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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. C'est dans l'air du temps. J'en vois aussi énormément en Drôme Provençale. Je trouve ça bien (parce que ça met sur des vélos des gens qui sans ça n'en feraient pas ou plus) et pas bien (quand assistance est synonyme d'absence d'effort).
  2. Ça se confirme : bientôt meilleur en Belgique que dans le Sud.
  3. Heu... Tu n'as pas dû bien chercher !
  4. La prothèse de hanche ? Un porte-bidon ? Récemment, j'avais aussi un bruit d'un truc qui cogne en passant une bosse ou joint transversal. Cela me donnait toujours l'impression de venir de très bas : boîtier de pédalier, porte-bidon... C'était le petit dérive-chaîne dans ma trousse à outils sous la selle. Il avait glissé tout dans le fond et, à travers la housse, heurtait parfois la tige de selle. Cela m'a pris du temps pour trouver que ça venait de si haut et faire le bon geste en secouant la sacoche de selle. C'est rarement facile de situer un bruit.
  5. Ne descends pas plus bas, stp. Merci.
  6. Soleil omniprésent sur la Drôme Provençale, pour ma sortie matinale dans un vent de nord qui assure un peu de fraîcheur. 75km 816m+ en passant par Venterol, Rousset-Les-Vignes, Grignan, Richerenches, Villedieu... Mais également un petit crochet par Chamaret et sa tour, qui donne, depuis l'esplanade, une vue imprenable. Les villages médiévaux étaient bien perchés ! J'ai terminé un peu à court de jus, mais sans maux ni crampes. La condition s'améliore petit à petit, mais je suis encore loin des sensations de l'an dernier à pareille époque. Ce n'est d'ailleurs que le premier mois cette année où j'atteins et dépasse les 500 km, sans avoir roulé du tout en mai (pour cause de déménagement) et si peu de janvier à avril (pour cause de météo de m*). Je ne vais pas me plaindre, au contraire, puisque j'ai à présent la chance de rouler dans une région merveilleuse...
  7. Trop vieux ? Tsss... Pas qu'une question d'âge, à mon avis (et je suis bien placé pour l'affirmer)...
  8. Je roule presque toujours seul, et choisir constamment allure et parcours est une sensation de liberté difficile à remplacer. Les rares fois où j'ai roulé "avec d'autres", donc soit au sein d'un même groupe ou sur un parcours où j'ai roulé avec l'un ou l'autre petit groupe au gré des circonstances, j'ai roulé plus vite. Et même beaucoup plus vite. Cela incite à "mordre sur sa chique", c'est positif, et permet par moments de s'abriter un peu quand on est à la limite ou de se booster le moral quand on se sent parmi les meilleurs. Le pire, me semble-t-il, c'est de rouler avec un groupe trop fort et qui finit par t'abandonner (ou qu'il faut se résoudre à laisser partir) en cours de route. Cela doit être frustrant et décourageant. Je ferais davantage de progrès en roulant avec d'autres, mais y sacrifier une bonne part de ma liberté d'action me semble un lourd tribut. Y a pas de meilleur choix. À vélo, tout est affaire de compromis.
  9. Il n'était pas chargé du tout, Pierre-Yves. Du bleu partout et quelques cumulus de beau temps. Cela s'est chargé très vite, alors que j'étais bien haut. C'est venu de derrière d'autres sommets ; visuellement seulement, c'était imprévisible. Il devait y avoir d'autres indices, mais c'était plus subtil que ce qu'on peut seulement voir. Il y a un instinct de la région que je n'ai pas (encore).
  10. C'est certainement plus facile en Hainaut que dans les Baronnies Provençales, comme j'ai pu le constater hier. Dans la vallée, rien de spécial : ciel bleu, quelques cumulus. En grimpant (voir mon post d'hier, dans "votre sortie du jour"), il faisait toujours ensoleillé. C'est le tonnerre au loin qui m'a averti de l'orage. Le ciel s'est obscurci très vite, le vrai orage est resté près des sommets, j'ai reçu la pluie (pas trop drue), puis en redescendant le ciel était bleu. On le voit bien sur les images que j'ai postées. En montagne, observer ne suffit pas. Il y a probablement d'autres signes avant-coureurs plus subtils qu'on ne discerne qu'avec l'expérience. Le peu d'habitude d'un tel terrain ne m'avantage pas pour l'instant, mais je vais m'appliquer ! 🤪
  11. Cet après-midi, 60km et 616m+. Un aller-retour de Nyons vers le vieux village de Saint May. Départ sous le soleil et température très douce, mais en grimpant vers le village et le Rocher du Caire (d'où on peut observer plusieurs espèces de vautours), l'orage grondait sur les sommets environnants, sous un ciel de plus en plus menaçant. Je suis arrivé là-haut en poussant mon vélo sur certains tronçons d'un chemin caillouteux (pour préserver mes pneus de route - avec des pneus "gravel", j'aurais pu pédaler). J'ai entrevu un seul vautour, un retardataire qui ne s'était pas encore planqué avant que l'orage éclate. Loupé pour moi, par contre, puisque j'ai fait la première partie de la descente sous la pluie (grosses gouttes tièdes, l'orage était plus loin). Après le parking, c'est asphalté, pente à 9-11%, mes patins Kool Stop "saumon" freinaient bien sur la route détrempée (à condition d'anticiper avec un ou deux tours de roue "pour rien", sauf pour sécher la piste de freinage). Retour du soleil une fois redescendu au village. La route des Alpes était encore mouillée jusqu'à Sahune, mais côté Nyons, pas une goutte, m'a dit Chérie. La vallée de l'Eygues, depuis le Rocher du Caire, plus haut encore que le vieux village de Saint May : Dans la descente, une petite halte à la vieille Abbaye de Bodon : Autre vue, depuis la descente vers le village : Plus bas, vue sur la vallée depuis le village. On distingue bien l'Eygues et la route départementale (D94, dite route des Alpes), dans les Gorges de Saint May :
  12. À condition de suspendre le vélo.
  13. 1. Souvent, mais pas nécessairement à ça. 2. J'ignore si c'est nécessaire, mais ce n'est pas inutile, surtout avec une pompe à main. Cela permet d'entraîner les bras en prévision d'une réparation sur le bord de la route. 3. Il paraît que certaines technologies et matières (tubeless, chambres latex, fût de bière...) assurent une perte plus rapide de la pression. La vérifier et l'ajuster avant chaque sortie est une saine habitude.
  14. Ayant déjà subi ce genre de souci, je compatis ! Prompt rétablissement !
  15. Certes. Mais les paris à leur sujet, s'il en est, risquent d'être moins lucratifs.
  16. C'est une bonne nouvelle. Seront-ils également à l'arrivée ? C'est une bonne question !
  17. Ici à Nyons, une journée à la Belge. Sauf qu'il fait très doux. Mais la pluie ne nous a pas encore lâchés depuis ce matin (et même depuis cette nuit), en dépit de quelques accalmies. De plus en plus, les gens me regardent de travers. Consolation : le contraste météorologique n'est pas trop brutal pour moi.
  18. Inutile d'insister. Je ne reviendrai que si l'humidité et la grisaille me manquent.
  19. Autant je comprends le souhait de mettre un plateau de 48 à la place du 50, autant celui d'intercaler un pignon de 32 entre le 30 et le 34 me laisse sceptique. À moins de supprimer le 11 dents, ce qui nécessiterait d'en changer aussi un autre (pour avoir un départ 12 ou 13 ?) ; toute suppression d'un pignon intermédiaire créerait un "trou" dans l'étagement beaucoup plus gênant à mon avis que le passage de 30 à 34. L'installation d'un GRX, comme suggéré ci-dessus, me semble plus pertinente. Mais c'est vous qui voyez, comme le dit la célèbre formule.
  20. Suffit de mettre des pneus chinois.
  21. Une petite balade de 50 km et 596 m+, aujourd'hui, après avoir passé quelques heures hier à bichonner mon vélo. Les deux encoches laissées par les cailloux sur le bord de la jante, et que j'avais ébavurées à la mini-ponceuse Dremel, ne m'inspiraient pas la confiance la plus imperturbable ; mais ça s'est bien passé (fort heureusement, le bord interne n'était pas touché et l'accroche du pneu pouvait être réalisée sans problème).
  22. Les réponses sont oui et non.
  23. 😬 J'ai vu ça de près ! 😬
  24. Pour celle qui a explosé hier matin dans mon pneu arrière, je n'ai pas trouvé. Probablement une cause extérieure (objet ou caillou pointu perçant le flanc du pneu dans une descente de col). La cause la plus communément citée est l'échauffement (freins sur jantes), mais je pense qu'il faut déjà bien freiner pour en arriver là.
  25. Certaines marques proposent des selles en prêt via les velocistes. Voir aussi le marché de l'occasion. On y trouve à la vente à prix avantageux des selles qui n'ont presque pas servi. J'en ai vendu comme ça, l'acheteur ayant probablement réalisé à chaque fois une meilleure affaire que moi.
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