Marquez Posté hier à 12:08 Posté hier à 12:08 (modifié) Entre un pilote de 85 kgs et un de 65 les influences du matériel seront très différentes (cadre, roues, pneus, aéro du pilote) il est alors difficile de dire qui a tort ou raison quand il affirme que tel matos n'est pas mieux qu'un autre ouy l'inverse , c'est valable pour lui mais sans doute pas pour un autre avec un gabarit et des capacités autre. Il est donc assez vain de vouloir à tout prix démontrer qu'on a raison contre un autre avis. Il faut se faire sa propre conviction et s'en tenir là. Comme dirait l'autre..... "cela fait des pages "que je répète ça en relatant mes constats persos (qui donc sont perso sans plus d'ambition). Le matos que je me sélectionne permet d'améliorer mon efficacité et c'est le seul but recherché. Quand je constate en réel et sur une longue durée et avec de la concurrence à coté, par exemple que les TPU procurent un gain, que les roues (rigides ) à 1.300 sont également meilleures que celles à 200 grs de plus, je me permets d'en faire état, que la position du pilote est bien plus importante que la dissimulation des gaines ou un tube diagonal ovalisé, je le dis aussi. Il ne s'agit pas de contrarier qui que ce soit ce sont des constats que je fais moi et pas juste des "sensations" . Après plus de 60 ans de vélo sport et le virus de la compet chevillé au corps, je crois avoir une petite notion de ce qui m'avantage ou pas question matos. Modifié hier à 12:18 par Marquez
Thierry GEUMEZ Posté hier à 12:25 Posté hier à 12:25 il y a 25 minutes, Pierre PLANA a dit : La conclusion clos le débat :"je n'ai pas l'ego de croire que ce que je trouve le plus important l'est pour tout le monde" 🙂 Chacun est effectivement libre de ses préférences mais pas de dire que ses watts ne sont pas tout-à-fait les mêmes que les watts officiellement admis
Nicolas JOARY Posté il y a 22 heures Posté il y a 22 heures Le 19/10/2025 à 15:00, Thierry GEUMEZ a dit : (...)Des analyses sont possibles en laboratoire. Le rendement du moteur humain se situe vers 18-23 % (environ, j'ai oublié). Un moteur essence est plutôt dans les 25%, un diesel plus près de 30%.(...) Je suis toujours intrigué par certains "mystères" autour du matériel, quand des chiffres apparemment incontestables (chronométrages, mesures de puissance délivrée...) viennent contredire les sensations du cycliste. Ainsi, j'ai lu plusieurs articles qui relatent expériences et calculs menés par des scientifiques ; calculs qui tendent à démontrer que le poids du matériel n'a d'importance que pour les montées longues et pentues ; et aussi que l'endroit où est situé le poids est bien moins crucial qu'on ne le pense. Par exemple, que 500g de moins sur les roues ou sur le cadre, ça ne ferait presque pas de différence. Juste un tout petit peu lors des accélérations ; et encore ! Pourtant, malgré ces mesures et calculs, nombreux sont les cyclistes qui prétendent que ces différences ne sont pas négligeables ; que les petits deux ou trois Watts, que les une ou deux secondes gagnés ou perdus ici et là qui sont en principe marginaux et négligeables pour le cycliste qui n'est pas compétiteur (étant entendu que pour le compétiteur, une seconde gagnée peut parfois rimer avec une course gagnée) restent perceptibles pour eux. On leur parle alors "d'effet placebo" ou de "ressenti" qui sont démentis par capteurs et chronomètres. Je m'interroge dès lors sur l'importance que ces études semblent ne pas beaucoup accorder au "rendement" du corps humain. Les pertes, entre l'énergie dépensée et l'énergie produite par le cycliste, seraient de l'ordre de 70 à 75%, ce qui est loin du négligeable. En outre, ces pertes de rendement auraient tendance à s'accentuer à mesure que la durée de l'effort (ou la répétition des efforts) s'accroît. Les pertes seraient alors plus proches des 80%. Compte tenu, dès lors, du rendement énergétique plutôt médiocre de notre organisme, ces gains que l'on qualifie souvent de "marginaux" ne le seraient-ils pas moins qu'on ne l'affirme ? 1
Pierre PLANA Posté il y a 22 heures Auteur Posté il y a 22 heures Il y a 3 heures, Thierry GEUMEZ a dit : Chacun est effectivement libre de ses préférences mais pas de dire que ses watts ne sont pas tout-à-fait les mêmes que les watts officiellement admis C'est un espèce de dictature Belge si on ne peut plus dire des c.nneries ! 🙃
dams Posté il y a 21 heures Posté il y a 21 heures Il y a 20 heures, Jean-Pierre COURQUIN a dit : B.Moreau était une pointure en vélo j'ai participé au chevreuil (130kms dans la région parisienne vallée de chevreuse) avec un 33 kms de moyenne j'étais content lui a fait dans les 10 premiers a une moyenne nettement supérieure aussi il sait de quoi il parle j'aurais donc tendance a l'écouter quand a Marquez ou ( Bruneau ) je ne connais pas donc je ne me prononcerai pas . maintenant l'évolution du matériel a apporté des améliorations de confort (pédalas automatiques ,freins a disque, changement de vitesse au guidon) le reste bof .......tu n'iras pas plus vite dans le Ventoux avec le dernier vélo de chez machin enfin ce n'est que mon approche toute personnel quand a la bière buvant très peu je reviens du NORD Bergue ou j'ai encore de la famille il m'ont fait boire de la Goudal sympa mais un peu trop alcoolisé (+7 degrés) bon vélo et si j'oublie bon anniversaire Les "bonnes bières" sont souvent au dessus des 7 degrés. C'est dommage, j'aurai peut être été pro...😁 1
Marquez Posté il y a 21 heures Posté il y a 21 heures Finalement c'est assez simple, quand on pense qu'un matériel n'est pas susceptible de nous apporter un gain interessant, il suffit de décider de ne pas s'en équiper; et même si un autre trouve l'inverse, il n'a qu'à se l'acheter, a priori ça ne nous fera ni chaud ni froid puisque on a eu le choix. Mais il faut se garder de faire aveuglément confiance à l'un ou l'autre, pour ses propres choix, sauf éventuellement à très bien connaitre les conseilleurs, leur expérience et leur manière de rouler.
Marquez Posté il y a 21 heures Posté il y a 21 heures il y a 1 minute, dams a dit : Les "bonnes bières" sont souvent au dessus des 7 degrés. C'est dommage, j'aurai peut être été pro...😁 Pas toujours, il y en a d'excellentes entre 6 et 7.
Pierre PLANA Posté il y a 21 heures Auteur Posté il y a 21 heures il y a 9 minutes, Nicolas JOARY a dit : Je suis toujours intrigué par certains "mystères" autour du matériel, quand des chiffres apparemment incontestables (chronométrages, mesures de puissance délivrée...) viennent contredire les sensations du cycliste. Ainsi, j'ai lu plusieurs articles qui relatent expériences et calculs menés par des scientifiques ; calculs qui tendent à démontrer que le poids du matériel n'a d'importance que pour les montées longues et pentues ; et aussi que l'endroit où est situé le poids est bien moins crucial qu'on ne le pense. Par exemple, que 500g de moins sur les roues ou sur le cadre, ça ne ferait presque pas de différence. Juste un tout petit peu lors des accélérations ; et encore ! Pourtant, malgré ces mesures et calculs, nombreux sont les cyclistes qui prétendent que ces différences ne sont pas négligeables ; que les petits deux ou trois Watts, que les une ou deux secondes gagnés ou perdus ici et là qui sont en principe marginaux et négligeables pour le cycliste qui n'est pas compétiteur (étant entendu que pour le compétiteur, une seconde gagnée peut parfois rimer avec une course gagnée) restent perceptibles pour eux. On leur parle alors "d'effet placebo" ou de "ressenti" qui sont démentis par capteurs et chronomètres. Je m'interroge dès lors sur l'importance que ces études semblent ne pas beaucoup accorder au "rendement" du corps humain. Les pertes, entre l'énergie dépensée et l'énergie produite par le cycliste, seraient de l'ordre de 70 à 75%, ce qui est loin du négligeable. En outre, ces pertes de rendement auraient tendance à s'accentuer à mesure que la durée de l'effort (ou la répétition des efforts) s'accroît. Les pertes seraient alors plus proches des 80%. Compte tenu, dès lors, du rendement énergétique plutôt médiocre de notre organisme, ces gains que l'on qualifie souvent de "marginaux" ne le seraient-ils pas moins qu'on ne l'affirme ? Notre ami bienveillant Bruno, ne veut pas l'entendre mais bien sûr il y a toujours un effet placébo. Et on peut vraiment changer le comportement d'un vélo avec des roues de différentes hauteurs et surtout de différentes rigidité, la roue la plus rigide n'étant pas forcément la meilleure pour tout le monde, comme la roue la plus légère n'est pas forcément la meilleure pour tout le monde. Je ne peux pas croire qu'un sprinteur comme Tim Merlier se contente d'un SL8 qui est pour moi un vélo plutôt élastique (dans les configurations où je l'ai essayé), sauf à le "blinder" avec des roues Roval super tendues. Mon expérience personnelle, ne vaut que pour moi, mais je prête souvent mon matériel et j'écoute ce que disent les gens autour de moi sur leurs matériels. Pour tous les cyclistes, je suis persuadé que pour aller le mieux possible, il faut (par ordre d'importance) : - Avoir un vélo qui propose la meilleure position possible compte tenu du gabarit du cycliste et de ses contraintes de souplesse. - Avoir un vélo et des roues avec une rigidité adaptée au gabarit, au niveau de puissance et à la façon de pédaler du cycliste. - Avoir un vélo avec un poids raisonnable. La difficulté pour conseiller un vélo, c'est que sur les trois paramètres, les curseurs peuvent vraiment varier d'un individu à l'autre.
Pierre PLANA Posté il y a 21 heures Auteur Posté il y a 21 heures (modifié) il y a 11 minutes, Marquez a dit : Finalement c'est assez simple, quand on pense qu'un matériel n'est pas susceptible de nous apporter un gain interessant, il suffit de décider de ne pas s'en équiper; et même si un autre trouve l'inverse, il n'a qu'à se l'acheter, a priori ça ne nous fera ni chaud ni froid puisque on a eu le choix. Mais il faut se garder de faire aveuglément confiance à l'un ou l'autre, pour ses propres choix, sauf éventuellement à très bien connaitre les conseilleurs, leur expérience et leur manière de rouler. Tu as raison. Mais il ne faut pas rester sur des à priori non plus. Tu vois, pour ma part, les roues chinoises, mon expérience était mauvaise jusqu'alors. Je t'ai écouté, j'ai acheté les Elite Wheels : en toute objectivité, je les trouve extraordinaires : peut-être les meilleures que j'ai jamais eues. (Pour autant, je ne les conseillerai pas à tout le monde car elles sont très rigides). Le mieux c'est d'essayer. Quand on peut le faire... Modifié il y a 21 heures par Pierre PLANA
Nicolas JOARY Posté il y a 21 heures Posté il y a 21 heures il y a 21 minutes, dams a dit : Les "bonnes bières" sont souvent au dessus des 7 degrés. C'est dommage, j'aurai peut être été pro...😁 Essaie l'Orval. Elle est en dessous des 7 degrés. Quand on est adepte, on s'efforce d'en avoir assez pour l'oublier en cave pendant 4 ou 5 ans.
Michel DURY Posté il y a 21 heures Posté il y a 21 heures il y a 50 minutes, Nicolas JOARY a dit : Les pertes seraient alors plus proches des 80%. 'tain, t'imagine... en vélo, je donne 100 et je perds 80, c'est bien ça? Et tu t'étonnes que je fasse du canapé? Là je donne 20 et je conserve 20, j'ai un rendement de 100%!!!! ça c'est super efficace non? 1
Thierry GEUMEZ Posté il y a 21 heures Posté il y a 21 heures (modifié) Il y a 1 heure, Nicolas JOARY a dit : Je suis toujours intrigué par certains "mystères" autour du matériel, quand des chiffres apparemment incontestables (chronométrages, mesures de puissance délivrée...) viennent contredire les sensations du cycliste. Ainsi, j'ai lu plusieurs articles qui relatent expériences et calculs menés par des scientifiques ; calculs qui tendent à démontrer que le poids du matériel n'a d'importance que pour les montées longues et pentues ; et aussi que l'endroit où est situé le poids est bien moins crucial qu'on ne le pense. Par exemple, que 500g de moins sur les roues ou sur le cadre, ça ne ferait presque pas de différence. Juste un tout petit peu lors des accélérations ; et encore ! Pourtant, malgré ces mesures et calculs, nombreux sont les cyclistes qui prétendent que ces différences ne sont pas négligeables ; que les petits deux ou trois Watts, que les une ou deux secondes gagnés ou perdus ici et là qui sont en principe marginaux et négligeables pour le cycliste qui n'est pas compétiteur (étant entendu que pour le compétiteur, une seconde gagnée peut parfois rimer avec une course gagnée) restent perceptibles pour eux. On leur parle alors "d'effet placebo" ou de "ressenti" qui sont démentis par capteurs et chronomètres. Je m'interroge dès lors sur l'importance que ces études semblent ne pas beaucoup accorder au "rendement" du corps humain. Les pertes, entre l'énergie dépensée et l'énergie produite par le cycliste, seraient de l'ordre de 70 à 75%, ce qui est loin du négligeable. En outre, ces pertes de rendement auraient tendance à s'accentuer à mesure que la durée de l'effort (ou la répétition des efforts) s'accroît. Les pertes seraient alors plus proches des 80%. Compte tenu, dès lors, du rendement énergétique plutôt médiocre de notre organisme, ces gains que l'on qualifie souvent de "marginaux" ne le seraient-ils pas moins qu'on ne l'affirme ? Nicolas, tu mélanges le rendement du vélo et le rendement humain. L'un ne compense pas l'autre, il faut les considérer séparément, même si les deux contribuent finalement à notre "performance". Modifié il y a 20 heures par Thierry GEUMEZ
Marquez Posté il y a 21 heures Posté il y a 21 heures il y a 15 minutes, Pierre PLANA a dit : Tu as raison. Mais il ne faut pas rester sur des à priori non plus. Tu vois, pour ma part, les roues chinoises, mon expérience était mauvaise jusqu'alors. Je t'ai écouté, j'ai acheté les Elite Wheels : en toute objectivité, je les trouve extraordinaires : peut-être les meilleures que j'ai jamais eues. (Pour autant, je ne les conseillerai pas à tout le monde car elles sont très rigides). Le mieux c'est d'essayer. Quand on peut le faire... Exact j'avais abandonné l'idée de prendre des roues supérieures à 40mm car un essai de 50mm avec du vent m'avait démontré que je n'étais pas capable de tenir un cap à peu près stable avec ces roues. Ceci étant j'ai lu le témoignage de Pierre Coté sur des 45mm à profil WAVE qui offriraient une excellente tenue dans le vent, je suis assez tenté d'essayer ce genre de profil. Content que mes impressions sur les Elite (mais aussi ICAN et CSC) aient pu t'être utiles, ce n'est toutefois pas du tout évident qu'un matos donné puisse satisfaire indifféremment plusieurs types de cyclistes et sur des terrains différents. Concernant Elite, j'ai le modèle Ultra Light moyeux Bitex 305 et rayons Pillar Wing20 1280grs, qui me satisfont totalement à ts points de vue. Excellente rigidité et confort tolérable, (20 mois d'utilisation intermittente, soit plus de 10.000 bornes et rien ne bouge)
Nicolas JOARY Posté il y a 20 heures Posté il y a 20 heures il y a 47 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Nicolas, tu mélanges le rendement du vélo et le rendement humain. L'un ne compense pas l'autre, il faut les considérer séparément, même si les deux contribuent finalement à notre "performance". Je ne mélange pas. J'essaie de les mettre en balance. Est-ce qu'une amélioration de 1% du rendement mécanique de l'outil va apporter une diminution proportionnellement identique de l'effort consenti par celui qui l'utilise ?
Thierry GEUMEZ Posté il y a 19 heures Posté il y a 19 heures (modifié) il y a 30 minutes, Nicolas JOARY a dit : Est-ce qu'une amélioration de 1% du rendement mécanique de l'outil va apporter une diminution proportionnellement identique de l'effort consenti par celui qui l'utilise ? Oui, forcément, mais cette amélioration du vélo n'améliore pas le rendement du cycliste qui le monte Modifié il y a 19 heures par Thierry GEUMEZ
Bernard MOREAU Posté il y a 19 heures Posté il y a 19 heures il y a 15 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Nicolas, tu mélanges le rendement du vélo et le rendement humain. L'un ne compense pas l'autre, ils faut les considérer séparément, même si les deux contribuent finalement à notre "performance". Pour le rendement du vélo, on espère qu'il soit de l'ordre de 97,5%, les pertes par frottement se font essentiellement dans la transmission : chaîne, dérailleur. Pour le rendement humain c'est un sujet très débattu et carrément controversé. Il y a quand même quelques règles de bases. Pour des raisons purement de chimie, le rendement est plus élevé quand on utilise du glycogène que pour des lipides (graisses) ou des protides puisque respectivement ces 3 substrats fournissent respectivement 21,3 // 19,6 et. 18,8 kJ par litre d'O2 utilisé. Après il faut considérer le type de fibres des muscles. Les rapides, les lentes et les intermédiaires. J'ai la flemme de me replonger dans les bouquins, mais les lentes, bien oxygénées, sont douées pour utiliser du glycogène et les types endurants en ont un gros %age, ce qui leur permet d'atteindre un rendement mécanique plus élevé, de l'ordre de 22-23%, contre seulement environ 19% pour les fibres rapides. Je vous laisse à vos bouquins.
Bernard MOREAU Posté il y a 19 heures Posté il y a 19 heures il y a 51 minutes, Nicolas JOARY a dit : Est-ce qu'une amélioration de 1% du rendement mécanique de l'outil va apporter une diminution proportionnellement identique de l'effort consenti par celui qui l'utilise ? Bien sûr. Un jour que j'essayais de battre mon record sur La Faucille, j'avais raccourci ma chaîne en la mettant sur un seul développement, 42:20 si je me souviens bien. Ce n'est pas idéal car mon rythme de pédalage ne me convenait pas vraiment sur les parties les plus faciles. Et j'avais battu mon record. Je supposais que j'économisais de l'ordre de 1% en ne passant pas par les galets du dérailleur.
Thierry GEUMEZ Posté il y a 19 heures Posté il y a 19 heures Il y a 2 heures, Pierre PLANA a dit : C'est un espèce de dictature Belge si on ne peut plus dire des c.nneries ! 🙃 Il y a 2 heures, Pierre PLANA a dit : C'est un espèce de dictature Belge si on ne peut plus dire des c.nneries ! 🙃 Mais si, tu peux dire des conneries... parce que tu n'en dis pas trop et tu n'as pas épuisé ton crédit 🤣 Ma remarque ne te visait pas personnellement, elle s'adressait à ceux qui confondent sensations et performance : les premières sont personnelles et n'appellent pas de critiques, la seconde n'est pertinente que si elle est mesurable, même si cette mesure n'est pas toujours évidente.
Marquez Posté il y a 18 heures Posté il y a 18 heures il y a 7 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Mais si, tu peux dire des conneries... parce que tu n'en dis pas trop et tu n'as pas épuisé ton crédit 🤣 Ma remarque ne te visait pas personnellement, elle s'adressait à ceux qui confondent sensations et performance : les premières sont personnelles et n'appellent pas de critiques, la seconde n'est pertinente que si elle est mesurable, même si cette mesure n'est pas toujours évidente. La mesure est facilement réalisable en analysant la progression (ou non) des capacités à rouler plus ou moins vite plus ou moins longtemps et quand on fait du sport en groupe, si quelques appareils me disent que la perf est meilleure mais que sur le terrain ça ne se traduit pas du tout, je suis gros-jean comme devant, parce que c'est bien le résultat sur le terrain qui compte et la capacité être devant et pas derrière, (là c'est un constat, une réalité tangible, pas du tout une "sensation" comme rabâché à longueur de pages) c'est à ça que peut servir un matériel plus performant sinon basta, Cette réalité semble n'avoir aucune importance dans pas mal de considérations et pourtant c'est bien uniquement de ça dont il s'agit
Nicolas JOARY Posté il y a 18 heures Posté il y a 18 heures il y a 50 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Oui, forcément, mais cette amélioration du vélo n'améliore pas le rendement du cycliste qui le monte Bien entendu. Ce qui m'intrigue c'est de savoir si, compte tenu du fait que le rendement énergétique du cycliste est nettement inférieur à celui de son vélo, une amélioration même réduite du rendement de la mécanique peut avoir un effet plus important qu'on ne le penserait sur la réduction de fatigue du cycliste. Une sorte d'effet-papillon... 🤔
Messages recommandés