Olivier MILLIÈS-LACROIX

Hello, De très beaux moments avec cette sortie, où on est passé entre les gouttes. Super paysage, super ambiance, super hébergement. Mes camarades ont fait le CR, je n’en rajouterai pas trop. Je les ai fait pas mal attendre, j’en suis navré, mais d’un autre côté je suis heureux qu’avec cette sortie et la précédente une semaine plus tôt il m’ait été possible de faire plus de 300 km et plus de 4000m de D+ en n’ayant pratiquement pas roulé les mois précédents…. Ce n’était pas gagné… Par ailleurs, cette sortie était l’occasion d’étrenner un nouveau vélo. Certains forumeurs m’avaient demandé un retour, je l’ai fait dans la section appropriée. Merci à Sylvain d’avoir organisé tout cela. Merci à Gérôme de m’avoir pris à plusieurs reprises dans sa roue pour me ramener dans le groupe, et merci à tous les autres pour leur sympathie, leurs convivialité et ces bons moments. Pour l’an prochain nous avons eu quelques idées avec Sylvain. A suivre…

On est vraiment sur l’avant avec l’émonda (en tous cas les 2 premières versions). Il faut vraiment penser à reculer le poids du corps dans les descentes. Sinon la roue arrière décolle quand on pile..

Mon émonda (à patins) est aussi un modèle 2018. Pour les petites cylindrées comme moi il est parfait, je crois que pour les cyclos montagneuses je vais le garder précieusement. Et pour le freinage, pour avoir commencé ado les descentes de col avec des mafac racer sur des routes recouvertes de graviers je trouve que les speedstop c’est royal.

Mon Domane, de mémoire doit peser 7,4 kg prêt à rouler ( dura ace 9100 sauf dérailleur arrière Ultegra, K7 sram red 11-32, roues aeolus 4 et pneus Bontrager R3 25 mm, pédales Time). Mais pour la montagne, en particulier le Tour des Stations que je viens faire tous les ans dans ton très beau Valais, je prends l’émonda qui lui ne doit même pas faire 6,8 kg tout chargé. Le Domane me servait en Île de France où je fais beaucoup de routes forestières au revêtement pas top, c’est pour cela que je l’ai réglé « mou », ce qui donne un vélo pas hyper réactif mais confortable et facile. Avec le Bianchi j’espérais pouvoir remplacer les 2 vélos à la fois, mais au vu du ressenti actuel je crois que je vais garder l’émonda.

Bonjour tout le monde, Je remonte ce fil parce que suite à la sortie de vélo 101 du week-end dernier le moment est venu de donner mes premières impressions sur ce Specialissima pro qui était dans mon garage depuis quelques semaines, mais qu’à cause d’un emploi du temps chargé et d’une météo pourrie je n’avais pas vraiment eu le temps de tester : –pour être honnête, les deux premiers roulages que j’avais fait en fin d’hiver de 20 km chacun –complètement à court d’entraînement — m’avaient laissé l’impression plutôt défavorable d’un vélo raide, sur le cadre duquel on vient buter, et certainement beaucoup plus difficile à emmener que mes vélos de route utilisés auparavant, un Trek émonda SLR et un Trek Domane SLR à patins. À tel point que je n’étais même pas sûr de vouloir le garder. J’ai voulu le tester plus longuement à l’occasion de la sortie Velo 101 du week-end dernier (125 km et 1580 m de plus avec à l’AR entre l’hébergement et les points de départ et d’arrivée de la sortie). Bien qu’encore en grand manque de kilomètres (à peine 700 km depuis le 1er janvier, sortie du jour incluse), j’ai réussi à boucler la sortie au prix pour les autres de devoir m’attendre en haut des bosses et je dois dire que j’ai eu de bien meilleures sensations sur ce vélo, tant du point de vue de sa réactivité, que de son confort et du toucher de route. Je considère le test réussi même si le vélo est exigeant car j’ai fini ces 120 km kilomètres plus fatigué que les 180 km que j’avais fait la semaine d’avant avec mon Domane lors de la Mallorca 312 (167 km et 2400 m de D+). J’ai maintenant hâte de pouvoir tester ce vélo en plus haute montagne lorsque j’aurai des kilomètres en plus et quelques kilos en moins. Je ferai un retour à ce moment là. Sur un autre point j’ai déjà pu écrire ici que je trouve le vélo lourd–: 7,59 kg, prêt à rouler avec un porte bidon, un porte compteur, un support de pompe, et des pédales Time XP 10, ce que je trouve beaucoup pour un vélo dit de montagne. Les 7,0 kg sans pédales que j’ai pu lire dans la presse sont donc loins d’être tenus, il s’en faut de 250 g au moins. Je vais donc lui faire une petite cure d’amaigrissement en commençant par changer ses roues Velomann palladium d’origine par des zip 303 qui seront montées avec des pneus tubeless de 28. Voila pour ce premier retour. PS : c’est mon premier véritable vélo de route avec freins à disque, et je dois dire que pour l’instant je ne suis vraiment pas convaincu, pour diverses raisons, de l’intérêt du concept. Je pense même qu’une grande partie de la raideur ressentie en comparaison avec mes Trek, vient de ces roues à freins à disques : les roues aeolus à patins de Bontrager étaient connues pour ne pas être très rigides latéralement, ce qui les rendait plus faciles à emmener que ces roues à disques. Mais pour pour la tranquillité du forum, je ne veux pas rouvrir le sujet.

Oui, il y a du Merckx dans sa manière de courir…

Hello, Plutôt d'accord avec Michel, j'y suis allé une fois, je n'y retournerai pas. Certes, il y a des bons côtés, le Teide, le parador en haut à l'intérieur du cratère (même si ne pas rester bloqué 2 jours par la neige eût été préférable), la côte nord, et même la ville de Santa Cruz plutôt sympa. Mais cela ne compense pas les mauvais : des hôtels innombrables pour touristes low cost dans la région autour de l'aéroport, des villages de vacances pour retraités anglais qui jouent à des quiz au bord de la piscine, des supérettes, pour anglais ou on ne parle que l'anglais avec que des produits pour des anglais, des bars ou on sert des sangria immondes préparées par des anglais, et sur les routes, c'était fin janvier, un vent à décorner les boeufs qui emporte ton vélo lorsque tu l'appuies sur un mur lors d'une pause. Un endroit où, moi qui aime beaucoup l'espagne, y passe beaucoup de temps et parle assez bien la langue, suis sûr de ne pas y retourner.

Il ya quelques années j'avais fait repeindre un cadre, et je coirs que c'était dans e nord-ouest de Paris (92 ou 95). Je vais essayer de retrouver le nom de la boite.

Bonjour, J'ai eu un route électrique Trek Domane LT que j'ai revendu. (je l'avais acheté comme vélo de promenade pour pouvoir y atteler une remorque, mais j'ai renoncé à ce concept de promenade avec remorque). Les grandes marques (Trek, Pinarello, Orbea, Cannondale...) font toutes des VAE de route, donc il y a des l'occasions qui se présentent régulièrement.. Le problème est de bien choisir le type de motorisation. Mon avis est qu'il faut prendre un modèle avec le moteur qui agit sur le pédalier et non sur la roue arrière. Cela donne une assistance plus "naturelle". Ceci posé il y a les vélos avec moteurs Bosch, qui sont lourds, mais qui ont du couple, il y a les modèles à moteur Fazua, (ce que j'avais), qui ont l'avantage d'avoir une batterie amovible dans le tube diagonal, quand on l'enlève on obtient presque une vélo normal (enfin presque, parce qu'en réalité ca donne un vélo "normal" mais encore lourd (11kg) et pataud, et en fait on ne l'enlève presque jamais). C'est peut être pour cela que chez Trek la solution Fazua a été remplacée/complétée par une autre moteur qui s'appelle TQ, qui a l'avantage de la légèreté. Mais les vélos avec ce dernier type de moteur sont les plus chers et aussi les plus récents et une bonne occasion devrait être plus dure à trouver. Voila. Il y a d'autres personnes avec des expérience de VAE route sur le forum, peut être donneront elles leur avis.

Et le résultat de Niewiadowa aujourd'hui me confirme dans ce que je pensais hier, qu'elle n'avait aucune raison de se fatiguer à rouler dans la bordure, au lieu de s'économiser. Ceci dit, on savait déja que ce n'est pas une grande tacticienne, vu qu'elle ne gagne jamais ou presque depuis 5 ans alors qu'elle est intrinsèquement l'une des meilleures du peloton. C'est dommage, elle est vraiment l'une de mes favorites.

Realini a fini dans les 50 ème de l'étape, à 7 minutes. C'est beaucoup, mais c'est un résultat qui peut laisser l'espoir de la voir repartir demain. Ceci dit, l'impact d'une chute c'est le lendemain et le surlendemain qu'on le ressent le plus.

Hello tout le monde, Les prévisions météo ne sont pas top, mais on fera avec. Pour la rallonge AR Pontarlier-les Fourgs, les 20 km et 200 m de D+ en rab ne m'inquièteraient pas trop, si ce n'était pour la pluie et aussi si je n'inaugurais pas un nouveau vélo (surprise !) sur lequel je n'ai roulé que 2x 20 km pendant lesquels je l'ai trouvé beaucoup plus dur à emmener que mes vélos habituels (un Trek Emonda pour les cyclos montagneuses et aussi le Trek Domane que j'avais déjà à la sortie de Namur en 2019). On verra bien....

Dire que j'avais aussi une réservation à l'Ibis de Pontarlier...; Si j'ai choisi les Fourgs, c'était en partie pour être plus pre^t des lieux de départ et arrivée de la Sortie... Raté ! Il ya combien de D+ entre Pontarllier et les Fourgs ?

Je ne sais pas qui est le commentateur sur Eurosport, mais il me saoûle… Il critique la réalisation, mais lui qui le 1er jour n’a pas su compter les coureuses de la Canyon et qui aujourd’hui a pataugé allègrement à la fin dans les histoires de bonif devrait moins la ramener. Je crois que je vais regarder les autres étapes sans commentaire ou dans une autre langue, anglais ou espagnol.

Coup de bordure aujourd'hui organisé par la SD works qui met 6 filles dans le 1er groupe. Mais Il y a quelque chose que je ne comprend pas dans la stratégie des autres équipes qui ont réussi à glisser des coureuses dans la bordure : quelle est leur intérêt à rouler, par exemple pour Newadiowa, Longo Borghini, ou Guttierrez qui ont toute leur équipe à l'arrière ? La SD works et Vollering sont les favorites de cette Vuelta et la Visma la favorite du jour. Le mieux à mon avis, serait de leur laisser faire le travail, pas de les aider.

Il n'y a pas que sur les Grands Tours masculin qu'on assiste à des étapes "purgesques" . Aujourd'hui, pratiquement pas de course derrière une valeureuse coureuse de la Soudal, qui s'est tapée 115 km d'échappée solo sur des longues lignes droites en faux plats montants ou descendants. Comme chez les garçons, les chutes animent le final avant d'assister à la 252ème victoire sur route de Marianne Vos.... Et pour ce qui est des bidons collés, ces jeunes femmes ne font pas semblant.... Demain, une étape en descente. Encore du spectacle à attendre.

C'est très bien ! Et le temps avait l'air pas trop mal ... Il a l'air top ton salon !

Moi ça ne m'étonne pas... J'ai déjà vu des formes finalement assez bénignes de la maladie de Lyme, dont une sur un sujet jeune, guérie en quelques semaines après le diagnostic, et qui n'a laissé aucune séquelle. Par contre, chez d'autres personnes, cela peut être très mauvais...

Yes ! j'ai loué au même endroit.... Je compte arriver samedi en fin d'aprem.

Début aujourd'hui du 1er "Grand Tour" féminin avec la Vuelta, avec un TTT de 16 km à Valence. Epreuve dominée par l'équipe Lidl Trek jusqu'à une chute de 2 d'entre elles (Van Dijk et Backsted) dans le dernier virage. L'avance précédemment acquise leur permet quand même de gagner l'étape pour 2 centièmes de secondes sur l'équipe Visma de Marianne Vos et une seconde sur l'équipe SD de Demi Vollering... L'équipe Canyon de Niewadowa est 4ème à 8s... Pas très réveillés le commentateur et la commentatrice d'Eurosport qui n'ont même pas vu que cette dernière équipe n'a fait le chrono qu'avec 5 coureuses, alors qu'elle en avait engagées 6, ce qui était déjà moindre que les autres, qui courent à 7.

Notre sortie c'est le week end d'avant ou les dates ont changé sans que je m'en aperçoive ?

Je pense que cela relève du miracle. Ayant du zapper le Tour des Flandres (pluie) et n'ayant pas roulé du mois, je ne pensais pas partir. Mais ma femme, qui a moins de culture cycliste et qui est plus optimiste que moi, m'a dit "je veux au moins prendre le départ". J'ai dit, OK, ayant déjà en tête l'endroit ou on pouvait bâcher et rentrer à la maison (ce qui faisait quand même plus de 90 km). Mais à cet endroit, je me sentais encore bien, et j'étais dans mes temps habituels, alors j'ai continué.... Si on m'avait dit la veille que j'allais pouvoir aller au bout, je ne l'aurais pas cru une seconde...

Ma sortie du jour c'était la cyclo Mallorca 312, le petit parcours de 167 km, 2400 m de D+, auxquels il faut rajouter 20 km pour l'AR entre la ligne d'arrivé/départ et l'hébergement. Je suis assez content de mon temps, 8H20 sur le vélo, sachant que je dois pas mal attendre mon épouse, et aussi vu que lors du mois précédent, mes seules sorties étaient 2 fois 10 km en vélo pliant électrique entre la maison et le garage ou j'avais laissé ma voiture en révision, plus une petite sortie de 6 km la veille de la course pendant laquelle sur le vélo j'avais l'impression d'avoir 100 ans. A part cela, une belle cyclo,paysages magnifiques bien sûr, beaucoup de partants, on parle toute les langues. Mais cyclo assez dure, avec un vent de face dans la sierra, ou se trouvent toutes les ascensions, à décorner les boeufs, parfois latéral dans les descentes, ce qui secoue pas mal le vélo. Et j'ai trouvé le niveau élevé : sur le chemin du retour, je roulais avec les engagés sur le parcours de 225 km : lorsque j'étais à 30, ils me passaient à 40, et lorsque j'était à 40 sur le plat avec vent favorable, eux étaient à 50, alors qu'ils avait fait 55 km de plus que moi. Bon, cela n'a pas été facile, mais cela m'aura fait un minimum préparation pour la sortie jurassienne samedi prochain, c'était plus que nécessaire. Bon vélo !

Ayuso qui devait tout faire péter a pris un tir comme un tir. La Suisse ne lui réussit pas, l'an dernier en Romandie il avait pété pareil et sur le Tour de Suisse en juin il avait eu un jour sans alors que les autres jours il était le plus fort. Après l'avoir vu quasi inexistant face à Vingegaard sur Tirreno je me demande s'il n'est pas un peu surcoté, cet Ayuso. C'est dommage que Bernal n'ait pas été au niveau de Rodriguez sur le chrono. Il était plus fort aujourd'hui.

Hello Didier, Si seule la victoire est belle, pourquoi alors te réjouis-tu souvent du nombre important de coureurs français dans le top 10 de courses (e.g.Flèche,LBL), mais rarement sinon jamais à la première place ? Du reste, j'ai toujours pensé qu'il valait mieux perdre que gagner moche... Dans le cyclisme, le premier à l'avoir compris s'appelait Poulidor, ses primes de départ étaient supérieures à celles d'Anquetil. Un autre qui l'a compris s'appelle Wout Van Aert, il ne ratonne jamais. Et du coup, c'est lui qui est sous contrat avec l'immense machine marketing qu'est Red Bull, alors que les ratons du peloton, même gagnants (je ne veux citer personne), ne risquent pas d'y être.