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David PAUTHIER1639476555

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Tout ce qui a été posté par David PAUTHIER1639476555

  1. Qu'est-ce qui fait l'intérêt de l'enchainement dont vous parlez? Grand Bornand/Colombière? Cette montée ne présente rien de particulier (route large, montée pas difficile sauf dans le dernier kilomètre, paysage sans charme particulier). Colombière/Reposoir? Très rapide. demande beaucoup de vigilance (pas le temps de regarder le paysage). Reposoir/Romme? Sans le moindre intérêt (vous iriez dans les Alpes pour cette montée!?!). Romme/Cluse? Très rapide (pas le temps de regarder le paysage). Par contre mon ami, l'enchainement Cluses/Romme/Reposoir/Colombière/Grand Bornand, ce n'est que du bonheur. Les 4 premiers kilomètres de Romme varie entre 9 et 11%, c'est très difficile. La descente sur le Reposoir est sans danger. La montée de la Colombière est courte depuis le Reposoir, mais va crescendo en pourcentage. le sommet se voit depuis le Reposoir. Puis la descente sur le Grand Bornand est suffisamment technique pour se faire plaisir, et surtout en ne présentant aucun danger. Pour avoir fait les deux sens, dans les premiers d'une cyclosportive, il y un côté où je me suis ennuyé gravement, et l'autre où j'ai pris un pied terrible.
  2. Oups!!! J'ai oublié de te parler de la côte de Domancy. L'ascension de cette côte (RD199) est indispensable pour comprendre la difficulté du parcours du championnat du monde 1980.
  3. On peut commencer par une petite précision. La route faisant le tour du lac d'Annecy est vraiment à éviter pour des questions de sécurité; le nombre de voiture correspond au trafic d'une grande ville à l'heure de pointe. Sur le côté est du lac, il n'y a pas de piste cyclable et la route est trop étroite pour mettre ensemble vélo et voiture. Il faudra privilégier la route du défilé du Dingy (RD16 ou mieux RD216). Sur le côté ouest du lac, la route est interdite aux cyclistes. Une piste cyclable existe, mais on y retrouve des piétons, poussettes, coureurs à pied, trottinette,... Par conséquent, il faudra oublier le Semnoz. Je fais une parenthèse. Pour avoir une vue exceptionnelle (un jour de grand soleil, c'est à voir absolument) sur le lac, il faut monter à pied sur l'esplanade du Mont Veyrier (il y a 30 ans, l'esplanade était l'arrivée d'un téléphérique). Concernant l'Arpettaz, il faut monter par Ugine et redescendre par Héry sur Ugine. Le revêtement côté Ugine est en trop mauvaise état pour être pris en descente. Concernant les Glières, Il faut redescendre côté Thorens-Glières (route large) et monter par le Petit-Bornand (route étroite mais très bien goudronnée). Concernant la côte de Romme, il faut monter par Cluses (l'autre côté n'a aucun intérêt). Pour d'autre cols, je te proposerai le col des cyclotouristes (départ à Conflans à côté d'Albertville), RD105 vers "Le Reidier". Je te conseille également le col de Montessuit (tout petit col), par Césarches, puis l'enchainement sur le col de la Forclaz de Queige (il ne faut pas redescendre jusqu'à la route du Doron (il existe une petite route en balcon), puis la route forestière de Cohennoz (elle se prend à droite dans la descente du col de la Forclaz de Queige sur Ugine). Le retour à partir de Flumet peut se faire par les Aravis. Le col des Saisies n'est pas intéressant, sauf à monter à partir de Villars sur Doron par Bizanne. Cordialement.
  4. Merci Jean Marc, Le col des Glières est un inédit sur Lyon-Mont Blanc. Et si L'épreuve vaut par la beauté des paysage, elle vaut également par la convivialité du samedi soir.
  5. Je te conseille le VCLD. Si tu ne trouves pas, reviens vers moi.
  6. Je te conseille le VCLD. Si tu ne trouves pas, reviens vers moi.
  7. Quand le manager critique la faible kilométrage des contre-la-montre sur le TdF, il est dans son rôle; c'est-à-dire défendre l'intérêt de son équipe. Tout le monde sent bien que Dumoulin n'est pas très loin d'une victoire sur le TdF. En même temps, Bardet n'est lui aussi pas très loin d'une victoire sur le TdF. je suis convaincu que s'il le pouvait, son manager demanderait un TdF sans contre-la-montre individuel et par équipe. Mais, il ne le demande pas parce qu'il sait que c'est impossible. Volontairement, le manager de Sunweb oublie la raison pour laquelle le kilométrage total de contre-la-montre a été drastiquement réduit sur le TdF, pour éviter de trop favoriser certains coureurs. Il est vrai que les époques Armstrong et Indurain n'ont pas brillé par le suspens. Maintenant, entre le TdF et le Giro, il y a plusieurs différences notables. Le niveau des coureurs présents : 31 coureurs du Giro appartenaient au 100 meilleurs coureurs 2018, contre 61 pour le TdF. Par ailleurs, les cols italiens et français n'ont rien à voir. En France, 6/7% en moyenne, et très régulier; en Italie, les passages à 13/14% sont très fréquents et font plusieurs centaines de mètres. Par conséquent, un rouleur, Kwiatkowski peut tirer le peloton dans les cols français en fin d'étape, sans problème; comme on a également vu Kragh Andersen, en 2018, emmener Dumoulin au pied de la montée de la Rosière... Sur les cols italiens, ils ne le pourraient pas. les changements de déclivité empêche ce travail de contrôle de la course. Je n'ai pas souvenir d'une étape sur le Giro où une équipe prend une étape de montagne complète à son compte pour venir déposer son leader à quelques kilomètres de l'arrivée,... Sauf peut-être, en 2016, sur l'étape Risoul-Sant'Anna di Vinadio où Astana avait dynamité la course au profit de Nibali. Et encore, ils avaient mis en route dans le col de la Lombarde, en laissant bien le travail dans le col de la Bonette à Michelton. Deux courses sont assez représentatives de l'emprise d'une équipe sur une course. les championnats du monde 2018, où l'Espagne contrôle la course de A à Z, pour la victoire de Valverde. La montée (dans les grands tours) présentait un pourcentage comparable à un col du TdF et surtout sans changement de rythme, facilitant le travail de l'équipe d'Espagne. La dernière étape du Tour de Romandie 2018 passait sur le même parcours, avec donc un niveau sportif plus faible, l'étape avait été un "chantier". La deuxième course symbolique est l'étape de L'Izoard sur le TdF 2017. Ag2r décide de contrôler l'étape à partir du milieu du col de Vars (ça faisait longtemps qu'on attendait ça de la part d'une équipe française, merci à Jurdie et Lavenu pour ce moment de plaisir). Ils n'ont pas eu la force de lâcher les équipiers de Froome, dont Kwiatkowski, comme a contrario Sky est capable de la faire. Et, comme Ag2r a laissé à ses adversaires des équipiers valides, ils n'ont pas pu "finir le travail", avec une attaque de Bardet. Si on est un observateur attentif du TdF, la maitrise du rythme de la course est fondamentale pour gagner. Nicolas Portal, DS Sky, expliquait dans une interview à Velo Magazine à l'issue du TdF, qu'il ne servait plus à rien d'envoyer des équipiers devant pour servir de relais à une attaque du leader, il fallait maitriser le rythme pour permettre à son leader d'arriver dans de bonne condition proche de l'arrivée. D'ailleurs, le Ds de la FdJ, qui s'était doté d'un train pour emmener Demaure au sprint, s'est doté d'un train pour emmener Pinot dans les cols, début 2018, avec Preidler, Morabito, Gaudu et Reichenbach, doit partager l'avis de Portal. Pour finir, je rappelle qu'une course de mouvement n'est possible que quand vos adversaires n'ont plus d'équipiers autour d'eux. Si vous n'en êtes pas convaincu, arrêter de regarder les derniers kilomètres des étapes de montagnes, et regarder la totalité de l'étape. L'étape de Bardonecchia en est la parfaite illustration. Alors, il reste au manager de Sunweb a réfléchir comment il doit bâtir une équipe autour de Dumoulin pour gagner le TdF. Mais, je pense qu'il sait bien ce que je viens d'écrire. il n'a juste pas les moyens financiers pour le faire. Il a encore perdu Ten Dam et Geshke; ça doit le frustrer d'avoir une pépite de ne pas pouvoir l'exploiter correctement. Le Giro est une partie de bridge; le TdF est une partie d'échec.
  8. Le parcours imposait la traversée d'Aoste, avec quelques carrefours avec des feux tricolores. Pour un organisateur, cela représente un risque d'accident trop grand. Avec l'augmentation du nombre de participants, la municipalité d'Aoste a peut-être exigé la présence de signaleurs sur ces carrefours.
  9. le WT garantit la présence des 17 meilleurs équipes du monde sur les épreuves WT. ces équipes regroupent les meilleurs coureurs mondiaux. Si vous n'en êtes pas certain, je vous laisse consulter le classement sur les épreuves WT des équipes invités. Existe-t'il une équipe CT qui pourrait prétendre à remplacer une équipe WT, sur l'ensemble d'une saison? Non, même si Katusha a été plus faible cette année. Rally Cycling n'a, pour le moment, sportivement, pas sa place au départ du TdF. La présence de Stéphane Heulot, en tant que manager, n' y change rien. Le jour où Rally Cycling sera sportivement en capacité de prétendre à faire les épreuves WT, dont le TdF, ils auront une structure qui leur permettra de prétendre à une licence WT, nombre et qualité des courerus, structures et budget. CQFD.
  10. Merci, je n'étais pas au courant. cela m'inspire deux remarques: -sportivement, le Tour des Flandres y a beaucoup perdu. Le parcours par "Grammont" permettait une course de mouvement, et, surtout un scenario différent à chaque édition. Aujourd'hui, exception faite de la victoire de Gilbert et Sagan, le scenario de la course me parait très convenu. -il est normal que les retombées financières issues d'un évènement sportif, dont la tente VIP à Grammont, reviennent en partie à l'organisateur. Alain Corneille et Wouter Vandenhaute ne devait pas être d'accord dur le montant des droits. Sur le principe un VIP vient, sur un évènement pour y faire des affaires; l'aspect sportif l'intéresse moins.
  11. Justement, en tant que français, je n'avais pas suivi les raisons de l'abandon du parcours traditionnel. J'avais été très déçu, car depuis ce changement, la course est devenu quelque peu insipide. Objectivement, quelles sont ces raisons?
  12. Le TdF n'a pas le choix. Dans l'accord signé entre les équipes, l'UCI et les organisateurs de course, la participation des équipes WT, à toutes les épreuves WT, est obligatoire.
  13. Sur le premier lien, l'interview de Stéphane Heulot est également très intéressant.
  14. "Mais déjà entre Aoste et le pied du Petit St Bernard ça peut aider" Oui et non. Il faut distinguer deux parties (si tu regardes sur une carte). Entre Aoste et Pré-Saint Didier, il y a 3 tunnels. Avant les tunnels, le vent dominant est plutôt dans le dos; après, il est plutôt de face. C'est quand même globalement un long faux-plat montant, et, les quelques kilomètres avant Pré-Saint Didier te donne la sensation d'être déjà dans un col. Oui, parce qu'en groupe, on avance forcément plus vite. Non, parce que si le groupe roule un peu trop vite pour toi, tu vas y laisser trop d'énergie, puis exploser dès le pied du col du Petit-Saint Bernard. Quand je parle dans mon post initial de bien se connaître,... Parfois, avec la distance (>180km), 1/2 km/h trop vite va te mettre en danger. Je comprend Bernard Piguet, quand il dit de faire la Marmotte, et de reprendre un bidon, pour en ajouter un peu. Dans ce cas, il faut faire la Marmotte "en dedans", pour être capable de repartir. Ca peut être d'autant plus un bon exercice, car il implique d'être capable de ne pas se laisser entrainer à rouler trop vite par l'effet de masse, dans la montée du Glandon, mais d'écouter ce que le corps dit (sensation). Il est vrai que nous connaissons tous une barrière physique entre 200 et 220km, qu'il faut franchir. En même temps, contrairement à Bernard, je n'ai jamais trouvé la motivation pour repartir après une cyclo, car ma tête a toujours imprimé une ligne d'arrivée! C'est toute la sagesse de Bernard; il a un petit côté "druide", pour ceux qui suivent le Tour à la radio avec Guimard. Et, je me permet d'insister sur les 3 derniers kilomètres du col du Petit Saint Bernard. le vent thermique y est très souvent puissant, et toujours dans le sens France vers l'Italie. Puis la descente est longue, et, ça n'avance pas sans pédaler.
  15. parties roulantes? Jusqu'à Saint Gervais, c'est roulant, mais tu seras forcément en groupe, puis que c'est le début. Ensuite les parties planes sont globalement très courtes. Je vois deux parties nécessitant d'être en groupe (ou de ne pas être seul): -La partie entre Aoste et le pied du Petit Saint Bernard. -Les 3 derniers kilomètres du Petit Saint Bernard et la descente jusqu'à Bourg Saint Maurice La fin de la montée est très exposée au vent de face, et, la descente nécessite de pédaler pour maintenir une vitesse correcte (on y laisse forcément beaucoup d'énergie).
  16. Ils ont pas de chance chez le "Team Delko Marseille Provence". Ils vont être obligé de rouler sur un vélo "en bois",... selon Warren Barguil.
  17. Pour rire,... Le pire se joue entre -Le Tour du Mont Blanc 2011. La météo prévoyait 70mm d'eau dans la journée. Je m'étais dit que s'il pleuvait au départ, je ne partais pas. malheureusement, il ne pleuvait pas au départ. Il s'est mis à pleuvoir à partir de Saint Gervais. Au col des Montets, c'était la douche; le dernier kilomètre de Grand Saint Bernard, la route était transformée en torrent. Je passe 3 au Grand Saint Bernard, sans assistance. J'ai fait les 40 bornes de descente sur Aoste, dans des conditions apocalyptiques. J'ai fini par bâcher à la Thuile pour ne pas revivre la descente précédente. -Les Copains (je ne me souviens plus de l'année). Au départ, le ciel était noir; la pluie s'est mise à tomber au panneau de sortie "Ambert". Dès que nous avons commencé à monter, il neigeait. Je n'avais qu'un gilet coupe-vent sans manchette. Au col du Béal, la route était blanche. La descente fut une horreur. L'organisateur a stoppé l'épreuve après la descente. Le retour en vélo de Job à Ambert fut et de loin mon pire souvenir. Alors PBP, c'était pad grand'chose, grâce à l'assistance. J'aimerais bien faire "Race across France", pour le plaisir; mais j'ai plus l'entrainement.
  18. Extrême? Non. Qu'est-ce qui est extrême? Objectivement, je n'ai pas de réponse à cette question. Qu'est-ce qui est plus extrême entre une FFC de 90km (sur un parcours non sélectif, où le gagnant sera celui qui aura passé quelques secondes de plus en anaérobie que les autres concurrents), une cyclosportive de 140 km (sur un parcours sélectif, où la majorité se met dans le rouge au départ, et, ne s'en remettra qu'une fois la ligne d'arrivée franchie), et, une épreuve "ultra" (où l'important est de gérer en permanence ses sensations pour aller loin, sans jamais se mettre dans le rouge? PBP ou TMB peuvent paraître extrême par la distance, mais elles ne le sont pas par l'intensité de l'effort. Tu le dis bien, "ça ne m'a jamais attiré", donc ça te semble extrême. En fait, extrême? Si, un trail de 100km, pour moi, c'est extrême. Car même si j'ai eu du plaisir à en faire, je savais que la douleur, genoux notamment, engendrée par cette pratique, rendait cette pratique extrême. A titre personnel, le vélo m'a toujours intéressé par les rencontres. En FFC, 15 min après l'arrivée, tous les participants avaient rangé le vélo dans la voiture et partaient sans échange. Quelle purge! Sur les cyclosportives, le temps où, entre "lyonnais", nous prenions une glace géante autour d'une bière, à l'arrivée de la Marmotte est révolu. Dans les grandes distances, l'entraide et l'échange permettent à chacun de passer les caps difficiles qui touchent davantage le moral que le physique. Sur des épreuves longues, vous échangez parfois sur des sujets parfois intimes en toute sérénité. Ce sont d'excellents moments, surtout pas extrêmes! J'ose conclure que le vélo ne peut d'ailleurs pas être extrême; c'est un sport assis, donc de feignants.
  19. Il n' y a pas d'entrainement spécifique. Avoir l'équivalent de la moitié du parcours, en distance et dénivellation, sur un parcours semblable (col de 20km, 6 à 11%), est suffisant. Comment y parvenir? Faire des kilomètres régulièrement. Ne pas se disperser dans des objectifs multiples. Penser à la bonne tenue (les conditions climatiques peuvent être très variables), et, être affuté (courir après le poids de forme est mauvais car cela représente une fatigue inutile pour le corps en phase de préparation) Le but d'un bon entrainement repose sur la connaissance de tes capacités. A quelle fréquence de pédalage et à quel rythme cardiaque, si tu alimentes correctement ton corps, ne connaitras-tu pas de défaillance? J'insisterai volontiers sur la fréquence de pédalage; pour aller loin et longtemps en montagne, il faut tourner les jambes vites (80 à 90 tr/min.) C'est la clé du succès. Cordialement.
  20. "Même si je serais en théorie bien posé sur le vélo" Avec un "stack" inférieur de 5,6cm? Ah bon!?! Tu vas rentrer dans la catégorie des crapauds sur une boite d'allumette. 😆
  21. Je ne connais pas Colnago. Mais, j'ai roulé avec un Tarmac Sworks, un BMC slc, un BMC slr, et, actuellement à nouveau un Tarmac Sworks. je précise que ses vélos était tout en Dura-ace Di2 ou mécanique, y compris les roues. J'ai roulé systématiquement avec des selles Toupé rail carbone. Sur les BMC, cintre et potence Easton; sur Le Sworks actuel, cintre et potence Specialized. Pour être claire, le meilleur cadre que j'ai eu, outre un Dedacciai EOM16.5, c'est le BMC slc. Pourquoi ai-je moins apprécié le BMC slr? Parce que j'utilisais BMC slc 51, qui n'existait plus en BMC slr. la taille est soit 50, beaucoup trop court pour moi, soit 53, beaucoup trop grand. Je l'ai choisi en 50, avec une potence de 120mm. le cadre est excellent, mais le cadre était trop droit, avec une douille trop petite. La stabilité était bonne, mais désagréable. Je précise que ça ne venais pas du cadre, mais du trop grand écart entre 50 et 53 sur le BMC slr. Pourquoi je n'apprécie pas le Tarmac Sworks? Le cadre est bien moins confortable que le BMC. En gros, le confort du Sworks avec pneu de 25mm est le même que le BMC en pneu de 23mm (même marque et même gonflage). Après, l'équilibre général est meilleur que le BMC slr. En revanche, Spé a remplacé une fourche très rigide par un modèle plus souple, et, je n'aime pas du tout. Et je vais passer sur le BB30 et le pédalier carbone Spécialized (grrr...!). Il faut faire une maintenance très très régulière, ou, à défaut acheter les vélos par deux.
  22. Je te trouve un peu dur, avec l'équipe Jumbo. Il est vrai qu'en 2018, l'équipe s'est fait remarquer dans les sprints avec Groenewegen, et, les courses par étapes, avec Roglic et Kruijswijk. Mais, Wijnants, D.Van Poppel, Teunissen, Roosen, T.Martin, Jansen, ça devrait pouvoir faire l'affaire. Evidemment, ça n'est pas l'équipe Deceuninck, mais c'est pas mal. En même temps, il sera intéressant de voir comment L'équipe de Lefévère, Deceuninck, va-t'elle gérer les classiques. Gilbert et Stybar ne sont plus très jeunes, Trepstra n'est plus là. Evidemment, Lampaert sera là. mais n'est-ce pas une formidable opportunité pour Sénéchal?
  23. J'ai regardé en partie la course des juniors; Remco Evenepoel est impressionnant. Il gagne avec une facilité déconcertante... chez les juniors. Chez les "pros", et d'autant plus en World Tour, le niveau est surtout plus homogène. Pour gagner une course, il lui faudra "sentir" la course. Or, aujourd'hui, la différence de niveau entre lui et les autres, fait qu'il peut démarrer quand il veut, sans avoir besoin de "sentir" la course. cet apprentissage va forcément lui manquer. Par ailleurs, actuellement, il n' a pas besoin d'aller puiser au fond de lui-même pour gagner. saura-t'il le faire? ca n'est pas évident. Il lui reste encore 5 ans pour apprendre.
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