, il aime pas les freins à disque; mais surtout, il n'aime pas l'humour.

Comme camp de base, j'aurais plus choisi, Albertville, Saint Jean de Maurienne et Guillestre. Albertville te permet de rayonner sur toute la tarentaise et le Beaufortain. Saint Jean de Maurienne est une ville centrale pour la vallée de la Maurienne, en plus la vallée est plus large à cette endroit qu'à Saint Michel de Maurienne ou Modane. Guillestre est du bon côté de l'Izoard. Les Alpes et les Pyrénées n'ont rien à voir. Dans les Alpes, les autoroutes sont omni-présentes. Dernier point de vue, il faut faire attention. certain cols sont très intéressant sur un de leur versant, alors que l'autre est sans intérêt. Par exemple: -L'Iseran: côté sud très intéressant, côté nord sans intérêt. -Le Galibier: côté nord très intéressant (en enchainant après le col du télégraphe évidemment), côté sud sans intérêt.

Bonjour, si tu permets, je te proposerai "train de Embrun à Briançon", car tout l'intérêt du Col de l'Izoard est de montée de versant sud. Au départ d'Alberville, on peut faire des tours magnifiques sans train. 1- Albertville, Gilly sur Isère, Col de Vorger, Thénésol, Césarches, Col de Césarches, Forclaz de Queige, route forestière de Cohennoz, Cohennoz, Col des saisies, Beaufort, Col de Méraillet, Col du pré, Arêches, Beaufort, Albertville (c'est magnifique). Ensuite, tu prends le train pour Saint jean de Maurienne, et, là: 2- Saint jean de Maurienne, Pontamafrey, lacets de Montvernier, Montvernier, Villargondran, Albiez-le vieux (ne pas passer par le col du mollard, car pas beau), Saint jean de Maurienne, Col de la Croix de Fer, Col du Glandon. Pour la montée Villargondran-Albiez le vieux, c'est la plus belle de France (opinion). Ensuite, sur de la boucle Croix de fer/Glandon, ça se discute. Le col du Glandon par Saint Etienne de Cuisne, c'est le col le plus dur, qualifié comme tel par beaucoup de cycliste. Le col de la Croix de fer, on y trouve tout ce qu'on peut demander à un col, une vue magnifique, des changements de rythme et de paysage, des tunnels. Pour finir, le col du Mont Cenis ne présente aucun intérêt. Le col de l'Iseran est plus intéressant par le sud. Il faut partir de Modane par Aussois (route touristique), puis la route classique jusqu'au sommet. Attention, beaucoup de cyclistes pose la voiture à Bonneval sur Arc, c'est une erreur. L'approche, par Aussois, puis à partir de Lanslevillard est magnifique. Cordialement.

http://www.velo-concept.com/paris-brest-paris-2007-un-reve-se-realise/ Su tu lis mon compte-rendu de l'édition 2007, j'écris implicitement qu'il a rejoint le groupe de tête 2 fois dans des conditions douteuses: 1°/ Il était dans le groupe de tête en sortant du pointage de Loudéac à l'aller; il n' y étais pas avant. Et, nous avons roulé sans temps mort les 50 km avant Loudéac. 2°/ Il a rejoint le groupe de tête, après la traversée de la RN12, avant Villaines-La-Juhel, au retour. Il n'était pas avec nous à la sortie de Fougères. Par ailleurs, le rythme du groupe et la pluie permanente jusqu' à la levée du jour rendait tout retour d'homme seul impossible. Ensuite, c'est un problème de conscience personnel. Je lui ai parlé plusieurs fois, en dehors et pendant l'épreuve, c'est quelqu'un de plutôt avenant.