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Olivier MILLIÈS-LACROIX

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Tout ce qui a été posté par Olivier MILLIÈS-LACROIX

  1. 40 mm, bien sur et non 40 cm. Mon cerveau se ramollit...Les années qui passent, ou peut être trop de vélo....
  2. Bonjour Je n'ai pas ces roues, mais j'ai des Cosmic Pro Carbon SL sans bande alu, 100 % carbone, sorties en 2016. Elles sont supposées peser 1450 g, mais j'ai l'impression qu'elles font plus. J'en suis plutôt content, très faible prise au vent pour des 40 cm, freinage OK. C'est avec elles que j'ai mes meilleurs perfs sur le plat et les parcours vallonnés, (j'ai aussi des roues 21 cm alu Bontrager) et je ne suis pas du tout puissant (1;70 m, 65 kg). A priori, je conseillerais de vérifier que ces roues à piste alu ne sont pas vouées à disparaitre du catalogue Mavic. Celles que j'ai sont à 1990 prix public, mias on peut les trouver neuves à un prix significativement plus bas, surtout en cette fin de saison.
  3. Bonjour, Il me semble que c'était déjà ce Jurdie qui était dans la voiture d'AG2R lors de l'étape du tour 2015 qui arrivait à Mende et où la paire Bardet/Pinot s'est fait souffler la victoire par Cummings. "Il n'avait pas vu revenir Cummings et pas pu prévenir Bardet", avait il dit alors... Un brillant épisode du cyclisme français s'est écrit ce jour là, de la même veine que la scène Anquetil/Poulidor du Championnat du Monde 1966 au Nurburgring, qui avait vu gagner Altig.
  4. Bonsoir, Avec tout le respect du à BH, qui se situe en effet tout en haut de l'histoire du cyclisme, je ne pense pas qu'on puisse le comparer à Merckx. Celui qui est aujourd'hui le Baron Merckx avait une toute autre élégance sur un vélo, n'avait pas besoin d'être comparé à un blaireau pour imposer son autorité sur le peloton, n'a pas fini sa carrière chez Tapie, parle au moins 5 langues, et s'est montré un remarquable entrepreneur après sa carrière. Bernard Hinault c'est un immense champion. Eddy Merckx c'est un encore plus immense champion, mais aussi un immense Monsieur.
  5. Bonjour, Personnellement je trouve qu'en montagne, dans les forts %, c'est très agréable d'avoir des roues plus légères, et on ressent clairement une différence, avec un vélo qui devient plus facile à emmener (ensuite, quelle vitesse on gagne, impossible de le dire, pour cela il faudrait un recul et une quantité de données strava à comparer, qu'en général on n'a pas). Je suis d'accord avec les avis exprimés qu'idéalement ce serait mieux pour sentir cette différence, en restant chez Mavic, de passer de l'Aksium à la Ksyrium pro (1475 g). La je n'ai aucun doute que la différence sera sensible en montagne. J'en ai vu des neuves à 600/620 € sur le net.
  6. Félicitations !!! Un très beau vélo, très confortable, et une belle marque.
  7. Bonjour, Je confirme que le stages a des problèmes d'étanchéité. Après une seule journée sous la pluie (grosse pluie quand même), l'un de nos deux stages était out. En l'ouvrant quelques jours plus tard, la pile avait des traces de rouille. Le fait de la changer a a suffi pour le faire fonctionner à nouveau (pour le moment). Côté précision, je suis d'accord que sur les temps courts c'est moyen. Les Garmin Vector 2 que j'ai sur un autre vélo semblent meilleures, mais elles sont lourdes, et aussi ce besoin de serrer à 34 Nm (un serrage de bourrin !) fait que je ne peux en fait pas les passer facilement d'un vélo à un autre ni les mettre sur un vélo qu'on transporte par avion, car pour mettre un vélo dans la valise que j'ai il faut enlever la pédale gauche. La Garmin Vector 3 semble être débarrassée de cet inconvénient, mais je ne l'ai pas encore vue.
  8. Bonjour, Pour ma part j'ai eu un guidonnage assez fort lors de l' Eroica de cette année lorsque j'ai lâché le guidon dans une descente. Je pense qu'il a du se produire une résonance avec les vibrations dues à la chaussée. Le guidonnage a disparu en reprenant le guidon. Ceci dit, le vélo a presque 50 ans... Mais il n'a pas beaucoup roulé et surtout cela ne s'était jamais produit avant.Et à l'inspection je n'ai rien remarqué d'anormal.
  9. Merci Aurélien et Geoffroy pour vos réponses. Mon idée, c'était plutôt La Croix Fry à la place du plateau des Glières, ca je trouve qu'avec la Forclaz de Montmin et le col du Marais, cela fait un enchainement sportivement plus intéressant que le Plateau des Glières et Col des Fleuries, sans augmenter trop de D+ ni les km (on irait de La Clusaz directement à la vallée de l'Avre par les Gorges). Mais je comprends que les Glières sont apparues dans les rumeurs les plus récentes, et que le "gravel" est à la mode. La balance semble donc pencher du côté des Glières...
  10. Bonjour tout le monde... Est ce le 8 ou est ce le 15 ? Y'a t'il eu d'autres éléments d'information là dessus ? Et La Croix Fry ne serait donc plus dans le parcours ?
  11. Bonjour, Je pense aussi à la Forclaz de Montmin. Du coup, sur openrunner ça donnerait (ID798237) 145 km et 3600 m de D+, donc pas très loin de la "norme" ASO. Par contre, cela ferait une étape en deux morceaux, avec tout de suite un enchainement Forclaz (660 m de D+ avec un long passage à 12,5 %), Marais (facile), Croix Frix (842 m de D+), et à la fin l'enchainement Romme (815 m de D+- et Colombière (633 m depuis le Reposoir). Entre les deux une longue partie descendante ou plate de Saint Jean de Sixt jusqu'à Cluses.
  12. merci ! Si on enlève le Semnoz et qu'on le remplace par quelque chose à l'ouest du lac c'est plus raisonnable et on serait plus prêt des 150km/3500 m de D+ que les rumeurs laissent attendre, n'est ce pas ?
  13. Mon prono pour Milan Turin : 1. Lopez 2. Landa 3. Pinot 4. Visconti 5. Dan Martin
  14. Pour ce budget on peut regarder les kit cadres de la marque belge Viper. Ce sont de bons cadres. Le problème en cette fin de saison ne sera pas le prix mais la dispo.
  15. Aujourd'hui courte sortie d'une heure avec la montée du Col de Manse depuis Gap par La Rochette, plus connu dans le sens descendant depuis l'épisode Beloki/Armstrong du Tour 2003. Après l'Eroica, il était agréable de retrouver des braquets d'aujourd'hui pour faire la montée (550 m de D+ sur 7km).
  16. À moitié hors sujet, mais j'ai trouvé que ce tour de Vendée était très intéressant à suivre. très belle victoire de Laporte, et très belle course de Bouhanni, très offensif.
  17. Bonjour, Le week-end enfin du 7 ce sera celui du Grand Départ. Ce serait curieux que l'EdT soit à ce moment là, ASO prendrait le risque de se disperser...
  18. Bonjour, J'entends pour la 1ère fois T.Voeckler sur Eurosport à l'occasion du Tour de Vendée et je le trouve très bon. Une excellente vision de la coursée, il parle très bien, sa voix passé très bien... il est meilleur que lorsqu'il était interviewé comme coureur (ce n'est pas le même exercice non plus).
  19. Bonjour, Je pense aussi que cela ne devrait pas être loin de cela, (je ne crois pas à une boucle par Flumet et Megève, cela me semble compliqué de fermer la route de Megève toute la journée) mais il semble que cela ne fait pas 150 km. Il manquerait un morceau : peut être la Forclaz (celui juste au dessus du lac, à l'ouest, 530 m de D+), et on rejoint Thones et la Croix Fry par le petit col du Marais (350 m de D+).
  20. Bonjour, ma sortie du jour, ou plutôt d'il y a deux jours, c'était le parcours moyen de l'Eroica, (143 km, 2300 m de D+), que j'ai décrit plus longuement dans le fil "vintage" de la rubrique matériel.
  21. Bonjour tout le monde, Ce dimanche j'ai pu participer à l'Eroica, sur le parcours moyen de 135 km, et en anticipation de l'article que Vélo 101 publiera peut être, je livre ici quelques impressions. Mon premier ressenti est que l'épreuve commence un peu à pâtir de son succès. Plus de 7000 participants étaient attendus cette année, le nombre final était probablement supérieur, et on imagine bien que pour la commune de 2750 habitants qui l'accueille, Gaiole in Chianti, cela commence à faire beaucoup à absorber. Le résultat est un joyeux désordre le samedi pour retirer les dossards, avec pour nous pas mal de queue et deux inscriptions sur quatre introuvables, bien que faites et payées depuis janvier dernier. Heureusement, nous sommes en Italie, où tout finit par s'arranger, et au prix d'un peu de patience nous avons pu récupérer nos dossards et les cadeaux de bienvenue de l'organisation : une très belle boite en métal comprenant un excellent chianti, un kilo d'un excellent café, une musette pour la course, et quelques autres gâteries. Ceci fait, direction le village commercial où on peut faire d'excellentes affaires : pour le matériel vintage bien sur, mais aussi pour tout ce qui est contemporain, vêtements compris. Prix imbattables. Et si on sait négocier en italien, prix encore plus imbattables. En parallèle de cela, il y a au programme du week end tout un foisonnement de conférences, de dédicaces, de concours d'élégance... Bien qu'il s'agisse de ma 2ème participation et que je n'aie aucun problème avec l'italien ou 'l'anglais, je suis incapable de dire où tout cela se passait... Le dimanche, c'est la course : départ obligatoire entre 5 et 7H pour le 209 et le 135 km (143 en réalité, 2300 m de D+). Le soleil se levant à 7H15 cela signifie qu'on doit rejoindre le départ (10 km pour nous) et faire les premiers km de nuit. Au prix de bonnes lampes (Bontrager Flare pour nous), ce moment est tout simplement magique, surtout lorsqu'on aborde la première strada bianca, une allée bordée de bougies dans le parc du château de Brolio... Ensuite, c'est une alternance de paysages magnifiques de Toscane, de petites routes vallonnées, et des fameux secteurs des Strade Bianche, 9 en tout, pas loin de la moitié du parcours. (Très peu de voitures..). Cette année, le gravel, quand il n'est pas cassant, est profond, et sur les plus forts % ca patine fortement, et ca tombe souvent... Sur les Strade Bianche les parties roulantes sont étroites, et les dépassements sont hasardeux, car pour doubler il faut se risquer à mettre les roues là où il ne faut pas... Pour le ravitaillement, point de powerbar ni d'overstim : c'est charcuteries et patisseries toscanes obligatoires, et aussi des plats chauds... Très appréciable aussi l'hospitalité de certains riverains qui offrent un ravitaillement non officiel et gratuit avec thé, café, fruits et patisseries... Chianti à volonté même si pas vraiment recommandé pour le pilotage sur le gravel. Au final, presqu'exactement 7 heures sur le vélo, soit pile 20 km/h de moyenne. A l'arrivée, remise des médailles et joyeuse ambiance dans la rue centrale de Gaiole, où on croise aussi quelques cyclistes célèbres (Eric Zabel). Il y avait en principe une pasta party, mais comme pour celle de l'an dernier, je suis incapable de dire où et quand elle se tenait, les préparations toutes fraiches du pizzaiolo près de l'arrivée étant bien suffisantes pour se restaurer. Le seul bémol du dimanche : le temps, avec une lumière blanchâtre toute la journée, et une espèce de bruinasse pas vraiment mouillante mais pas très agréable, au final 12° de température moyenne sur la sortie. C'est d'autant plus dommage que la veille et le lendemain la météo était top. Un mot sur le matériel : nous étions 4 avec des vélos complètement d'époque, dont mon Mercier de 74 en simplex et Mafac, un gitane Olympic de 76 en Campagnolo, et un Supervitus de 83 équipé du tout premier Dura Ace... Pour les roues : jantes alu Mavic d'époque, boyaux de 23 ou 25. Au final, deux crevaisons en tout pour les 4 vélos, et deux cale-pieds cassés. Pour les braquets, nous avons du tirer le 42 x 24 tout le long des côtes en gravel... A ma grande surprise, on y arrive, il faut juste oublier ce qu'est la vélocité. Par contre, j'ai vu que beaucoup d'autres concurrents avaient mis sur leurs vélos anciens des braquets qui n'existaient pas à l'époque. Au final, je ne peux que recommander cette expérience aux amoureux du vintage, et à tous ceux qui comme moi aiment l'Italie, ses paysages, son patrimoine et sa culture (cuisine comprise !). Le parcours est bien sûr magnifique mais il est aussi très intéressant d'un point de vue sportif et athlétique. Et c'est vraiment une épreuve pour passionnés, organisée par des gens qui aiment le vélo, qui respirent le vélo et qui connaissent l'histoire de ce sport jusqu'au bout des ongles : le commissaire au départ, celui qui inspecte les vélos (et qui n'hésite pas à éliminer ceux qui ne sont pas conformes), a reconnu sur le mien le groupe Mafac/Simplex doré qui avait été développé pour le Peugeot PY10 de Thévenet... Pour une personne de moins de 40 ans, non française, ce genre de connaissance ne coule pas de source... Ce sont vraiment des experts... Vivement l'Eroica 2018 !
  22. Bonsoir tout le monde... Pour septembre, 940 km et 15200 m de dénivelé. Peu roulé depuis la fin de la Haute Route le 9. Depuis le 1er janvier, cela doit faire environ 8600 km avec un peu moins de 100000 m de D+.
  23. Bonsoir Bernard, Il se trouve que j'ai presque exactement ce traitement de prescrit cette semaine. Cause, abscès créé par une dégénérescence du nerf (il y'a avait donc infection), et qui a été traité par un traitement des racines. L' AB est prescrit pour accélérer la réduction de l'abcès, afin que la dentiste puisse obturer tout cela. Je n'ai pas roulé cette semaine. Mais au menu de ce week-end j'ai 40 km demain et 150 km dimanche, plutôt difficiles. Je te dirai si je ressens une fatigue inhabituelle... D'ici là bonne fin de semaine...
  24. Oui, pour être honnête, il faut dire que je compare le red sur un Madone de fin 2012, en 10 v, avec le speedstop sur un émonda DA de 2016. Ceci explique peut être cela...
  25. bonjour, Oui, j'ai un Madone 6 en SRAM red et un émonda en speed stop. Les deux cadres sont assez proches, les roues sont identiques, (Bontrager paradigm), et les routes dont les mêmes (vallée Chevreuse et Alpes, dont je suis originaire). Je pense donc que la base de comparaison n'est pas mauvaise...
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