Nicolas JOARY

Voir l'état des câbles. S'ils ont déjà vécu ou sont abîmés, les remplacer. Vérifier les gaines, par la même occasion. Si les nouveaux câbles ne glissent pas très facilement à l'intérieur, les changer aussi (SQS gouttes d'huile à l'intérieur, ça peut faire l'affaire, si elles sont encore en bon état mais un peu "sèches").

Par cette chaleur, fallait les faire, les kilomètres ! Je me suis contenté d'une balade de 38 bornes, avec Madame, arrêt obligatoire après 25 km pour déguster une crème glacée 😋. À la halte, nous avons bavardé quelques minutes avec un cycliste retraité, qui déplorait que sa femme ne voulait plus. Faire du vélo, je précise. Même avec assistance électrique. Ma femme veut bien, elle, mais il vaut mieux s'offrir une pause-boisson ou dessert ; ou alors un pique-nique. C'est une autre façon de rouler, mais ça comporte de bons côtés, surtout quand il fait chaud.

Ce ne serait pas plutôt un grippage quelque part ? Parce que si ça fonctionnait avant, un changement spontané de réglage de butée semble peu probable.

Oui. Ou bon nombre de ceux qui étaient devant lui ont degringolé ! 😄 Façon de voir le verre à demi plein ou à demi vide. Vaut-il mieux s'accrocher, quitte à ne briller nulle part, pour faire un top dix ou ne pas s'en préoccuper et remporter une belle étape ? C'est l'équipe qui définit les objectifs, évidemment, mais j'aime mieux ce que font Van Aert et Powless, même s'ils sont derrière Gaudu et Bardet au CG.

La Jumbo a essayé la tactique qui avait fonctionné la veille : durcir la course, isoler Pogi et à Vingo de porter l'estocade. Cela a fonctionné jusqu'à quelques kilomètres du but. Dans le final, Vingo était cuit. Cela laisse beaucoup de suspense pour la suite ! Le TdF est long et difficile, les vérités d'aujourd'hui peuvent faire mentir celles d'hier et être contredites par celles de demain. Tant mieux pour le spectacle !

Sympa, de faire la route des vins !

Je n'ai vu que la fin, mais c'était passionnant.

Nous nous étions habitués au temps sec et ensoleillé avec le vent de N-E... ☹️

Première journée qui sourit à la Jumbo, dirait-on...

C'est comme beaucoup d'équipements : pas vraiment indispensables, mais utiles "par curiosité". Je n'ai pas besoin d'un totalisateur kilométrique ni d'un tachymètre, je ne cherche pas la performance (ni en vitesse, ni en distance) ; je rentre quand j'en ai assez ou que l'heure exige que je le fasse. À la maison, je note quand même dans mon agenda la distance parcourue. J'aime bien de le savoir (et c'est une donnée à répéter au cardiologue lors de ma visite annuelle). J'ai aussi de quoi enregistrer un ECG, mais je n'emmène plus l'appareil avec moi (je l'ai fait un moment), car je sais à présent à quoi correspondent mes sensations quand elles ne sont pas bonnes. Si mon état évoluait, avec de nouvelles sensations douteuses, j'emporterais à nouveau mon moniteur cardiaque lors de mes sorties.

Hier, j'ai trouvé le reportage intéressant. Mais quand je l'ai mis en marche, il restait moins de dix bornes.

Vraiment impressionnant, cet habitat ! Ça doit presque donner l'impression de vivre sur un bateau amarré au port !

Cela me remémore cette conversation : - Hé, t'aurais pas grossi, toi ? - Non. Toujours 120 kilos. (deux semaines plus tard) - Il me semble que tu as grossi, non ? - Ben non. Toujours mes 120 kilos. (encore deux semaines plus tard) - Cette fois, t'as vraiment grossi, c'est pas possible autrement ! - Non, non. 120 kilos. D'ailleurs, ma balance ne monte pas plus haut.

Assez venteux ce matin ; un peu frais aussi, je suis donc parti en manches longues et je n'ai pas eu trop chaud pour mes 61 km et 562 mD+. Parcours agréable vers Mettet via Châtelet, Sart-Eustache et Devant-Les-Bois ; retour à Fleurus par Gougnies et Villers-Poterie. J'ai oublié de prendre quelques photos, mais il y avait quelques routes du genre sympa et en état très correct, ce qui vaut la peine d'être signalé, car ce n'est pas la coutume chez nous.

Sur ma randonneuse le 34 passe aussi avec une chape moyenne (mais dérailleur SRAM).

En Wallonie, ce qui grince le plus, c'est les dents des cyclistes, vu l'état des routes.

Je ne sais pas si Vingegaard courait grand risque à prendre un ou deux relais dans les deux derniers kilomètres. La consigne était peut-être de ne pas le faire, c'est possible et ce serait une bonne explication. Mais pourquoi ? Ne pas prendre de risque ? Il vaut toujours mieux être devant, non ? Ne pas emmener Pogi dans sa roue et se faire griller au sprint ? Bof. Même sans cela, Vingo a été grillé et a concédé quelques secondes. Si c'était une consigne du DS, je pense que c'est une grosse erreur. C'était psychologiquement mauvais, tactiquement aussi. Au plan stratégique, l'avenir nous le dira, mais la Jumbo a beaucoup perdu mentalement pendant ces deux premiers jours et ça va laisser des traces. Vingo va avoir la pression et il devra l'assumer. Quant à Pogi, il est non seulement très fort, mais avec un bon mental, du panache à revendre et un charisme rare. C'est un coureur complet comme on n'en a plus vu beaucoup depuis Merckx et Hinault. Il a ce truc de plus qui fait la différence.

Oui, avec l'âge, les raideurs se déplacent.

Seul, tu te fais mal quand tu sens que tu peux te faire mal. En groupe, ça peut être les autres qui te font mal, juste à un moment où toi tu ne le ferais pas.

C'est surtout un moyen de mettre la pression sur la Jumbo. Et c'est réussi. Dommage pour Van Aert qui, décidément, joue à chaque fois contre une coalition et ne peut pas compter sur Vingo dans une arrivée comme celle-là, alors que le Danois pourrait lui donner ce coup de pouce.

Il Lafay !

On commence déjà à jouer avec les secondes...

On commence déjà à jouer avec les secondes...

J'aime bien expliquer, blague ou pas.

Aujourd'hui, sortie de 60km composée d'un enchaînement de différentes petites boucles locales sans grande difficulté ; le genre de boucles que je parcours à la mauvaise saison, quand elles peuvent être difficiles à cause du froid ou du vent, mais qui permettent d'abréger ou prolonger aisément la sortie suivant les conditions.