Oui, c'est vrai que le déclin est inévitable.
Comme je n'ai jamais été très performant et que j'ai très rarement pris note de mes distances et moyennes, je suis incapable de chiffrer ma régression. J'en suis d'autant moins capable que j'ai délaissé la bicyclette pendant pas mal d'années, comme beaucoup d'autres que moi (entre le boulot, les enfants, la maison avec jardin... le truc classique), et que j'y suis vraiment revenu à la cinquantaine sans grande ambition ! Finalement, je me dis que pouvoir encore rouler honorablement à l'âge de la retraite est déjà une belle consolation.