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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Le vélotaf, ça permet de transformer du temps habituellement "perdu" (en voiture ou tec) en temps "utile". Pour ma part, c'est échanger, à chaque fois que possible, 2x35min de bagnole contre 2x75min de vélo. En outre, mon employeur m'indemnise à 0,15€/km, ni plafonné ni imposable (en Belgique). Tout profit, donc. Cette année, malheureusement, de très gros ennuis de santé sont venus ternir le tableau. J'ai peu roulé, et le peu que j'ai roulé, c'était vraiment pas vite.
  2. Le mulet, c'est moi. Surtout parfois en vélotaf.
  3. Sans conteste, la selle (SMP) qui convient à ma pratique et à mon postérieur.
  4. Plutôt que de jouer les Dr Frankenstein de la cassette, on peut mettre un grand plateau plus modeste qu'un 50 dents.
  5. Nicolas JOARY

    Disques imposés

    Avec les JO, l'athlétisme est roi en ce moment. Ces marques jouent à fond le lancement du disque. De toute façon, les patins, c'est aux JO d'hiver.
  6. Elle s'est bien préparée. C'est comme ça qu'on fait.
  7. Nicolas JOARY

    JO 2016

    Un beau podium, pas surprenant.
  8. Nicolas JOARY

    JO 2016

    C'est simple : on est battu parce que l'adversaire est meilleur. Celui qui gagne, s'il n'a pas triché, est inévitablement le meilleur : il connaît ses limites et celles du terrain, prend les risques qu'il faut quand il faut, profite des circonstances de course, sait qui il doit surveiller, sent bien dans quelle roue il doit bondir en cas d'attaque, reste sur son vélo quand d'autres chutent, etc. Tenter d'amoindrir la performance de Van Avermaet, c'est de la mauvaise foi. Si les autres étaient meilleurs, ils n'avaient qu'à franchir la ligne d'arrivée avant lui.
  9. Ha, ha ! Voilà qui me fait songer à une bande de gugusses qui participaient aux cortèges dans les fêtes villageoises, montés sur des vélos rigolos. Il y avait un biclou articulé au milieu... Je sais pas comment le mec arrivait à rouler avec ça (en crabe, assez souvent), mais il le faisait !
  10. Que de cyclistes heureux, là-haut ! Ça fait toujours plaisir à voir !
  11. Nicolas JOARY

    JO 2016

    Quelle saison, Greg ! Bravo !
  12. J'avais déjà remarqué une différence et je m'étais déjà posé la question. Moi, c'est plutôt pour tourner à gauche que je suis moins franc. J'avais trouvé ça logique, parce qu'en roulant près du bord droit de la route, le revêtement est souvent en dévers (surtout dans les ronds-points), donc la gîte relative est plus prononcée en tournant à gauche qu'en tournant à droite. En tout cas, c'est ce que je ressens : je glisserais plus facilement vers le bas-côté (virage à gauche) que vers le centre de la bande de roulement (virage à droite). Franck doit avoir donné la bonne raison : on n'est pas symétriques... Bon, désolé, c'est pas drôle comme réponse, mais j'ai fait ce que j'ai pu.
  13. Pas de problème avec mon VDO MC2 (fonctions de base et altimètre, comme tu cherches) ; mais c'est un ancien modèle filaire et, AMA, les compteurs filaires sont plus fiables et plus économes en piles.
  14. Bon courage et bonne route !
  15. Question de position et d'appui, comme expliqué ci-dessus. Certainement pas de canal carpien. Le syndrome du canal carpien, c'est autre chose et, surtout, ça n'attend pas qu'on soit sur le vélo pour se manifester.
  16. "Pendant toute sa carrière, il a gagné une course sur trois auxquelles il a participé." Voilà une donnée qui fait fi des époques ! Merci d'avoir rappelé ce chiffre.
  17. Il faudrait préciser ton objectif : simplement arriver en haut sans trop en ch* ou "faire un temps" ? De toute façon, éviter les heures les plus chaudes (partir de bon matin, c'est mieux : plus frais, moins de trafic) et les jours de grand vent (parce que c'est dangereux).
  18. Excellent !
  19. Eddy avait une bonne équipe, comme l'explique Claude, juste ici. Par contre, non, pas du tout à la manière de Froome. En haute montagne, Merckx n'était jamais entouré comme Froome dans les grands cols et certainement pas dans la dernière grimpette : la plupart du temps, il était seul. Seul devant comme en 69 et 70 ; seul à essayer de limiter les dégâts dans ses TdF suivants. À l'époque, si un de ses équipiers avait été en mesure de remporter un grand tour, il serait parti dans une autre équipe. Les cyclistes ne gagnaient pas lourd, sauf les grands leaders qui s'en sortaient bien. Claude fait une comparaison intéressante, parce qu'il est très difficile de comparer les époques. Pour en revenir à Sagan lui-même, je suis admiratif. Quel talent, quel panache ! Une évidence, c'est que si tous ses meilleurs adversaires jouaient les premiers rôles aussi souvent que lui (autrement dit, étaient aussi généreux que lui dans l'effort tout au long de la saison), Sagan remporterait plus de courses. Sagan, il a la soif de gagner, la rage de vaincre, du panache. Cette comparaison-là, on peut la faire avec Merckx sans hésiter. La plupart des meilleurs aujourd'hui, ils ont surtout la soif de fric. C'est financièrement plus intéressant de rouler pour ne pas perdre un accessit que pour tenter de gagner une épreuve. Financièrement plus intéressant de mettre ses ambitions sportives sous l'éteignoir et de rester, bien payé, au service d'un champion. C'est ça qui a changé. Et c'est ce qui fait que Sagan suscite l'admiration : des coureurs comme lui, c'est devenu rare.
  20. Tu parles de ce que tu ne connais pas. Merckx n'a jamais gagné facilement. Ce n'est pas parce qu'il dominait le cyclisme que c'était facile ou que ses adversaires étaient faibles. Merckx était très fort physiquement et mentalement, c'était un enragé compétiteur qui ne voulait jamais abandonner, mais rares sont les champions cyclistes qui se sont imposé autant de souffrances que lui sur un vélo.
  21. Ce n'était pas plus facile de gagner autrefois que maintenant. Il y avait de bons adversaires au départ des courses, comme il y en a aujourd'hui. La concurrence était féroce. Très féroce. Ce qui a beaucoup changé, par contre, c'est l'argent. Le coureurs actuels gagnent mieux leur vie : ils peuvent axer leur saison sur quelques courses seulement. Autrefois, ce n'était pas vrai : pour vivre bien, il fallait courir beaucoup, toute l'année. Pour qu'un coureur puisse, aujourd'hui, briller toute l'année comme Merckx le faisait (gagner des classiques printanières, des courses à étapes de quelques jours, un ou deux grands tours, des critériums, le championnat du Monde...), il faudrait que ses adversaires courent toute l'année au meilleur niveau eux aussi. Et ça, ça ne se fait plus. Ils sont assez bien payés pour axer leur saison sur un court "pic de forme". Aujourd'hui, les "pics de forme" sont très pointus. Du temps de Merckx, c'était des "plateaux" de forme.
  22. Les gorges de la Nesque, à ne pas manquer ! La route dans la forêt de Venasque, ça vaut la peine aussi. Plus loin vers Senanque, c'est pas mal du tout.
  23. Un bon Tour pour les Belges, on ne l'a pas assez écrit : De Gendt à l'attaque plus souvent qu'à son tour et qui s'impose au Ventoux devant Pauwels, qui s'est aussi illustré positivement. Excellent Van Avermaet, avec une très belle victoire d'étape et un maillot jaune auquel il a fait honneur en le défendant avec panache ! Sinon, Sagan toujours enthousiasmant (et quel sprint aux Champs !). Un spectacle à lui tout seul ! Les Sky trop forts (physiquement et tactiquement) pour les autres ; et menés par un Froome très régulier et agissant en homme civilisé quand il a des pépins techniques. Une victoire finale incontestable, avec la manière en prime. Le Cave égal à lui-même et qui pourrait battre un fameux record l'an prochain. Bardet volontaire avec une belle victoire d'étape et un beau podium. Content aussi pour la victoire de Greipel, un sprinter qui sait se mettre au service de son équipe. Déçu par la tactique des Astana, des Movistar, des BMC. Tous ces gens me font penser à des combattants qui n'osent pas se servir de leur épée de peur de devoir lâcher leur bouclier.
  24. Je souscris à ton analyse, même si ça m'attriste souvent de voir les choses se passer comme ça.
  25. J'ai trouvé ce TdF intéressant malgré tout. Les "faits de course" et les caprices de la météo ont créé par moments des conditions intéressantes, qui ont contribué au suspense (pour les victoires d'étapes).
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