Nicolas JOARY

Désolé d'avoir perturbé la discussion sur le Giro. Merci de nous avoir aimablement rappelés à l'ordre.

Bah oui ! Tu sais, moi qui roule seul sans souci de performance, 15-17-19 ça ne me pose pas de problème. Même quand 16 ou 18 seraient plus appropriés, je m'en rends à peine compte. Si je suis en forme, je pousse un peu plus gros ; si pas, je mets plus petit et ça va un peu moins vite. Pas grave. Évidemment, si je roulais en groupe rapide où on se tire la bourre, ce serait différent. Mais je serais plus costaud et au lieu de pester sur mes 15-17-19, je roulerais avec mes 13-14-15 et là, à moins de chercher la demi-dent... 🤪

Quand on dispose de 10 pignons et plus à l'arrière et qu'on ne trouve pas de cassette avec le bon étagement, c'est peut-être qu'il est temps de se demander si un changement de plateaux (voire de pédalier) ne serait pas opportun.

L'application Android ne le permet pas, mais il me semble que sur PC ça fonctionne toujours. Assez mal, de toute façon, parce que les valeurs "corrigées" par Garmin Connect sont farfelues. Celles données par le barométrique Edge sont pour moi en concordance avec OpenRunner et, d'après ce que j'ai lu, avec Strava ou Komoot pour d'autres.

Ah ! Les divorces ! C'est dans ces circonstances que, le plus souvent, c'est l'homme qui se fait ent*ber ! 😂

Merci pour les précisions. Sais-tu s'il y a des maxima de correction ? Lorsque j'avais acheté mes Julbo, le fabricant ne pouvait aller au-delà de -3 en sphérique (correction myopie) sans inserts. C'était il y a une dizaine d'années, ça peut avoir évolué.

17°C ce matin à sept heures. Temps calme et ensoleillé. Vers huit heures, retour du mistral, mais nettement moins fort qu'hier. Actuellement 24°C sous abri sur notre terrasse. Les maxima devraient titiller les trente degrés cet après-midi. La piscine va servir.

C'est logique dans ces conditions. Tu ne bouges pas, donc tu ne parasites pas la lecture. Lorsque tu bouges, la lecture est d'autant moins parasitée que le capteur est placé près de l'émetteur (le cœur). Je faisais l'analogie avec un micro qui enregistre ta voix : si tu es assis au calme dans ton salon, le micro placé à deux ou trois mètres peut te capter clairement ; si tu pédales sur un vélo, le micro devra être tout près de ta bouche pour que les bruits parasites ne couvrent pas ta voix ou ne déforment tes paroles. Pour rendre le message plus intelligible avec un micro placé loin, l'enregistreur doit faire appel à des algorithmes de filtrage de fréquences, des réducteurs de bruit, etc. C'est très sophistiqué alors que la simple proximité du capteur résout l'essentiel du problème.

Je pense que les indications globales sont correctes ; c'est, comme le rappelle Jean-Pierre, l'indication instantanée qui a un léger retard (une poignée de secondes, il me semble). Les indications globales deviennent imprécises quand le temps est chahuté (grosses rafales de vent qui perturbent la pression atmosphérique mesurée par le capteur barométrique). Cas vécu personnellement hier, où un parcours bien connu m'a affiché 1009m+ alors qu'il se lisait à 987m+ deux jours plus tôt sans grosses rafales de vent. Mais cela reste peu fréquent et, donc, le Garmin est assez précis et cohérent d'une sortie à l'autre.

J'avais compris qu'un des atouts du tubeless est que l'absence de chambre rend impossible la crevaison par pincement. Qu'aurait-il pu se produire avec le tubeless dans l'incident que j'ai vécu ? Une fuite (liquide et pression) en bordure de jante, bien que le pneu soit intact ? Je n'ai pas d'expérience tubeless à vélo, donc j'aime bien comprendre...

Tu crois qu'un tbl aurait quand même pu avoir un problème avec ça ? Pour rappel, le pneu est intact. C'était une pincette.

Ici, ce sont des vipères. À ne pas confondre avec certains serpents à sornettes. 🤪

Ah, zut ! Je n'y avais pas songé, à celle-là ! 😱

16°C ce matin sous abri, mais un solide mistral ! Évidemment, la résultante en était un temps ensoleillé, donc la sortie me paraissait toujours envisageable. Je suis parti vers le nord-ouest, préférant affronter le pire immédiatement, comme je l'avais fait dimanche. C'était d'ailleurs le même parcours, juste amputé du petit crochet par Saint-Pantaléon. J'ai dû bien batailler avec les rafales, tant dans les montées d'Aleyrac et du Colombier que dans les descentes correspondantes, ces dernières faites presque entièrement en roue libre et attentif à conserver de saines trajectoires. Un peu moins de kilomètres (63 au lieu de 64) que dimanche, mais un D+ de 1009m qui me semble légèrement exagéré (987 dimanche), le vent parfois violent a dû perturber l'altimètre barométrique du Garmin... Avant de partir ce matin, je m'étais dit en vérifiant les pneus : "il va être temps de remplacer l'arrière". Je n'aurais peut-être pas dû tenter le diable, puisque le brave Tufo a subi sa première crevaison en plus de 6000km. Et elle n'était certainement pas due à l'usure, puisque conséquente à un pincement provoqué par un débris de pancarte en plastique poussé par le vent dans ma trajectoire, à trois bornes de la maison. J'ai réparé sur le bord de la route, en rattrapant plusieurs fois du matériel qui prenait le chemin des broussailles ! Au final, un beau "snake bite" dans la chambre, pneu cependant intact. Avec du tubeless, j'aurais probablement poursuivi ma route sans souci. 😁

C'est la raison pour laquelle on a un jour créé la gendarmerie à cheval.

Si on ne pose pas la question en indiquant s'il faut ou non tenir constantes la vitesse de déplacement et la cadence de pédalage, elle n'a pas de sens.

Quelques beaux morceaux, en effet ! Même si les murs en question ne sont pas longs, il y a moyen de s'y faire bien mal.

Na !

Lors de ma semaine à Riccione en octobre 2023, j'avais parcouru plus de 550km. Je ne m'y attendais pas, ce n'est absolument pas dans mes habitudes. Je pensais mal récupérer d'un jour à l'autre, mais ce ne fut pas le cas et j'ai même roulé lors de la journée de repos. La fatigue n'est venue qu'à mon retour de stage, mais rien de catastrophique, loin de là ! Je présume que le mental joue beaucoup et que le retour en Belgique avait aussi un peu érodé ma motivation. Je n'ai plus réitéré la "performance" (pour moi). Mon côté prudent, sans doute. Et ce doit être le même côté prudent qui m'incite à rouler seul le plus souvent. En groupe, l'émulation est inévitable et, donc, on mord davantage "sur sa chique".

👍 +1

La logique explique le problème... Pour enregistrer ma voix quand je parle, le micro devant la bouche, c'est plus efficace que dans le bas du dos. Pour y parvenir dans la seconde option, il faudrait du matériel sophistiqué alors que dans la première, un équipement de base suffit amplement. Pour capter l'activité cardiaque, le meilleur emplacement, c'est tout près du cœur. Et l'activité électrique, qui se capte avec des électrodes sur la poitrine, est l'élément non-invasif le plus fiable.

Un petit hamac et un tarp, c'est léger et ça peut aussi faire l'affaire (quand on trouve de quoi suspendre), surtout si le temps s'est mis à la pluie. Bon courage et bonne réussite dans ton défi !

18°C à 7h sous abri ; vent nul. Mais ici, quand il n'y en a pas, c'est qu'il ne va pas tarder à y en avoir. À 8h, il était déjà de retour. Le prix à payer pour un ciel bleu et un temps ensoleillé. Et des habitudes à prendre : bien accrocher les volets et tout ce qui peut s'envoler, basculer ou claquer sous l'action d'Éole. Édit. : Malgré le mistral, nous avons plus de 25°C sous abri cet après-midi. Évidemment, plus un seul nuage en vue, ce qui n'était pas le cas hier soir, lors de notre balade à pied sur les hauteurs de Valréas. C'était calme, mais un peu lourd.

J'ai déjà dû l'écrire quelque part sur ce forum : ce n'est pas parce qu'on roule en boyaux qu'on ne peut pas y mettre ses tripes.

Et je suis persuadé que ces montres sont des engins bien plus sophistiqués et potentiellement performants qu'un simple capteur fixé sur une ceinture élastique au milieu de la poitrine ! Mais dans la pratique, les premières sont très mal placées alors que les seconds sont à l'endroit idéal.