Sylvain KARLE Posté le 5 février Share Posté le 5 février il y a 22 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Pour la première question : demande à Franck Pastor Pour la deuxième question : demande à Franck Pastor 😊 Il faut mouliner pour développer sa puissance maximale mais c'est moins rentable sur le plan énergétique. Une faible cadence de pédalage est plus économe en énergie mais elle stresse davantage les articulations et les tendons. La vélocité se travaille à l'entraînement, au même titre que toutes les autres qualités. Franck n'a jamais fait de compet ne roule pas en club ..... Il est compétant pour mouliner beaucoup mais n'aura jamais un super niveau car aucune puissance ..... Il s'en fou certainement lui il recherche les bosses a fort % et les monter sans forcer ..... Quand je veux savoir comment être performant je demande a des cyclistes performants 😄 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 5 février Share Posté le 5 février (modifié) il y a 15 minutes, Sylvain KARLE a dit : Quand je veux savoir comment être performant je demande a des cyclistes performants 😄 Demande à Pogi, il est de bon conseil 😜 Faut arrêter de rêver, Sylvain ! Regarde Gérôme, il ne suit aucun entraînement structuré mais est plus fort que nous et pédale 20.000 km/an sans avoir l'air de fatiguer. Son "secret" : de grosses facultés de récupération. On les a à la naissance, ou pas, ça ne s'acquiert pas dans les livres d'entraînement ni en regardant les coureurs pros à la télé 😉 Modifié le 5 février par Thierry GEUMEZ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
chmotard Posté le 5 février Auteur Share Posté le 5 février il y a 18 minutes, Sylvain KARLE a dit : Puissance= force+vélocité Oui un amateur sérieux aura de bons résultats après si tu n'a pas une bonne génétique c'est a dire une super VO2max ou être dopé tu ne sera jamais un champion .... Le nutella c'est du dopage ? je demande car si la réponse est oui j'aurais une bonne raison de reprendre 😁 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 5 février Share Posté le 5 février Tu as aussi les capacités innées, et là on ne peut rien dire car c'est "donné" par la bonne fée qui s'est penchée sur ton berceau. J'ai vu ça en parapente, en aïkido, en vélo, en tout ce que tu veux. Il y en a qui sont doués sans aucun effort ni entraînement particulier, et toi tu pleures de dépit à coté en t'entraînant comme un fou, il faut l'accepter. En aïkido, je vois en quelques cours quelles seront les futures ceintures noires et qui va abandonner rapidement, c'est assez rapide et flagrant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 5 février Share Posté le 5 février il y a 16 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Demande à Pogi, il est de bon conseil 😜 Faut arrêter de rêver, Sylvain ! Regarde Gérôme, il ne suit aucun entraînement structuré mais est plus fort que nous et pédale 20.000 km/an sans avoir l'air de fatiguer. Son "secret" : de grosses facultés de récupération. On les a à la naissance, ou pas, ça ne s'acquiert pas dans les livres d'entraînement ni en regardant les coureurs pros à la télé 😉 Tu connais mal Gégé ....🤣 Il structure ses entrainements tu peux me croire ..... Gégé ne roule pas mieux que moi sur le plat par contre en bosse avec 20kl de + je ne peux le suivre c'est logique , j'ai son niveau sans être prétentieux hors bosses mais je n'ai pas assez de temps et de sérieux pour maigrir , a 75kl ( poids ou je montais vite) je suis trop maigre ( 83km en ce moment) , la grosse force de Gégé c'est son mental ... JC est nettement au dessus par exemple lui il est inatteignable pour moi meme bien entrainé mais je ne déprime pas ... 😄 En force par contre muscu je n'étais pas mauvais et je les battrais surement , chacun son sport .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 5 février Share Posté le 5 février il y a 11 minutes, chmotard a dit : Le nutella c'est du dopage ? je demande car si la réponse est oui j'aurais une bonne raison de reprendre 😁 Une bonne cure de Nutella tu est sur d'être meilleur en descente ! Mais ce n'est pas du dopage 😁 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 5 février Share Posté le 5 février il y a 27 minutes, Michel DURY a dit : Tu as aussi les capacités innées, et là on ne peut rien dire car c'est "donné" par la bonne fée qui s'est penchée sur ton berceau. J'ai vu ça en parapente, en aïkido, en vélo, en tout ce que tu veux. Il y en a qui sont doués sans aucun effort ni entraînement particulier, et toi tu pleures de dépit à coté en t'entraînant comme un fou, il faut l'accepter. En aïkido, je vois en quelques cours quelles seront les futures ceintures noires et qui va abandonner rapidement, c'est assez rapide et flagrant. Michel toi tu a des capacités exceptionnelles pour le canapé ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 5 février Share Posté le 5 février il y a 1 minute, Sylvain KARLE a dit : Michel toi tu a des capacités exceptionnelles pour le canapé ! On en reparlera en haut du Grand Ballon, prépare toi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 5 février Share Posté le 5 février il y a 10 minutes, Michel DURY a dit : On en reparlera en haut du Grand Ballon, prépare toi Tu vas faire la descente en canapé ??? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 5 février Share Posté le 5 février (modifié) il y a 34 minutes, Michel DURY a dit : On en reparlera en haut du Grand Ballon, prépare toi Je suis très fort en descente de cols .....et de bières aussi😄 Modifié le 5 février par Sylvain KARLE Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 5 février Share Posté le 5 février il y a 26 minutes, Sylvain KARLE a dit : Je suis très fort en descente de cols .....et de bières aussi😄 Pour la montée je m'occuperai de toi, et pour la descente, je laisse ce plaisir à Thierry, tu n'as aucune chance Sylvain. Bien sûr après, c'est toi qui paieras la tournée de bonnes bières à l'atérro parapente! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 5 février Share Posté le 5 février il y a 5 minutes, Michel DURY a dit : Pour la montée je m'occuperai de toi, et pour la descente, je laisse ce plaisir à Thierry, tu n'as aucune chance Sylvain. Bien sûr après, c'est toi qui paieras la tournée de bonnes bières à l'atérro parapente! Dans le Jura j'ai suivi Thierry et l'ai meme dépassé avec mes freins pourris 😁 sur le plat je vais t'exploser 😄 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard HAULOTTE Posté le 5 février Share Posté le 5 février Le 04/02/2025 à 17:16, Bernard MOREAU a dit : Quand je débutais le vélo, avant la compét. -- vers 16 ans -- j'étais curieux de savoir jusqu'où je pouvais faire monter et mon coeur et je sprintais dans une longue bosse et m'arrêtais pour compter sur 5s. Déception : je n'arrivais pas à compter assez vite et me mélangeais. De sorte que je sais seulement que je dépassais 192 = 16 fois 12. Compter 17 ou 18 ou même 19 en 5 s sans se. tromper, ce n'est pas évident. Dans ma période de compétition intense, entre 19 et 24 ans, je ne me souviens pas m'y être intéressé. Puis j'ai vécu en altitude et là je mesurais mon rythme cardiaque au repos pour comparer à ce qu'il était au niveau de la mer. Par le suite, disons dans les 20 ans plus tard, quand j'ai voulu lancer l'idée de ce que l'on appelle maintenant "l'Everesting" mais que ça n'a intéressé personne (normal, en France pour qu'une idée soit intéressante il faut qu'elle vienne de l'étranger, je ne sais pas si la Belgique ça compte), je voulais savoir comment se comportait mon coeur à une allure à peu près constante sur plusieurs ascensions consécutives du Col de la Faucille (4 fois puis 8 fois). Cela me permettait de me projeter jusqu'à 8848 m de D+. Mais sur le plat, il m'arrivait aussi de tourner autour du Lac de Divonne (3,1 km) à diverses allures fixes et de mesurer mon rythme cardiaque à ces différentes allures. J'étais donc le plus souvent motivé par la curiosité plutôt qu'autre chose. "Compter 17 ou 18 ou même 19 en 5 s sans se. tromper, ce n'est pas évident." La version pour les nuls en math, c'est de compter sur 6 secondes et d'ajouter un zéro au résultat. En entraînement fractionné de course à pied, un oeil sur le chrono au poignet et un doigt dans la gorge, avec de la pratique, on est à ± 5 pulsations/minute d'erreur. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
OnTheRoadToNowhere Posté le 6 février Share Posté le 6 février Il y a 19 heures, Sylvain KARLE a dit : Puissance= force+vélocité Oui un amateur sérieux aura de bons résultats après si tu n'a pas une bonne génétique c'est a dire une super VO2max ou être dopé tu ne sera jamais un champion .... Du coup j'aurais peut être dû écrire "ne moulinent ils pas avant tout parce qu'ils développent beaucoup de force" Il y a 20 heures, Thierry GEUMEZ a dit : Pour la première question : demande à Franck Pastor Pour la deuxième question : demande à Franck Pastor 😊 Il faut mouliner pour développer sa puissance maximale mais c'est moins rentable sur le plan énergétique. Une faible cadence de pédalage est plus économe en énergie mais elle stresse davantage les articulations et les tendons. La vélocité se travaille à l'entraînement, au même titre que toutes les autres qualités. J'ai bien noté pour Franck Pastor La question était un peu d'éviter de s'épuiser en adoptant une cadence élevée, surtout en montée Je n'ai aucun mal à pédaler à des cadences (relativement) élevées mais je trouve que dans certaines circonstances il y a une tendance naturelle à diminuer la fréquence de pédalage : en montée, mais aussi face au vent, où également lors des sorties à rythme plus cool. Mais effectivement lorsque je roule trop en sous-cadence et en force (par ex. exercice en montée entre 50 et60 rpm) mes genoux se rappellent à moi un ou deux jours plus tard... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 6 février Share Posté le 6 février (modifié) il y a une heure, OnTheRoadToNowhere a dit : Du coup j'aurais peut être dû écrire "ne moulinent ils pas avant tout parce qu'ils développent beaucoup de force" Je ne comprends pas ta question. Si leur force excessive les faisaient pédaler dans le vide, il suffirait qu'ils mettent un plus gros braquet... et ils avanceraient encore plus vite. Je pense qu'on s'adapte plus ou moins instinctivement à la situation du moment de manière à répondre au mieux à la fois au besoin de puissance et à la nécessité de s'économiser, compte-tenu de sa constitution physique. C'est un art du compromis. La tendance à diminuer sa cadence dans les ascensions ou face au vent vient du fait que la vitesse est plus faible dans ces circonstances, ce qui génère moins d'inertie. En clair, on est toujours en prise parce que la vitesse s'effondrerait de manière gênante si on arrêtait de pédaler pendant un court instant, au contraire de l'évolution sur le plat où les courtes périodes de roue libre sont peu pénalisantes. Par ailleurs, il est plus aisé d'accompagner la pédale pendant la totalité du cycle de pédalage (parce que "toujours en prise") à basse cadence, pour des raisons musculaires et neuro-musculaires, sauf si on s'entraîne spécifiquement à le faire aussi à haute cadence (avec l'avantage dans ce cas d'un gain potentiel de puissance et d'une réduction du stress articulaire et tendineux, et l'inconvénient d'une plus grande dépense énergétique). Modifié le 6 février par Thierry GEUMEZ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard MOREAU Posté le 6 février Share Posté le 6 février Il y a 10 heures, Bernard HAULOTTE a dit : "Compter 17 ou 18 ou même 19 en 5 s sans se. tromper, ce n'est pas évident." La version pour les nuls en math, c'est de compter sur 6 secondes et d'ajouter un zéro au résultat Je n'avais qu'une montre 1er prix, les traits de 5s sont plus visibles que les traits d'unités 😆. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 6 février Share Posté le 6 février Il y a 2 heures, Thierry GEUMEZ a dit : Par ailleurs, il est plus aisé d'accompagner la pédale pendant la totalité du cycle de pédalage Tout va dépendre de la longueur de l'effort, donc du kilométrage de la montée. Sur une courte distance tu peux rester sur du bon braquet et facilement tirer sur tes pédales après le point mort bas. C'est dur physiquement mais très rentable et tu maintiens une bonne vitesse. A partir du moment où ça dure trop longtemps et que tu réduis le braquet, tu n'arrives plus à faire ces tractions et tu te retrouves uniquement en poussées sur le tier du cycle après le point mort haut. Quand tu arrives à pédaler très vite, il me semble impossible de gérer les poussées tractions des deux jambes. A basse cadence si. Un truc mental que j'utilise avec succès dans les grimpettes, c'est de ne penser uniquement à la traction, et pas à la poussée qui se fait naturellement. J'avoue que les ovales aident beaucoup dans ce phasage, c'est évident et c'est un réel plus par rapport aux plateaux ronds. La position en danseuse aide aussi dans les tractions, en fait c'est tout le corps qui participe à l'effort, abdos compris, avec un bon balancement gauche droite du vélo et une prise solide dans les mains et les bras. Voilà, maintenant Slvn Krl va me mettre minable dans Geishouse, il connait tous mes trucs! 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 6 février Share Posté le 6 février il y a 27 minutes, Michel DURY a dit : Tout va dépendre de la longueur de l'effort, donc du kilométrage de la montée. Sur une courte distance tu peux rester sur du bon braquet et facilement tirer sur tes pédales après le point mort bas. C'est dur physiquement mais très rentable et tu maintiens une bonne vitesse. A partir du moment où ça dure trop longtemps et que tu réduis le braquet, tu n'arrives plus à faire ces tractions et tu te retrouves uniquement en poussées sur le tier du cycle après le point mort haut. Quand tu arrives à pédaler très vite, il me semble impossible de gérer les poussées tractions des deux jambes. A basse cadence si. Un truc mental que j'utilise avec succès dans les grimpettes, c'est de ne penser uniquement à la traction, et pas à la poussée qui se fait naturellement. J'avoue que les ovales aident beaucoup dans ce phasage, c'est évident et c'est un réel plus par rapport aux plateaux ronds. La position en danseuse aide aussi dans les tractions, en fait c'est tout le corps qui participe à l'effort, abdos compris, avec un bon balancement gauche droite du vélo et une prise solide dans les mains et les bras. Voilà, maintenant Slvn Krl va me mettre minable dans Geishouse, il connait tous mes trucs! oh putaing... ça faisait longtemps qu'on n'avait pas parlé des plateaux ovales... 🙂 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 6 février Share Posté le 6 février il y a 8 minutes, Pierre PLANA a dit : oh putaing... ça faisait longtemps qu'on n'avait pas parlé des plateaux ovales... 🙂 Hahaha, ouiiiiii Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 6 février Share Posté le 6 février il y a 39 minutes, Michel DURY a dit : Tout va dépendre de la longueur de l'effort, donc du kilométrage de la montée. Sur une courte distance tu peux rester sur du bon braquet et facilement tirer sur tes pédales après le point mort bas. C'est dur physiquement mais très rentable et tu maintiens une bonne vitesse. A partir du moment où ça dure trop longtemps et que tu réduis le braquet, tu n'arrives plus à faire ces tractions et tu te retrouves uniquement en poussées sur le tier du cycle après le point mort haut. Quand tu arrives à pédaler très vite, il me semble impossible de gérer les poussées tractions des deux jambes. A basse cadence si. Un truc mental que j'utilise avec succès dans les grimpettes, c'est de ne penser uniquement à la traction, et pas à la poussée qui se fait naturellement. J'avoue que les ovales aident beaucoup dans ce phasage, c'est évident et c'est un réel plus par rapport aux plateaux ronds. La position en danseuse aide aussi dans les tractions, en fait c'est tout le corps qui participe à l'effort, abdos compris, avec un bon balancement gauche droite du vélo et une prise solide dans les mains et les bras. Voilà, maintenant Slvn Krl va me mettre minable dans Geishouse, il connait tous mes trucs! J'ai toujours trouvé que tu ne tournais pas rond ..... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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