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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Imagine l'inverse : ça devrait être monotone.
  2. Des fois, en Belgique, on a aussi l'impression qu'il n'y a pas beaucoup de routes asphaltées 😁.
  3. J'étais parti pour une petite soixantaine de bornes, en cet après-midi doux mais couvert, avec un vent faible, mais plusieurs petites contrariétés m'ont amené à raccourcir ma sortie à 51km et 491mD+, une côte en moins. J'étais bien en jambes en attaquant le Chemin de Villedieu, seconde montée programmée, de 2,1km à 6,3% de moyenne, qui démarre fastoche à 4-5% dans sa première moitié. Ensuite, les affaires se corsent, le clinomètre affiche jusqu'à 15% ! Lorsque ClimbPro indique "montée terminée", il reste encore une dizaine de mètres (c'est habituel) à plus de 10%, avant d'entamer la descente. Le chemin est bosselé, ça secoue un peu, mais la descente est courte : un petit virage et j'ai droit à un rabiot de grimpette inattendu : une certaine de mètres de 12 à 16%, si j'en crois Garmin. Ensuite, descente pour de bon sur le chemin goudronné et bosselé, genre secoue-dentier et vibration de casque. J'ai eu la bonne idée cette semaine de monter des cartouches KoolStop "saumon", mieux adaptées aux pentes des Baronnies Provençales, et la différence est sensible. Elles s'useront certainement plus vite, mais la sérénité au freinage est à ce prix ! J'arrive à Villedieu, après une petite remontée paisible, et là, première contrariété : le pneu avant est mou. Le genre de crevaison lente qu'on peut provisoirement résoudre en regonflant tous les deux kilomètres, mais pas quand il en reste plus de vingt au programme. Chance : je m'arrête sur la jolie place de Villedieu, avec sa fontaine, ses mûriers-platanes (sans feuilles mais bien taillés en vue des prochains mois) et ses tables et chaises invitant à l'apéro. Je bataille avec mon pneu : j'ai aisément repéré le petit trou dans la chambre, ainsi que l'endroit suspect dans la carcasse, mais rien ne dépasse, sinon un petit truc tout fin et tout mou, d'un demi millimètre et dont je n'identifie pas la matière. J'essaie de l'extirper, mais je n'ai pas d'ongles. Leçon pour l'avenir : ajouter une pince à épiler à mon "kit crevaison" ! Je décide de coller une rustine plutôt que de remplacer la chambre, ça fera de l'épaisseur. En attendant le séchage, je déguste un café-crème. Il n'y a pas que du mauvais dans la contrariété ! Après dégustation et réparation, je me rince les pognes dans la fontaine et reprends ma balade en espérant que la réparation soit suffisante. À Tulette, nouvelle contrariété : route fermée pour travaux. Je croise un groupe de cyclistes, des dames vêtues de jaune pétant et suivies par un véhicule d'accompagnement. En cas de crevaison, les secours ne sont pas loin ! 👍 Tout le monde cherche son chemin, d'abord en suivant la déviation, puis en changeant de direction. Je peine moi aussi à m'y retrouver. Je renonce et rentre au plus court vers Nyons, tant pis pour la quatrième côte, tant mieux pour l'apéro. Il ne sera pas trop tard !
  4. Boucle de 40km 475d+ ce matin par Valréas, Vinsobres et retour à Nyons par Mirabel-aux-Baronnies. Le parcours comprenait une jolie montée de 3200m environ, gentille avec ses 4,6% de moyenne sur une bonne route sans la moindre circulation. La descente sur Vinsobres était plus brutale et en lacets, avec du 9-10% si j'ai bien vu. À refaire en sens inverse à une autre occasion, donc (et quand je serai mieux en jambes).
  5. Moi, je pensais que Vélo de Rome c'était un marchand de vélos italiens ! ☹️
  6. Sortie vers Vaison et montée vers Suzette par le sympathique petit Col de la Chaîne. Retour par le même chemin au lieu de descendre vers Lafare et Le Barroux (ce sera pour une autre fois). J'ai croisé de nombreux cyclistes : des groupes et des isolés. Ils bossent donc pas, les gens ? 60km et 711m D+ pour moi, aujourd'hui.
  7. Je l'avais en vue tout à l'heure, il restait des plaques de neige en haut ; mais il fait beau aujourd'hui et ce sera encore plus doux et ensoleillé demain...
  8. Deux journées de temps à la belge sur Nyons, nous avons dû reporter nos projets de balades. Aujourd'hui, plus de pluie, très peu de vent et de belles éclaircies. Après dix kilomètres à pied avec ma femme, par le Chemin du Crapon qui longe l'Eygues en remontant sa rive gauche vers Aubres ; puis un léger repas de midi ; j'ai pris le départ pour un circuit de 41km et 650d+ qui m'emmenait par Les Blaches et Châteauneuf de Bordette via le Col de la Croix Rouge et jusqu'aux Pilles avant de bifurquer pour un retour vers Nyons où je me suis lancé dans un petit circuit local de 7,7km et 190d+, qui emprunte le Chemin de Rochette (montée assez pentue) et redescend par le Chemin de Saint Martin (descente quelque peu technique). Les vues panoramiques se succèdent, c'est très plaisant et probablement intéressant à répéter plusieurs fois à titre d'exercice (ce sera pour une autre occasion). Plus tôt, le passage par le Col de la Croix Rouge, après deux jours de pluie incessante, m'a permis de découvrir cette nature sous son aspect humide : de tous côtés, cela bruisse, gargouille, glougloute par la grâce de ruisseaux et torrents qui cascadent à qui-mieux-mieux vers la vallée en longeant la route ou en glissant par dessous. En haut du Col, un chemin en cul-de-sac se hisse jusqu'à l'église romane St Michel, bien nichée dans la végétation et invisible même depuis le Col.
  9. Ici, à Nyons, il pleut depuis la nuit de jeudi à vendredi. Du temps à la belge, on dirait que je fais dans l'import-export. Le Pontias souffle bien (tjrs de N-E, lui), avec quelques rafales. Cela devrait se calmer dans l'après-midi, du moins je l'espère, car nous projetons une petite rando pédestre en remontant la rive gauche de l'Eygues.
  10. Et dire que nous, les retraités, n'avons même plus ce plaisir-là !
  11. La chaussure, parfois (vécu personnellement).
  12. Si les Nyonsais cherchent un coupable, j'ai intérêt à me tenir à carreau.
  13. Aucune idée côté pédalier, mais tant que ça ne vient pas de ta cheville, c'est plus facile à réparer... 🤪
  14. En ce moment, compte tenu de la météo, je ne voudrais pas être un homme de fer. Édit. : J'ai dû importer un bout de climat belge à Nyons, car il tombe des hallebardes depuis cette nuit.
  15. J'ai peut-être pas de bol, mais lorsque je suis victime d'une crevaison, c'est très rarement tout près d'une maison où je peux sonner pour demander de l'aide. Pour le reste, c'est pareil : j'ai une mini-pompe qui me permet de gonfler jusque 4 bar voire un peu plus avec de l'obstination ; et une cartouche avec un percuteur à vanne que j'utilise très rarement. Mais je suis léger et, avec des pneus de 28, 4-5 bar c'est déjà correct pour moi en dépannage.
  16. Vous êtes bien courageux ! Ici en Drôme Provençale, les conditions sont bonnes pour rouler. Le vent du nord est un peu frais, mais les autochtones m'assurent qu'il fait plutôt doux pour la saison. Encore 14°C aujourd'hui après-midi. Peu de temps pour en profiter sur le vélo, il y a d'autres priorités. Juste 38km aujourd'hui, sans chercher les grimpettes. Plutôt du faux plat. Et le vent latéral, comme en attestent les arbres à St-Maurice/Eygues... Et un petit chemin, sur le côté, au nom évocateur...
  17. Hier, 850 km en bagnole pour rejoindre Nyons. Temps tout gris et bruineux jusqu'à portée de Lyon. Les essuie-glace ont bien servi ! Ensuite, plus sec, mais gris et frais, avec sans doute une pointe de mistral qui empêchait le thermomètre de décoller. Ce n'est qu'en passant Valréas et Saint-Pantaléon que de 10-11°C on est peu à peu passé à 15, puis 17°C à Nyons où les terrasses étaient bien garnies, vers 16h30, sous un soleil volontaire. Beaucoup de choses à faire dans les deux semaines que nous passerons ici, dont des visites de maisons... J'ai quand même trouvé le temps de sortir en fin de matinée, pour une petite boucle tranquille de 21km et 320D+ dans les environs. Le printemps approche, les panneaux indicateurs en sont tout retournés !
  18. Pour bien monter une roue de vélo, il faut en connaître un rayon et ne pas se dégonfler à la première difficulté. Je sais, ça n'aide pas beaucoup. Excusez-moi.
  19. Ce que je trouve très difficile à faire, c'est faire en y pensant une chose qu'on a l'habitude de faire sans y penser. Si je décide, par exemple, de me poser en observateur de ma manière de freiner, je ne suis pas sûr de parvenir à freiner exactement comme je le ferais sans songer à m'observer. J'ignore si j'ai les bons réflexes et, s'ils ne sont pas bons, c'est plutôt un observateur extérieur qui devrait m'indiquer ce que je dois prendre l'habitude de corriger afin d'acquérir les bons réflexes. C'est l'intérêt des écoles de maîtrise de la conduite automobile ou motocycliste, par exemple.
  20. Attention, la peinture sur soie c'est difficile. Surtout dans le dos !
  21. Chassez le naturiste, il revient au bungalow. 🙄
  22. C'est pour cela que j'évite de poster des calculs. Je suis plus fort en grand mère.
  23. Pfff. On vous a déjà dit et répété que, sauf quand on roule plus de trois ou quatre heures de suite, on n'a pas besoin de manger en cours de route ! 🫢 (Mais moi, si je roule plus d'une heure, il faut que je mange. On a beau me dire et me répéter que je n'en ai pas besoin, c'est mon corps, j'ai appris à écouter les signaux qu'il m'envoie, donc c'est plus ou moins lui qui décide, au bout du compte.)
  24. Voilà. Encore une fois, les Wallons l'auront dans le c* !
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